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Meurtres sans ordonnance
Date de parution : 09/03/2023
Éditeurs :
Pocket

Meurtres sans ordonnance

Date de parution : 09/03/2023
L’histoire vraie de l’un des pires tueurs en série du XXe siècle.
En mars 1984, Charles Cullen, 24 ans, est l’unique étudiant mâle de l’école d’infirmières du Mountainside Hospital. Il s’y révèle un élément brillant. Durant les seize années de la carrière... En mars 1984, Charles Cullen, 24 ans, est l’unique étudiant mâle de l’école d’infirmières du Mountainside Hospital. Il s’y révèle un élément brillant. Durant les seize années de la carrière qu’il mène dans deux états et neuf hôpitaux, il sèmera pourtant la mort en toute impunité. Malgré les dizaines de... En mars 1984, Charles Cullen, 24 ans, est l’unique étudiant mâle de l’école d’infirmières du Mountainside Hospital. Il s’y révèle un élément brillant. Durant les seize années de la carrière qu’il mène dans deux états et neuf hôpitaux, il sèmera pourtant la mort en toute impunité. Malgré les dizaines de citations disciplinaires et les quatre enquêtes policières dont il est l’objet, il continue d’apparaître comme le candidat idéal chaque fois qu’il postule à une nouvelle affectation. S'il a fini par avouer les meurtres de quarante de ses patients, des experts estiment en vérité à quatre cents le nombre réel de ses victimes, ce qui ferait de lui l’un des pires tueurs en série du XXe siècle. Voici son histoire.
 
« Fruit d’une enquête particulièrement documentée et riche en témoignages, dont celui du meurtrier, une histoire vraie à déconseiller à ceux qui souffrent déjà de la phobie des hôpitaux. » Le Dauphiné Libéré
 
« Meurtres sans ordonnance revient sur le parcours de l’un des pires tueurs en série de la planète. Conçu à la façon d’un polar, l’ouvrage du journaliste Charles Graeber est glaçant et fascinant. » La Provence
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EAN : 9782266329194
Code sériel : 18824
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266329194
Code sériel : 18824
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Fruit d'une enquête particulièrement documentée et riche en témoignages, dont celui du meurtrier, une histoire vraie à déconseiller à ceux qui souffrent déjà de la phobie des hôpitaux. » Le Dauphiné Libéré
« L'auteur nous fait entrer dans la tête de ce personnage aussi troublant que terrifiant. En reconstituant son parcours, il révèle aussi les failles d'un système hospitalier à bout de souffle. » La Croix
« L'histoire, qui va être adaptée par Netflix, est incroyable mais vraie ! Meurtres sans ordonnance revient sur le parcours de l'un des pires tueurs en série de la planète. Conçu à la façon d'un polar, l'ouvrage du journaliste Charles Graeber est glaçant et fascinant. » La Provence
« Un texte puissant, angoissant, un true crime qui donne des sueurs froides. » Page des libraires
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AnneClaire29 18/06/2023
    L'auteur Charles Graeber nous plonge dans l'histoire vraie d'un tueur en série sévissant dans les hôpitaux dans deux états américains pendant plus d'une quinzaine d'années. Ce tueur en série a pour nom Charles Cullen et était infirmier. Il était plutôt bien apprécié de ses collègues mais le jugeant un peu bizarre. L'auteur nous livre son enquête minutieuse qui retrace ce parcourt meurtrier mais aussi comment il a pu sévir autant de temps dans l'univers hospitalier avec la non dénonciation des administrations hospitalières. L'enquête est très bien menée et complète. Les nombreuses annexes apportent beaucoup de compléments d'informations. C'est glaçant de lire et de se rendre compte de l'inaction des hôpitaux pour se protéger du scandale.
  • Boggey 12/06/2023
    Apres avoir vu une serie et un documentsire sur cette histoire , j‘ai souhaite lire le livre . Il s‘agit ici d‘un infirmier qui a tue 40 personnes hospitalises en 16 ans . En effet il avouera 40 meurtres mais les morts suspectes permettraient d‘en totaliser 400. Un très bon livre documentaire écrit par une journaliste ou tous les faits nous sont présentes avec une quantité de notes assez conséquentes. J‘ai passe un très bon moment de lecture Alors si vous aimez ce style de livre lisez le , même lisez le avant de regarder la série ou le documentaire.
  • PoDePtitloupandco 07/04/2023
    Comme je vous le disais un peu plus haut, cet ouvrage est un true crime, c’est à dire une histoire vraie. C’est l’histoire de Charles Cullen, un infirmier qui est également un des plus grands tueurs en série du XXème siècle. Je ne connaissais absolument pas ce tueur en série. Je ne suis absolument pas experte mais il y a certains noms dont on a forcément entendu parler. J’avoue que j’étais assez curieuse de comprendre pourquoi ce fameux Charles Cullen serait l’un des pires tueurs en série! Ça fait quelques jours que j’ai terminé ma lecture, et encore maintenant je suis abasourdie de l’inaction des différents hôpitaux où Cullen a travaillé. Malgré de gros, que dis-je, d’énormes soupçons à son encontre, il n’a jamais été dénoncé. C’est juste incroyable! Ce livre, de plus de 300 pages, est présenté en deux parties. Dans la première partie, l’auteur Charles Graeber, met l’accent sur la vie et la personnalité de Charles Cullen. J’ai apprécié la façon dont c’était écrit même s’il y avait quand même beaucoup de longueurs. Par contre, il y a un détail que je n’ai pas saisi et qui m’a très fortement dérangée. L’auteur appelle souvent Charles Cullen, Charly. Pour moi, Charly s’est un diminutif affectueux pour Charles, et quand je vois le nombre de meurtres qu’il a commis, excusez-moi de ne pas avoir envie de lui donner un petit surnom !!! Vous l’aurez compris, j’ai moyennement accroché sur la première partie. Par contre, la deuxième partie m’a captivée. Elle est axée sur l’enquête et l’arrestation de Cullen. Je dois être du côté des gentils! ^^ Par contre, je n’ai pas bien saisi le pourquoi du comment. Je n’ai pas compris pourquoi Charles Cullen tuait des malades. Par moment, les victimes n’étaient même pas choisies et il n’était même pas sur les lieux au moment de leur mort. Je ne suis pas assez fine psychologue. Je pensais que les tueurs en série prenaient du plaisir à voir leurs victimes souffrir et mourir… Charles Graeber a fait un très beau travail de recherche. Il a interviewer des proches, certains protagonistes et le tueurs lui-même! C’est une enquête très bien renseignée. J’ai malheureusement dû renoncer aux notes de bas de pages, qui se trouvaient d’ailleurs à la fin du livre. Ce n’est vraiment pas pratique. Il aurait fallu les mettre en bas de pages ou à la limite en fin de chapitres. C’est vraiment dommage. Conclusion : Très belle enquête malgré quelques longueurs. Je suis contente de l’avoir lu mais je me rends compte que je préfère les romans où on « rentre dans la tête du tueur », où on comprend mieux leurs motivations.Comme je vous le disais un peu plus haut, cet ouvrage est un true crime, c’est à dire une histoire vraie. C’est l’histoire de Charles Cullen, un infirmier qui est également un des plus grands tueurs en série du XXème siècle. Je ne connaissais absolument pas ce tueur en série. Je ne suis absolument pas experte mais il y a certains noms dont on a forcément entendu parler. J’avoue que j’étais assez curieuse de comprendre pourquoi ce fameux Charles Cullen serait l’un des pires tueurs en série! Ça fait quelques jours que j’ai terminé ma lecture, et encore maintenant je suis abasourdie de l’inaction des différents hôpitaux où Cullen a travaillé. Malgré de gros, que dis-je, d’énormes soupçons à son encontre, il n’a jamais été dénoncé. C’est juste incroyable! Ce livre, de plus de 300 pages, est présenté en deux parties. Dans la première partie, l’auteur Charles Graeber, met l’accent sur la vie et la personnalité de Charles Cullen. J’ai apprécié la façon dont c’était écrit même s’il y avait quand même beaucoup de longueurs. Par contre, il y a un détail que je n’ai pas saisi et qui m’a très fortement dérangée. L’auteur appelle souvent Charles Cullen, Charly. Pour moi, Charly...
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  • MilleetunepagesLM 18/09/2022
    Le commentaire de Lynda : Ce documentaire nous raconte, comment un tueur en série a réussi a tué de nombreuses personnes avant qu’il ne soit arrêté. Plus de 40 personnes, mais le nombre réel de ses victimes serait plutôt de 400, 9 hôpitaux, 2 états américains, et tout ça sans que le tout lève un drapeau indiquant aux dirigeants, qu’ils ont un criminel parmi eux. Bien sûr, c’est un documentaire, et bien sûr, vous me connaissez assez maintenant, que j’ai moi aussi fait mes recherches sur ce Charles Cullen, qui a vraiment existé et vraiment commis ces crimes. Charles Cullen est le portrait même de la pure folie, manipulateur, multiple personnalités, à chaque fois on se demande vraiment jusqu’où il peut aller, et on se rend vite compte qu’il n’a n’a pas de limite. Charles Graeber, on peut le constater a fait un travail colossal pour arriver à recueillir ces témoignages, consulter tous les documents judiciaires, et les nombreuses entrevues qu’il a fait, y compris le tueur lui-même. Je peux vous dire que c’est à vous donner des frissons dans le dos, il y a des passages très difficiles. J’ai aimé voir comment ils ont réussi à le traquer, quand quelqu’un a allumé et s’est rendu compte que le taux de mortalité augmentait quand il était dans les parages. Je ne vous en dirai pas plus sur ce monstre, mais si vous aimez les enquêtes journalistiques et policières, n’hésitez pas ce titre est pour vous. De plus, je sais qu’un film basé sur ce livre est maintenant présenté à la télévision et je me promets bien de l’écouter ! Le commentaire de Lynda : Ce documentaire nous raconte, comment un tueur en série a réussi a tué de nombreuses personnes avant qu’il ne soit arrêté. Plus de 40 personnes, mais le nombre réel de ses victimes serait plutôt de 400, 9 hôpitaux, 2 états américains, et tout ça sans que le tout lève un drapeau indiquant aux dirigeants, qu’ils ont un criminel parmi eux. Bien sûr, c’est un documentaire, et bien sûr, vous me connaissez assez maintenant, que j’ai moi aussi fait mes recherches sur ce Charles Cullen, qui a vraiment existé et vraiment commis ces crimes. Charles Cullen est le portrait même de la pure folie, manipulateur, multiple personnalités, à chaque fois on se demande vraiment jusqu’où il peut aller, et on se rend vite compte qu’il n’a n’a pas de limite. Charles Graeber, on peut le constater a fait un travail colossal pour arriver à recueillir ces témoignages, consulter tous les documents judiciaires, et les nombreuses entrevues qu’il a fait, y compris le tueur lui-même. Je peux vous dire que c’est à vous donner des frissons dans le dos, il y a des passages très difficiles. J’ai aimé voir comment ils ont réussi à le traquer, quand quelqu’un a allumé et s’est rendu compte...
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  • MademoiselleMaeve 06/08/2022
    J’ai un petit faible pour les true crimes, les histoires de tueurs en série, de tueurs tout court. J’aime toucher du doigt l’âme humaine et comprendre ce qui a vrillé à un moment pour qu’ils passent à l’acte, se laissant envahir par le mal. Et puis aussi parce que ça me fascine un peu. Lorsque j’ai vu Meurtres sans ordonnance de Charles Graeber sur NetGalley, je me suis dit que cette enquête sur l’histoire vraie de l’un des pires tueurs en série du XXe siècle pourrait bien être intéressante. D’autant que son nom ne me disait absolument rien – non pas que j’ai une grande connaissance des tueurs en série non plus, hein. Charles Cullen est actuellement à la prison d’État du New Jersey à Trenton depuis 2006. Il a été condamné à onze peines de prisons à vie. A priori, on devrait être tranquilles, il ne devrait pas pouvoir sortir avant 2403. Mais qu’à fait Charles Cullen pour mériter une telle peine ? Le titre Meurtres sans ordonnance nous donne un bel indice : le milieu médical. Charles Cullen a exercé en tant qu’infirmier durant seize ans et en a profité pour tuer des patients avec des petits cocktails médicamenteux de son cru. Il a avoué quarante meurtres de patients mais on le soupçonne d’en avoir tué quatre cents. Alors évidemment pas dans le même hôpital. Quand Charles Cullen sentait que ça commençait à chauffer pour lui – ou lorsqu’il était carrément viré – hop hop hop, il trouvait un poste dans un autre hôpital qui le voyait comme une bénédiction car il travaillait en soins intensifs. Puis, on commençait à le trouver bizarre et on constatait que depuis qu’il était là, le taux de mortalité augmentait pas mal (c’est pour ça que les quarante morts, ça me paraît un peu léger. On a parfois l’impression qu’il tue tous les jours des patients et quarante en seize ans, ça ne fait que 2,5 morts par an). Et on lui demandait de partir. Ou quand encore une fois il commençait à avoir chaud aux fesses, il faisait une tentative de suicide pour être hospitalisé quelques temps. Charles Graeber a interviewé les proches de Cullen ainsi que Cullen lui-même pour dresser son profil psychologique et comprendre ce qui a déclenché sa folie meurtrière. Son histoire familiale, sa relation avec les femmes – conseil, ne vous approchez pas de lui au risque de le voir entrer chez vous la nuit pour vous regarder dormir. Ensuite, Graeber raconte la traque de la police. Pas simple pour elle lorsque les hôpitaux ne veulent pas parler. Mais à force de persévérance… Meurtres sans ordonnance est un portrait complet de Charles Cullen. Et j’ai trouvé que c’était quand même un sacré pauvre type. Comme souvent quand on y pense. Un sacré pauvre type flippant. Mais vraisemblablement ça n’était pas évident puisqu’il trouvait facilement des postes, arrivait à se mettre en couple et à forcer l’admiration de certains collègues (pas tous quand même). J’ai trouvé cette lecture assez passionnante malgré quelques longueurs. Et je vous le conseille si vous aimez les true crimes. En revanche, il faut que je vous raconte un truc, ça va peut-être vous faire rire – ou vous effrayez vous me direz. Pendant ma lecture, je suivais cet infirmier qui ajoutait dans les poches des malades des produits qui allaient les tuer sans forcément que ça se voit. Et après avoir injecté les poisons, hop, il filait. Et là, j’ai pensé « mais quel est l’intérêt ? Il ne les voit pas mourir et il ne les torture même pas ». Je me suis fait un peu peur.Je suis sûre que Nathalie de Mes lectures du dimanche me comprendra !J’ai un petit faible pour les true crimes, les histoires de tueurs en série, de tueurs tout court. J’aime toucher du doigt l’âme humaine et comprendre ce qui a vrillé à un moment pour qu’ils passent à l’acte, se laissant envahir par le mal. Et puis aussi parce que ça me fascine un peu. Lorsque j’ai vu Meurtres sans ordonnance de Charles Graeber sur NetGalley, je me suis dit que cette enquête sur l’histoire vraie de l’un des pires tueurs en série du XXe siècle pourrait bien être intéressante. D’autant que son nom ne me disait absolument rien – non pas que j’ai une grande connaissance des tueurs en série non plus, hein. Charles Cullen est actuellement à la prison d’État du New Jersey à Trenton depuis 2006. Il a été condamné à onze peines de prisons à vie. A priori, on devrait être tranquilles, il ne devrait pas pouvoir sortir avant 2403. Mais qu’à fait Charles Cullen pour mériter une telle peine ? Le titre Meurtres sans ordonnance nous donne un bel indice : le milieu médical. Charles Cullen a exercé en tant qu’infirmier durant seize ans et en a profité pour tuer des patients avec des petits cocktails médicamenteux...
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