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Nouveauté
Oeuvres complètes - Tragédies tome1
édition bilingue
Date de parution : 31/01/2023
Éditeurs :
Bouquins
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Nouveauté

Oeuvres complètes - Tragédies tome1

édition bilingue

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Date de parution : 31/01/2023
Le plus grand magicien des mots de toute l’histoire du théâtre. Le texte original avec, en regard, une nouvelle traduction française due à une équipe de quinze spécialistes internationalement connus. La seule édition bilingue complète.
Shakespeare est, sans aucun doute, l'un des géants de la littérature mondiale. Il domine, et de très haut, le paysage littéraire, aux côtés d'Homère, de Dante, de Goethe. En France,... Shakespeare est, sans aucun doute, l'un des géants de la littérature mondiale. Il domine, et de très haut, le paysage littéraire, aux côtés d'Homère, de Dante, de Goethe. En France, toutefois, il n'a pas connu la même fortune que ces derniers. Bien au contraire. L'histoire des traductions et des adaptations... Shakespeare est, sans aucun doute, l'un des géants de la littérature mondiale. Il domine, et de très haut, le paysage littéraire, aux côtés d'Homère, de Dante, de Goethe. En France, toutefois, il n'a pas connu la même fortune que ces derniers. Bien au contraire. L'histoire des traductions et des adaptations de Shakespeare, de Voltaire à Vigny, de François-Victor Hugo à Gide et jusqu'à nos jours est, aussi, l'histoire d'une infortune, d'une incompréhension.
Comment échapper au dilemme entre une adaptation plus ou moins libre (une belle infidèle) et une version interlinéaire ? En mettant sous les yeux du lecteur à la fois l'original anglais et une nouvelle traduction française. Pas n'importe quel original, mais celui qui correspond à l'état le plus récent de la recherche shakespearienne en Angleterre : les Complete Works publiés par les plus grands universitaires d'Oxford en 1986. En regard de la dernière version revue de l'édition d'Oxford (1993), les meilleurs spécialistes français ont donné de nouvelles traductions, tenant compte à la fois des exigences de la scène et des qualités littéraires des textes. Une pièce de théâtre n'est pas, d'abord, destinée à la lecture ; elle doit être «parlée». Une riche annotation, des introductions, des préfaces à chacune des pièces, un «Dictionnaire de Shakespeare», une chronologie, un répertoire des personnages font de cette édition un instrument de travail incomparable.

Cette édition bilingue des Œuvres complètes de Shakespeare comporte huit volumes : deux volumes de «Tragédies», deux volumes de «Pièces historiques», deux volumes de «Comédies» et deux volumes contenant les «Tragi-comédies» et les «Sonnets». Elle est placée sous la direction de Michel Grivelet et Gilles Monsarrat, connus pour leurs travaux sur Shakespeare et le théâtre élisabéthain. Les traductions des «Tragédies» sont dues à Victor Bourgy, Michel Grivelet, Louis Lecocq, Gilles Monsarrat, Jean-Claude Sallé, Léone Teyssandier, qui sont également responsables des présentations, des notes et du «Dictionnaire de Shakespeare».
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EAN : 9782382923610
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1120
Format : 132 x 198 mm
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EAN : 9782382923610
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1120
Format : 132 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LiaLynn 07/03/2023
    J’ai passé un bon moment avec ce classique, même si le vocabulaire et les tournures de phrases étaient complexes. C’est un classique intéressant sur le thème de la trahison, qui a fortement influencer d’autre artiste à travers les années. J’ai juste tiqué sur les morts des personnages qui sont à l’image de celle de Marion Cotillard dans Batman. Je sais que c’était les codes de la tragédie de l’époque mais ça m’a pas mal perturbé. J’ai lu en VF, et clairement, jamais je n’aurai pu lire ce livre en Anglais
  • CindyGabrielle 06/03/2023
    Commencer Hamlet c'est un peu comme s'attaquer au Mont Fuji. On sait qu'on va atteindre un sommet mais que la grimpette sera ardue. Personnellement, j'ai approché cette lecture comme une préparation au vrai Hamlet: celui qui est joué ! Shakespeare n'a jamais écrit pour être lu mais bien pour être entendu et ... vu. Le texte sans le jeu des acteurs a bien moins de saveur, et sonne moins bien à l'oreille. Est-ce qu'Hamlet est fou ou simule-t-il juste la folie pour piéger le roi? Lo and behold, cela dépendra de l'acteur
  • Socrate05 02/03/2023
    Classique parmi les classiques, c'est une histoire que j'ai rencontrée 1000 fois sans jamais l'avoir lue, et il était temps de remédier à ça ! Le livre est petit, et il se lit rapidement. Du moins, quand on a l'habitude de lire. Autrement, on risque d'être décontenancé par 2 aspects : - la narration propre au théâtre, qui diffère de la narration de roman "classique" - le vocabulaire et les tournures de phrase propres à l'époque peuvent prendre au dépourvu (n'oublions pas qu'il s'agit ici d'un poème) Bien qu'il s'agisse d'une histoire d'amour assez banale, je dois dire que j'ai été pris au jeu, et que je suivais attentivement les différents développements et quiproquos de l'histoire ! Ce doit être mon côté fleur bleue #x1f60d Et puisque tout se lit rapidement, et bien tous les événements s'enchaînent à un rythme effréné, et ça nous tient en haleine jusqu'au bout... Bref, l'histoire c'est du vu et du revu (en tout cas aujourd'hui), mais ça marche quand même, et l'on ne peut que se ranger du parti de Roméo et Juliette dans leur drame amoureux. Ma note : 15/20 Bonne lecture !
  • Charlottesacha 06/02/2023
    J'ai aimé redécouvrir ce classique du théâtre de Shakespeare avec la magnifique édition de chez tibert. Les illustrations sont extraordinaires et ajoutent à l'immersion dans l'histoire, la qualité de lecture chez tibert est absolument parfaite. J'ai pu prendre conscience que cette pièce est rendue très romantique par la culture mais il n'y a pas que ça. Dans la culture d'aujourd'hui, cette pièce est très connue et vue comme une romance tragique mais quand on lit vraiment ce récit on y comprend le côté humoristique. En réalité Shakespeare se moque de ses jeunes amoureux. En début de la pièce Roméo était amoureux d'une autre jeune femme et quand il a été à un évènement il voulait courtiser d'autres jeunes fille. Juliette est montrée comme une jeune vierge naïve de 12 ans. Ce qui montre l'ironie. J'ai même souri par l'une réplique de Capulet dans l'acte IV scène 5 qui surjoue la tristesse Delaporte de Juliette. J'insiste sur ce côté parce qu'il est oublié aujourd'hui et je pense que l'ironie est la création même de Roméo et Juliette.
  • echosdeslivres 29/12/2022
    Pièce la plus connue de notre ami William, Roméo et Juliette ne m'a pourtant pas frappé par ses personnages principaux. Roméo cet amoureux de l'amour, que représente son obsession pour Rosaline, comprend en voyant Juliette qu'il n'a jamais aimé. Cependant toute la pièce il garde cette naïveté souvent agaçante. Il se dit homme mais il sur - réagit en tout comme un enfant. Juliette est elle aussi une enfant. L'insistance sur son âge est limite glauque tant on a dû mal à accorder cela avec ce qu'elle vit. Mais elle apparaît pourtant plus forte et mâture que son cher Montague. Ce qui est finalement passionnant dans cette pièce c'est justement cette rivalité entre familles. On se déchire sans plus savoir pourquoi, la Fatalité savoure et s'épanouit à Vérone. Ce qui est beau finalement dans cette pièce c'est la plume de Shakespeare. Entre ses jeux de mots grivois, le fabuleux monologue de la reine Mab et sa merveilleuse façon d'écrire sur l'amour on a envie d'applaudir. Ou de pleurer devant tant de beauté. Moins que le couple principal ce qui fait de cette pièce une œuvre que l'on n'oublie pas c'est ce style incroyablement beau. C'est Mercutio qui touche au cœur avec sa... Pièce la plus connue de notre ami William, Roméo et Juliette ne m'a pourtant pas frappé par ses personnages principaux. Roméo cet amoureux de l'amour, que représente son obsession pour Rosaline, comprend en voyant Juliette qu'il n'a jamais aimé. Cependant toute la pièce il garde cette naïveté souvent agaçante. Il se dit homme mais il sur - réagit en tout comme un enfant. Juliette est elle aussi une enfant. L'insistance sur son âge est limite glauque tant on a dû mal à accorder cela avec ce qu'elle vit. Mais elle apparaît pourtant plus forte et mâture que son cher Montague. Ce qui est finalement passionnant dans cette pièce c'est justement cette rivalité entre familles. On se déchire sans plus savoir pourquoi, la Fatalité savoure et s'épanouit à Vérone. Ce qui est beau finalement dans cette pièce c'est la plume de Shakespeare. Entre ses jeux de mots grivois, le fabuleux monologue de la reine Mab et sa merveilleuse façon d'écrire sur l'amour on a envie d'applaudir. Ou de pleurer devant tant de beauté. Moins que le couple principal ce qui fait de cette pièce une œuvre que l'on n'oublie pas c'est ce style incroyablement beau. C'est Mercutio qui touche au cœur avec sa féerie et sa noblesse. C'est ce Chœur qui déclame les passages les plus inoubliables. Alors oui on a envie de frapper Frère Laurent pour sa bêtise, oui on ne comprend pas pourquoi les familles ne sont prévenus dès que le mariage est consommé. Mais alors on ne serait pas dans une tragédie où les Parques s'amusent à couper les fils de vie comme on dit bonjour. C'est ça également la beauté de cette histoire. La tragédie inéluctable.
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