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La Mort du temps
Date de parution : 11/04/2019
Éditeurs :
Pocket

La Mort du temps

Date de parution : 11/04/2019
Un éclair aveuglant, suivi d'une terrible onde de choc... En l'espace de quelques minutes, un séisme ravage la Terre, et la vie de Callista bascule. Le monde qu'elle connaissait n'est... Un éclair aveuglant, suivi d'une terrible onde de choc... En l'espace de quelques minutes, un séisme ravage la Terre, et la vie de Callista bascule. Le monde qu'elle connaissait n'est plus. Les siècles se sont mélangés, pièces hétéroclites d’un puzzle temporel qui modifie l’architecture, mais également les gens. Callista fuit... Un éclair aveuglant, suivi d'une terrible onde de choc... En l'espace de quelques minutes, un séisme ravage la Terre, et la vie de Callista bascule. Le monde qu'elle connaissait n'est plus. Les siècles se sont mélangés, pièces hétéroclites d’un puzzle temporel qui modifie l’architecture, mais également les gens. Callista fuit Paris pour partir à la recherche d'un refuge dans ce chaos. Sur sa route, elle rencontrera d'étranges créatures, issues d’époques différentes. Mais talonnée par le Flash, réplique mortelle du tremblement de terre, elle ne peut, elle ne doit pas s’arrêter. Sinon, à la prochaine pulsation du Flash, elle sera anéantie.

«Aurélie Wellenstein signe un roman palpitant que l'on dévore en un temps record avec grand plaisir. Un vrai coup de cœur !» Le Bibliocosme
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EAN : 9782266292047
Code sériel : 7267
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266292047
Code sériel : 7267
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Avec La Mort du temps, Aurélie Wellenstein signe un roman palpitant que l’on dévore en un temps record avec grand plaisir » ! Un vrai coup de cœur » Le Bibliocosme

« Aurélie Wellenstein a beaucoup à apporter à l’imaginaire français et je vous encourage vivement à la découvrir, vous ne le regretterez pas ! » Allisonline

« Aurélie Wellenstein plonge son héroïne dans une course contre la montre qui sans être haletante offre son lot de scènes puissantes. L’auteur travaille la psyché d’une adolescente avec justesse. Elle nous montre ses failles, ses atermoiements et le chemin qu’elle prend pour devenir une meilleure personne. » David, SyFantasy

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LaGeekosophe 26/11/2022
    J’aime beaucoup l’œuvre d’Aurélie Wellenstein. Je trouve que ses romans brillent particulièrement quand ils abordent des thématiques sombres et qu’ils jouent avec des univers glauques. Avec la Mort du temps, l’autrice propose un récit post-apo prenant et qui part d’une idée originale. Mais qu’en ai-je pensé ? Que se passerait-il si toutes les époques se mélangeaient ? Pire, se superposeraient ? Callista doit faire face à une course contre la montre pour échapper au flash. Surnaturelle, cette lumière blanche détruit tout ce qui se trouve à sa portée. En dehors, les êtres se retrouvent soudainement mélangés à d’autres, comme s’ils étaient intriqués, se trouvant exactement au même endroit mais pas à la même époque. Aurélie Wellenstein décrit des scènes proprement monstrueuses avec le talent qu’on lui connaît. Il y a un vrai sentiment d’urgence et de fuite en avant qui traverse le roman. C’est bien entretenu grâce au style vif de l’autrice, qui écrit avec des phrases courtes et nerveuses. J’ai cependant trouvé que le style blessait un peu la construction des personnages, notamment au début du récit. J’avais beaucoup de mal avec le personnage de Callista au début des romans. Heureusement, des compagnons se greffent à son voyage. Ces derniers sont... J’aime beaucoup l’œuvre d’Aurélie Wellenstein. Je trouve que ses romans brillent particulièrement quand ils abordent des thématiques sombres et qu’ils jouent avec des univers glauques. Avec la Mort du temps, l’autrice propose un récit post-apo prenant et qui part d’une idée originale. Mais qu’en ai-je pensé ? Que se passerait-il si toutes les époques se mélangeaient ? Pire, se superposeraient ? Callista doit faire face à une course contre la montre pour échapper au flash. Surnaturelle, cette lumière blanche détruit tout ce qui se trouve à sa portée. En dehors, les êtres se retrouvent soudainement mélangés à d’autres, comme s’ils étaient intriqués, se trouvant exactement au même endroit mais pas à la même époque. Aurélie Wellenstein décrit des scènes proprement monstrueuses avec le talent qu’on lui connaît. Il y a un vrai sentiment d’urgence et de fuite en avant qui traverse le roman. C’est bien entretenu grâce au style vif de l’autrice, qui écrit avec des phrases courtes et nerveuses. J’ai cependant trouvé que le style blessait un peu la construction des personnages, notamment au début du récit. J’avais beaucoup de mal avec le personnage de Callista au début des romans. Heureusement, des compagnons se greffent à son voyage. Ces derniers sont plus sympathiques. J’ai même eu l’impression que les interactions avec elle la rendaient en quelque sorte plus matures. Roland étant un chevalier du Moyen-Âge muté avec son cheval et Gascogne un chasseur mêlé d’un loup, ce sont des êtres intéressants à suivre. Notamment car ils se distinguent de part le fait qu’ils sont hors humanité. Le jeu avec le temps permet de créer des arcs narratifs et des gimmicks bien trouvés au fil du récit. J’ai cependant trouvé que plusieurs éléments nuisaient à la maturité du récit. Dans un premier temps, le style fait de phrases courtes et le personnage à peine sorti de l’adolescence m’ont fait pensé à du young adult. Les cent premières pages ont été difficiles, notamment car il était impossible de comprendre clairement où le livre allait réellement. C’est peut-être personnel, mais j’ai du mal avec les voyages sans but qui ne mènent à rien de tangible. Ensuite, Callista est un personnage immature tout au long du roman, qui finit presque par être bien trop le centre de cette histoire. Les crises de la jeune fille deviennent rébarbatives. Un élément explicatif vient, mais il est assez peu crédible même s’il ne manque pas d’intérêt : la révélation est marquante. L’écriture simple et le caractère de Callista créent un étrange écart avec les scènes les plus gores. Non que ces scènes ne fonctionnent par elles-mêmes, mais elles semblent étrangement en décalage. Si j’ai trouvé le récit passé 100 ou 120 pages très sympathiques à suivre, la fin était trop rapide, trop précipitée. De la même façon, le relationnel avec une personne du passé de Callista et son passé manquent de crédibilité pour être réellement captivants. C’est dommage, car l’univers ne manque pas d’attrait. Il m’a manqué quelque chose dans le scénario et les personnages pour que je sois pleinement convaincue. Post-apo qui superpose les époques, c’est un one-shot au concept pleinement original. Dans une course-poursuite, plusieurs personnages survivent aux horreurs, séismes et violences qui secouent le monde. Le roman offre des passages horrifiques immersifs, grâce à des descriptions nerveuses et détaillées. Cependant, le personnage peine à convaincre, même si ses compagnons sont bien mis en scène. Le manque de maturité de l’héroïne et certaines éléments de scénario qui manquent de crédibilité ont nui au récit.
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  • Siana_autrice 09/09/2022
    Un séisme temporel ravage la Terre, mêlant les époques, les choses, les gens, de manière horrible. Survivante, Callista part à la recherche de sa meilleure amie. Mais une réplique du séisme menace.#8291; Une histoire originale d’humains fusionnés avec des animaux, chimères improbables et glauques, et de villes fusionnées entre plusieurs époques. Le détricotage temporel qui se devine au fil de l’histoire est intrigant, et offre un nouveau regard dès qu'on arrive à la fin. Je regretterais juste un manque d’approfondissement des relations entre les personnages, notamment la romance en filigrane qui manque de place pour se développer.#8291;
  • bdelhausse 31/08/2022
    Callista, 16 ans, est réveillée par son père dans ce qui ressemble à une clinique. Pas le temps pour de grosses explications, le monde se délite autour d'eux. Et quand on dit "délite", on est même loin du compte. C'est le chaos total et indescriptible. Chose qu'Aurélie Wellenstein décrit pourtant fort bien, avec une écriture immersive, directe et cash, qui plonge le lecteur très rapidement dans l'action. C'est un must dans ce genre de littérature, mais ce n'est pas toujours aussi bien réussi. Le monde disparaît peu à peu. Fin du monde apocalyptique tout en démesure. Paris est ravagée, martyrisée (et pas du tout libérée). Et, comble du bizarre, peu à peu apparaissent des manifestations du passé. Chevaliers, ptérodactyles, mousquetaires, hommes préhistoriques... Et que dire des fusions d'objets inertes avec des êtres vivants ou des animaux... Ainsi Callista va se voir flanquée d'un chevalier du XIIè siècle qui a fusionné avec sa monture, puis d'un chasseur qui a fusionné avec le loup qu'il chassait et le piège dans lequel la patte de l'animal était prise. Ces voyageurs improbables semblent poursuivis par un phénomène électrique, le Flash, qui explose tout sur son passage et "suit" Callista. Celle-ci n'a qu'un but dans un... Callista, 16 ans, est réveillée par son père dans ce qui ressemble à une clinique. Pas le temps pour de grosses explications, le monde se délite autour d'eux. Et quand on dit "délite", on est même loin du compte. C'est le chaos total et indescriptible. Chose qu'Aurélie Wellenstein décrit pourtant fort bien, avec une écriture immersive, directe et cash, qui plonge le lecteur très rapidement dans l'action. C'est un must dans ce genre de littérature, mais ce n'est pas toujours aussi bien réussi. Le monde disparaît peu à peu. Fin du monde apocalyptique tout en démesure. Paris est ravagée, martyrisée (et pas du tout libérée). Et, comble du bizarre, peu à peu apparaissent des manifestations du passé. Chevaliers, ptérodactyles, mousquetaires, hommes préhistoriques... Et que dire des fusions d'objets inertes avec des êtres vivants ou des animaux... Ainsi Callista va se voir flanquée d'un chevalier du XIIè siècle qui a fusionné avec sa monture, puis d'un chasseur qui a fusionné avec le loup qu'il chassait et le piège dans lequel la patte de l'animal était prise. Ces voyageurs improbables semblent poursuivis par un phénomène électrique, le Flash, qui explose tout sur son passage et "suit" Callista. Celle-ci n'a qu'un but dans un premier temps: retouver Emma dans un village de l'Est de la France. C'est sa meilleure amie et alors que tout s'écroule, être auprès de son amie semble la seule chose à faire. Peu à peu on reconstruit le passé de Callista. Une fugue avec Emma. Un accident. le père de Callista a parlé d'amputation pour Emma, avant de mourir... Tout cela s'imbrique adéquatement. le temps déconne, les failles spatio-temporelles s'accumulent, le titre du roman l'annonçait, et l'autrice se débrouille plutôt bien dans la gestion des situations. A ce stade, on est au-delà de la moitié de l'ouvrage. On s'ennuie un peu car c'est très répétitif, mais cela reste raisonnable. L'autrice mélange adéquatement les sentiments, l'horreur des situations (j'aime assez les films gore), la découverte d'un monde qui s'effrite... On pense à Barjavel, à Cormac McCarthy... Attention je ne dis pas qu'aurélie Wellenstein est à la hauteur de ces auteurs (si je puis dire), je dis juste qu'il est impossible de ne pas penser aux grands romans post-apo de la littérature. Je ne dévoile rien du dernier quart du livre. Je peux me figurer que finir un tel roman n'est pas évident. Il faut choisir une fin. Boucler et ramener le lecteur à une seule vision des choses, alors que le lecteur (ou la lectrice) imagine des tonnes de possibles. Fatalement, on court à la déception... Oui et non. Je n'aurais pas vu la fin comme l'autrice, mais c'est plaisant. Au final, lecture fluide, assez prenante, délassante et plutôt sympa. L'horreur omniprésente m'a ramené aux bons "Hellraiser" ou à d'autres films glauques de série B. Personnellement, j'apprécie que l'autrice ne cherche pas à tout expliquer, travers souvent observé dans ce genre de littérature. L'imagination du lecteur est son pire ennemi lorsque l'autrice évoque des abominations (qui évoquent les successeurs de Lovecraft, comme un Derleth ou un Donald Wandrei...), et ça, c'est très chouette.
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  • madamepointvirgule 28/03/2022
    Vu le nombre d’autres romans chroniqués, vous aurez compris que cette autrice est une de mes favorites de tous les temps. J’adore ce qu’elle écrit et sa manière de raconter les histoires. Elle m’avait prévenu que c’était sûrement l’un de ses romans les plus « wtf » pour reprendre ses propres mots ! Effectivement, le pitch de base et l’exécution sont carrément originaux. Dès les premiers chapitres on est au coeur de l’action. On est plongés dans le maelström de cet univers. J’ai beaucoup aimé les personnages et leur parcours, qui est presque un parcours initiatique pour chacun d’entre eux finalement. Je ne savais pas où aller nous emmener Aurélie Wellenstein. Si parfois j’ai trouvé que c’était un peu brumeux, j’ai adoré l’épilogue et la fin. C’est difficile d’avoir une fin appréciable, surtout dans un si court roman qui se rapproche du roman d’apocalypse. A la manière d’un conte, je pense qu’il y a clairement plusieurs niveaux de lecture à ce livre. Une profondeur insoupçonnée même si, ce n’est pas le genre d’univers fantastique où vous aurez les réponses à toutes vos questions. C’est à vous de vous faire vos propres interprétations. En bref, j’ai passé un très bon moment, comme toujours avec cette autrice.
  • Acidus 14/01/2022
    Pour de nombreuses raisons, je ne suis habituellement pas un grand amateur de la littérature dite ado/jeune adulte. Pourtant, cette fois-ci, « La mort du temps » d’Aurélie Wellenstein avec son histoire de distorsion temporelle m’a fortement attiré dans les rayons de ma médiathèque. Je me suis donc laissé tenté… et j’ai bien fait ! L’association entre les récits post-apo et road-trip sont récurrent dans le genre. Toutefois, les protagonistes ne cherchent pas, dans le cas présent, à survivre à une quelconque apocalypse née d’un conflit nucléaire ou d’une catastrophe naturelle mais d’une distorsion temporelle et d’un « Flash » grossissant et annihilant tout ce qu’il touche. Une approche originale qui amène, dès les premières lignes, tout un tas de questions. On est donc porté à la fois par le mystère omniprésent dans ce roman mais aussi par les rencontres et événements que vont connaître notre petit groupe de survivants. Le tout se fait dans une ambiance très sombre et violente, pour ne pas dire déprimante. Un ton assez osé par rapport à la cible originelle du roman. Cette atmosphère particulière, qui est l’une des principales forces du livre (avec les personnages), ne plaira assurément pas à tous. Vous êtes prévenus ! Une lecture passionnante qui m’a... Pour de nombreuses raisons, je ne suis habituellement pas un grand amateur de la littérature dite ado/jeune adulte. Pourtant, cette fois-ci, « La mort du temps » d’Aurélie Wellenstein avec son histoire de distorsion temporelle m’a fortement attiré dans les rayons de ma médiathèque. Je me suis donc laissé tenté… et j’ai bien fait ! L’association entre les récits post-apo et road-trip sont récurrent dans le genre. Toutefois, les protagonistes ne cherchent pas, dans le cas présent, à survivre à une quelconque apocalypse née d’un conflit nucléaire ou d’une catastrophe naturelle mais d’une distorsion temporelle et d’un « Flash » grossissant et annihilant tout ce qu’il touche. Une approche originale qui amène, dès les premières lignes, tout un tas de questions. On est donc porté à la fois par le mystère omniprésent dans ce roman mais aussi par les rencontres et événements que vont connaître notre petit groupe de survivants. Le tout se fait dans une ambiance très sombre et violente, pour ne pas dire déprimante. Un ton assez osé par rapport à la cible originelle du roman. Cette atmosphère particulière, qui est l’une des principales forces du livre (avec les personnages), ne plaira assurément pas à tous. Vous êtes prévenus ! Une lecture passionnante qui m’a bousculé et interrogé jusqu’à sa très bonne conclusion.
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