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Une voix dans l'ombre
Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 15/11/2018
Éditeurs :
Pocket

Une voix dans l'ombre

Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 15/11/2018
Rude journée pour le commissaire Montalbano : d'abord agressé dans sa cuisine par un poulpe haineux, il l'est ensuite dans sa voiture, à coups de clé à molette, par un... Rude journée pour le commissaire Montalbano : d'abord agressé dans sa cuisine par un poulpe haineux, il l'est ensuite dans sa voiture, à coups de clé à molette, par un jeune chauffard. Étrange coïncidence, la compagne de son agresseur est retrouvée assassinée peu après.
Pendant ce temps, un directeur de supermarché...
Rude journée pour le commissaire Montalbano : d'abord agressé dans sa cuisine par un poulpe haineux, il l'est ensuite dans sa voiture, à coups de clé à molette, par un jeune chauffard. Étrange coïncidence, la compagne de son agresseur est retrouvée assassinée peu après.
Pendant ce temps, un directeur de supermarché est victime d'un cambriolage, mais ce dernier paraît surtout terrorisé par la possible réaction de ses propriétaires – en l'occurrence la mafia.
Derrière ces deux affaires que rien ne réunit, de puissants hommes politiques semblent vouloir la peau du Maigret sicilien. Montalbano parviendra-t-il à déjouer les pièges qu'on lui tend ?

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

 
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EAN : 9782266286657
Code sériel : 17289
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266286657
Code sériel : 17289
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Ce commissaire gastronome parlant un italien mêlé de sicilien s’est imposé dans les librairies comme à la télévision. Son créateur a reçu, en 2014 pour l’ensemble de son œuvre, le prix Federico Fellini de l’excellence artistique. » Marianne

« Théâtral et facétieux, Camilleri entremêle avec maestria le pathétique et le comique
dans une enquête qui va et vient au rythme du ressac et des horaires méridionaux. » Geneviève Comby, Le Matin Dimanche
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • mh17 10/01/2024
    Qu'est-ce qui fut ? Le commissaire Salvo Montalbano est attaqué par un poulpe féroce qui le regardait de travers depuis l'évier de sa cuisine. Sur la route où il roule pépère, Montalbano est traité de vieux débris par un jeune chauffard en BMW. Salvo le serre à l' américaine à la station service pour se venger. Un supermarché est cambriolé sans trace d'effraction. le gérant est interrogé par son adjoint Augiello. le gérant du supermarché est retrouvé pendu. « Televigàta" raconte que c'est la police qui l'a poussé à bout. L’irascible légiste Pasquano sait qu'il ne s'agit pas d'un suicide mais ne l'écrit pas dans son rapport d'expertise. Le supermarché appartient à l'honorable famille Cuffaro. Un témoin, agent de sécurité, est abattu. La petite amie du chauffard est poignardée et le commissaire oublie son anniversaire. Il a 58 ans. Montalbano doit faire à des supérieurs hypocrites et à une presse aux ordres de politiciens corrompus par la Mafia. Andrea Camilleri souligne les interactions de la Mafia avec des hommes politiques non seulement provinciaux mais nationaux, comme le faisait Leonardo Sciascia avant lui. Son commissaire s'oppose à un pouvoir politique qui lui donne la nausée. Et il s'expose aux obstacles que le pouvoir judiciaire représenté par le Questeur Bonetti-Alderighi met en place pour masquer la vérité. Heureusement Montalbano peut compter sur sa fine équipe soudée comme celle des Incorruptibles. Même le brave Catarella s'y met. Qui l'eut cru ? Catarella est le roi de la èmepétroi. Et nous lecteurs, au milieu de ce policier tendu et très pessimiste, nous pouvons toujours compter sur le Maestro pour déclencher de grands éclats de rire. Un excellent cru, c'est.Qu'est-ce qui fut ? Le commissaire Salvo Montalbano est attaqué par un poulpe féroce qui le regardait de travers depuis l'évier de sa cuisine. Sur la route où il roule pépère, Montalbano est traité de vieux débris par un jeune chauffard en BMW. Salvo le serre à l' américaine à la station service pour se venger. Un supermarché est cambriolé sans trace d'effraction. le gérant est interrogé par son adjoint Augiello. le gérant du supermarché est retrouvé pendu. « Televigàta" raconte que c'est la police qui l'a poussé à bout. L’irascible légiste Pasquano sait qu'il ne s'agit pas d'un suicide mais ne l'écrit pas dans son rapport d'expertise. Le supermarché appartient à l'honorable famille Cuffaro. Un témoin, agent de sécurité, est abattu. La petite amie du chauffard est poignardée et le commissaire oublie son anniversaire. Il a 58 ans. Montalbano doit faire à des supérieurs hypocrites et à une presse aux ordres de politiciens corrompus par la Mafia. Andrea Camilleri souligne les interactions de la Mafia avec des hommes politiques non seulement provinciaux mais nationaux, comme le faisait Leonardo Sciascia avant lui. Son commissaire s'oppose à un pouvoir politique qui lui donne la nausée. Et il s'expose aux obstacles que le...
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  • caryatide 08/07/2023
    Dure journée pour Montalbano. D'abord, c'est son anniversaire : 58 ans ! Qu'il est vieux ! Puis il lui faut se battre dans sa cuisine contre un poulpe et une cafetière...Ensuite un fou du volant tolère mal qu'il respecte les limitations de vitesse et l'attaque à coup de clef à molette à la station service ! Mais voila le jeune homme est le fils du dirigeant de la province et son avocat arrive au commissariat presque en même temps que le commissaire. Et il y a le travail aussi : un cambriolage dans un magasin dont chacun sait qu'il appartient à une des deux familles de la mafia locale, puis un meurtre : c'est justement la fiancée du jeune à la clef à molette qui a été sauvagement poignardée.. Et dans un cas comme dans l'autre, Montalbano a l'impression qu'il est pris par la main pour désigner le coupable. Le questeur, la télévision officielle, certains députés, tous prennent le même chemin... Mais il en faut plus pour que notre commissaire renonce à enquêter et à trouver la vérité ! Comme toujours la traduction est un vrai plaisir de lecture !
  • FolioPhil 01/08/2022
    ‘’Une voix dans l’ombre’’, deuxième titre lu après ‘’la danse de la mouette’’ du même Andréa CAMILLERI est assurément le dernier (voir ma précédente critique du 23/11/2021). Livre certainement excellent pour les vrais connaisseurs et pour les professionnels, mais moi « j’y comprends rin », ou très peu, comme se plait à s’exprimer A. CAMILLERI. Faut-il être italien ou fonctionnaire de la Police pour être passionné par de telles affaires, sans aucun doute inspirées de l’actualité ? Ces enquêtes policières, certes intéressantes aux multiples rebondissements ne peuvent être appréciées que par un public très averti - ici, votre opinion serait la bienvenue - et cette littérature, à mon avis, n’est pas ''pour tout public'' censé vouloir trouver de la distraction, mais non trop de difficultés dans la compréhension. On ne peut que reconnaitre le formidable génie de l’auteur à la lecture d’un tel livre. Qu’il est en effet prodigieux de pouvoir concevoir de telles structures et raisonnements littéraires donnant matière à des affaires policières d’une telle complexité ! C’est pour cette raison que j’attribue un 3 étoiles. Mais tout bien pesé, les détails et les multiples rebondissements développés dans ce livre peuvent rester obscurs à l'extrême et compliquer la lecture des ces affaires policières pourtant magistralement combinées. On comprend la grande maîtrise de l’écriture, mais peut-on aussi comprendre que le pauvre lecteur est envoyé ‘’au tapis’’, saturé, k.o. et reste finalement déçu. Maigre consolation : heureusement que l’auteur illumine et enchante son œuvre par de nombreux traits d’humour ! Livres d’une collection qu’il faudrait avoir le courage d’éplucher, crayon en main pour prise de notes et étude. Mais, s’il faut maintenant s’astreindre aux recherches et aux analyses, que reste-t-il alors du plaisir de lire ?‘’Une voix dans l’ombre’’, deuxième titre lu après ‘’la danse de la mouette’’ du même Andréa CAMILLERI est assurément le dernier (voir ma précédente critique du 23/11/2021). Livre certainement excellent pour les vrais connaisseurs et pour les professionnels, mais moi « j’y comprends rin », ou très peu, comme se plait à s’exprimer A. CAMILLERI. Faut-il être italien ou fonctionnaire de la Police pour être passionné par de telles affaires, sans aucun doute inspirées de l’actualité ? Ces enquêtes policières, certes intéressantes aux multiples rebondissements ne peuvent être appréciées que par un public très averti - ici, votre opinion serait la bienvenue - et cette littérature, à mon avis, n’est pas ''pour tout public'' censé vouloir trouver de la distraction, mais non trop de difficultés dans la compréhension. On ne peut que reconnaitre le formidable génie de l’auteur à la lecture d’un tel livre. Qu’il est en effet prodigieux de pouvoir concevoir de telles structures et raisonnements littéraires donnant matière à des affaires policières d’une telle complexité ! C’est pour cette raison que j’attribue un 3 étoiles. Mais tout bien pesé, les détails et les multiples rebondissements développés dans ce livre peuvent rester obscurs à l'extrême et compliquer la lecture des ces affaires policières pourtant...
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  • Laragedelire 21/07/2022
    J’ai connu les romans de Camillieri tout à fait par hasard. Mais depuis que j’ai commencé, j’en lis un au moins une fois par mois. Je n’ai pas toujours respecté l’ordre de parution, mais qu’importe, c’est toujours aussi agréable. Celui-ci ne se démarque pas de autres si ce n’est qu’il est un peu plus cynique vis-à-vis de la mafia, toujours présente. Mais on y retrouve avec le même plaisir le commissaire Montalbano, ses tournures de phrases amusantes, et on l’y revoit taquiner le crabe sur la plage après avoir englouti chez Enzo plusieurs portions de poulpe grillé. Et bien sûr Mimi le coureur de jupons, Fazio l’obsédé de l’état civil, Cattarelli qui estropie tous les noms, sans oublier Livia, toujours prompte à l’engueulade. Mais, voilà, Camillieri nous a quittés et je n’en ai plus pour longtemps à savourer les aventures du dottori, entre deux bouchées d’arancini ou de rouget. Ciao, Salvo. Cinq étoiles, je te mets.
  • Herve-Lionel 24/08/2021
    N°1575 - Août 2021 Une voix dans l’ombre– Andrea Camilleri – Fleuve noir. Traduit de l’italien par Serge Quadruppani. On pense ce qu’on veut du jour de son anniversaire (une fête qu’on célèbre avec cadeaux et libations ou, plus précisément dans le cas de notre commissaire, le rappel inexorable de la marche du temps qui donne le vertige), mais ce 6 septembre c’est celui du commissaire Salvo Montalbano (58 ans déjà). Pourtant, dans sa cuisine, il est attaqué par un poulpe destiné à son menu et à la station-service c’est un automobiliste irascible qui s’en prend à lui. Il y a des journées qui commencent sous de meilleurs auspices ! Effectivement, la compagne de son agresseur est assassinée atrocement peu après et le Directeur d’un supermarché cambriolé est retrouvé pendu après avoir été malmené par la police. En réalité, Montalbano y voit la patte de la mafia, l’établissement en question étant sa propriété et aussi la volonté du pouvoir politique de se débarrasser de lui. Pourtant ces deux affaires semblent bien étrangères l’une à l’autre. Les investigations avançant, les choses s’éclaircissent un peu entre meurtre camouflé en suicide, double comptabilité, rapt, faux cambriolage et mise en cause de l’agresseur qui est aussi le fils d’un homme politique, le tout enveloppé dans l’hypocrisie et dans un silence causé par la crainte de la mafia. Pourtant, est-ce dû à l’âge, à une curiosité maladive ou à une volonté d’autodestruction mais Montalbano prend la décision de servir de bouc-émissaire dans ces affaires où les carrières et même les vies ne pèsent pas lourd. C’est que, une des caractéristiques de Montalbano c’est d’être révolté contre l’injustice , le mensonge, la fourberie et d’être animé par la volonté de faire triompher la vérité. On peut dire qu’il est têtu et ce même si sa position, qui résulte parfois d’une intuition, bouscule la logique ou l’évidence et pour faire triompher son point de vue il ne recule ni devant le bluff, ni devant l’audace, ni devant l’illégalité. Pour l’aider dans sa démarche il a heureusement ses chers collèges du commissariat, des amis sûrs à l’extérieur, pas mal de chance et aussi les recettes de cuisine d’Adelina, sa femme de ménage, le café (il est Italien) et le whisky qui sont aussi des soutiens efficaces. Ce fut pour moi, comme habitude, un bon moment de lecture. N°1575 - Août 2021 Une voix dans l’ombre– Andrea Camilleri – Fleuve noir. Traduit de l’italien par Serge Quadruppani. On pense ce qu’on veut du jour de son anniversaire (une fête qu’on célèbre avec cadeaux et libations ou, plus précisément dans le cas de notre commissaire, le rappel inexorable de la marche du temps qui donne le vertige), mais ce 6 septembre c’est celui du commissaire Salvo Montalbano (58 ans déjà). Pourtant, dans sa cuisine, il est attaqué par un poulpe destiné à son menu et à la station-service c’est un automobiliste irascible qui s’en prend à lui. Il y a des journées qui commencent sous de meilleurs auspices ! Effectivement, la compagne de son agresseur est assassinée atrocement peu après et le Directeur d’un supermarché cambriolé est retrouvé pendu après avoir été malmené par la police. En réalité, Montalbano y voit la patte de la mafia, l’établissement en question étant sa propriété et aussi la volonté du pouvoir politique de se débarrasser de lui. Pourtant ces deux affaires semblent bien étrangères l’une à l’autre. Les investigations avançant, les choses s’éclaircissent un peu entre meurtre camouflé en suicide, double comptabilité, rapt, faux cambriolage et mise en cause de l’agresseur qui est aussi le fils...
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