« Parmi les auteurs de la rentrée étrangère auxquels devrait être déroulé un tapis rouge, on comptera une majorité d’anglophones, tels les Américains Lionel Shriver Quatre heures, vingt-deux minutes et dix-huit secondes, Richard Powers… »
Le Monde
« Grinçante. Lionel Shriver pince l’Amérique là où ça fait mal. »
Le Point
« Percutant ! »
Le Pelerin
« Dans son nouveau roman, Quatre heures, vingt-deux minutes et dix-huit secondes, Lionel Shriverfait de la politique identitaire matière à une satire sans concession. Couplé au sujet de l’industrie sportive, soit une autre forme de société sectaire, ce thème explosif trouve là une résonance singulière. »
LiRE
« Excellente critique de la raison sportive, ce livre tire à vue sur l’entraînement à outrance et l’obsession du corps en forme. »
LOBS
« Il faut lire ce livre. »
Madame Figaro
« Un roman implacable. »
Télérama
« C’est un régal ! »
Télé Z
« La crise gronde. Les relations du couple, de son entourage, sont passées au scanner. Les dialogues font mouche et on se délecte d'être une petite souris à qui l'on donne tout à voir. »
La Voix du Nord
« Dans cette satire, l’auteure américaine souligne plusieurs traits de notre société et démontre leur aberration, en plus d’offrir le récit passionnant et original du vacillement d’un couple sexagénaire. Lionel Shriver s’y attaque avec toute la finesse, l’ironie mordante et son goût pour l’indépendance d’esprit dont elle est capable. C’est-à-dire beaucoup. »
Laurence de Coulon / Arc Info
« L’auteur nous livre une observation subtile et cruelle de la vieillesse et de son acceptation, du culte du corps et des dérives qu’il entraîne, j’ai adoré ce roman excitant et jubilatoire qui, non sans provocation, nous entraîne avec saveur et humour vers les joies de l’âge. »
Anne-Claude Thorin / Arc Info
« C’est à la mode du triathlon, des sports extrêmes et à notre culte du corps que la romancière anglo-américaine s’attaque avec une ironie parfaitement jouissive. L’auteure des précédents Il faut qu’on parle de Kevin ou Tout ça pour quoi confirme ici qu’elle est l’une des meilleures plumes satiristes contemporaines. »
C Cultura
« On aime la radiographie, drôle et sarcastique, du culte du corps aux États-Unis. »
Cosmopolitan
« On vous le recommande ! »
Esprit Trail
« Lionel Shriver signe un roman explosif sur un couple de sexagénaires en crise. »
Femme Actuelle
« Un roman grinçant et drôle, qui aborde intelligemment des thèmes tels que le vieillissement d’une relation, la crainte de l’inutilité, la fascination qu’a notre société pour les « beaux corps » ou le besoin de toujours bouger et être actif. L’autrice d'Il faut qu’on parle de Kevin nous offre un nouveau grand roman qui, dans un premier temps, nous divertit, puis, une fois fermé, nous fait réfléchir… »
Femmes dAujourdhui
« On a adoré ce roman plein d’humour, égratignant l’univers du culte du corps, des « tout est dans la tête », des leggings moulants fluo… »
Flair
« L’auteur nous livre une observation subtile et cruelle de la vieillesse et de son acceptation, du culte du corps et des dérives qu'il entraîne, j’ai adoré ce roman excitant et jubilatoire qui, non sans provocation, nous entraîne avec saveur et humour vers les joies de l’âge. »
La Côte
« Une peinture sociale à l’humour féroce ! »
France Mutuelle
« Lionel Shriver brosse un tableau corrosif du culte de l’apparence et de l’obsession de la performance, mais elle interroge aussi avec perspicacité le vieillissement, son acceptation et la manière de le vivre à deux. Féroce et drôle, mais aussi empathique. »
Corinne Renou-Native / La Croix LHebdo
« Caustique sur la vieillesse et l’humilité qu’elle impose. Acerbe sur les modes et leurs diktats. Cynique sur cette société qui lave plus blanc que blanc. »
LAvenir
« Au final, un roman très plaisant à lire. Et susceptible de pousser tous ceux qui pratiquent ce sport, à se poser bien des questions... »
Le courrier
« L’humour cinglant de Lionel Shriver ne fait pas de quartier. Lorsqu’elle tend le miroir des dérives qui, au-delà des États-Unis, gagnent l’Occident, la lire est aussi salutaire qu’irrésistible. »
Frédérique BREHAUT / Le Maine libre
« Avec l’étincelant Quatre heures, vingt-deux minutes et dix-huit secondes, la romancière américaine ne manque ni de souffle ni d’humour pour mettre au jour nos plus inavoués travers. »
Le Monde Des Livres
« Un roman caustique et ironique où l’auteure, à son habitude, gratte là où ça fait mal. »
Le Quotidien du Médecin
« D’autres clichés ou concepts, « wokismes » inclus, passent à la moulinette dans ce roman magnifiquement... musclé. »
Marie Claire
« À travers ce couple en crise croqué avec sagacité, l'autrice américaine Lionel Schriver s’amuse à dézinguer les faux-semblants d’une société obnubilée par le culte du corps et de la performance. Une satire sociale réjouissante... et effrayante. »
Le Vif LExpress
« Lionel Shriver dans une forme olympique. »
Les Echos
« Voici donc un roman détonnant sur un couple en crise. Cette lecture nous offre des réflexions percutantes sur le culte de l’effort physique, le sport extrême et l’impact de la retraite sur les couples. L’auteur fait preuve d’un humour corrosif et nous offre un grand moment de lecture ! »
LEst Républicain
« Moqueuse, cruelle, mauvais esprit, provocatrice, la romancière fait feu sur tous les diktats, épingle les positions idéologiques de l’époque (la question de l’appropriation culturelle en fait notamment les frais) et étrille une nouvelle fois les relations parents-enfants. »
LH Le Magazine
« S’il est délicieusement sarcastique, le roman observe aussi, avec une grande tendresse, un couple qui affronte la trahison des corps et les bouleversements du monde, et accepte, après un dernier baroud d’honneur, de lâcher prise. »
LHumanité
« Une liberté de ton et une intelligence dans l'écriture qui ravira les lecteurs. »
Zatopek
« Obsession du corps, culte de la santé, rôle des coachs à la limite des gourous, tout est dit d’une plume caustique et inspirée. C’est une réussite ! »
Psychologies
« Culte du corps, modes, angoisse de la mort et inventaire du passé à deux sont abordés avec un humour perçu tant, pour mieux questionner ce que représente le véritable dépassement de soi. »
Point de vue
« Ironique à souhait. »
Fémina
« À travers cette histoire écrite d’une plume incisive, à l’humour cinglant, l’auteure brosse un portrait caustique de la société américaine obsédée par la santé et le culte du corps. »
PepS
« Un grand roman sur la société américaine, brocardant à la fois les excès du culte du corps et la violence du politiquement correct. »
Valeurs actuelles
« Une étude de mœurs brillante à l’humour ravageur. Une réussite totale. »
Yves / Librairie Les Buveurs dencre
« Nous allons assister aux tensions grandissantes dans ce couple, sur fond de dénonciation de la société de consommation, de culte du corps et d'échec éducatif des enfants. Un humour très cruel de notre époque. Un régal ! »
Marc / Librairie Espace-Temps
« Roman drôle et percutant sur un couple de sexagénaire en crise. Sur un ton acerbe, Lionel Shriver livre une critique du culte du corps et de la performance. »
Virginie / Fontaine Haussmann
« Roman extrêmement grinçant, extrêmement drôle aussi, il offre une très belle réflexion sur notre mode de vie mais aussi sur le couple qui vieillit et l’angoisse du physique qui décline. Car il faut le souligner, ce nouveau livre raconte une très belle histoire d’amour. Alors dans ce marathon de lectures qu’est la rentrée littéraire, ne passez pas à côté de ce formidable roman. »
Marie-Laure Turoche / PAGE & Librairie Coiffard
« Avec un humour féroce, Lionel Shriver dresse le portrait d'une Amérique qui ne connaît pas la demi-mesure, l'Amérique du culte de la performance, de la quête effrénée de la perfection. C'est aussi l’Amérique qui pousse tout à l’extrême : la religion dans laquelle se réfugie leur fille Valeria, la cancel culture et le politiquement correct qui gangrènent les relations professionnelles. Lionel Shriver appuie là où ça fait mal et tourne en dérision cette société des winners avec beaucoup de piquant comme savent si bien le faire les grands auteurs américains. »
Valérie / Librairie Ravy