La Gifle : Le livre de Christos Tsiolkas

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Dans la banlieue de Melbourne, lors d'un barbecue, un homme donne une gifle à un enfant qui n'est pas le sien. Une révélation littéraire, un extraordinaire roman qui brasse avec une redoutable acuité les sujets les plus divers pour dresser un portrait sans concession de l'Australie d'aujourd'hui, dans la lignée de Jonathan Franzen, Don DeLillo ou Tom Wolfe.

Provocant, urgent, impitoyable, un roman coup de poing, une révélation dans la lignée d'un Don DeLillo ou d'un Jonathan Franzen.

Lors d'un barbecue entre amis, un adulte gifle un enfant qui n'est pas le sien.

Un incident qui va créer une onde de choc parmi les invités et provoquer une série d'événements explosifs. Mais aussi révéler, derrière les belles apparences, le racisme ordinaire, la drogue, l'alcool, la honte et une extrême solitude.

Tour à tour violent et bouleversant de tendresse, un très grand roman qui dresse, avec une formidable lucidité, le tableau d'un Occident en pleine confusion.

" Ce roman tient son lecteur sur la brèche, le force à repousser ses limites, à questionner les thèses paresseuses, le provoque et le fait se tortiller de malaise sous l'apparence rassurante d'une lecture passionnante. "
The Telegraph

De (auteur) : Christos Tsiolkas
Traduit par : Jean-Luc Piningre

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Expérience de lecture

Avis des libraires

<< Une vraie claque. >>|Christophe Ono-Dit-Biot
France Info
<< Une grande fresque morale au rythme d'un thriller implacable. La gifle de Christos Tsiolkas laisse groggy. >>|Bernard Lehut
RTL
<< Une révélation. [...] Un roman à la fois captivant et intelligent. [...] Le style est brut de décoffrage. C'est secoué puis décapsulé. L'auteur ne se fond pas dans ses personnages. Il les observe comme des insectes dans un bocal d'arsenic. Pas de retouches photos. Ils apparaissent comme ils sont. Avides et aigres. >>|Marie-Laure Delorme
Le Journal du Dimanche
<< Si le romancier australien a choisi le canevas assez classique du roman choral, c'est moins pour pénétrer dans les pensées de chacun que pour tendre le bâton de parole. Bien plus que de fissurer les apparences, il s'agit de traquer le moindre complexe pour mieux préparer le retour du refoulé. Brusquement, au hasard d'un paragraphe à la précision chirurgicale ou d'une phrase tirée à quatre épingles, l'auteur libère cette violence archétypale qui ne demandait qu'à surgir. C'est que l'écriture, comme la gifle, fonctionne par pulsions. >>|Augustin Trapenard
Le Magazine Littéraire
<< Un roman captivant. >>|Audrey Pulvar
France Inter
<< Christos Tsiolkas écrit avec la jubilation d'un dénonciateur en croisade contre la petitesse, les préjugés. Son aisance à se fondre dans la psychologie des personnes est impressionnante. >>|Thierry de Lestang-Parade
L'Union
<< Provocant et sensuel, étourdissant et terriblement bien vu, La Gifle est plus qu'un roman, c'est un microscope. Attention, addiction possible. >>|Frédéric Launay
Direct Lille
<< Adultère, pédérastie, racisme, homophobie, mysoginie etc. : Christos Tsiolkas passe à la moulinette de la tragicomédie les travers de ses contemporains. [...] Au-delà d'un remue-ménage cinglant, [...] l'Australien sait poser dans sa démolition en règle quelques éclairs de tendresse, une profondeur inattendue. Et ça, dans les circonstances, relève du plus pur politiquement incorrect... >>|Cécile Lecoultre
24 Heures (Presse de Suisse)
<< Une "gifle" ? Le mot est faible. Plutôt une grande claque, sonore et à répétition... [...] L'écrivain croque admirablement cette Australie métissée, harmonieuse en apparence, prête à se déliter au moindre choc. Racisme, xénophobie, homophobie, machisme, repli sur soi religieux et identitaire, antagonisme de classe... tabous et frustrations remontent alors à la surface. La Gifle nous parle d'un monde moderne à la morale versatile, où les pulsions l'emportent sur la raison, où il est bon ton de surréagir, d'exacerber ses sentiments et ses passions, pour ne pas mourir de peur ou d'ennui. >>|Philippe Chevilley
Les Échos
<< Extravagant roman que La Gifle de Christos Tsiolkas, aussi envoûtant qu'irritant, aussi prolixe que rigoureux. [...] Un grand roman contemporain sur le déclin de l'empire occidental, sur la dégénérescence d'une civilisation ? La nôtre ? qui, malgré déboires et défaites, donne des leçons au monde entier. [...] Avec maestria, Christos Tsiolkas a écrit un roman apocalyptique sur une société australienne qui ressemble tellement à notre Europe déjantée que, en lisant ce livre, on se prend à examiner aux confins du monde le reflet de notre propre image dans le plus sombre des miroirs. >>|Yves Simon
Paris Match
<< Un roman qui se lit d'une traite, roman social, familial, sexuel, véritable page-turner, d'un souffle et d'une intensité rare, d'une efficacité implacable. >>|Christine Mercandier-Bry
Mediapart.fr
<< Un roman choral, puissant, ambitieux et sans concessions. >>|Marion Rudlove
Biba
<< Un roman coup de poing. >>
Glamour
<< Aussi décapant que bouleversant. >>|Elsa Selby
Voici
<< Christos Tsiolkas dynamite les codes sociaux avec un culot qui tient sans fléchir la distance des 460 pages. Cruel et tonique, le mauvais garçon des lettres australiennes assène une sacrée claque aux clichés. >>|Frédérique Bréhaut
Le Maine Libre
<< Dans un style direct, sans concessions ni artifices, Christos Tsiolkas [...] explore les aspirations d'une communauté dont la réussite n'a pas gommé les angoisses. C'est ainsi le matérialisme à tout crin de l'Australie de John Howard mais aussi celui du monde occidental qui est confronté aux valeurs de l'humain. Alliant émotion et réflexion, cette ambitieuse fresque contemporaine [...] est un miroir d'une confondante acuité. Une gifle aux bonnes consciences. >>|Geneviève Simon
La Libre Belgique
<< Un roman impitoyable. >>|André Clavel
Le Temps (Suisse)
<< Christos Tsiolkas [...] a le sens du rythme, des dialogues chocs et des scènes fortes. [...] Il possède un talent de conteur, de dramaturge et sait parfaitement déstabiliser le lecteur avec des histoires en trompe l'oeil qui suggèrent beaucoup plus de choses qu'il n'y paraît. >>|Jean-Rémi Barland
La Provence
<< Un roman qui tient forcément en haleine, grâce à des personnages attachants et à un style dynamique, qui nous emmène d'une scène du quotidien à une autre, pour mieux questionner la société d'aujourd'hui. >>|Marie Debals
Marseille l'Hebdo
<< Christos Tsiolkas met à nu la société australienne dans un roman aussi passionnant que captivant. [...] La claque littéraire de cette rentrée. >>|Yasmine Youssi
La Tribune
<< Tsiolkas n'y va pas de main morte. [...] Avec un talent inouï, il décortique les fondements de la famille actuelle, à ce point bancale que toute la société s'en trouve déstabilisée. Volontiers provocateur, Tsiolkas nous pousse à nous interroger sur nos propres comportements. >>|Sylvie Lainé
L'Indépendant
<< Une belle réussite, dans une Australie aux moeurs déliquescentes. >>
Le Soir (Belgique)
<< Les meilleurs politiciens sont ceux qui se placent d'instinct dans l'air du temps de leur pays. Pour les autres, je leur imposerais la lecture de La Gifle : c'est un véritable document social sur l'Australie d'aujourd'hui. Et surtout, c'est un sacré plaisir de lecture ! >>
The Australian
<< Avec ce roman ambitieux, Christos Tsiolkas nous livre une peinture exceptionnelle de l'Australie post-11 Septembre de John Howard. Tsiolkas parvient à insuffler une étourdissante complexité à ses personnages, ce qui aurait été risqué dans les mains d'un auteur moins doué. La remarquable fluidité narrative de Tsiolkas est la preuve qu'un fabuleux page-turner peut aussi contenir intelligence et pouvoir émotionnel. >>
The Independant
<< La Gifle est un roman important, urgent, provocant, qui vous hante longtemps après l'avoir refermé. Rien n'échappe au regard acéré de Tsiolkas : le racisme ordinaire qui gangrène la culture australienne ; les fractures d'une société multiculturelle qui peine à assimiler : les contradictions et les failles du libéralisme ; les crises de la masculinité. Ce roman tient son lecteur constamment sur la brèche, le force à repousser ses limites, à questionner les thèses paresseuses, le provoque et le fait se tortiller de malaise sous l'apparence rassurante d'une lecture passionnante. >>
The Telegraph
<< Avec La Gifle, Tsiolkas confirme sa place parmi les meilleurs romanciers d'aujourd'hui... C'est une expérience intense de voir sa vie décrite avec autant d'acuité. Christos Tsiolkas a écrit un véritable chef-d'oeuvre. >>
The Age
<< Un roman d'une grande complexité émotionnelle ; au fil de la narration se révèle l'exceptionnel talent de Tsiolkas pour aller au plus profond de ses personnages. La Gifle place la famille sous le microscope et le résultat n'est rien moins qu'un chef-d'oeuvre moderne. >>
The Times
<< Coup de maître ! [...] La gifle est la claque de la saison. Famille, couple, métissage, Christos Tsiolkas cogne dur et... touche énormément. [...] Il écrit avec une acuité terrible et une puissance de brute, il cogne, casse, choque. [...] Les valeurs de l'Occident en prennent un coup autant que le lecteur. Bienvenue dans l'Australie du XXIè siècle. Bienvenue dans nos vies ? >>|Olivia de Lamberterie
Elle
<< Christos Tsiolkas décortique la société australienne avec beaucoup de talent et une pointe de sadisme. >>|Clara Dupont-Monod
Canal +
<< La gifle est un roman sur l'intolérance et les frontières entre les ethnies, les classes sociales, les âges et les sexes, dans lequel l'Australie incarne toutes les complexités de l'Occident d'aujourd'hui. Ce qui en fait un livre subtil, dur et plus radicalement désespérant qu'il n'y paraît d'abord. >>|Karine Papillaud
Le Point
<< Christos Tsiolkas épingle la violence et le racisme avec une précision d'entomologiste. >>|Astrid Eliard
Le Figaro Littéraire
<< Derrière les facades d'une société qui s'affiche comme un miracle de métissage et de tolérance, le spectacle est accablant. Alcool, drogue, vulgarité effroyable, frustrations familiales, homophobie, conflits interethniques, racisme, c'est à dire une diatribe impitoyable que se livre Tsiolkas, en maniant sarcasmes et dérision comme autant de boomerangs. Une sacrée gifle, entre Les corrections, de Jonathan Franzen, et Trainspotting, d'Irvine Welsh. >>|André Clavel
L'Express
<< Le portrait d'une australie au bord de l'impolosion. Racisme latent, la fracture d'une société métissée, les failles du libéralisme. Des dialogues percutants et crus, des ados à la dérive, des parents paumés, des amis ennemis... La Gifle est un roman sur la folie des hommes. Et on le prend comme une claque ! >>|Bernard Babkine
Marie France

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Fiche technique du livre

  • Genres
  • EAN
    9782714446459
  • Collection ou Série
    Littérature étrangère
  • Format
    Grand format
  • Nombre de pages
    480
  • Dimensions
    242 x 158 mm

L'auteur

Christos Tsiolkas

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22,30 € Grand format 480 pages