Trois vies par semaine - édition collector : Le livre de Michel Bussi

Grand format

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Date de parution : 09/11/2023

Habiter trois villes différentes ? Posséder trois identités reconnues ? Aimer trois femmes intensément ?
Avoir trois vies par semaine.
Pour tirer les fils de ce nouveau suspense qui mêle les thèmes de l'exil, la vengeance, la multiplicité d'une vie... l'unique Michel Bussi.

Un mort
Deux disparus
Trois femmes amoureuses

Un corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse, au cœur des Ardennes. Accident, suicide, meurtre ?
La révélation de l'identité de la victime plonge la capitaine Katel Marelle dans la sidération.
Renaud Duval menait-il... trois vies par semaine ?
Trois femmes attendent son retour. Chacune revendique d'être son unique amour.
Ensemble, elles vont tenter de percer l'énigme d'une impossible triple vie...
Mais comme dans un théâtre d'illusions, des ombres rôdent, prêtes à se venger.
Qui sait la vérité ? Qui manipule ? Qui tire les ficelles ?

Méfiez-vous des fils invisibles...

Une intrigue vertigineuse pour un grand suspense de Michel Bussi.

De (auteur) : Michel Bussi

Expérience de lecture

Avis des libraires

Un homme peut-il avoir trois vies distinctes sans que l'on s'en aperçoive jusqu'à sa mort brutale ?... Vous le saurez en lisant ce nouveau polar très bien ficelé de Michel Bussi ! Une vraie réussite !|Virginie
La Pléiade

Dès le début, Michel Bussi nous entraîne dans une intrigue dont lui seul à le secret !
Il est, sans conteste, devenu le maître du genre.
Passionnant, déstabilisant, addictif !|Marc Filipson
Filigranes

Un cadavre est retrouvé dans les Ardennes. Le problème c'est qu'il possède trois identités différentes. Michel Bussi nous emmène sur les traces de ce cadavre mystérieux et tire les ficelles pour mieux nous emmêler. Un suspense mêlant les thèmes de la vengeance, de l'exil, des vies multiples.|Annabelle
Fnac Pontarlier

" Portée par une écriture plus acérée qu'à l'accoutumée, les ressorts sont implacables, révélant toujours plus de mobiles, de vengeances, de secrets "|Hubert Artus
Lire - Magazine Littéraire

" Avec Trois vies par semaine l'auteur normand nous entraîne avec succès dans les méandres de la quête d'identités. "
Paris Normandie

" Conteur hors pair, l'ex-géographe normand s'en donne à coeur joie pour brouiller les pistes, croiser les récits, varier les points de vue et changer de décors "|Isabelle Lesniak
Les Echos

" Bussi est un illusionniste qui attend d'être démasqué et a la sournoiserie jouissive de nous faire rôtir dès le prologue : "Méfiez-vous de tout ce que vous lirez, méfiez-vous de tout ce que vous apprendrez, méfiez-vous des fils invisibles, méfiez vous de celui ou de celle qui tire les ficelles." "|Julie Malaure
Le Point

Un cadavre retrouvé au fond d'un gouffre et trois permis de conduire dans la boite à gants de la voiture. Trois personnes nés le même jour et aux photos d'identités strictement identiques. Qui sont-ils ?

Le grand retour de Michel Bussi, le roi du twist ! Après avoir emprunté des chemins de traverse avec Nouvelle Babel et Code 612 Qui a tué le Petit Prince, Michel Bussi revient aux sources du thriller. Trois vies par semaine regorgent de rebondissements et de surprises pour le lecteur. Comment un homme est-il parvenu à mener une triple vie sans qu'aucune de ses épouses ne s'en rendent compte ? C'est l'énigme inextricable que doit résoudre la capitaine Katel Marelle et ses équipes de la gendarmerie nationale. Michel Bussi prend un malin plaisir à disséminer indices et fausses pistes. Il joue avec son lecteur tout en le faisant voyager à travers la France – de Charleville Mézière (capitale de la marionnette) à Bourg Fidèle dans les Ardennes en passant par la Meuse, et à travers l'Histoire. Il côtoie le monde de l'art en plongeant le lecteur dans l'univers des marionnettes, personnage à part entière dans le roman. Il intrigue avec l'omniprésence de Arthur Rimbaud et certaines apartés familiales. " Les plus grands secrets du monde ne se cachent-ils pas là ? Dans notre tête ? le seul et le dernier coffre -fort véritablement inviolable, dans un monde où tout est filmé, espionné, commenté. ". Il fait souffrir avec les " deux visages d'épouvante ! Deux gueules cassées ! " d'Amos l'aveugle et Kristof le sourd. Le lecteur est embarqué, manipulé et pris au piège. Rythme haletant, intrigue entraînante, Michel Bussi convainc avec cette histoire hors du commun pour laquelle il tire les fils à la perfection. Son talent de marionnettiste n'est plus à démontrer. Son esprit retors fait de nouveau des merveilles.|Benoit
Aux feuilles volantes

Après avoir rendu hommage à Saint-Exupéry dans Code 612 - Qui a tué le Petit Prince, Michel BUSSI fait ici une "ode" à Rimbaud. Quand poésie et intrigue policière s'entremêlent....
Dans ce roman à 3 v(o)ies, il tire avec doigté les ficelles d'un scénario énigmatique, labyrinthique et au final, diabolique.
Une histoire de FILS et de marionett(ist)es.... qu'on a du mal à lâcher ! |Sybille
EC Saint-Médard-en-Jalles

" C'est un bonheur de plonger dans une histoire et dans un décor, et de ne pas vouloir en sortir. Faites ce test révélateur : lâcher le roman quelques heures...Et votre esprit nepeut pasle quitter, il vous commande d'y revenir. C'est cela l'effet Bussi. "|Mohammed Aïssaoui
Le Figaro Littéraire

Avis Babelio

Marine_Bls

• Il y a 2 semaines

Ce livre raconte l’histoire de trois femmes cherchant la vérité à travers des secrets de famille. Malgré un début long permettant d’installer l’histoire, j’ai bien aimé le livre, et me suit attachée aux personnages. Une fois que l’histoire s’accélère, on n’a plus envie de lâcher le livre. On veut alors connaître le dénouement. Ce livre me donne envie de continuer à découvrir l’univers des livres de Michel Bussi.

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gabzer_

• Il y a 2 semaines

intrigue intrigante. suspens suspendu. les pages défilent. on reste en haleine durant tout le livre, satisfaisant de voir les pièces du puzzle prendre forme. dénouement un peu trop tiré par les cheveux à mon goût. mais c’était tout de même une lecture plaisir. policier = tout de mêmepas mon genre.

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Christof34540

• Il y a 2 semaines

Our time is running out / You can’t push it underground / You can’t stop it screaming out.” — Muse On croit connaître Michel Bussi. Mais Trois nuits par semaine vient balayer toutes les certitudes. Ce n’est pas un simple thriller. C’est un cri contenu, une tension érotique, un labyrinthe de sentiments sous tension permanente. Et surtout, c’est une histoire d’amour qui brûle comme une décharge électrique. Trois nuits par semaine. C’est le rythme imposé. Le reste du temps ? Le vide. L’attente. Le poison du doute. Comme un battement irrégulier qui désaccorde tout. Un homme se perd dans cette mécanique infernale du désir et du manque, pris dans une spirale qu’il ne contrôle plus. Et nous, lecteurs, on plonge avec lui. Fascinés. Inquiets. Accros. Il y a du Muse dans cette écriture-là. Quelque chose de sombre et grandiose. Une tension sous-jacente, une montée en puissance qui explose au moment précis. La narration est musicale, presque syncopée. Chaque révélation claque comme une ligne de basse. Chaque regard est une note suspendue. Bussi signe ici un roman plus intime, plus sensuel, plus risqué. Et franchement ? Ça fonctionne à merveille. C’est son roman le plus organique, le plus fiévreux. Celui qui s’écoute autant qu’il se lit Ce roman pourrait être la bande-son d’un album de Muse. Trois nuits par semaine n’est pas juste un roman policier. C’est un slow burn magnétique, un roman-synthé qui pulse entre ombre et lumière. À lire casque sur les oreilles, Muse à fond.

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Lyre691

• Il y a 3 semaines

Livre qui me laisse contre toute attente un avis un peu mitigé. Déjà, le livre est très facile à lire, et j'ai vraiment eu du mal à en décrocher ! L'histoire est très prenante et relativement surprenante. Cependant, je n'étais pas une grande fan de l'écriture, je n'ai pas trop accroché, trop simple, brute, je ressentais trop l'intention derrière et pour un policier, c'est un peu déplaisant. Vraiment, de très gros pans de l'histoire n'étaient pas du tout crédibles, dans les dialogues ! Personne ne parle comme ça, on sentait que c'était l'auteur derrière.... Les personnages sont également vraiment classiques, voire caricaturaux, c'est dommage, c'était un peu ennuyeux sur cet aspect. Et difficile de s'attacher à eux. Je n'ai qu'assez peu deviné l'histoire, ce qui est pas mal, mais je ne suis pas non plus tombée de ma chaise en apprenant la fin. J'avais deviné la plupart des détails, et je ne suis pas habituée aux romans policiers, donc vraiment pas une experte. Que je sois vraiment surprise aurait pu être un vrai bonus ! Il y a aussi des incohérences de récit, peut-être 3 ou 4 grosses, où Katel/Nanesse connaissent d'un coup des informations que seules Vicky/Elea ont apprises, ou vice versa.... Pour conclure, livre un peu facile, autant dans le positif que dans le négatif, ça distrait bien pour une lecture de vacances où on ne veut pas se prendre la tête, mais pas plus que ça.

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