L'Epée, la famine et la peste - Volume 2 : Le livre de Aurélie Wellenstein

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Aurélie Wellenstein tisse un diptyque de Fantasy aux sombres accents. Laissez-vous prendre dans sa toile...

Vous croyiez tout savoir sur Sulyvahn, Cillian et Erin... Tenez-vous prêts à découvrir leur vrai visage ! Sortirez-vous indemne de la toile tissée par Aurélie Wellenstein ? Depuis un demi-siècle, le royaume de Comhghall s'enfonce dans un âge sombre : les monstres pullulent, des villages entiers disparaissent dans les toiles d'araignées, et les tarentas tissent dans l'esprit des hommes, les condamnant à s'étioler dans la mélancolie et les idées noires. Alors que Sulyvahn, Erin et Cillian rassemblent leurs forces pour renverser l'inquisition, Conrad et Lile, les bras droits du Moine écarlate, se mettent en chasse pour les retrouver. Mais le couple d'inquisiteurs cache lui aussi un secret. Et face à Sulyvahn remontent les ombres du passé, faisant s'entrechoquer avec violence l'amitié et la haine. L'étau se resserre, les vrais visages se révèlent et chacun d'entre eux va devoir faire un choix : accepter son rôle ou affronter sa vérité et devenir enfin lui-même.

De (auteur) : Aurélie Wellenstein

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Expérience de lecture

Avis des libraires

" À la fois dark et medieval fantasy, Aurélie Wellenstein nous embarque dans un univers noir, oppressant, angoissant, limite horrifique, qui pullule d'araignées en tout genre. Tension, violence et angoisses nous enveloppent, nous compressent, nous grignotent à petit feu. Les araignées sont partout, elles tissent leurs toiles jusque dans notre tête. "
Babelio
" Seule auteure dont j'ai lu chaque livre, dont j'ai commandé chaque œuvre (parce que c'est vraiment ce que je ressens en la lisant... Une œuvre) sans me soucier des résumés.
J'ai dévoré le tome 1 de ce diptyque. J'ai été happée par le tome 2, dont le point de vue diffère, provoquant la surprise ! "L'Épée, la Famine et la Peste'' est réellement un coup de cœur, mon coup de cœur parmi sa bibliographie ! "
Amazon
" Plus riche, plus complet, l'autrice ne ménage pas non plus son lecteur. Les dernières pages nous apportent de nombreuses révélations et sont difficiles à lâcher. L'intrigue tient la route et nous entraîne dans une fin épique à laquelle je ne m'attendais pas du tout.
Avec ce second tome, Aurélie Wellenstein signe une duologie de qualité dont la fin se révèle magistrale. "



Carolivre
" Sombre et addictif ! "
BookNode
" Avec ce second volume de L'épée, la famine et la peste l'autrice Aurélie Wellenstein clôture son aventure de Dark Fantasy en apothéose. C'est cette explosion en véritable feu d'artifice qui décuple le plaisir de lecture. Nous ne savons pas ce qui peut arriver la page suivante. La seule constante : tout sera fait à fond. Ce qui explique les chocs monumentaux auxquels nous assistons d'un bout à l'autre de cette aventure pleine de passion. "



|Xavier
L'Autre Monde
" Un des grands points forts du second tome est d'adopter le point de vue de Conrad, l'inquisiteur, pendant une grande partie de l'intrigue, prenant ainsi le contre-pied du premier tome et remettant en cause tout ce que le lecteur pensait savoir à l'issue du tome 1. Ce changement de narrateur brouille les frontières entre le Bien et le Mal, montrant que, finalement, aucun des camps en présence n'est tout blanc ou tout noir, aucun des personnages principaux n'est totalement gentil ou méchant. Le point d'orgue de ce tome est la rencontre entre les cinq protagonistes et le tournant de leurs quêtes respectives. "|Camille Glauda
La Cliothèque
" La fin est magistrale ! "
Madame Point Virgule

Avis Babelio

ebeltane

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 6 jours

Un tome 2 qui jette un nouvel éclairage sur les événements du tome 1. J'ai adoré me faire balader à travers les points de vue. Les méchants sont-ils ceux qu'on croit ? La conclusion de cette duologie rappelle que les apparences peuvent être trompeuses et que la compréhension de l'autre peut éviter bien des malheurs. Une duologie qui est un véritable coup de cœur.

Batuco

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 1 mois

J’ai lu le premier tome de L’épée, la famine et la peste en 2022, à sa sortie. C’était un service presse qui m’avait été proposé dans le cadre d’une opération Masse critique privilégiée de Babelio et que j’avais accepté car je voulais découvrir le travail d’Aurélie Wellenstein. Cela a été une belle découverte et j’ai donc attendu avec impatience la sortie du second tome pour connaitre le dénouement de cette histoire. Maintenant que je l’ai terminé, je peux dire que je n’ai une nouvelle fois pas été déçu, même si quelques points noirs viennent ternir un peu le tableau final. Dans le premier tome (attention spoilers!), Aurélie Wellenstein nous racontait la rencontre de trois individus très différents, tous aussi malmenés les uns que les autres. C’est d’ailleurs cela qui les a rapprochés et les a lancés ensemble dans une même quête. Cillian, un jeune garçon avec un casque en forme de tête de loup, est possédé par l’esprit d’un loup, justement. Il a fui son village après avoir tué son amie la plus chère. Erin est une jeune fille qui, après avoir repoussé les avances d’un garçon, est accusée d’être une taranta et est persécutée. Sulyvahn, le troisième, est un ancien soldat qui a participé à des croisades dans le lointain pays d’Abirah pour le compte de l’inquisition. Son retour au pays ne lui a apporté que peine et douleur puisqu’il a retrouvé sa femme et son fils morts. Ces trois parias se retrouvèrent traqués par Conrad et Lile, deux inquisiteurs, anciens compagnons d’armes de Sulyvahn. La fin du tome 1 décrit la fin de la quête initiale, c’est-à-dire la rencontre des trois « fléaux » avec Onora, la Tisseuse, la reine des tarantas, dans la cité abandonnée d’Irrichill. Celle-ci ne peut finalement rien apporter à Erin et se révèle être, au contraire, une ennemie : elle est étroitement liée au Moine écarlate, le chef suprême de l’inquisition, et les a trahis en l’informant de leur présence à Irrichill. Pour cela, la Tisseuse est tuée par Sulyvahn. Conrad et Lile arrivent avec une troupe de soldats qui sont massacrés par les trois acolytes mais Aalis, le cerf que Sulyvahn prenait pour son fils (ou sa réincarnation), est également tué… Pour les trois protagonistes, l’heure n’est plus à la fuite mais à la vengeance. Au début du second tome, l’autrice change de point de vue. C’est à travers les yeux de Conrad que l’histoire nous est maintenant racontée. Le format diptyque est ainsi bien exploité en renversant la perspective, ce qui garantit une nouveauté immédiate pour le lecteur. Cela permet notamment d’avoir une description différente de Cillian, Erin et Sulyvahn puisqu’ils sont maintenant décrits à travers le regard de celui qui les traque. De la même façon, Conrad lui-même nous apparait sous un jour nouveau puisque nous avons accès à ses pensées les plus profondes, on lui découvre un visage humain. L’évolution des personnages est d’ailleurs un point fort de ce roman. Erin gagne en puissance et en devient même inquiétante tandis que Sulyvahn se révèle être plus sombre que ce que l’on pouvait penser. Quant à Cillian, ce petit garçon frêle dévoile une force et une maturité insoupçonnées. Une des richesses de ce livre repose sur l’histoire de ces personnages, les traumatismes qu’ils ont vécus et leurs conséquences, ainsi que les liens complexent qui les unissent. La lecture est toujours aussi agréable et fluide. Le style de l’autrice, sans être flamboyant, est efficace et évocateur. On se laisse très vite emporter par le récit et les chapitres défilent sans que l’on y fasse attention. Plusieurs passages sont assez marquants… je n’en dis pas plus pour ne rien révéler. Juste un mot : le final est grandiose ! En ce qui concernent les points négatifs, je vais mentionner à nouveau la simplicité de l’univers qui manque vraiment de profondeur à mon goût. Il y a le royaume de Comhghall avec sa capitale Wavestone d’un côté et le lointain pays d’Abirah avec son port de l’autre, voilà tout. Il n’y a aucune considération géo-politique, aucune esquisse de ce qu’il peut y avoir au-delà de ces deux royaumes ni la distance qui les sépare. On peut imaginer que Wavestone est une ville côtière sur le littéral anglais ou breton tandis qu’Abirah pourrait être l’Égypte, avec une grande mer entre les deux. De même, l’institution religieuse qui est décrite est également très simpliste avec le Moine écarlate à sa tête, Conrad et Lile en capitaines de l’inquisition et des troufions de base sans nom ni histoire pour monter la garde. Quant aux dirigeants de ce royaume, ils se limitent exclusivement au roi qui ne fait pas grand-chose puisqu’il a l’esprit entoilé. On peut comprendre qu’Aurélie Wellenstein ne s’intéresse pas à cet aspect et préfère se concentrer sur ses personnages et les relations qu’ils entretiennent entre eux mais elle aurait pu ne serait-ce qu’évoquer quelques éléments pour enrichir un peu le situation géographique et politique. Le deuxième point négatif concerne les dialogues qui sont parfois, eux aussi, un peu simplistes. Les personnages se livrent très facilement, dévoilant leurs pensées et ce qu’ils ont de plus intime assez rapidement. Ainsi, toutes les tensions sont assez vite levées car les explications ne tardent pas à arriver et tout est clair et limpide. J’ai trouvé que cela manquait un peu de nuances, de réalisme, voire de maturité à ce niveau-là. En conclusion, ce second tome est un bon roman, prenant et divertissant, à l’image du premier tome. Aurélie Wellenstein signe là un diptyque agréable à lire et il n’est pas impossible que je les relise un jour. Néanmoins, je ne les recommande pas particulièrement, ce ne sont pas des romans incontournables. S’ils vous tombent entre les mains, vous passerez un bon moment. Sinon, vous pourrez sans doute trouver des romans de fantasy un peu plus dense à vous mettre sous la dent.

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LaGeekosophe

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 1 mois

Dans un élan de bonne volonté, il m’arrive de poursuivre des sagas débutées. Cette année, j’ai décidé de terminer la duologie de L’épée, la Famine et la Peste d’Aurélie Wellenstein. Le premier tome m’avais convaincu par son univers de dark fantasy peuplé d’arachnides, malgré les thèmes redondants abordés par l’autrice qui pouvaient donner une impression de déjà lu. Qu’ai-je pensé du tome 2. Nous ne commençons pas ce tome avec notre trio bien connu mais avec d’autres personnages. C’est déstabilisant, mais j’ai bien aimé découvrir un autre point de vue sur l’histoire du premier tome, mais aussi d’approfondir les histoires du passé, avant que la duologie ne commence. C’est donne une nouvelle lumière à certains personnages, bouleversant l’image que l’on a d’autres personnages. Cependant, j’ai trouvé la relation entre les personnages de ces parties artificielle et forcée. J’avais un peu plus de mal à entrer dans leur psychologie ou de comprendre leurs faits et gestes. Cependant, ils m’ont permis d’accéder à une autre vision de l’intérieur de l’Inquisition et de mieux comprendre la violence qui ronge le Royaume de Comhgall. Je reste volontairement un peu vague pour éviter les spoilers les plus importants. On en apprend un peu plus sur les événements qui ont eu lieu pendant les croisades sanglantes en Abirah. Une remise en contexte qui permet d’apporter la pesanteur du passé sur le présent, mais aussi la capacité salvatrice du pardon. Cependant, ces passages m’ont semblé parfois manquer de crédibilité. Disons que dans un passage clé, il est raconté que deux personnes tentent de s’emparer d’un lieu ennemi pendant la nuit pour surprendre leurs camarades. Qui est assez naïf pour croire que ce la pourrait réellement arriver et suivre quelqu’un dans un plan aussi bancal, tout jeune soldat que l’on est ? Cela m’a semblé être un moyen artificiel de créer de la tension, et qui vient trop tard pendant l’intrigue pour avoir un réel impact. Sans doute était-ce déjà présent dans le tome précédent, mais le contraste entre certaines scènes très dures et les relations plates entre les personnages m’a vraiment frappé. J’apprécie Aurélie Wellenstein pour la dureté de ses textes : les fins sont rarement positives et c’est souvent peuplé de moments très sanglants. Ce deuxième tome m’a rappelé un autre de ses romans que j’avais moins apprécié : La mort du temps. Les personnages ont un côté naïf particulièrement perceptibles dans les dialogues et leurs relations : il y a quelque chose de rapide mais aussi un besoin de beaucoup expliquer. Ces éléments ont apparté une certaine longueur à ma lecture, qui m’a prise plus de temps que prévu. Tout comme la mort du temps, ce qui est étonnant c’est que le contenu est très mature : sexe, violence, torture… L’univers montre une fois de plus son versant le plus sombre. Les pires actes sont justifiés par la folie religieuse, les rébellions les plus meurtrières par les tortures les plus inhumaines. Le Royaume de Comghall est pris dans une toile sans fin. De ce côté-là, j’ai trouvé que l’apport de Cillian n’était pas inintéressant : avec sa relation forte avec les loups, il représente le pont manquant entre l’humain et l’animal. Un lien contre lequel ses différents compagnons luttent malgré eux. C’est dans ce cadre que la notion de compréhension mutuelle est bien illustrée par l’autrice et les différents personnages. On retrouve l’univers sombre construit par Aurélie Wellenstein. L’autrice choisit de commencer son récit avec un changement de point de vue rafraîchissant qui permet d’en avoir plus sur l’inquisition et les croisades d’Abirah. Cependant, les relations entre les personnages apparaissent rapidement soit plate, soit plate, ce qui crée un contraste gênant avec les autres aspects très matures du roman. Enfin certains passages manquent de crédibilité et certaines résolution se font un peu facilement, malgré un discours plutôt bien tourné sur le fait d’accepter sa part animale pour être en paix.

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christellefillion

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Un véritable coup de cœur ! Sans surprise, j'ai adoré cette lecture qui nous offre un monde où le mal se cache en chacun de nous. Dans le 1er tome, nous suivons trois personnages principaux. Cillian, un orphelin retrouvé dans les bois qui n'a jamais trouvé sa place au sein de sa communauté et essuie les mauvais traitements de ses camarades. Sulyvahn, le vétéran marqué par les horreurs de la guerre et qui voit son fils dans l'oeil d'un cerf. Et enfin, Érin, accusée d'avoir été mordue par une tarenta et envoyée dans les geôles de l'Inquisition pour sorcellerie. Ces trois-là n'auraient jamais dû s'allier, pourtant, face à la menace que représentent le Moine écarlate et ses fidèles (dont Conrad, le frère d'armes de Sulyvahn), ils vont devoir faire front et se serrer les coudes. Dans le second tome, l'histoire se focalise sur Conrad, ce qui permet de nuancer son personnage et de comprendre que la vérité n'est pas celle que nous pensions connaître. Avec Aurélie, les relations sont toujours ambiguës, nuancées, intenses, car la psychologie est très bien développée L'univers riche est porté par une écriture raffinée et des révélations auxquelles je ne m'attendais pas. L'auteure tisse sa toile, tire les ficelles et nous offre une magnifique histoire dont la fin a été, pour ma part, époustouflante ! Amateurs d'écriture de l'imaginaire, foncez ! Vous ne le regretterez pas Sauf si vous êtes arachnophobes…

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Romans , Roman Fantastique & Fantasy
  • EAN
    9782266340137
  • Collection ou Série
    S.F. Fantasy - Fantasy
  • Format
    Poche
  • Nombre de pages
    464
  • Dimensions
    180 x 110 mm

L'auteur

Aurélie Wellenstein

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10,30 € Poche 464 pages