Lisez! icon: Search engine
Le Dernier homme
Michèle Albaret-Maatsch (traduit par)
Collection : Pavillons
Date de parution : 24/02/2005
Éditeurs :
Robert Laffont

Le Dernier homme

Michèle Albaret-Maatsch (traduit par)
Collection : Pavillons
Date de parution : 24/02/2005

Un chef-d'oeuvre d'anticipation, au même titre qu'Orange mécanique et Le Meillèur des mondes.
Renouant avec la tradition des Huxley, Orwell, Bradbury et de sa Servante écarlate, Margaret Atwood nous plonge...

Un chef-d'oeuvre d'anticipation, au même titre qu'Orange mécanique et Le Meillèur des mondes.
Renouant avec la tradition des Huxley, Orwell, Bradbury et de sa Servante écarlate, Margaret Atwood nous plonge dans un univers à la fois familier et terrifiant. Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent,...

Un chef-d'oeuvre d'anticipation, au même titre qu'Orange mécanique et Le Meillèur des mondes.
Renouant avec la tradition des Huxley, Orwell, Bradbury et de sa Servante écarlate, Margaret Atwood nous plonge dans un univers à la fois familier et terrifiant. Un monde dévasté à la suite d'une catastrophe écologique sans précédent, où se combinent des conditions climatiques aberrantes, des manipulations génétiques délirantes et un virus foudroyant prompt à détruire l'ensemble de l'humanité. D'ailleurs, c'est presque fait : d'êtres humains, au début du Dernier Homme, il ne reste que Snowman, lequel est confronté à d'étranges créatures génétiquement modifiées - les Crakers, une nouvelle race d' « humains » programmés pour n'être sujets ni à la violence, ni au désir sexuel, ni au fanatisme religieux-, et à des animaux hybrides qui s'appellent désormais porcons, louchiens ou rasconses... Ce monde visionnaire, c'est presque le nôtre...
Pamphlet politique, conte prophétique : avec son humour noir et son intelligence acérée, un souffle romanesque inouï et une générosité contagieuse, le « meilleur des mondes » glorieusement inventif de Margaret Atwood nous tend un miroir saisissant de vérité.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782221101018
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 400
Format : 153 x 240 mm
EAN : 9782221101018
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 400
Format : 153 x 240 mm

Ils en parlent

«Extrêmement palpitant, d’une imagination remarquable.», Sunday Times «Rigoureux par ses terrifiants éclairs de perspicacité et fascinant par sa dramatisation d’un rythme soutenu à partir du postulat “Qu’arriverait-il si…?”. Le superbe roman d’Atwood est aussi brillamment provocateur que profondément attirant.», Booklist «À chaque nouveau roman, Atwood innove. Il est bien rare qu’une phrase de sa prose enlevée, sèche et cependant avide, ne trouve pas sa justification, venant compléter un tableau qui s’avère considérable.», John Updike, The New Yorker «Margaret Atwood est l’un des plus grands écrivains d’aujourd’hui. Son style concis et affirmé est aussi scintillant et dur qu’un diamant. Elle fait de l’ombre à bon nombre de ses contemporains.», The Atlanta Journal-Constitution «“Le Dernier Homme” est l’oeuvre d’une Margaret Atwood au sommet de sa forme: sombre, sèche, mais aussi émouvante et émaillée d’éclairs de poésie pure.», The Independent «C’est un ouvrage puissant et d’une imagination débridée, et il est caractéristique de la part de son auteur qu’elle exerce son imagination non pas pour créer des monstres scientifiques mais pour dépeindre l’humanité.», Spectator «Jimmy revient à la vie de façon poignante. Tout au long du livre, la mécanique de l’intrigue se révèle implacable; on se sent parfois presque à bout de souffle. C’est une lecture haletante.», The Guardian

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ZennYX 04/03/2024
    C'est le premier roman de Margaret Atwood que je lis, une autrice reconnue il me semble. Pour faire simple, j'ai aimé l'ensemble du roman, mais certaines choses m'ont un peu déçu. J'ai aimé l'univers dystopique et post-apocalyptique, je me suis beaucoup reconnu dans le personnage de Snowman, et énormément de passages m'ont plu (c'est d'ailleurs le livre sur lequel j'ai noté le plus de citations). L'histoire se déroule dans un monde où l'humain fait énormément de manipulation sur le vivant, les massacres et le porno extrême et dégueulasse sont très facilement accessibles sur Internet aussi. Tout cela sert à poser la question suivante au lecteur : Quand est-ce qu'on va trop loin ? Et on découvre petit à petit pourquoi la société s'est effondré à travers de nombreux aller retour entre le passé et le présent de Snowman. Le texte aborde plein de sujets intéressants et certains passages sont même très dur à lire (faites gaffe si vous êtres très sensible au sujet de la pédophilie). J'ai aussi beaucoup aimé la scène de fin qui, malgré sa simplicité, en dit beaucoup, et l'univers dépeint par Atwood regorge d'idée que je trouve génial (les porcons, l'Extinctathon...). Snowman est attachant et on s'en fait pour lui dans ce monde détruit. Mais il est aussi hanté par deux autres personnages importants. On a Crake, le meilleur ami de Snowman qui est un homme très intelligent et qui est entouré de mystère jusqu'à la fin du roman, et Oryx, le "grand amour" de Snowman (je met des guillemets parce que je trouve cette histoire d'amour très bizarre). Maintenant, je vais dire ce que j'ai moins aimé dans ma lecture. Déjà, à cause de l'absence des guillemets sur de nombreux passages, j'ai souvent confondu les dialogues des personnages au narrateur. C'était pas toujours clair ou agréable à suivre, et j'ai même trouvé des coquilles. Ensuite, la révélation qui explique pourquoi la société s'est effondré était ni étonnante ni décevante pour moi. Ma réaction était plutôt : « Ah ben d'accord. » Peut-être que j'en attendais trop. Mais sinon, le seul vrai problème pour moi c'est Oryx. Je n'ai toujours pas compris en quoi ce personnage est important. J'ai l'impression qu'elle ne sert à rien, encore plus maintenant que je connais la fin. Snowman l'aimait, mais je ne suis pas sûr que c'était réciproque tellement elle agissait bizarrement (elle m'a même énervé sur sa façon de gérer sa relation avec Snowman). Sans en dire plus, elle a vécu une vie horrible, mais quand elle en parle elle dit que c'était pas si mal. Ce qui me mettait extrêmement mal à l'aise, comme Snowman qui l'écoutait d'ailleurs, mais ce dernier est toujours mis en tort par Oryx, comme si Snowman dramatisait quelque chose de pas si grave que ça. Si c'est fait exprès, et je pense que c'est le cas, je dis bravo à Atwood pour m'avoir énervé sur le comportement d'Oryx à ce sujet. Le seul mec saint d'esprit est jugé comme un gars immature dans ce futur horrible. Même Crake dit des trucs que je trouve aberrant (pas tout le temps non plus), mais Snowman n'arrive jamais à avoir l'argumentation nécessaire pour répondre. Cela m'a autant frustré que terrifié. Du coup, je ne supporte pas Oryx, mais je ne sais pas trop si c'est fait exprès par l'autrice. Au final, j'ai fermé le bouquin avec beaucoup de questions et j'y pense encore. Mais je trouve toujours que Oryx ne sert à rien pour l'intrigue. Donc je vous conseille quand même grandement ce livre. Je lirai les 2 suites, ça c'est sûr.C'est le premier roman de Margaret Atwood que je lis, une autrice reconnue il me semble. Pour faire simple, j'ai aimé l'ensemble du roman, mais certaines choses m'ont un peu déçu. J'ai aimé l'univers dystopique et post-apocalyptique, je me suis beaucoup reconnu dans le personnage de Snowman, et énormément de passages m'ont plu (c'est d'ailleurs le livre sur lequel j'ai noté le plus de citations). L'histoire se déroule dans un monde où l'humain fait énormément de manipulation sur le vivant, les massacres et le porno extrême et dégueulasse sont très facilement accessibles sur Internet aussi. Tout cela sert à poser la question suivante au lecteur : Quand est-ce qu'on va trop loin ? Et on découvre petit à petit pourquoi la société s'est effondré à travers de nombreux aller retour entre le passé et le présent de Snowman. Le texte aborde plein de sujets intéressants et certains passages sont même très dur à lire (faites gaffe si vous êtres très sensible au sujet de la pédophilie). J'ai aussi beaucoup aimé la scène de fin qui, malgré sa simplicité, en dit beaucoup, et l'univers dépeint par Atwood regorge d'idée que je trouve génial (les porcons, l'Extinctathon...). Snowman est attachant et on s'en fait pour lui dans...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Allantvers 01/02/2024
    Projection glaçante dans un futur où l'humanité, sauf un, s'est autodétruite à force de trop jouer avec ses limites, ce thriller post-apo se lit d'une traite mais sans surprise et sans enthousiasme. Très loin du ressenti sur La servante écarlate avec lequel j'avais découvert Atwood, il m'a fait le même effet que sa suite Les testaments: celui d'un roman efficace et facile, sans réelle ambition, formaté comme un produit grand public. Je ne connais de cette auteure que ces trois romans et à ce stade suis dubitative sur les louanges dont on l'encense : y aurait-il, selon ses oeuvres, d'un côté un écrivain exigeant et de l'autre une romancière à succès?
  • dcs919 03/08/2023
    Très belle découverte, grâce à un prêt, de la plume virtuose de Margaret Atwood : une fois accroché par un récit qui peut sembler au premier abord décousu, vous ne le lâcherez plus ! Les brefs chapitres s’enchaînent de manière rythmée et nous décrivent, par petites touches, remontant par flash-back dans la mémoire de Snowman, le personnage principal, un monde post-apocalyptique, visiblement dévasté par un effondrement de la « civilisation » dont on devine qu’il a été provoqué notamment par le dérèglement climatique et la folie humaine. Snowman, qui s’appelait Jimmy dans le monde d’avant, pense être le dernier être humain. Il est l’anti-héros par excellence, amoureux d’Oryx, fillette qu’il voit pour la première fois sur une plateforme pornographique, avant de la retrouver - et finalement la rencontrer tardivement - devenue femme. Oryx a été recrutée pour aider à l’éducation d’une nouvelle espèce d’humanoïdes, les Enfants de Crake, du nom scientifique mégalomane, créés dans l’un des complexes dans laquelle les élites se sont regroupées, protégées du monde extérieur devenu hostile et de la plèbe. Mais l’effondrement global aura eu raison même de ces complexes de haute technologie, l’humanité a visiblement été décimée et voilà Snowman en train de tenter de survivre en trouvant à se nourrir lui, et les Enfants de Crake dont il se sent responsable, en essayant d’échapper aux nouvelles espèces d’animaux hybrides échappés des laboratoires. Au fil des flash-back, Atwood dépeint le monde d’avant, qui n’est pas sans rappeler à de multiples égards notre monde actuel, de manière particulièrement acerbe au point d’amener le lecteur à se demander si, finalement, il n’est pas préférable que cette « civilisation » là ait été décimée. Un style vif, incisif, beaucoup d’humour, souvent caustique, et une capacité à créer des images qui restent imprimées comme si l’on les avait vu au cinéma, en font une lecture mémorable. Premier tome d’une trilogie, ce ne sera pas mon dernier Atwood. Lu en anglais.Très belle découverte, grâce à un prêt, de la plume virtuose de Margaret Atwood : une fois accroché par un récit qui peut sembler au premier abord décousu, vous ne le lâcherez plus ! Les brefs chapitres s’enchaînent de manière rythmée et nous décrivent, par petites touches, remontant par flash-back dans la mémoire de Snowman, le personnage principal, un monde post-apocalyptique, visiblement dévasté par un effondrement de la « civilisation » dont on devine qu’il a été provoqué notamment par le dérèglement climatique et la folie humaine. Snowman, qui s’appelait Jimmy dans le monde d’avant, pense être le dernier être humain. Il est l’anti-héros par excellence, amoureux d’Oryx, fillette qu’il voit pour la première fois sur une plateforme pornographique, avant de la retrouver - et finalement la rencontrer tardivement - devenue femme. Oryx a été recrutée pour aider à l’éducation d’une nouvelle espèce d’humanoïdes, les Enfants de Crake, du nom scientifique mégalomane, créés dans l’un des complexes dans laquelle les élites se sont regroupées, protégées du monde extérieur devenu hostile et de la plèbe. Mais l’effondrement global aura eu raison même de ces complexes de haute technologie, l’humanité a visiblement été décimée et voilà Snowman en train de tenter de survivre en trouvant à se...
    Lire la suite
    En lire moins
  • KorinneC 29/05/2023
    Que voici une drôle d'histoire. Margaret Atwood serait aujourd'hui taxée de complotiste si son roman n'était paru en 2005, bien avant le covid. Elle nous raconte l'histoire de Snowman, ou plutôt Jimmy nous raconte son histoire, avant que l'humanité toute entière ne succombe à un virus, et qu'il se retrouve a veiller sur des créatures génétiquement modifiées. J'ai aimé naviguer de l'horrible présent de ce personnage à son passé tout aussi déplorable, dans un monde futur qui ne fait pas rêver. Un roman qui illustre l'avenir tel qu'on n'en a pas envie mais qui pourrait bien être celui qui nous guette. Un bon livre, pas marrant du tout.
  • cmkmd854ys_1674583915238 25/04/2023
    Un peut compliqué de rentrer dans l’histoire, mais une fois la temporalité et le vocabulaire assimilé, il ce laisse vite dévorer. Certains passage sont pas facile à digérer mais ça apporte beaucoup à la sensation sale et à la remise en question sur la société décrite. Je me languis de plonger dans le tome 2
Abonnez-vous à la newsletter Robert Laffont
Les Éditions Robert Laffont publient de la littérature française et étrangère, des biographies, des témoignages, des mémoires, des romans policiers et d'espionnage, des livres de spiritualité ou encore des livres pratiques.
Chaque mois, recevez toutes les actualités de la maison en vous abonnant à notre newsletter.