Dix minutes à perdre - Dyscool : Le livre de Jean-Christophe Tixier

Tim, treize ans, vient de déménager à cinq cents kilomètres de la région parisienne où il vivait et où il a dû abandonner ses copains et sa vie. Alors que ses parents le laissent seul le temps d’un week-end et qu’il s’ennuie à périr dans ce coin paumé, il décide de suivre, sans être vraiment motivé, le conseil de son père : « Si tu as dix minutes à perdre, commence à détapisser les murs de ta chambre. Ce sera toujours ça de gagné. » (p.10). Alors que les premières bandelettes de papier peint se détachent, une inscription mystérieuse apparaît : « Ceci est mon histoire. » Curieux, le jeune garçon décide d’éclaircir le mystére, d’autant plus que Léa, sa jeune voisine, lui révèle qu’un homme est mort assassiné dans la maison où il vient d’emménager… Avec ce roman de Jean-Christophe Tixier, je découvre la troisième lecture scolaire de mon fils pour cette année. De lecture aisée, dans un style simple mais dynamique, rythmé par des chapitres courts à la manière d’un « 48h chrono », ce court récit se lit rapidement et n’est pas exempt de suspense relativement bien ménagé. L’intrigue n’est pas difficile à suivre, elle peut sembler un peu « simpliste » pour des adultes mais, pour de jeunes ados, elle constitue un bon petit récit d’intrigue policière, où le héros est un jeune de leur âge. Ce roman constitue un choix très judicieux pour les jeunes entre 11 et 13 ans qu’ils aient ou pas l’habitude de lire : pour les lecteurs confirmés, ce sera l’occasion de lire un récit agréable, court et rapide ; pour ceux ayant moins l’habitude de lire, il constitue une manière attractive de les faire lire.

[masquer]Je me suis rendu compte à la fin du livre qu’il était pour les 11 ans et +, pour autant je l’ai beaucoup apprécié. Histoire légère, qui mêle action et émotions. Lu d’un coup. A recommandé pour ma part, un petit moment de détente, nécessaire ! [/masquer]

Les parents de Timothée le laissent seul dans leur nouvelle maison pour deux jours avec mission de décoller le vieux papier peint de sa chambre. Il va découvrir sur le mur des inscriptions du fils de l’ancienne propriétaire, malfrat emprisonné 12 ans puis assassiné dans la maison. Avec l’aide de Léa, sa voisine, il va résoudre une enquete vieille de 20 ans. Très mignon petit roman ados, un peu de peur, un peu d’amour.

"Ceci est mon histoire" Karl Duval est mort assassiné en ayant 12 lingots d'or en sa possession. Léa et Tim essayent de retrouver les lingots alors ils sont entraînés dans une histoire hors du commun. Bon roman à lire en 2 heures, une touche policier, une suspense et une aventure, 4/5