Lisez! icon: Search engine
Les Jours brûlants
Date de parution : 22/04/2021
Éditeurs :
Pocket

Les Jours brûlants

Date de parution : 22/04/2021
Pourquoi une épouse amoureuse, une mère aimante, décide-t-elle de disparaître ? Découvrez un incroyable roman de Laurence Peyrin.
Et soudain tout se met à dérailler.
Une heure plus tôt, Joanne était encore cette mère de famille sage et rangée, parfaite Californienne des années 1970. Il a suffi qu’un homme...
Et soudain tout se met à dérailler.
Une heure plus tôt, Joanne était encore cette mère de famille sage et rangée, parfaite Californienne des années 1970. Il a suffi qu’un homme la jette de son vélo et lui vole son sac en l’insultant. Quelques instants sans conséquence grave, mais à l’intérieur...
Et soudain tout se met à dérailler.
Une heure plus tôt, Joanne était encore cette mère de famille sage et rangée, parfaite Californienne des années 1970. Il a suffi qu’un homme la jette de son vélo et lui vole son sac en l’insultant. Quelques instants sans conséquence grave, mais à l’intérieur d’elle-même, tout a volé en éclats. Elle n’arrive pas à reprendre le cours de sa vie. Son mari, ses enfants, ne la reconnaissent plus. Du fond de son désarroi, Joanne comprend qu’elle leur fait peur.
Alors elle s’en va. Disparaît sans laisser d’adresse. Direction Las Vegas, la Cité du Péché où une main inattendue va se tendre vers elle, et où, plus qu’ailleurs, il est permis aux âmes brûlées de se réinventer…

« On a toutes en nous un peu de cette femme brisée qui tente de reprendre pied. »Â Femme actuelle
 
« Un roman bien mené, bien écrit, original et très cinématographique. »Â PAGE des libraires
 
« Un cocktail d’émotions on the rocks ! » Nice Matin
 
Cet ouvrage a fait partie des 100 livres de l’année 2020 du magazine littéraire LiRE
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266295666
Code sériel : 17617
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266295666
Code sériel : 17617
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Laurence Peyrin dresse un portrait d'une faune à part, à la fois désespérée et réconfortante, les deux côtés d'une même pièce. »
Le Figaro littéraire

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • clairemarquez75 08/05/2023
    Après une introduction musicale tonitruante, la partition du couple Linaker se joue avec souplesse et dynamisme, les deux musiciens campent un rythme de cristal et de perfection. Thomas est chirurgien, et Joanne joue le rôle de sa femme, élevant leurs deux beaux enfants. Une mélodie douce, un orgue de barbarie qui ronronne au milieu des années 70 en Californie, sur fond de féminisme volcanique. Puis un choc. Une chute du manège. Une déchirure dans le manuel de l'orgue antique. Joanne percute le mal, en la personne d'un homme qui la frappe et lui vole son sac. L'illusion de perfection est brisée. L'instrument est cassé. Alors comment avancer, maintenant que l'on a intégré que la sécurité n'existe pas ? Joanne tente d'abord de se mouvoir dans son enveloppe devenue un peu étroite. J'ai savouré avec elle son challenge au Walmart, le supermarché du coin : piquer dans les rayons le caddie d'une cliente, et découvrir la surprise des articles, en s'engageant à tout utiliser. Cette partie du livre m'a vraiment offert un bonbon léger de transgression sans conséquences...enfin, qui aurait dû être sans conséquences. Mais la suite des errances de Joanne vont la mener à une confrontation qu'elle ne pourra supporter.... Après une introduction musicale tonitruante, la partition du couple Linaker se joue avec souplesse et dynamisme, les deux musiciens campent un rythme de cristal et de perfection. Thomas est chirurgien, et Joanne joue le rôle de sa femme, élevant leurs deux beaux enfants. Une mélodie douce, un orgue de barbarie qui ronronne au milieu des années 70 en Californie, sur fond de féminisme volcanique. Puis un choc. Une chute du manège. Une déchirure dans le manuel de l'orgue antique. Joanne percute le mal, en la personne d'un homme qui la frappe et lui vole son sac. L'illusion de perfection est brisée. L'instrument est cassé. Alors comment avancer, maintenant que l'on a intégré que la sécurité n'existe pas ? Joanne tente d'abord de se mouvoir dans son enveloppe devenue un peu étroite. J'ai savouré avec elle son challenge au Walmart, le supermarché du coin : piquer dans les rayons le caddie d'une cliente, et découvrir la surprise des articles, en s'engageant à tout utiliser. Cette partie du livre m'a vraiment offert un bonbon léger de transgression sans conséquences...enfin, qui aurait dû être sans conséquences. Mais la suite des errances de Joanne vont la mener à une confrontation qu'elle ne pourra supporter. Jusqu'à sa fuite, une disparition organisée, comme il en existe tant dans tous les pays, dans tous les milieux, fussent-ils riches et bien portants. J'ai craint de tomber sur un nouveau roman feel-good, écrits à la chaîne pour moi, sur un modèle pré-collé. Il n'en est rien, et même si certains aspects sont un peu sucrés, l'idée de fond de la reconstruction, quelle que soit l'intensité du choc de départ, sans avoir à statuer sur la justesse des sentiments d'un personnage, m'a replongée dzns un autre roman sur ce thème de la disparition qui me marque encore, plusieurs années après sa lecture : Disparaître de Mathieu Ménégaux, un livre que je relirai certainement. Laurence Peyrin réussit à nous partager un roman léger sur un thème très sérieux, dans un décor de cocktails et de musiques de seventies. Un très bon moment de lecture !
    Lire la suite
    En lire moins
  • Jenn1908 20/01/2023
    J’avais bien fait de me lever avec cette « envie d’un ptit @laurence_peyrin » car une fois de plus je n’ai pas été déçue ! J’ai été plus que ravie de rencontrer « La reine des cocktails » dans #lesjoursbrulants. Cette femme touchante, courageuse et poignante. Je commence à me tarir d’éloges pour cette auteure alors qu’elle ne cesse de me surprendre! Un nouveau roman, une nouvelle histoire, une nouvelle héroïne, un nouveau drame, un nouveau pays, une nouvelle époque bref on prend la même auteure, on ne recommence pas et c’est ce que j’adore ! Hormis le style captivant, le ton léger malgré les thèmes forts et parfois dérangeants abordés, Laurence sait se réinventer à chaque roman. J’ai l’impression qu’elle a une culture intarissable, qu’elle a vécu 50 vies, cette femme me bluffe totalement et ses héroïnes sont à son image. Il me reste un p’tit @laurence_peyrin dans ma PAL du coup j’enchaîne avec #ladroledeviedezeldazonk #9786;️
  • benifabs 02/01/2023
    Une vie familiale heureuse qui explose et se transforme en descente aux enfers. Puis une lente, mais sûre reconstruction, la résilience chère à Boris Cyrulnik. C'est la trajectoire de Jeanne, dont la vie est anéantie par une agression qui va raviver toutes les peurs. "La maternité est le berceau de la peur... On a peur dès le premier jour. On a peur de se réveiller un matin et que le bébé ne soit plus qu'un petit corps sans vie. On a peur des maladies qui pourraient emporter l'enfant. De la voiture qui pourrait le renverser. On a peur quand l'adolescent ne rentre pas le soir. On a peur que quelqu'un lui fasse du mal. On a peur qu'il s'en fasse lui-même. Et puis un jour, cela arrive, et toute cette peur n'a servi à rien, parce qu'on n'était pas là. Alors, on n'a plus qu'à se taire." Au début, j'étais "choqué "par l'attitude et le comportement de Jeanne, j'ai persisté dans lecture en l'acceptant, et quelques chapitres plus loin tout a changé. Les personnages rencontrés à Las Vegas et leur histoire rendent le récit humain et attachant. Un lieu "de perdition", le Bunny Bunny devient pour elle un lieu... Une vie familiale heureuse qui explose et se transforme en descente aux enfers. Puis une lente, mais sûre reconstruction, la résilience chère à Boris Cyrulnik. C'est la trajectoire de Jeanne, dont la vie est anéantie par une agression qui va raviver toutes les peurs. "La maternité est le berceau de la peur... On a peur dès le premier jour. On a peur de se réveiller un matin et que le bébé ne soit plus qu'un petit corps sans vie. On a peur des maladies qui pourraient emporter l'enfant. De la voiture qui pourrait le renverser. On a peur quand l'adolescent ne rentre pas le soir. On a peur que quelqu'un lui fasse du mal. On a peur qu'il s'en fasse lui-même. Et puis un jour, cela arrive, et toute cette peur n'a servi à rien, parce qu'on n'était pas là. Alors, on n'a plus qu'à se taire." Au début, j'étais "choqué "par l'attitude et le comportement de Jeanne, j'ai persisté dans lecture en l'acceptant, et quelques chapitres plus loin tout a changé. Les personnages rencontrés à Las Vegas et leur histoire rendent le récit humain et attachant. Un lieu "de perdition", le Bunny Bunny devient pour elle un lieu de reconstruction. Une écriture fluide, efficace, comme à son habitude, et une belle analyse de l'âme humaine . Voilà encore une histoire de Laurence Peyrin qui laissera des traces dans ma mémoire de lecteur.
    Lire la suite
    En lire moins
  • MlleLilouLit 11/10/2022
    Ce fut une lecture en demi-teinte pour moi. Laurence Peyrin nous plonge au coeur des années 70, dans une petite ville d'Amérique où vit Joanne, mère au foyer classique, petite bourgeoise comme elle se définit elle-même, heureuse et quelque peu naïve. Au détour d'un "incident" qui va faire basculer la vie paisible de Joanne, Laurence Peyrin s'attaque au délicat sujet des personnes disparues volontairement. Malheureusement, c'est là que je n'ai pas accroché. L'agression subie par Joanne n'est pas apparue à mes yeux comme un fait suffisamment fort pour engendrer de telles conséquences et cela a terni ma lecture. Même en me plaçant du point de vue de cette "desperate housewife" vivant dans un milieu protégé, je n'ai pas réussi à m'identifier et à ressentir cette perte de confiance et cette dépression engendrée par la découverte de la violence. Si la magie n'a pas opéré sur moi, je reconnais volontiers les qualités de narratrice de Laurence Peyrin qui déroule son histoire avec une écriture fluide, agréable à lire, rythmée par des chapitres courts aux doux noms de cocktails. La seconde partie de l'ouvrage, nous mettant face à des personnages hauts en couleurs, a beaucoup plus retenu mon intérêt et j'aurais aimé creuser plus en avant leurs... Ce fut une lecture en demi-teinte pour moi. Laurence Peyrin nous plonge au coeur des années 70, dans une petite ville d'Amérique où vit Joanne, mère au foyer classique, petite bourgeoise comme elle se définit elle-même, heureuse et quelque peu naïve. Au détour d'un "incident" qui va faire basculer la vie paisible de Joanne, Laurence Peyrin s'attaque au délicat sujet des personnes disparues volontairement. Malheureusement, c'est là que je n'ai pas accroché. L'agression subie par Joanne n'est pas apparue à mes yeux comme un fait suffisamment fort pour engendrer de telles conséquences et cela a terni ma lecture. Même en me plaçant du point de vue de cette "desperate housewife" vivant dans un milieu protégé, je n'ai pas réussi à m'identifier et à ressentir cette perte de confiance et cette dépression engendrée par la découverte de la violence. Si la magie n'a pas opéré sur moi, je reconnais volontiers les qualités de narratrice de Laurence Peyrin qui déroule son histoire avec une écriture fluide, agréable à lire, rythmée par des chapitres courts aux doux noms de cocktails. La seconde partie de l'ouvrage, nous mettant face à des personnages hauts en couleurs, a beaucoup plus retenu mon intérêt et j'aurais aimé creuser plus en avant leurs personnalités et leurs histoires. C'est comme si je n'arrivais pas à voir en Joanne le personnage principal du livre, ne partageant pas ses émotions et son ressenti, mais comme le prétexte à la rencontre de ces personnages secondaires qui ont pris bien plus de place dans mon imaginaire. Il est possible que j'aurais plus apprécié le livre si le motif du départ de Joanne avait été autre. J'ai le sentiment qu'il m'a empêché d'adhérer complètement à l'histoire. Cette remarque en appelle cependant une autre dans mon esprit: quel est ce rapport à la violence que nous avons aujourd'hui pour considérer que l'agression de Joanne sur son vélo soit par trop banale pour engendrer de telles conséquences psychologiques ? J'ai tout de même refermé le livre avec un sourire sur les lèvres, la magie de l'épilogue ayant opéré. Si ce ne fut pas une révélation pour moi, comme j'ai pu le lire par ailleurs, j'ai tout de même passé un bon moment de lecture.
    Lire la suite
    En lire moins
  • G2b 01/10/2022
    C’est un livre qui m’a beaucoup troublé et cela continue en écrivant ces lignes. Il m’a mis mal à l’aise, sans doute par projection personnelle, mais je ne pouvais pas m’en détacher. Une femme subit un traumatisme dont elle ne peut s’extraire et qui la modifie à vouloir tout quitter, s’évaporer, se dissoudre; l’anéantissement ou la disparition. Fuir son être de sentiments pour devenir être de raison.
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.

Lisez maintenant, tout de suite !

  • Sélection
    Pocket

    28 idées de livres pour Noël

    À l'occasion des fêtes de fin d'année, les Éditions Pocket vous gâtent en vous proposant une sélection exclusive de 28 livres à offrir pour Noël ! 

    Lire l'article
  • Sélection
    Pocket

    Eté 2021 : adaptez vos lectures au programme des vacances !

    Quels livres glisser pour des vacances en famille, une escapade amoureuse ou un stage de développement personnel ? Sagas familiales, romances, thrillers psychologiques ou romans historiques... les Éditions Pocket vous soufflent 32 idées pour enrichir votre PAL (alias “Pile à lire”) de l'été. 

    Lire l'article