Les Rêves de nos mères - Tome 2 Les Cendres sous les coquelicots : Le livre de Carine Pitocchi

Une belle lecture évoluant autour de la Première Guerre Mondiale. On suit les soldats partis défendre leur pays et les femmes restées à la maison, dans l’attente. Évidemment, elles ne restent pas toutes les bras croisés et participent elles aussi à l’effort de guerre. J’ai adoré retrouver les épopées d’Emilie, Julia et les autres, mais je me suis parfois perdue avec l’arrivée de nombreux personnages. J’ai également déploré quelques longueurs si bien que ce tome ne détrônera pas mon coup de cœur qu’a été « Les rêves de nos mères ».

Ce deuxième tome, Les cendres sous les coquelicots, m’a vraiment conquise – bien plus que le premier. J’ai été complètement embarquée dans l’histoire, transportée en pleine Première Guerre mondiale, avec une intensité et une émotion que je n’attendais pas à ce niveau. Les rebondissements sont nombreux, bien amenés, et donnent un vrai rythme au récit. Les personnages gagnent en profondeur, en humanité, et je me suis sentie très attachée à eux. Certains passages m’ont profondément touchée, avec une justesse émotionnelle qui m’a parfois bouleversée. C’est un tome fort, abouti, qui aurait presque pu clore la saga à lui seul, tant la fin sur la guerre est puissante. Mais évidemment, je vais lire le troisième, avec l’espoir qu’il soit à la hauteur de ce magnifique second volet. Une très belle lecture, émouvante et intense, que je recommande vivement.

Je lis ce 2ème tome après avoir lu le 1er l'année dernière. J'ai apprécié de retrouver tous ces personnages mais j'étais contente d'avoir pris quelques notes car j'étais un peu perdue (un récapitulatif des personnages aurait été le bienvenu #x1f605) Dans cet opus nous vivons les bouleversements de la 1ère guerre mondiale à travers des personnages forts et des femmes engagées. Les scènes sont bien documentées, le tout avec une écriture très agréable.

Après le premier tome de cette trilogie basé sur la place des femmes dans la société au début des années 1910, le second tome traite de la Première Guerre Mondiale. Carine Pitocchi nous fait voyager en Belgique, en France, en Angleterre mais aussi en Russie. La vie dans les tranchées nous est contée ainsi que les liens créés entre les soldats et toutes les vies mises en suspens pendant 4 ans. Le bon fonctionnement du pays repose uniquement sur les femmes, tous les hommes étant envoyés au front. Chacun vit au rythme des permissions, dans l'attente de retrouver l'être aimé, parfois pour quelques heures seulement. J'ai eu un peu de mal à resituer la multitude de personnages au début, mais une fois lancée, la lecture a été très fluide. Il se passe beaucoup de choses, le récit est vraiment différent du premier tome et ce n'est pas pour me déplaire. C'est un livre purement historique qui traite de faits réels et qui m'a poussée à me renseigner un peu plus sur certains événements et acteurs de cette guerre. J'ai passé un très bon moment de lecture grâce à ce roman riche et immersif. J'ai vibré avec les protagonistes, espéré des retrouvailles et soupiré de soulagement à l'heure de l'armistice. Je suis curieuse de voir ce que le troisième tome nous réserve.