« Il fallait un regard extérieur celui dun irlandais installé à New York pour décrire sans apitoiement cette condition humaine. Il fallait un jeune romancier capable daffronter les ténèbres pour côtoyer ces hommes-taupes et leur rendre une dignité littéraire. Colum McCann est celui-là. »
Florence Noiville - Le Monde
« On est pris par la reconstitution, saisi par latmosphère étouffante, par lauthenticité du récit, la générosité des personnages, on y croit. [
] Colum McCann avec un savoir-faire redoutable emporte ladhésion du lecteur, il le transporte littéralement hors des entrailles cauchemardesques de New York pour le ramener sain et sauf à lair libre, en pleine lumière. »
Bruno Corty - Le Figaro
« Cest un roman dune noirceur terrible, un voyage au bout de la nuit. Mais cest aussi un roman hanté par la grâce : 300 pages de ténèbres et de lumières, où une nouvelle recrue des lettres irlandaises simpose dans le sillage des McGahern et autres McCourt. [
] au carrefour de lethnographie et du réalisme magique le plus incandescent, Les Saisons de la nuit sont la version new-yorkaise des Mystères de Paris. »
André Clavel - LExpress
« Le minutieux travail de recherche entrepris par McCann, [
] lui permet de se tenir à lécart des clichés, sans pour autant lempêcher duser à plein de son sens aigu de lellipse. Le deuxième chapitre du livre [
] restera comme un véritable morceau danthologie. »
Sylvain Bourmeau - Les Inrockuptibles
« Colum McCann est un écrivain, un grand. Ses mots, ses phrases, ses romans, traquent lâme des êtres, fouillent les consciences jusquaux recoins de la nuit »
Fabrice Lanfranchi - LHumanité
« [Colum McCann] donne à lire des pages âpres, violentes, trépidantes, trempées dans les recoins les plus ténébreux dune vie qui font de ce roman un voyage au centre dune mégalopole dont on ressort terrassé, emballé. [
] McCann a peint une fresque impeccable de la rédemption plantée dans la Grosse Pomme : qui savait quelle donnait encore des fruits aussi savoureux ? »
Olivier Cariguel - Le Magazine Littéraire