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Le Dieu Oiseau
Date de parution : 19/03/2020
Éditeurs :
Pocket

Le Dieu Oiseau

Date de parution : 19/03/2020
Une île. Dix clans. Tous les dix ans, une compétition détermine quel clan va dominer l'île pour la décennie à venir. Les perdants subiront la tradition du « banquet »... Une île. Dix clans. Tous les dix ans, une compétition détermine quel clan va dominer l'île pour la décennie à venir. Les perdants subiront la tradition du « banquet » : une journée d'orgie où les vainqueurs peuvent disposer de leurs adversaires. Il y a dix ans, Faolan, fils d'un... Une île. Dix clans. Tous les dix ans, une compétition détermine quel clan va dominer l'île pour la décennie à venir. Les perdants subiront la tradition du « banquet » : une journée d'orgie où les vainqueurs peuvent disposer de leurs adversaires. Il y a dix ans, Faolan, fils d'un chef du clan déchu, a assisté au massacre de sa famille. Sauvé par le fils du chef victorieux, Torok, il est depuis lors son esclave et doit subir ses fantaisies perverses. Enfin la nouvelle compétition est sur le point de commencer. L'occasion tant attendue par Faolan pour prendre sa revanche. Aura-t-elle le goût du sang ?
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EAN : 9782266297684
Code sériel : 7284
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266297684
Code sériel : 7284
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Aurélie Wellenstein signe un nouveau roman dans lequel on retrouve une fois encore tous les éléments qui font sa marque de fabrique : un rythme enlevé, une ambiance sombre et emprunte de désespoir, des personnages forcés de se questionner sur leurs valeurs... et bien sûr l'omniprésence des animaux. Un roman prenant et divertissant. »
Babelio

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Coldessbooks 26/02/2024
    Ma première immersion dans l'univers sombre et glauque d'Aurélie Wellenstein ne m'a pas déçue ! Accrochez-vous bien, même si ce roman est catégorisé Young Adult, la violence est omniprésente et les descriptions crues, parfois à la limite du soutenable. Cependant, la plume de l'autrice permet de s'immerger sans difficulté dans cette histoire qui flirte entre le Fantastique et la Dark Fantasy. Faolan évolue dans un univers impitoyable avec des personnages sans mercis ou brisés par leur vie sur l'île. Il fait lui-même face à ses propres démons, en particulier Torok, qui le torture quotidiennement. Les personnages sont imprévisibles. D'un côté, Faolan est tour à tour attachant et détestable. Rapidement submergé par son désir de vengeance et ses traumatismes, il n'est pas un narrateur toujours fiable. L'autrice a traité ces sujets avec beaucoup de justesse, apportant du réalisme au récit. de l'autre côté, Torok, profondément mauvais et sadique, est un véritable méchant, mais aussi un personnage très intéressant qui représente le coeur de l'histoire, le mal de Faolan. La première partie est géniale, sans temps mort, bien rythmée et la tension est à son comble. Malheureusement, cette intensité diminue dans la seconde partie, et j'avais l'impression d'être plus extérieure aux événements. Je n'ai pas réussi à accrocher aux personnages secondaires et j'ai ressenti des longueurs. Malgré tout la fin est très satisfaisante même si je l'avais anticipée. Une lecture difficile à lâcher. L'autrice fait passer des messages forts et percutants qui ne vous laisseront pas indifférents.Ma première immersion dans l'univers sombre et glauque d'Aurélie Wellenstein ne m'a pas déçue ! Accrochez-vous bien, même si ce roman est catégorisé Young Adult, la violence est omniprésente et les descriptions crues, parfois à la limite du soutenable. Cependant, la plume de l'autrice permet de s'immerger sans difficulté dans cette histoire qui flirte entre le Fantastique et la Dark Fantasy. Faolan évolue dans un univers impitoyable avec des personnages sans mercis ou brisés par leur vie sur l'île. Il fait lui-même face à ses propres démons, en particulier Torok, qui le torture quotidiennement. Les personnages sont imprévisibles. D'un côté, Faolan est tour à tour attachant et détestable. Rapidement submergé par son désir de vengeance et ses traumatismes, il n'est pas un narrateur toujours fiable. L'autrice a traité ces sujets avec beaucoup de justesse, apportant du réalisme au récit. de l'autre côté, Torok, profondément mauvais et sadique, est un véritable méchant, mais aussi un personnage très intéressant qui représente le coeur de l'histoire, le mal de Faolan. La première partie est géniale, sans temps mort, bien rythmée et la tension est à son comble. Malheureusement, cette intensité diminue dans la seconde partie, et j'avais l'impression d'être plus extérieure aux événements....
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  • Bartzella 30/01/2024
    Je n'avais encore jamais fait la connaissance de la plume d'Aurélie Wellenstein. C'est en cherchant un titre à lire sur une liste pour un jeu qui m'aura convaincue de lire ce roman palpitant qu'est "Le dieu oiseau". Trouvé au hasard, en fait, tout, dans la quatrième de couverture, est susceptible de plaire au lecteur. (J'avoue avoir été très tentée par la jolie couverture également...) Puis, je me suis dit: Allez hop ! Voilà un fantastique des plus emballants ! Sans pouvoir cerner de quelle façon exactement, j'y ai retrouvé un mélange de plusieurs genres, époques, cultures...se fondant brillamment à travers l'intrigue. Une ambiance gladiateur dans un décor hawaïen, avec des noms, des habits, des temples et des traditions pouvant être liés à la civilisation maya. Il se dégage un petit quelque chose des "Mystérieuses Cités d'or" dans ce roman que j'ai grandement apprécié. Les chapitres sont bien découpés, le texte se lit bien, sans lourdeur, les personnages sont captivants, surtout celui de Faolan, le héros-esclave. Les autres sont un peu moins présents bien que nombreux, plus distancés, moins creusés, abordés en surface seulement mais le dosage est assez bon entre qui est mieux décrit que qui. Chacun est à sa juste place. C'est un livre qui se vit exclusivement dehors, au sein des éléments naturels; la faune, la flore...avec tous ses dangers. Enjolivé de quelques créatures imaginaires, aussi. Une autre facette qui m'a beaucoup plu ! À travers les yeux de son protagoniste, le lecteur ressent très bien l'amour de l'autrice envers tout ce qui est vivant; son respect pour les animaux, la planète, l'écologie. "Le dieu oiseau" est une quête qui se dévore facilement et avec plaisir. Sans trop en dévoiler; la Quête de l'oeuf d'or, les épreuves traversées par les dix concurrents, le côté sportif, combatif, pénible de cette compétition mortelle dans laquelle il ne peut y avoir qu'un vainqueur. À quelques reprises, j'ai été surprise... Il s'agit d'un récit coloré, fascinant dans l'ensemble, quoique plutôt violent et sanglant. Dédié sans doute à un public cible adulte et jeunes adultes; j'ignore s'il serait approprié à un jeune de moins de 15 ans... Mon quatre étoiles exprime une légère déception concernant la fin précipitée, qui aurait mérité un peu plus de place...et aussi quelques exagérations en certaines circonstances que je ne peux dévoiler ici mais que vous saurez repérer si vous vous laissez tenter ! Autrement, j'aurais coté cinq étoiles. Quand même une belle découverte cette année, il me tarde maintenant de découvrir "Mers mortes", de la même autrice, grandement encensé par HordeduContrevent, dont le billet est tout-à-fait envoûtant ! CHALLENGE PLUMES FÉMININES 2024Je n'avais encore jamais fait la connaissance de la plume d'Aurélie Wellenstein. C'est en cherchant un titre à lire sur une liste pour un jeu qui m'aura convaincue de lire ce roman palpitant qu'est "Le dieu oiseau". Trouvé au hasard, en fait, tout, dans la quatrième de couverture, est susceptible de plaire au lecteur. (J'avoue avoir été très tentée par la jolie couverture également...) Puis, je me suis dit: Allez hop ! Voilà un fantastique des plus emballants ! Sans pouvoir cerner de quelle façon exactement, j'y ai retrouvé un mélange de plusieurs genres, époques, cultures...se fondant brillamment à travers l'intrigue. Une ambiance gladiateur dans un décor hawaïen, avec des noms, des habits, des temples et des traditions pouvant être liés à la civilisation maya. Il se dégage un petit quelque chose des "Mystérieuses Cités d'or" dans ce roman que j'ai grandement apprécié. Les chapitres sont bien découpés, le texte se lit bien, sans lourdeur, les personnages sont captivants, surtout celui de Faolan, le héros-esclave. Les autres sont un peu moins présents bien que nombreux, plus distancés, moins creusés, abordés en surface seulement mais le dosage est assez bon entre qui est mieux décrit que qui. Chacun est à sa juste...
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  • Maliae 24/09/2023
    Faolan a assisté au massacre de sa famille, un massacre assez horrible d’ailleurs puisque son père a été mangé par le clan vainqueur. Tous les dix ans, les clans subissent une épreuve, et tous les dix ans, cela va déterminer le clan gagnant qui pourra déterminer qui dominera l’île toute entière. Faolan, esclave de Torok, est bien décidé à se venger, et peut-être à changer les choses. J’ai tellement accroché tout de suite à l’histoire. J’ai été attaché à Faolan, et tout comme lui je voulais qu’il prenne sa revanche sur Torok. J’étais à fond dans ce qu’il se passait, j’ai éprouvé beaucoup d’empathie pour les perdants de l’histoire. J’ai été dégoûté par les agissements de Torok. Il me hérissait le poil. Les épreuves sont dures et injustes. Faolan n’a même pas le droit de s’entraîner, et Torok le traite vraiment de façon horrible. C’était une histoire glauque et gore, on est dans l’esprit de Faolan, on le suit dans sa quête de vengeance et son envie également de changer les choses. Mais Faolan est un personnage complexe, parfois qui se laisse guider par ses émotions, qui n’est pas tout blanc et qui peut se montrer cruel et violent, même s’il se persuade qu’il est dans son bon droit en vue de ce qu’il a subit pendant dix ans. Malgré la cruauté des épreuves, la façon dont les personnages appréhendent ce qu’il se passe, j’espérais un message d’espoir tout de même. Quelque chose qui pourrait tout changer. Qui sont les dieux au final, pourquoi cette épreuve, pourquoi instaurer cette cruauté au sein de l’île ? Pourrait-on vraiment changer les choses ? J’ai bien aimé ma lecture donc, mais la fin m’a déçu. J’espérais autre chose et ça m’a fait mal au cœur. Je ne peux rien en dire pour ne pas spoiler, mais au final je ne suis même pas sûre d’avoir tout compris. Les tenants et aboutissants n’étaient pas si clairs. Pourtant, le livre m’a plu, j’avais envie d’y retourner, les pages se tournaient à une vitesse folle. C’était bien écrit, très prenant, simplement il m’a manqué quelque chose, la fin ne m’a pas satisfaite et je suis restée complètement à côté de la plaque avec ce qu’il se passait et les choix de Faolan. J’aurais aussi aimé en savoir plus sur les dieux, sur cette épreuve, au final on reste un peu dans le flou. Je ne savais pas si le côté fantastique était réel, ou si tout n’était qu’une manigance, et je n’ai pas vraiment trouvé mes réponses au final. En bref, si j’ai aimé ma lecture, la fin m’a quand même perdu ce qui est dommage car tout le reste était bien et que l’autrice a su instaurer une certaine ambiance à son roman.Faolan a assisté au massacre de sa famille, un massacre assez horrible d’ailleurs puisque son père a été mangé par le clan vainqueur. Tous les dix ans, les clans subissent une épreuve, et tous les dix ans, cela va déterminer le clan gagnant qui pourra déterminer qui dominera l’île toute entière. Faolan, esclave de Torok, est bien décidé à se venger, et peut-être à changer les choses. J’ai tellement accroché tout de suite à l’histoire. J’ai été attaché à Faolan, et tout comme lui je voulais qu’il prenne sa revanche sur Torok. J’étais à fond dans ce qu’il se passait, j’ai éprouvé beaucoup d’empathie pour les perdants de l’histoire. J’ai été dégoûté par les agissements de Torok. Il me hérissait le poil. Les épreuves sont dures et injustes. Faolan n’a même pas le droit de s’entraîner, et Torok le traite vraiment de façon horrible. C’était une histoire glauque et gore, on est dans l’esprit de Faolan, on le suit dans sa quête de vengeance et son envie également de changer les choses. Mais Faolan est un personnage complexe, parfois qui se laisse guider par ses émotions, qui n’est pas tout blanc et qui peut se montrer cruel et violent, même s’il se...
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  • Badji_Lne 13/09/2023
    Un roman sombre du début à la fin #x1f985 #x26a0 sujet sensible : esclavage, cannibalisme, violence , torture et humiliation. Si vous avez aimé le prince captif , l’univers du Dieu oiseau va vous plaire . Nous sommes sur une relation maître esclave , pas de romance , peut être le syndrome de Stockholm par moment. Il n’y a aucune romance dans ce livre. Une quête de liberté avec des épreuves à la Hunger games . L’autrice nous montre le côté sombre et barbare de l’humain , suite à la folie et à l’adoration d’un faux dieu . #x203c Parents svp ne faites pas lire ce livre à vos enfants, même s’il est classé en Young adult. J’ai 30 ans , et certains passages mon tiraient au cœur et du en sauter quelques un , tellement c’était violent et barbare. (Âme sensible)
  • Flettia 06/07/2023
    “Le dieu oiseau” est le roman très noir d’Aurélie Wellenstein. J’avais l’intention de commencer par un autre roman de cette auteure, (“mers mortes”), mais la couverture de celui-ci m’a toute suite interpellée. Cependant, quand j’ai lu le résumé... Je me suis dit, je ne vais jamais lire ça et finalement j’ai adoré. Je préfère prévenir toute suite, ce roman est très violent et il n’est pas pour tout public. Alors que rien n’est dit clairement, le cadre du récit est ce qui se rapproche le plus des tribus indiennes d’Amérique du Sud et de l’île de Pâques. Tous les dix ans une compétition s’organise pour élire le nouveau champion qui dominera toutes les autres tribus. À cette occasion un banquet d’une violence inouïe est préparé. Les autres sont soit tué ou soit réduit en esclavage. Faolan, fils du chef du clan vaincu, est choisi par le fils du clan ennemi pour être son esclave. Pendant dix ans, il n’aura qu’une idée en tête participer à la compétition et se venger. On pourrait croire que le but de cette histoire est que Faolan arrive à être le champion et qu’il puisse se venger. Sauf, que le point central de cette histoire réside dans le fait que notre héros ne soit pas dévoré par son côté sombre car sinon le cycle infernal se répétera. C’est là, que réside tout le potentiel de cette histoire et c’est ce qui m’a énormément plus. Je pense lire d’autres romans de cette auteure car j’ai été charmé par celui-ci. “Le dieu oiseau” est le roman très noir d’Aurélie Wellenstein. J’avais l’intention de commencer par un autre roman de cette auteure, (“mers mortes”), mais la couverture de celui-ci m’a toute suite interpellée. Cependant, quand j’ai lu le résumé... Je me suis dit, je ne vais jamais lire ça et finalement j’ai adoré. Je préfère prévenir toute suite, ce roman est très violent et il n’est pas pour tout public. Alors que rien n’est dit clairement, le cadre du récit est ce qui se rapproche le plus des tribus indiennes d’Amérique du Sud et de l’île de Pâques. Tous les dix ans une compétition s’organise pour élire le nouveau champion qui dominera toutes les autres tribus. À cette occasion un banquet d’une violence inouïe est préparé. Les autres sont soit tué ou soit réduit en esclavage. Faolan, fils du chef du clan vaincu, est choisi par le fils du clan ennemi pour être son esclave. Pendant dix ans, il n’aura qu’une idée en tête participer à la compétition et se venger. On pourrait croire que le but de cette histoire est que Faolan arrive à être le champion et qu’il puisse se venger. Sauf, que le point central de...
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