« À travers la maladie, c’est le couple, la famille et la société américaine que [Lionel Shriver] ausculte, ou plutôt dissèque, avec une froide lucidité teintée d’une ironie acide. Lionel Shriver ne manie ni la compassion ni le misérabilisme. »
Les Echos
« Lionel Shriver n’y va pas de main morte pour clouer au pilori le système de santé américain. Dans son nouveau roman, elle laisse exploser toute la colère et le dégoût que lui inspire l’absurdité, le cynisme, l’injustice, l’inhumanité d’une démocratie qui n’a de démocratique que le nom depuis que les puissances financières se sont emparé du pouvoir. »
LIndépendant
« Incorrigible provocatrice à l’imagination illimitée, Lionel Shriver nous livre un nouveau roman aussi éblouissant qu’audacieux, une exploration intelligente et cruellement actuelle de l’échec du système de santé américain. »
Publishers Weekly
« Un roman magnifique, à l’humour noir doublé de la critique amère d’une Amérique désenchantée, frappée d’un triple D… comme désespérance, dépression, dépendance. »
Pleine vie
« Un roman qui traite de l’humain vu par le prisme de l’argent peut-il avoir un quelconque mérite littéraire ? Peut-il être réellement plaisant à lire, véritablement inspirant, extraordinairement éclairant ? La réponse est oui. »
The New York Times
« Un livre ravageur et salutaire qui secoue jusqu’à derrière la ligne. »
BIBA
« Lionel Shriver ne recule devant aucun sujet pour dénoncer une Amérique « malade ». Une radioscopie féroce de la famille et du système. »
Version Femina
« Lionel Shriver est à elle seule une arme de destruction massive dans sa forme la plus élaborée. Elle ravage avec la précision des frappes chirurgicales. A l’écart du mélo sirupeux, son roman pose sans ambages des questions essentielles, dont le prix d’une vie. »
Le Maine Libre
« Maladie et argent, des maux qui vont très mal ensemble. Les questions qu’on n’ose même pas se formuler à soi-même dans le tréfonds de ses pensées, Lionel Shriver les pose en lettres rageuses et impitoyables. [...] Tout cela serait à la limite du supportable si Lionel Shriver n’auréolait son autopsie de la société américaine d’une empathie boulversante pour ses personnages fracassés. »
ELLE
« Le rêve fracassé d’une famille de la middle class. Un implacable réquisitoire contre le système de santé américain. Lionel Shriver allume un nouveau brûlot et peint à l’acide les coulisses de l’Amérique, « un pays tombé sur la tête ». »
LExpress
« Lionel Shriver pose à nouveau le doigt là où ça fait très mal. Avec Tout ça pour quoi, elle remet à nouveau le couteau dans la plaie. Ou plutôt le scalpel, s’attaquant avec virulence au système de santé aux États-Unis. »
24 Heures
« Lionel Shriver s’attaque une nouvelle fois à un sujet qui dérange : le prix d’une vie et le système de santé américain. De son écriture féroce, cette éternelle outsider aime décidément explorer les lieux où se croisent destinées individuelles et choix collectifs. »
Books
« Lionel Shriver interroge sur les choix de vie et l’attitude de chacun face à la mort. En toile de fond, elle tient les comptes du système de santé américain, propre aux inégalités. »
Le Pelerin
« La virulence de Lionel Shriver contre l’égoïsme de la société et l’absurdité d’un monde médical dominé par l’argent ne l’empêche pas d’éprouver, au bout du compte, de la sympathie pour ses personnages avec lesquels elle se montrait, au début du livre, d’une ironie sévère. Il y a quelque chose d’hyperréaliste dans ce thriller où l’ennemi sans visage est une pieuvre molle indifférente à tous les malheurs du monde. »
Le Journal du Dimanche
« Un roman coup de poing, éloquent et réaliste. »
Prima
« Loin de jouer sur la corde compassionnelle, Shriver montre les ravages de la maladie sur les classes moyennes, dans une société qui ne les protège plus. Ironique, lucide, cruelle, tendre, elle parvient à tisser un roman à la fois émouvant et réaliste, au dénouement surprenant. »
Marie Claire
« Un roman sur le système de santé aux États-Unis ? De fait, Lionel Shriver ne s’attaque pas directement à ce sujet mais démontre, à travers l’histoire de ses personnages souffrant de différentes conditions médicales – de la plus terrible et mortelle à la plus absurde – les failles d’un système de santé et d’assurances qui oblige les classes moyennes à s’endetter lourdement pour prendre soin des leurs… Comment la maladie affecte-t-elle nos relations ? Comment la proximité de la mort nous force-t-elle à recentrer nos vies ? Tout le génie de l’auteur réside à éviter le piège du didactisme pour livrer au bout du compte une histoire viscéralement émouvante. »
The New York Times
« Lionel Shriver s’attaque, avec sa justesse habituelle, à un sujet qui, plus que tout autre, mine la société américaine : l’abscence de sécurité sociale. Et la question qui en découle : combien vaut une vie ? »
Madame Figaro
« Point de pathos, ni de sensiblerie ici. Lionel Shriver leur préfère une lucidité clinique, sans concession. Douleurs, appétit défaillant, irascibilité, désaffectation des amis, coût des soins... Le récit n’élude aucun détail, assumant une confrontation angoissante avec la maladie, révélant les réajustements brutaux qu’elle imprime aux relations familiales et aux priorités de chacun. »
La Vie
« Un livre ravageur. »
Le Monde
« Fracassant. Un Coup de griffe au sytème de santé américain, au manque d’humanité du monde du travail, à l’ignorance surtout. »
Sud Ouest
« Un cri de colère. »
LiRE
« Lionel Shriver passe au crible le système de santé américain qui ressemble souvent à de l’escroquerie pure et simple. La question qu’elle pose est la suivante : cela vaut-il la peine de dépenser un million de dollars pour prolonger une vie de trois mois, fût-elle celle de sa femme bien aimée ? »
La Tribune de Genève
« Avec sa drôlerie habituelle, Lionel Shriver se risque à évoquer la maladie et la mort. Une charge décapante contre les failles du système américain. Un roman noir, servi par une plume trempée dans l’acide. De l’art d’être dévastateur sans être militant. »
Marianne
« Lionel Shriver ne se contente pas ici de dénoncer l’injustice du système médical américain, elle dissèque la vie de couple dans une société en pleine crise. Parfois avec rage, souvent avec humour, l’histoire avance jusqu’à un final inattendu. »
Psychologies
« La plume est acérée, le souffle corrosif et le résultat... étonnamment drôle ! »
La Revue
« Dans cette critique virulente du système de santé américain, Lionel Shriver achève de torpiller les restes du rêve américain. »
Point de vue
« Piquante, corrosive, implacable, cruelle, Lionel Shriver a développé l’art brillant et courageux de traiter des thèmes les plus impossibles. Tout ça pour quoi est un roman sur la maladie, la mort et le système de santé américain. De quoi se flinger avant même la préface ? Que nenni. Tout au contraire : Lionel Shriver réussit un livre vigoureux, tonique, poignant, divertissant, existentiel, audacieux et terriblement actuel. »
LHebdo
« Après l’extrême violence d’un adolescent, voici avec Tout ça pour quoi le vaste panorama des comportements devant la maladie, élargi aux rapports individuels avec l’argent. La romancière pose les questions, ses personnages y répondent à leur manière. »
Le Soir
« Lionel Shriver se livre une fois de plus, à l’exploration d’un sujet tabou : les liens des êtres face à la maladie, la mort ou l’argent. D’une plume aussi claire qu’affûtée. »
LOrient le Jour
« Quand Lionel Shriver nous parle de maladie, c’est cru, violent, cynique. Elle s’y attaque avec la férocité d’un virus et en examine tous les aspects : physiologiques, intimes, financiers, sociaux. Une satire sans concession du système de santé américain. »
Le Figaro