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Les Ingratitudes de l'amour
Anouk Neuhoff (traduit par)
Collection : Belfond Vintage
Date de parution : 06/05/2021
Éditeurs :
Belfond

Les Ingratitudes de l'amour

Anouk Neuhoff (traduit par)
Collection : Belfond Vintage
Date de parution : 06/05/2021
Ce livre est une délicieuse plongée pimentée et pleine d’humour dans le Londres des années 1960 ; un contrepied à la norme et aux convenances fort bienvenu. Barbara Pym est aussi vintage que moderne ! 
Dulcie Mainwaring vient de rompre ses fiançailles avec Maurice… Bien déterminée à ne pas laisser cet échec sonner le glas de ses aspirations romantiques, cette pimpante trentenaire décide de se... Dulcie Mainwaring vient de rompre ses fiançailles avec Maurice… Bien déterminée à ne pas laisser cet échec sonner le glas de ses aspirations romantiques, cette pimpante trentenaire décide de se rendre à un colloque, histoire de se changer les idées et, pourquoi pas, faire des rencontres.
Et ça marche ! Sitôt arrivée,...
Dulcie Mainwaring vient de rompre ses fiançailles avec Maurice… Bien déterminée à ne pas laisser cet échec sonner le glas de ses aspirations romantiques, cette pimpante trentenaire décide de se rendre à un colloque, histoire de se changer les idées et, pourquoi pas, faire des rencontres.
Et ça marche ! Sitôt arrivée, elle tombe sous le charme du séduisant Aylwin Forbes, rédacteur en chef d’une revue littéraire. Mais elle n’est pas seule : Viola, jeune femme fougueuse, un brin pimbêche, est elle aussi éprise du bellâtre.
L’union fait la force. Avec pour alibi, une ambitieuse entreprise d’indexage d’ouvrages savants, Dulcie et Viola se lancent dans une enquête aussi comique que risquée afin d’en savoir plus sur leur bien-aimé. Tout cela en rêvant secrètement de mariage… ou pas !
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EAN : 9782714479679
Code sériel : 99999
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782714479679
Code sériel : 99999
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 140 x 205 mm

Ils en parlent

« Lire Barbara Pym est… une merveilleuse expérience, qui nous procure des perceptions, des sensations et des réactions absolument uniques. »
Newsweek
« Barbara Pym nous rappelle que la solitude peut être un choix et qu’un roman animé, puissant, peut être entièrement construit autour de cette vertu controversée qu’est la patience féminine. »
The New Yorker
« Barbara Pym est le plus rare des trésors, elle nous rappelle la déchirante absurdité de notre vie quotidienne. »
Anne Tyler, auteure de Vinegar Girl

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Prailie 17/11/2023
    Un roman « vintage » un peu sage, un peu terne, mais attachant, à l’image de son héroïne, Dulcie Mainwaring, cette trentenaire brisée par un échec amoureux, qui va se lancer dans une enquête méthodique autour d’un séduisant directeur de revue et de son frère pasteur… L’humour et l’ironie y scintillent, par brefs éclats, beaucoup moins présents que chez certaines des consœurs de Barbara Pym… Ainsi incarne-t-elle, dans mon esprit , une sorte de chaînon manquant entre les étourdissantes humoristes des générations précédentes (Muriel Spark, Winnifred Watson) et les froides enquêtrices plongées dans de sordides affaires criminelles qui semblent avoir pris le pas, de nos jours…
  • Sharon 30/04/2023
    J'ai une tendresse particulière pour cette autrice, que j'ai découverte pendant mes études. Barbara Pym est une autrice à part dans le paysage de la littérature anglaise, une autrice hors du temps.  En effet, nous sommes dans les années soixante, mais l'on ne trouve pas vraiment trace de cette époque dans ce récit, si ce n'est dans les aspirations de Laurel, la nièce de Dulcie, venue étudier le secrétariat à Londres (des études qui étaient déjà prisées dans les romans d'Agatha Christie) et qui rêve d'autres choses que d'habiter avec sa tante, dans la maison qu'elle a hérité de ses parents, et dont la décoration n'a guère changé depuis. Dulcie a 31 ans mais se considère déjà comme une vieille fille. Elle a rompu ses fiançailles avec un homme plus jeune, et ne le regrette pas - ce qui ne veut pas dire que cette rupture ne l'a pas fait souffrir. Au cours d'un colloque savant (dont le sujet et les intervenants sont pour la plupart à mourir d'ennui), elle fera deux rencontres importantes : celle de Viola et celle d'Aylwin.  Viola est presque dans la même situation que Dulcie : célibataire, elle effectue des tâches ingrates, dans l'ombre des écrivains et des chercheurs. Elles sont toutes les deux les petites mains de l'édition. Aylwin, lui, est directeur de publication, et sa vie sentimentale n'est pas aussi limpide que celle de Dulcie : il est séparé de sa femme, il est intéressé par une autre, ne s'aperçoit pas qu'une troisième est folle de lui. Pour faire court, il n'a pas ni le sens de l'observation aigüe de Dulcie, ni sa finesse d'analyse. Je pourrai même dire que, du haut de sa tour d'ivoire de directeur de publication, il ne cherche pas à comprendre les femmes, parce qu'il est persuadé que ce qu'elles font, ce qu'elles pensent, est étranger à son propre univers d'érudit. Il plaque des stéréotypes sur la manière d'agir des femmes qui l'entourent, s'arrêtant aux apparences - ce que ne fait pas Dulcie. Si sa vie a changé après le colloque, ce n'est pas tant parce qu'elle a accueilli deux colocataires successivement - sa nièce, puis Viola - mais parce qu'elle enquête sur la vie d'Aylwin et de ses proches. Certes, elle se dira que ce n'est pas très convenable d'agir ainsi, mais ses scrupules cesseront prestement, tant elle se prend au jeu.  Une lecture très agréable. J'ai une tendresse particulière pour cette autrice, que j'ai découverte pendant mes études. Barbara Pym est une autrice à part dans le paysage de la littérature anglaise, une autrice hors du temps.  En effet, nous sommes dans les années soixante, mais l'on ne trouve pas vraiment trace de cette époque dans ce récit, si ce n'est dans les aspirations de Laurel, la nièce de Dulcie, venue étudier le secrétariat à Londres (des études qui étaient déjà prisées dans les romans d'Agatha Christie) et qui rêve d'autres choses que d'habiter avec sa tante, dans la maison qu'elle a hérité de ses parents, et dont la décoration n'a guère changé depuis. Dulcie a 31 ans mais se considère déjà comme une vieille fille. Elle a rompu ses fiançailles avec un homme plus jeune, et ne le regrette pas - ce qui ne veut pas dire que cette rupture ne l'a pas fait souffrir. Au cours d'un colloque savant (dont le sujet et les intervenants sont pour la plupart à mourir d'ennui), elle fera deux rencontres importantes : celle de Viola et celle d'Aylwin.  Viola est presque dans la même situation que Dulcie : célibataire, elle effectue des tâches ingrates, dans l'ombre des écrivains et...
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  • Fortuna 25/04/2023
    Faire de la recherche auprès d'un homme séduisant, même si le sujet est un obscur poète du XVIIIème siècle, voilà l'un des souhaits les plus chers de nombreuses demoiselles qui vieillissent doucement entre le monde universitaire et la paroisse du quartier. Mais le mariage est-il réellement une solution ? Si beaucoup vous diront que non, elles y aspirent malgré tout secrètement… C'est le cas de Dulcie, qui a dépassé la trentaine et vient de rompre ses fiançailles. Pour se distraire elle se rend à un colloque et y rencontre Viola, amoureuse du séduisant professeur Aylwin Forbes, mal marié, pour lequel elle rédige des index. Viola vient s'installer chez Dulcie qui lui loue une chambre dans sa trop vaste maison de banlieue. L'intérêt de Dulcie va s'éveiller pour la famille Forbes dont elle suit la trace, mère, belle-mère, femme, frère mais verra d'un oeil plus sévère s'installer un flirt entre le quadragénaire et sa jeune nièce Laurel qu'elle héberge également. Viola va vite renoncer à Alwin et se tourner vers Bill Sedge, le frère de la gouvernante de la tante de Dulcie, Hermione. Cette dernière s'apprête d'ailleurs à épouser, malgré un âge vénérable, un révérend dont la soeur vient de mourir ; le frère d'Hermione, avec lequel elle partageait sa vie, ayant décidé de se retirer dans les ordres. Viola va se marier, Laurel habite à Londres, la maison de Dulcie est désormais bien vide à son tour. Et puisqu'Alwin décide de divorcer et que Laurel n'est pas une épouse qui puisse lui convenir… Barabara Pym s'amuse une fois encore dans ce chassé-croisé de couples mal assortis, de vieilles filles, d'hommes d'église et de professeurs plus ou moins libertins…Si l‘amour n'est pas toujours au rendez-vous, la solitude semble difficilement supportable… Et entre un colloque à périr d'ennui, une vente de charité poussiéreuse, deux ou trois tasses de thé et un petit verre de brandy, on se régale de cet humour anglais sans égal ! Faire de la recherche auprès d'un homme séduisant, même si le sujet est un obscur poète du XVIIIème siècle, voilà l'un des souhaits les plus chers de nombreuses demoiselles qui vieillissent doucement entre le monde universitaire et la paroisse du quartier. Mais le mariage est-il réellement une solution ? Si beaucoup vous diront que non, elles y aspirent malgré tout secrètement… C'est le cas de Dulcie, qui a dépassé la trentaine et vient de rompre ses fiançailles. Pour se distraire elle se rend à un colloque et y rencontre Viola, amoureuse du séduisant professeur Aylwin Forbes, mal marié, pour lequel elle rédige des index. Viola vient s'installer chez Dulcie qui lui loue une chambre dans sa trop vaste maison de banlieue. L'intérêt de Dulcie va s'éveiller pour la famille Forbes dont elle suit la trace, mère, belle-mère, femme, frère mais verra d'un oeil plus sévère s'installer un flirt entre le quadragénaire et sa jeune nièce Laurel qu'elle héberge également. Viola va vite renoncer à Alwin et se tourner vers Bill Sedge, le frère de la gouvernante de la tante de Dulcie, Hermione. Cette dernière s'apprête d'ailleurs à épouser, malgré un âge vénérable, un révérend dont la soeur vient de mourir ; le...
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  • Biblioroz 12/03/2023
    Comment tout cela a-t-il commencé ? S’interroge Dulcie. Eh bien parce que Barbara Pym, comme à son habitude, lui a donné le rôle de la trentenaire encore désespérément, et même, disons-le franchement, honteusement célibataire. Pourtant, Dulcie était fiancée mais ce statut ne convenait pas à cette histoire alors, dès l’ouverture du livre, le fiancé a rompu, sous le prétexte flatteur pour Dulcie qu’il se jugeait indigne de son amour. Le résultat n’en reste pas moins un cœur brisé et surtout, la continuité d’une vie de célibataire. Pour en finir avec les premiers mois d’abattement, elle se rend à un colloque, le temps d’un week-end, où écrivains et membres du clergé vont débattre de quelques questions du monde intellectuel. Dulcie y fait la connaissance de Viola, une autre célibataire, qui travaille comme elle dans ce qu’elle qualifie de tâches ingrates et monotones en périphérie des écrivains : correction d’épreuves, bibliographie et élaboration des index. Dans les participants, elles cherchent, sait-on jamais, les hommes séduisants et Aylwin Forbes, directeur d’une revue, beau blond aux yeux foncés, peut amplement mériter ce qualificatif. Viola a déjà travaillé pour lui et, tout en essayant de fausser compagnie à Dulcie, elle compte bien attirer vers elle ce conférencier dont la femme vient de quitter le domicile conjugal. Et Dulcie de s’exclamer « Mon Dieu, comme il est beau ! » Alors qui, de ces deux célibataires, arrivera à charmer Aylwin Forbes afin d’y gagner un mariage qui représente une fin en soi dans ces années soixante, l’accomplissement indispensable pour être une « vraie femme » ? Barbara Pym, avec cette saveur quelque peu désuète qui s’attache à ses romans, observe la vie de ces deux Londoniennes. Une vie plutôt terne qu’il faut donc pimenter un peu avec la recherche d’un mari. Pourtant, dans ces pages, les hommes présents ne brillent pas par leur clairvoyance, ni leur force de caractère ! De retour à Londres, où Dulcie vit dans une maison trop grande pour elle seule, elle va héberger une nièce venue prendre des cours de secrétariat sur la capitale. Puis ce sera au tour de Viola de lui demander l’hospitalité pour un temps. Le caractère de cette dernière reste assez insaisissable, plutôt morne et peu sympathique. Dans ce trio de femmes bien peu assorties, on assiste à des conversations pleines d’embarras, au mépris de la jeune nièce Laurel pour les deux trentenaires trop ringardes, à la honte d’habiter en banlieue de Londres, si loin des quartiers plus branchés, plus animés et plus riches. Mais surtout, on va suivre Dulcie qui a enfin trouvé un dérivatif passionnant à sa solitude en farfouillant dans la vie du beau quadragénaire. «J’adore faire des découvertes sur les gens, reprit Dulcie. Je suppose que c’est une espèce de compensation pour pallier la monotonie de la vie quotidienne ».Après quelques infos glanées dans le Who’s Who, elle se lance avidement dans ses recherches, multipliant les approches auprès de la femme, du frère pasteur ou de la mère du bel Aylwin. Elle est elle-même surprise et confuse, avec quelques scrupules faisant surface, de sa détermination et de son indiscrétion. Encore une fois, rien de trépidant dans ce roman de Barbara Pym mais une moquerie douce amère autour du mariage coûte que coûte alors que des mésalliances existent bel et bien. Dulcie s’acharne à trouver un mari mais n’en demeure pas moins consciente que les mariages raisonnables sont peu nombreux, ceux mal assortis par faute de goût des hommes sont beaucoup plus fréquents. Tout en prenant des tasses de thé et d’Ovaltine, ou occasionnellement quelque chose de plus corsé comme du sherry ou même du gin, Dulcie dérive sur la vie et ses déconvenues « Peut-être la vie répondait-elle à quelque dessein en fin de compte. C’était peut-être comme un roman bien élaboré, où chaque incident contenait sa propre signification particulière et s’avérait indispensable à l’intrigue. » Ces ingratitudes de l’amour m’ont moins passionnée que mes deux précédentes lectures de l’auteure, peut-être parce que ces deux célibataires-là sont plus lisses, plus ternes que celles qui évoluaient dans les autres titres. L’écriture, elle, reste toujours aussi délicieuse et ce petit échantillon romanesque de la vie londonienne se savoure tout de même, coloré par son irrésistible mordant so british. Comment tout cela a-t-il commencé ? S’interroge Dulcie. Eh bien parce que Barbara Pym, comme à son habitude, lui a donné le rôle de la trentenaire encore désespérément, et même, disons-le franchement, honteusement célibataire. Pourtant, Dulcie était fiancée mais ce statut ne convenait pas à cette histoire alors, dès l’ouverture du livre, le fiancé a rompu, sous le prétexte flatteur pour Dulcie qu’il se jugeait indigne de son amour. Le résultat n’en reste pas moins un cœur brisé et surtout, la continuité d’une vie de célibataire. Pour en finir avec les premiers mois d’abattement, elle se rend à un colloque, le temps d’un week-end, où écrivains et membres du clergé vont débattre de quelques questions du monde intellectuel. Dulcie y fait la connaissance de Viola, une autre célibataire, qui travaille comme elle dans ce qu’elle qualifie de tâches ingrates et monotones en périphérie des écrivains : correction d’épreuves, bibliographie et élaboration des index. Dans les participants, elles cherchent, sait-on jamais, les hommes séduisants et Aylwin Forbes, directeur d’une revue, beau blond aux yeux foncés, peut amplement mériter ce qualificatif. Viola a déjà travaillé pour lui et, tout en essayant de fausser compagnie à Dulcie, elle compte bien attirer vers elle ce conférencier dont...
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  • Doralex72 29/11/2022
    Dulcie Mainwaring, trente-cinq ans, rompt ses fiançailles avec Maurice et se retrouve bien tristement vieille fille. Cette pimpante jeune femme ne se laisse pas abattre par ce momentané coup du sort et décide d’aller se changer les idées dans…un colloque rempli d’intellectuels. S’il est un endroit saugrenu pour se remonter le moral c’est bien là-bas. Et il est encore plus saugrenu d’espérer y faire des rencontres, voire la rencontre qu’elle espère désormais. Elle rencontre tout d’abord Viola, une jeune femme célibataire également mais un tantinet pimbêche, avec qui elle va se lier. Les deux femmes vont rencontre lors de ce salon un homme, un intellectuel quelque peu arrogant et suffisant, mais terriblement craquant, Aylwin Forbes. Viola le connaît et voudrait le séduire, Dulcie voudrait le séduire et souhaiterait que Viola l’aide dans cette entreprise. Démarre alors un triangle amoureux assez savoureux. Revenus à Londres, les deux femmes vont se revoir et devenir amie. De multiples aventures vont leur arriver avec toujours en ligne de mire, le fameux Aylwin Forbes. Ce roman est savoureux et enjoué. La construction des personnages est minutieuse et la psychologies de deux femmes est particulièrement bien exposée et décortiquée. Il ne se passe pas grand-chose dans ce roman, mais c’est davantage ce qu’il raconte d’une époque qui compte. Avec Les ingratitudes de l’amour, c’est la banalité du quotidien et souvent son absurdité qui est mis en scène. Dulcie Mainwaring, trente-cinq ans, rompt ses fiançailles avec Maurice et se retrouve bien tristement vieille fille. Cette pimpante jeune femme ne se laisse pas abattre par ce momentané coup du sort et décide d’aller se changer les idées dans…un colloque rempli d’intellectuels. S’il est un endroit saugrenu pour se remonter le moral c’est bien là-bas. Et il est encore plus saugrenu d’espérer y faire des rencontres, voire la rencontre qu’elle espère désormais. Elle rencontre tout d’abord Viola, une jeune femme célibataire également mais un tantinet pimbêche, avec qui elle va se lier. Les deux femmes vont rencontre lors de ce salon un homme, un intellectuel quelque peu arrogant et suffisant, mais terriblement craquant, Aylwin Forbes. Viola le connaît et voudrait le séduire, Dulcie voudrait le séduire et souhaiterait que Viola l’aide dans cette entreprise. Démarre alors un triangle amoureux assez savoureux. Revenus à Londres, les deux femmes vont se revoir et devenir amie. De multiples aventures vont leur arriver avec toujours en ligne de mire, le fameux Aylwin Forbes. Ce roman est savoureux et enjoué. La construction des personnages est minutieuse et la psychologies de deux femmes est particulièrement bien exposée et décortiquée. Il ne se passe pas grand-chose dans...
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