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Les Pyromanes - Rentrée littéraire 2023
« Les Pyromanes : c'est le récit d'un ravage. Et c'est ravageur. J'ai adoré. Bravo ! » Amélie Nothomb
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 24/08/2023
Éditeurs :
L'Archipel

Les Pyromanes - Rentrée littéraire 2023

« Les Pyromanes : c'est le récit d'un ravage. Et c'est ravageur. J'ai adoré. Bravo ! » Amélie Nothomb

Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 24/08/2023
Thérèse Sommer est une femme passionnée qui régente son petit univers et se pense sans rivale, jusqu’à la naissance non désirée d’une fille. L’une d’elles est de trop et tous les coups sont permis pour survivre. Un livre qui pousse la rivalité mère-fille à son paroxysme.

«  Les Pyromanes : c’est le récit d’un ravage. Et c’est ravageur. J’ai adoré. Bravo ! »
Amélie Nothomb
Dans un village reculé de Normandie, Thérèse Sommer attise les passions et dicte sa loi : à son mari qu’elle trompe, à sa mère qu’elle méprise, à ses amants qu’elle... Dans un village reculé de Normandie, Thérèse Sommer attise les passions et dicte sa loi : à son mari qu’elle trompe, à sa mère qu’elle méprise, à ses amants qu’elle consume.
Libre et indépendante, maîtresse de son petit monde, on ne lui connaît pas de rivale. Jusqu’à la naissance de sa...
Dans un village reculé de Normandie, Thérèse Sommer attise les passions et dicte sa loi : à son mari qu’elle trompe, à sa mère qu’elle méprise, à ses amants qu’elle consume.
Libre et indépendante, maîtresse de son petit monde, on ne lui connaît pas de rivale. Jusqu’à la naissance de sa fille.
Enfant non désirée, Françoise grandit entre haine et maltraitance. Nuit et jour, elle implore le Ciel et les saints de la libérer de la tyrannie de sa mère. L’une d’elles est de trop.
Françoise doit faire un choix : cultiver la flamme d’un cierge pour son salut ou allumer le brasier de la colère ?

La vertu peut-elle naître du vice ?
Peut-on haïr sans se brûler ?
Aimer sans s’embraser ?

La presse et les libraires en parlent:
« Un deuxième roman addictif. » 
Ouest France

« Remarquable. » 
La Manche Libre

« Nul doute que ce jeune écrivain est à l’aube d’une belle et longue carrière. » 
La Presse de la Manche

« Une histoire incandescente, ardente, époustouflante, menée d’une main de maître. » 
Sandrine Dantard, Fnac Grenoble

« Une véritable bombe. » 
Barbara, Librairies Attitudes

« Incandescent, machiavélique, démoniaque… Épatant ! » 
Benoît Lacoste, Librairie Aux Feuilles Volantes 
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EAN : 9782809846683
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 464
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782809846683
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 464
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MonFilRouge 09/02/2024
    « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. » Enfin ça, c'est dans la théorie... en pratique, c'est parfois différent et ce n'est pas Françoise qui risque de me contredire. Entre un père alcoolique et une mère tyrannique, toutes les cases étaient cochées pour qu'elle devienne une enfant de la haine. Moralité, grandir dans un tel milieu hostile, entre maltraitance et inceste, il lui fallut une belle dose de foi pour l'aider à tenir le coup. Saviez-vous que "...Près de 3 enfants sur 4 – soit 300 millions d’enfants – âgés de 2 à 4 ans subissent régulièrement des châtiments corporels et/ou des violences psychologiques de la part de leurs parents et des personnes qui s’occupent d’eux ? La maltraitance provoque un stress auquel on associe une perturbation du développement précoce du cerveau. Un stress extrême peut affecter le développement du système nerveux et immunitaire. Dès lors, les enfants maltraités, devenus adultes, sont davantage exposés à divers problèmes comportementaux, physiques ou psychiques". Extrait OMS. Pourquoi j’ai aimé « Les pyromanes » ? Ce livre renferme beaucoup d'humour (bon OK, c'est de l'humour noir, J'en conviens...) mais aussi énormément de maturité face à une actualité qui est souvent encore trop présente autour de nous: les séquelles dune enfance esquintée. La folie pure sous toutes ses formes. Une gifle quant au devenir de ces enfants maltraités. Nous partons à la rencontre de Françoise, née au mauvais endroit, au mauvais moment. Ce roman c'est son histoire, son destin. Celui d'une enfant devenue femme ayant subi une vie qu'elle aurait probablement souhaitée meilleure. Malgré un décor sombre, au fin fond d'un petit village rural des années 50, où chaque habitant méprise et radote à la perfection, nous allons donc découvrir des personnes détestables tout comme nous attacher à d'autres plus humaines, notamment Jeanne, la grand-mère de Françoise, seule à lui prodiguer un peu de chaleur. Tout au long de notre lecture la perversité est au rendez-vous, la tension est palpable et ce, chapitre après chapitre et je pense que Vincent Delareux en joue merveilleusement bien. Ce que j'ai particulièrement apprécié aussi c'est qu'il sache doser le thème de la religion sans que ça en devienne assommant. Bref, un roman noir, superbement écrit que je ne peux que recommander !« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. » Enfin ça, c'est dans la théorie... en pratique, c'est parfois différent et ce n'est pas Françoise qui risque de me contredire. Entre un père alcoolique et une mère tyrannique, toutes les cases étaient cochées pour qu'elle devienne une enfant de la haine. Moralité, grandir dans un tel milieu hostile, entre maltraitance et inceste, il lui fallut une belle dose de foi pour l'aider à tenir le coup. Saviez-vous que "...Près de 3 enfants sur 4 – soit 300 millions d’enfants – âgés de 2 à 4 ans subissent régulièrement des châtiments corporels et/ou des violences psychologiques de la part de leurs parents et des personnes qui s’occupent d’eux ? La maltraitance provoque un stress auquel on associe une perturbation du développement précoce du cerveau. Un stress extrême peut affecter le développement du système nerveux et immunitaire. Dès lors, les enfants maltraités, devenus adultes, sont davantage exposés à divers problèmes comportementaux, physiques ou psychiques". Extrait OMS. Pourquoi j’ai aimé « Les pyromanes » ? Ce livre renferme beaucoup d'humour (bon OK, c'est de l'humour noir, J'en conviens...) mais aussi énormément de maturité face à une actualité qui est souvent encore trop présente autour de nous:...
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  • Ecureuil73 29/01/2024
    Et bien dans ce post je vais vous présenter mon premier coup de coeur brûlant de 2024. Une fascination incandescente m'a possédée tout le long de cette lecture. Je suis tombée dans les flammes de l'enfer et je me suis consumée en en voulant toujours plus. Les ténèbres fondent sur la vie de ces femmes de la famille Sommer comme la misère sur le monde. Aucun temps mort , la férocité de la condition humaine s'offre à nous tel un tisonnier rougis montrant le chemin de la souffrance intérieure. Les divers sujets abordés (inceste, meurtres, maltraitances, relations sociales et familiales, addictions, la folie...) glacent les sangs, offrant une parenthèse pour adoucir cette combustion. Les titres, les noms (notamment du village) ne laissent rien au hasard; tout est travaillé, réfléchi, peaufiné, intelligemment amené pour que des frissons brûlants vous parcourent sans cesse. La finesse, la légèreté, le côté éphémère et dévastateur de la flamme nous embrase, les âmes les plus sombres sont éviscérées, découpées sans scrupules à la manière d'un Maupassant (auteur normand que je vénère), acerbe et percutant La carbonisation vous attend, ce livre va vous brûler les doigts et le coeur de désir sans jamais s'éteindre. Les braises de l'addiction vous appellent, laissez vous consumer et savourez ce feu ardant et hypnotisant ! Vivement le 3ème volet de ce triptyque .Et bien dans ce post je vais vous présenter mon premier coup de coeur brûlant de 2024. Une fascination incandescente m'a possédée tout le long de cette lecture. Je suis tombée dans les flammes de l'enfer et je me suis consumée en en voulant toujours plus. Les ténèbres fondent sur la vie de ces femmes de la famille Sommer comme la misère sur le monde. Aucun temps mort , la férocité de la condition humaine s'offre à nous tel un tisonnier rougis montrant le chemin de la souffrance intérieure. Les divers sujets abordés (inceste, meurtres, maltraitances, relations sociales et familiales, addictions, la folie...) glacent les sangs, offrant une parenthèse pour adoucir cette combustion. Les titres, les noms (notamment du village) ne laissent rien au hasard; tout est travaillé, réfléchi, peaufiné, intelligemment amené pour que des frissons brûlants vous parcourent sans cesse. La finesse, la légèreté, le côté éphémère et dévastateur de la flamme nous embrase, les âmes les plus sombres sont éviscérées, découpées sans scrupules à la manière d'un Maupassant (auteur normand que je vénère), acerbe et percutant La carbonisation vous attend, ce livre va vous brûler les doigts et le coeur de désir sans jamais s'éteindre. Les braises...
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  • Thalie4 13/01/2024
    Un roman noir et brûlant ! Un destin tragique, celui de Françoise Sommer. Enfant non désirée d'une femme nymphomane, sa place n'est pas dans ce monde. Tour à tour victime et bourreau, oscillant entre rancune et ferveur religieuse, le bonheur lui échappe. Vincent Delareux signe ici un roman fort où la lumière n'a pas sa place, si ce n'est celle du feu destructeur. Feu purificateur ou feu des enfers, vous le saurez en lisant ce récit hors norme. Prières à une sainte, vœux démoniaques, le bien et le mal se côtoient et floutent la frontière qui les sépare. Tour à tour ange et démon, Françoise se débat pour rester en vie. Abimée, saccagée, c'est pourtant l'amour qui la tient debout. Tout d'abord celui pour mémé cocotte, puis pour son Saint Esprit, mais rien ne peut être facile pour elle. Sa vision du monde n'est pas la notre et elle façonne son environnement à ses envies. Détresse, violence, folie, telle est sa vie. On entre dans ce roman sur la pointe des pieds, voyeurs de ses malheurs, et on en ressort malmenés, ne sachant si on l'a aimée ou détestée. Ce qui est certain, c'est qu'elle a su nous toucher, direct en plein cœur. Dans toute cette obscurité, de nombreuses phrases font écho. Je n'en écrirai qu'une ici : "...on n'était jamais seul à se tuer. Les prétendus suicidés n'étaient que des victimes à qui l'on faisait porter le chapeau, et un cœur meurtri supposait l'existence d'un bourreau." Une magnifique écriture qui sert un roman qui ne ressemble à aucun autre. À découvrir !Un roman noir et brûlant ! Un destin tragique, celui de Françoise Sommer. Enfant non désirée d'une femme nymphomane, sa place n'est pas dans ce monde. Tour à tour victime et bourreau, oscillant entre rancune et ferveur religieuse, le bonheur lui échappe. Vincent Delareux signe ici un roman fort où la lumière n'a pas sa place, si ce n'est celle du feu destructeur. Feu purificateur ou feu des enfers, vous le saurez en lisant ce récit hors norme. Prières à une sainte, vœux démoniaques, le bien et le mal se côtoient et floutent la frontière qui les sépare. Tour à tour ange et démon, Françoise se débat pour rester en vie. Abimée, saccagée, c'est pourtant l'amour qui la tient debout. Tout d'abord celui pour mémé cocotte, puis pour son Saint Esprit, mais rien ne peut être facile pour elle. Sa vision du monde n'est pas la notre et elle façonne son environnement à ses envies. Détresse, violence, folie, telle est sa vie. On entre dans ce roman sur la pointe des pieds, voyeurs de ses malheurs, et on en ressort malmenés, ne sachant si on l'a aimée ou détestée. Ce qui est certain, c'est qu'elle a su nous toucher, direct en plein cœur. Dans toute...
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  • laptitebricole 09/01/2024
    On évolue au fil des pages avec Françoise, enfant unique de Thérèse qui lui mènera une vie faite de sévices et d’emprise psychologique. L’auteur décrit parfaitement le fonctionnement de ses personnages avec toutes leurs dimensions psychologiques. Il nous permet de suivre le parcours de Françoise de l’enfance à l’âge adulte en nous laissant souvent en apnée face à la violence et à l’ambiance familiale trouble et malsaine. Un personnage assez central également permettra d’apaiser un peu cette lecture parfois oppressante. Il s’agit de Jeanne, la grand-mère, qui semble presque l’une des seule à avoir cette dose d’humanité qui réchauffe un peu les cœurs face à toute cette noirceur. Les chapitres courts nous tiennent en haleine et l’écriture acérée mais très fine de l’auteur sont un vrai plaisir. Cette écriture qui comporte un vocabulaire riche et étayé n’en est que plus appréciable car souvent dénuée chez les auteurs récents. Elle est une qualité supplémentaire qui donne envie de découvrir ce que nous réserve Vincent Delareux pour son prochain roman. Un roman dur mais qui tient en haleine.
  • Nath_Des_livres_et_un_peu_de_moi 07/01/2024
    𝙄𝙡 𝙨𝙪𝙛𝙛𝙞𝙧𝙖 𝙙'𝙪𝙣𝙚 𝙚#769;𝙩𝙞𝙣𝙘𝙚𝙡𝙡𝙚 Enorme 𝐂𝐨𝐮𝐩 𝐝𝐞 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫 pour ce roman : une de mes meilleures lecture de 2023 ! Ne passez surtout pas à côté de ce livre sans vous arrêter : c'est une merveille ! C'est sombre, mais quel texte ! Quel travail de qualité ! Allez, je propose de commencer par vous le pitcher : Thérèse aime les hommes et les hommes aiment Thérèse. Sa vie s'écoule ainsi, au rythme de ses aventures, et guidée par cette certitude, quand la plus brutale et détestable des nouvelles lui est faite : elle est enceinte. L'intrus est déjà installé depuis environ 6 mois. Thérèse ne veut pas de cet enfant mais il arrivera quand même. Dans la nuit du 16 au 17 mars, elle met au monde ce petit être sanguinolent et immonde dont elle se détourne immédiatement. Le supplice débutait : elle ne l'avait pas désirée, c'était une fille et elle allait vivre... Oui, Françoise allait vivre, envers et contre tous, juste assez bercée et aimée par une grand-mère dont la bienveillance en pointillés lui donnerait le minimum pour y parvenir. Elle qui, par sa naissance et jusque dans ce prénom, choisi par son père, viendrait inscrire dans la chair de sa mère sa dangerosité et la rivalité à laquelle elle l'exposait, et les contraintes auxquelles elle devrait se plier... un peu. Tout comme dans le cas Victor Sommer, l'écriture de Vincent DELAREUX est venue m'embarquer immédiatement. Tout est travaillé avec soin, de la psychologie des personnages au choix des mots. Le champs lexical du feu est très présent et bien exploité. Malgré le drame et le côté très dark de l'histoire qui se déroule sous nos yeux, on n'arrive plus à lâcher ce livre. On tourne les pages, on sourit, on frémit, on frissonne, on grimace, on se perd dans les sentiments qu'éveillent en nous chacun des personnages dans leur dualité psychique. On voudrait tant que ce soit aussi simple que l'amour ou la haine, et pourtant... Une fois encore, la vraie force de ce roman de Vincent, c'est cette montée en puissance au fil des pages et des chapitres qui laisse son lecteur témoin impuissant, presque voyeur, d'une histoire qui le dépasse et dont il n'ose croire où elle va l'emmener. Les grands thèmes freudiens du déni, du rejet, de la toute-puissance, de l'intrusion, de l'infraction psychique sont distillés avec pertinence dans une intrigue explosive. Ajoutons celui de la mère tentaculaire (que l'on retrouve ici, comme dans Le cas Victor Sommer), la question de l'héritage familial et des répétitions intrafamiliales et celui des maltraitances diverses. Vous pouvez imaginer ce qui vous attend... mais sachez que vous êtes encore loin du compte ! Ce livre est un 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁 𝗰𝗵𝗲𝗳-𝗱'𝗼𝗲𝘂𝘃𝗿𝗲, une étincelle qui enflamme tout sur son passage et qui ne pourra pas vous laisser indifférent !𝙄𝙡 𝙨𝙪𝙛𝙛𝙞𝙧𝙖 𝙙'𝙪𝙣𝙚 𝙚#769;𝙩𝙞𝙣𝙘𝙚𝙡𝙡𝙚 Enorme 𝐂𝐨𝐮𝐩 𝐝𝐞 𝐂𝐨𝐞𝐮𝐫 pour ce roman : une de mes meilleures lecture de 2023 ! Ne passez surtout pas à côté de ce livre sans vous arrêter : c'est une merveille ! C'est sombre, mais quel texte ! Quel travail de qualité ! Allez, je propose de commencer par vous le pitcher : Thérèse aime les hommes et les hommes aiment Thérèse. Sa vie s'écoule ainsi, au rythme de ses aventures, et guidée par cette certitude, quand la plus brutale et détestable des nouvelles lui est faite : elle est enceinte. L'intrus est déjà installé depuis environ 6 mois. Thérèse ne veut pas de cet enfant mais il arrivera quand même. Dans la nuit du 16 au 17 mars, elle met au monde ce petit être sanguinolent et immonde dont elle se détourne immédiatement. Le supplice débutait : elle ne l'avait pas désirée, c'était une fille et elle allait vivre... Oui, Françoise allait vivre, envers et contre tous, juste assez bercée et aimée par une grand-mère dont la bienveillance en pointillés lui donnerait le minimum pour y parvenir. Elle qui, par sa naissance et jusque dans ce prénom, choisi par son père, viendrait inscrire dans la chair de sa...
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