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Nouveauté
L'Épée, la Famine et la Peste - Partie 1
L'Épée, la Famine et la Peste - Tome 1
Date de parution : 21/03/2024
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

L'Épée, la Famine et la Peste - Partie 1

L'Épée, la Famine et la Peste - Tome 1

Date de parution : 21/03/2024
Aurélie Wellenstein tisse un diptyque de Fantasy aux sombres accents. Laissez-vous prendre dans sa toile…
Depuis un demi-siècle, le royaume de Comhghall s’enfonce dans un âge sombre : les monstres pullulent, des villages entiers disparaissent dans les toiles d'araignées, et les tarentas tissent dans l’esprit... Depuis un demi-siècle, le royaume de Comhghall s’enfonce dans un âge sombre : les monstres pullulent, des villages entiers disparaissent dans les toiles d'araignées, et les tarentas tissent dans l’esprit des hommes, les condamnant à s’étioler dans la mélancolie et les idées noires. Trois êtres brisés deviennent la cible d’une... Depuis un demi-siècle, le royaume de Comhghall s’enfonce dans un âge sombre : les monstres pullulent, des villages entiers disparaissent dans les toiles d'araignées, et les tarentas tissent dans l’esprit des hommes, les condamnant à s’étioler dans la mélancolie et les idées noires. Trois êtres brisés deviennent la cible d’une population aux abois. Un garçon possédé par l’esprit d’un loup, Une jeune fille soupçonnée d’avoir les pouvoirs d’une araignée, un ancien soldat qui a tout perdu, persuadé que son fils vit dans l’œil d’un cerf… Pourchassés par le chef de l’Inquisition et son archère, ils vont devoir s’allier pour survivre. Mais sont-ils des bouc-émissaires ou, au contraire, trois redoutables fléaux qui porteront le coup de grâce à ce monde agonisant ?
 
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EAN : 9782266340120
Code sériel : 07362
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 512
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266340120
Code sériel : 07362
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 512
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une quête fascinante dans un univers sombre. Une aventure envoûtante ! »
Livraddict

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JessieL 05/04/2024
    Le royaume de Comghall connait des temps troublés depuis que la population est condamnée par les terribles tarentas, faisant disparaître des villages entiers sous des toiles d'araignées. Or, pour lutter contre ce fléau et le culte qui lui est dédié, l'inquisition a été dépêchée et exerce sa mission avec beaucoup de zèle. Elle va d'ailleurs prendre en chasse un ancien soldat qui a pris bien malgré lui sous son aile deux jeunes gens : Cillian, en proie à une malédiction de loup et Erin, accusée à tort de sorcellerie. Alors que le piège semble se refermer sur eux, arriveront-ils à s'échapper ? L'Epée, la Famine et la Peste est une fantasy crépusculaire qui nous entraîne au cœur d'un royaume mourant, marqué par la famine et la peste grise. Fruit d'une malédiction qu'il doit à la morsure d'une tarentule venant du royaume voisin et condamnant la princesse mordue à devenir une tarenta, autrement dit une femme araignée. Pour nourrir son univers, Aurélie Wellenstein emprunte donc à cette croyance païenne de la Tarenta comme araignée mythique qui, par sa morsure symbolique et le poison inoculé, génère des troubles du corps et de l'âme. Entre ces lignes, les conséquences de la morsure de l'araignée dépendent de l'espèce en présence. Ainsi, la veuve noire tisse les pensées de leurs victimes les plongeant ainsi dans une profonde mélancolie, la lycose de Tarente change les femmes en sorcières et les hommes en illuminés, et la fileuse suscite des rêves prémonitoires. Certaines femmes mordues prennent donc des caractéristiques physiques ainsi que des capacités propres aux araignées. En outre, Comghall est littéralement envahi par ces arachnides qui tissent leurs toiles partout au point d'étouffer toute étincelle de vie. Mais le tarentisme n'est pas le seul fléau qui sévit dans ce monde car il faut aussi compter avec des cas de lycanthropie. Pour tenter d'endiguer cette tragédie entre en scène l'inquisition qui va traquer à l'extrême toute suspicion de tarentisme ou de lycanthropie faisant régner la terreur au sein du royaume car les persécutions vont bon train. Sa présence ajoute de l'infâmie à l'horreur ambiante et donne de suite le ton funeste au texte. Ici, les manifestations surnaturelles sont autant considérées comme des malédictions que comme des miracles, selon l'interprétation que chacun leur donne. On en croise beaucoup au fil des pages de ce livre, tantôt pour émerveiller tantôt pour horrifier. En outre, l'autrice joue également sur le détournement de conte. En effet, derrière ce palais maudit et entoilé que l'on est amené à visiter à un moment de l'histoire, il est très facile d'y voir une personnification du château assoupi de La Belle au Bois Dormant, notamment à travers ce temps suspendu qui semble avoir cours en ces lieux. Seulement, les résidents ne sont pas victimes d'un sommeil éternel car dans ce cas-ci, ils sont bel et bien morts. Emmaillotés dans les toiles, leurs corps ne tombent simplement pas en poussière. Comme à son accoutumée, l'univers qui sert d'écrin à son intrigue est très immersif, troublant et captivant à la fois. Le récit est également très riche, porteur de questions de société. Aurélie Wellenstein nous y parle de la persécution des minorités et des femmes. Sa plume est incisive pour traiter cette thématique du bouc émissaire comme catalyseur de la violence sociale. Le livre est dur et rugueux nous plongeant dans un tourbillon d'émotions fortes jusqu'à tutoyer l'insoutenable. Avec L'Epée, la Famine et la Peste, on est à nouveau sur un texte puissant et très psychologique. Aurélie Wellenstein m'a une nouvelle fois embarquée sans mal dans cette histoire. Comme d'habitude, j'apprécie le travail poussé qu'elle fait sur ses protagonistes. L'univers est intriguant et ne laisse clairement pas indemne. Vite, la suite ! Plus sur Fantasy à la Carte Le royaume de Comghall connait des temps troublés depuis que la population est condamnée par les terribles tarentas, faisant disparaître des villages entiers sous des toiles d'araignées. Or, pour lutter contre ce fléau et le culte qui lui est dédié, l'inquisition a été dépêchée et exerce sa mission avec beaucoup de zèle. Elle va d'ailleurs prendre en chasse un ancien soldat qui a pris bien malgré lui sous son aile deux jeunes gens : Cillian, en proie à une malédiction de loup et Erin, accusée à tort de sorcellerie. Alors que le piège semble se refermer sur eux, arriveront-ils à s'échapper ? L'Epée, la Famine et la Peste est une fantasy crépusculaire qui nous entraîne au cœur d'un royaume mourant, marqué par la famine et la peste grise. Fruit d'une malédiction qu'il doit à la morsure d'une tarentule venant du royaume voisin et condamnant la princesse mordue à devenir une tarenta, autrement dit une femme araignée. Pour nourrir son univers, Aurélie Wellenstein emprunte donc à cette croyance païenne de la Tarenta comme araignée mythique qui, par sa morsure symbolique et le poison inoculé, génère des troubles du corps et de l'âme. Entre ces lignes, les conséquences de la morsure de...
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  • ElBaathory 24/03/2024
    Aurélie Wellenstein n’est plus à présenter et son travail suscite bien souvent l’intérêt du lecteur et se veut aussi encensé que nuancé selon ce dernier. C’est pourquoi, j’avais à cœur d’enfin découvrir cette plume francophone et c’est à l’occasion de la sortie en format poche de sa dernière série que j’ai enfin pu sauter le pas. Une incursion qui me laisse mi-figue mi-raisin et donc je pense être quelque peu passé à côté. Il faut dire que L’Épée, la famine et la Peste se veut plaisant et divertissant à lire mais j’en attendais bien davantage. Pourtant, derrière ses inspirations des plus grands contes d’antan, l’auteure dévoile une intrigue facile à parcourir, peut-être trop, et parfois assez prévisible. Ainsi et alors que je pensais faire face à un univers développé et fort travaillé, je ressors étrangement désabusé et légèrement sur ma faim. D’autant plus que je ne suis pas certain qu’il ait été judicieux de scinder l’œuvre en deux volets au vue d’un arrêt assez brutal, ne me laissant d’autre choix que de poursuivre l’aventure cela dit. Néanmoins et pour le minimum esquissé, l’univers se révèle fortement envoûtant grâce à sa noirceur et sa sombre ambiance bercée d’un bestiaire fantastique assez remarquable. Amoureux de créatures dangereuses, vous serez plus que servis grâce à une certaine mythologie basée sur les araignées et leurs dangereuses toiles, synonymes de pièges et embûches en cet ouvrage. Il m’a juste manqué de relief et de sophistication pour être davantage happé et investi au cours de cette lecture. Fort heureusement et à l’inverse du reste, la romancière semble avoir tout misé sur l’élaboration de ses protagonistes et je dois dire que de ce côté, c’est une pleine et vive réussite malgré un léger déséquilibre dans leur mise en lumière. En effet, le lecteur suivra les traces de Cillian, Sulyvahn et Erin, trois personnages hauts en couleurs et dont leurs différences feront leur force ! J’apprécie quand un auteur met en valeur la singularité de ses créations, ce qui fut parfaitement le cas et l’élément central de ce dynamique trio forcé d’œuvrer afin de déjouer le mal qui ronge leur monde. Sans être totalement attaché à l’un de ces derniers, j’ai tout de même pris grand plaisir à les suivre dans leurs différentes quêtes ou fuites et à suivre l’évolution de leurs relations. Aussi écorchés les uns que les autres, c’est avec tendresse qu’Aurélie Wellenstein dévoile de véritables héros en devenir malgré un manque de risque parfois évident et une orientation manichéenne un poil trop prononcée. C’est pourquoi et il est vrai que j’aurais apprécié autant de nuance que de singularité. C’est pourquoi et sans avoir été des plus saisi, je n’ai nullement trouvé déplaisante ma découverte de la plume de cette prolifique auteure. Je pense avoir eu de trop grandes attentes concernant son style qui, bien que plaisant à parcourir, se révèle assez classique en son genre et m’a semblé manquer d’apprêt et de subtilité pour pleinement m’emporter et me convaincre. Pour autant et au vu de sa facilité de lecture, je suis déjà en train de parcourir la suite des aventures de cette singulière et écorchée galerie de portrait dépeinte.Aurélie Wellenstein n’est plus à présenter et son travail suscite bien souvent l’intérêt du lecteur et se veut aussi encensé que nuancé selon ce dernier. C’est pourquoi, j’avais à cœur d’enfin découvrir cette plume francophone et c’est à l’occasion de la sortie en format poche de sa dernière série que j’ai enfin pu sauter le pas. Une incursion qui me laisse mi-figue mi-raisin et donc je pense être quelque peu passé à côté. Il faut dire que L’Épée, la famine et la Peste se veut plaisant et divertissant à lire mais j’en attendais bien davantage. Pourtant, derrière ses inspirations des plus grands contes d’antan, l’auteure dévoile une intrigue facile à parcourir, peut-être trop, et parfois assez prévisible. Ainsi et alors que je pensais faire face à un univers développé et fort travaillé, je ressors étrangement désabusé et légèrement sur ma faim. D’autant plus que je ne suis pas certain qu’il ait été judicieux de scinder l’œuvre en deux volets au vue d’un arrêt assez brutal, ne me laissant d’autre choix que de poursuivre l’aventure cela dit. Néanmoins et pour le minimum esquissé, l’univers se révèle fortement envoûtant grâce à sa noirceur et sa sombre ambiance bercée d’un bestiaire fantastique assez remarquable....
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  • mameha 14/01/2024
    Je ne suis pas fan de ce type d'histoire, ayant peur d'un univers inconnu. Et pourtant quand j'ai vu cette magnifique couverture, je me suis laissée tenter. Je l'ai emprunté et en une journée je l'ai terminé. Une histoire passionnante, un univers glaçant (j'ai une peur bleue des araignées), un quête pour la survie. Je me suis beaucoup attachée à Cillian, le premier personnage que l'on découvre. On plonge dans un monde agonisant entre monstres, hommes, inquisition et miracles. Les descriptions sont parfaites, je n'ai eu aucun mal à imaginer les lieux, les personnages. L'intrigue est bien ficelée, les péripéties s'enchaînent avec facilité et on reste accroché au livre tant on veut découvrir la suite. Je suis épatée et j'ai hâte de lire le second tome.
  • Latulu 19/12/2023
    J'ai lu ce premier tome dans le cadre du PLIB car il faisait partie des finalistes pour l'édition 2023. J'ai connu Aurélie Wellenstein par son roman : Le Dieu Oiseau, que j'avais adoré. Je la retrouve avec ce récit dans une dark fantasy, non dénuée d'une certaine esthétique dans l'horrifique. Ce premier tome des aventures de trois personnages nous emmène en effet dans un monde dominé par la magie et par de sombres protagonistes. Nous suivons un père de famille taciturne, une jeune fille qui subit par mal de mauvaises rencontres et un jeune orphelin handicapé. Séparément puis ensemble, ils vont parcourir un territoire hostile où femmes-araignées, inquisiteurs et malédictions en tout genre vont se dresser sur leur route. J'ai trouvé la première partie un peu longue mais la description de l'univers et certains passages sont bien décrits et donnent du relief à une histoire qui semblerait trop classique à première vue. J'ai bien aimé le style de l'autrice, notamment dans la construction d'une ambiance sombre, voire un peu glauque par moment. Ce premier tome de la duologie de l'Epée, la Famine et la Peste aura été un bon moment de lecture mais ne m'aura pas provoqué la petite étincelle attendue.
  • vkvvicky98 15/12/2023
    Captivé par l'univers sombre et violent d'Aurélie Wellenstein, j'ai apprécié "L'Épée, la Famine et la Peste - Tome 1". L'histoire suit trois personnages aux origines diverses, les entraînant dans une alliance nécessaire pour atteindre leurs objectifs. La lecture s'est révélée fluide et plaisante. Bien que ce ne soit pas mon livrr préféré de l'autrice, je prévois cependant de me plonger dans le tome 2, et de découvrir la suite de cette saga.
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