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Playlist
Céline Maurice (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 06/04/2023
Éditeurs :
L'Archipel

Playlist

Céline Maurice (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 06/04/2023
Feline, 15 ans, disparaît sur le chemin de l’école. Un seul indice pour le détective Alexander Zorbach : la playlist de la jeune fille, mystérieusement mise à jour quelques temps avant sa disparition.
En bonus : le prologue inédit et les 15 chansons de Playlist à écouter après avoir flashé un QRcode.
une jeune fille disparaît… ne restent que ses chansons !

Feline Jagow, 15 ans, s’évanouit sans laisser de traces sur le chemin de l’école. Alexander Zorbach, le détective privé chargé de...
une jeune fille disparaît… ne restent que ses chansons !

Feline Jagow, 15 ans, s’évanouit sans laisser de traces sur le chemin de l’école. Alexander Zorbach, le détective privé chargé de la retrouver, tombe sur sa playlist. Et découvre que les titres préférés de la jeune fille ont été modifiés peu...
une jeune fille disparaît… ne restent que ses chansons !

Feline Jagow, 15 ans, s’évanouit sans laisser de traces sur le chemin de l’école. Alexander Zorbach, le détective privé chargé de la retrouver, tombe sur sa playlist. Et découvre que les titres préférés de la jeune fille ont été modifiés peu de temps avant son enlèvement.
Ces chansons contiendraient-elles un message caché ? En les écoutant, Zorbach, lui-même hanté par la disparition d’un enfant, parviendra-t-il à découvrir où elle a été emmenée et, surtout, comment la sortir des griffes de son ravisseur ?
Quinze chansons à écouter, quinze chansons pour la sauver… et une playlist qui va plonger Zorbach dans un cauchemar éveillé.
 
« Fitzek au meilleur de sa forme : des chapitres courts, des rebondissements, et de purs moments de frisson. » Der Neue Tag

Rendez-vous sur ce lien pour accédez au prologue inédit et découvrez les chansons de Playlist : https://SebastianFitzek.lnk.to/HspFrBP
 
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EAN : 9782809846157
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782809846157
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ctailfer 06/03/2024
    " Feline, 15 ans disparaît sur le chemin de l'école. Un seul indice pour le détective Alexander Zorbach : la playlist de la jeune fille, mystérieusement mise à jour quelques temps avant sa disparition. 15 chansons à écouter, 15 chansons pour la sauver...et une playlist qui va plonger Zorbach dans un terrible cauchemar. " Je n'ai pas lu les deux précédents tomes et c'est dommage car celui-ci est en lien direct mais cela n'a pas gêné ma lecture pour autant. J'ai beaucoup aimé cette enquête sous haute tension et la fin m'a bien eue donc j'adore ça. Il me reste à écouter cette fameuse playlist pour encore plus me plonger dans cette histoire.
  • Ogrimoire 02/01/2024
    Wahou… Ce que l’on attend d’un thriller – ici, c’est un psychothriller qui nous est annoncé -, c’est une lecture en apnée, une intrigue serrée et dense, efficace, qui vous amène à sursauter au moindre bruit. Eh bien c’est précisément ce que Sebastian Fitzek nous propose ici. J’ai, en effet, lu les 150 dernières pages, c’est à dire pratiquement la moitié du livre, d’une seule traite, parce qu’il était inimaginable de poser tranquillement le livre, d’aller manger ou se poser pour faire autre chose. La seule option possible : dévorer chapitre après chapitre, pour, enfin, SAVOIR ! Savoir qui, savoir pourquoi, comprendre pourquoi et comment. Alors, évidemment, ce qui peut arriver, c’est qu’arrivant à la fin, on se dise « ah, d’accord, tout ça pour ça. Bon, tant pis ». Mais non, on ne se dit absolument pas cela quand on arrive à la fin de ce livre, parce que, dans le chapitre 75, alors qu’il semble nous livrer la solution après laquelle nous courons depuis 100 pages, l’auteur nous prépare encore un petit « flip » à sa façon. Il pose en effet les bases du dernier retournement de situation qui fait que, 30 pages plus loin, en refermant cette fois définitivement le livre, nous nous dirons « ah ben il m’a bien eu, quand même ». Car même si nous avions pu deviner certains des éléments de l’intrigue, il nous en manquait des pièces… S’il fallait vraiment trouver un petit bémol – mais alors ce serait un tout, tout petit bémol ! -, ce serait la propension que semble avoir Sebastian Fitzek à prendre un certain plaisir à nous annoncer un tout petit peu à l’avance, mais surtout à la toute fin d’un chapitre, qu’il va se produire quelque chose d’horrible, un peu comme, dans une série, on finit chaque épisode par une image qui laisse les spectateurs dans une attente insoutenable jusqu’à l’épisode suivant. « Rien ne m’empêcherai de venir en aide à la gamine en détresse enfermée dans ce bungalow. C’est ce que je crus. Pendant une seconde. » (p. 77) « Je lui laissais un feu vert d’avance avant de déboîter. Un feu vert de trop. » (p. 121) « – Qu’est-ce que tu vois ? Une question simple dont la réponse par trop abominable, me restait bloquée en travers de la gorge. » (p. 263) « Un véritable concert de sirènes d’alarme se déclencha dans la tête d’Alina. Des hurlements stridents qui s’éteignirent brusquement quelques secondes plus tard. Dès qu’elle ouvrit la porte des toilettes et qu’un taser lui balança 50 000 volts à travers le corps. » (p. 289) « Avant de me réveiller. Pas au paradis. Mais dans l’antichambre de l’enfer. » (p. 297) Mais, nous n’allons pas reprocher à un auteur de s’inspirer du story-telling hyper-efficace des séries, ce serait franchement injuste, tout de même. Alors, êtes-vous prêts à venir prendre place dans cette histoire ? Oui ? Alors inspirez profondément, gonflez bien vos poumons. Vous ne savez quand vous aurez l’occasion de respirer à nouveau…Wahou… Ce que l’on attend d’un thriller – ici, c’est un psychothriller qui nous est annoncé -, c’est une lecture en apnée, une intrigue serrée et dense, efficace, qui vous amène à sursauter au moindre bruit. Eh bien c’est précisément ce que Sebastian Fitzek nous propose ici. J’ai, en effet, lu les 150 dernières pages, c’est à dire pratiquement la moitié du livre, d’une seule traite, parce qu’il était inimaginable de poser tranquillement le livre, d’aller manger ou se poser pour faire autre chose. La seule option possible : dévorer chapitre après chapitre, pour, enfin, SAVOIR ! Savoir qui, savoir pourquoi, comprendre pourquoi et comment. Alors, évidemment, ce qui peut arriver, c’est qu’arrivant à la fin, on se dise « ah, d’accord, tout ça pour ça. Bon, tant pis ». Mais non, on ne se dit absolument pas cela quand on arrive à la fin de ce livre, parce que, dans le chapitre 75, alors qu’il semble nous livrer la solution après laquelle nous courons depuis 100 pages, l’auteur nous prépare encore un petit « flip » à sa façon. Il pose en effet les bases du dernier retournement de situation qui fait que, 30 pages plus loin, en refermant cette...
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  • missvdb 01/01/2024
    Première lecture de cet auteur. J'ai trouvé l'idée de la playlist plutôt originale. Plutôt surprise et intriguée, hapée dès le début, l'engouement s'est peu à peu estompé au fil des pages. Pas de grande surprise, j'avais deviné pas mal de chose. J'ai passé un bon moment tout de même mais je n'en garderais pas vraiment souvenir.
  • LesReveriesdIsis 22/11/2023
    J’ai un petit faible pour les romans de Sebastian Fitzek, je sais que j’y trouverai de quoi me surprendre et passer un bon moment de lecture, alors souvent, j’en ai un sous le coude pour le printemps et/ ou l’été. Cette année, cela aura été son dernier livre Playlist. Et, pour une fois, j’ai mis longtemps à le lire. Le thème sans doute, m’a été plus douloureux et le temps me manque davantage aussi. Playlist évoque la disparition d’une jeune fille de quinze ans, Féline. Ses parents sont désespérés, et Alexander Zorbach, détective privé, se lance à sa recherche. Il découvre des indices parfois déroutants, mais surtout, il s’aperçoit que la play list de l’adolescente pourrait bien les aider et les aiguiller. En me lançant dans cette lecture, j’ignorais qu’il faisait suite à un autre tome Le Voleur de regards. Le bon côté, c’est que cela ne m’a absolument pas posé de souci pour entrer dans le récit et pour comprendre les tenants et les aboutissants. Les rappels nécessaires sont faits de manière simple et efficace, ce qui permet à chacun de suivre l’histoire sans peiner. Dans ce roman, les enquêteurs piétinent beaucoup, et finalement, ce n’est qu’une fois les deux tiers passés que nous voyons vraiment où nous allons. Nous sommes emportés dans les bas-fonds de Berlin, au plus près de la noirceur des êtres, nous sommes perdu dans un dédale de fausses pistes, dans un tourbillon de craintes. Cela m’a un peu désarçonnée parce que j’ai eu du mal à trouver un appui. La relation entre Alexander Zorbach et Alina – son alliée- est déroutante. Là, je pense qu’il m’a manqué l’arrrière fond des tomes précédents – mais l’effet « je t’aime – moi non plus » m’a assez vite lassée. Autant, ils forment un duo efficace, complémentaire et agréable lorsqu’ils collaborent, autant leurs conflits larvés, leurs refus de communiquer m’a un peu pesé. La figure du père de Féline est aussi très ambivalente, et m’a dérangée – mais vraiment dérangée- jusqu’à ce que je comprenne dans les dernières pages pourquoi il avait agi ainsi. Autant dire que ce n’est pas un personnage que je comprends véritablement, mais son dilemme est ainsi plus compréhensible. D’une manière générale, les personnages dans ce roman offrent une belle complexité. Aucun n’est manichéen, et sous la surface lisse, tous ont un petit quelque chose à se reprocher, ou au contraire, peut offrir une étonnante surprise. Une fois de plus, Sebastian Fitzek nous entraîne là où nous ne pensions pas aller. Il manie à la perfection l’art du suspense, l’art de la fausse piste et nous fait tomber de Charybde en Scylla, créant des rebondissements saisissants et glaçants. La musique au travers de la fameuse playlist de Féline devient un atout romanesque. Certains titres et certaines paroles citées contribuent à créer une atmosphère sinistre, oppressante et poisseuse, nous faisant sans cesse craindre le pire. Cela, allié aux rebondissements, aux morts qui émergent peu à peu aussi, glace le sang du lecteur qui n’ose plus croire à une issue positive. De fait, la chute du roman est douloureusement efficace. Je vous laisse la surprise de la découvrir, mais elle recèle ce qu’il faut d’horreur pour nous couper le souffle. A l’instar d’une tragédie, il y a des morts, il y a des destins brisés, mais l’auteur ménage une étincelle, une lueur d’espoir au travers de certains êtres qui permet d’alléger un peu la pesanteur de cette fin. Par contre, si comme moi vous êtes peu enclin à écouter de la musique lorsque vous lisez ou que vous écoutez assez peu de musique au quotidien, vous passerez peut-être à côté d’une strate de sens du livre. Je vous avoue que je ne suis pas allée écouter les chansons citées, et je n’en ressens pas l’envie. Je suis cependant convaincue que cela a ajouté un petit quelque chose d’intéressant pour celles et ceux qui ont choisi de le faire et à qui cela a parlé. Ainsi, Playlist est un thriller terriblement glaçant à l’issue aussi inattendue du funeste. L’urgence ne nous quitte pas et l’auteur nous entraîne loin au milieu des turpitudes humaines.J’ai un petit faible pour les romans de Sebastian Fitzek, je sais que j’y trouverai de quoi me surprendre et passer un bon moment de lecture, alors souvent, j’en ai un sous le coude pour le printemps et/ ou l’été. Cette année, cela aura été son dernier livre Playlist. Et, pour une fois, j’ai mis longtemps à le lire. Le thème sans doute, m’a été plus douloureux et le temps me manque davantage aussi. Playlist évoque la disparition d’une jeune fille de quinze ans, Féline. Ses parents sont désespérés, et Alexander Zorbach, détective privé, se lance à sa recherche. Il découvre des indices parfois déroutants, mais surtout, il s’aperçoit que la play list de l’adolescente pourrait bien les aider et les aiguiller. En me lançant dans cette lecture, j’ignorais qu’il faisait suite à un autre tome Le Voleur de regards. Le bon côté, c’est que cela ne m’a absolument pas posé de souci pour entrer dans le récit et pour comprendre les tenants et les aboutissants. Les rappels nécessaires sont faits de manière simple et efficace, ce qui permet à chacun de suivre l’histoire sans peiner. Dans ce roman, les enquêteurs piétinent beaucoup, et finalement, ce n’est qu’une fois les deux tiers passés...
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  • neluay 21/11/2023
    Découverte de l'auteur, en ce qui me concerne, grâce à l'avis donné par une amie sur FB. Un récit narré par le personnage principal, Alexander Zorbach, un ancien flic et ancien journaliste d'investigation devenu détective privé. Personnage torturé par ses aventures antérieures, il dispose d'un temps très limité pour mener son enquête à terme. Il est entouré de personnages qui ne manquent pas d'intérêt également, notamment son amie Alina Gregoriev, une physiothérapeute aveugle avec qui il partage de douloureux traumatismes. L'histoire est pleine de rebondissements qui tiennent le lecteur en haleine et impatient de découvrir la suite, assailli d'intrigues à chaque chapitre, parfois même trop d'informations. L'originalité de cette œuvre se trouve dans la création d'une playlist qui constitue à la fois l'intrigue mais aussi une extension dans la réalité. En effet, l'auteur, Sebastian Fitzek, a fait appel à son ami Stephan Moritz, directeur de MOKOH Music et de cette association en ressort un album comportant cette fameuse playlist.
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