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La cicatrice du diable
Date de parution : 17/06/2010
Éditeurs :
Belfond

La cicatrice du diable

Date de parution : 17/06/2010

 

Paris, de nos jours. Après à la défenestration d'un scénariste du bureau de Cécilia Rhodes, célèbre productrice, le commissaire Milot, chargé de l'enquête, est peu convaincu par la thèse du...

Paris, de nos jours. Après à la défenestration d'un scénariste du bureau de Cécilia Rhodes, célèbre productrice, le commissaire Milot, chargé de l'enquête, est peu convaincu par la thèse du suicide. Il établi un parallèle avec la mort de Lucie Drax, une jeune scénariste qui travaillait pour Cécilia trente ans...

Paris, de nos jours. Après à la défenestration d'un scénariste du bureau de Cécilia Rhodes, célèbre productrice, le commissaire Milot, chargé de l'enquête, est peu convaincu par la thèse du suicide. Il établi un parallèle avec la mort de Lucie Drax, une jeune scénariste qui travaillait pour Cécilia trente ans plus tôt. Une affaire qui semble liée à l'histoire personnelle de Milot. Autour de cette femme prête à tout pour parvenir à ses fins, gravitent un assistant fou amoureux, un mari richissime et un scénariste raté qu'elle n'hésite pas à utiliser afin d'inscrire son propre nom au générique. Des pantins qui ne tarderont pas à vouloir jouer leur propre rôle… Découvrant une femme impitoyable, le commissaire n'hésitera pas à faire saigner une ancienne et effroyable blessure : la cicatrice du diable.

Avec ce nouveau roman policier, Laurent Scalese, qui connaît bien le milieu du cinéma pour le fréquenter depuis longtemps, offre à son lecteur un aperçu implacable de ses pratiques. Une atmosphère oppressante autour d'une intrigue bien ficelée.

Passionné par le roman noir des années 1930-1940 et le cinéma anglo-américain, Laurent Scalese est aujourd'hui un scénariste reconnu pour le cinéma et la télévision. Auteur de romans policiers à succès, il a publié Le Samouraï qui pleure, L'Ombre de Janus, Des pas sous la cendre chez Pygmalion et, chez Belfond, Le Baiser de Jason, prix Sang d'encre des lycéens 2005 et Le Sang de la mariée (2006).

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EAN : 9782714448873
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714448873
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DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

 

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • philteys 11/04/2018
    Un polar noir pas désagréable même si l'intrigue dans le milieu de la production cinématographique ne m'a pas emballé. Cependant, l'auteur possède un style qui pousse à aller plus loin, limpide et précis. Rien que pour ça, j'irai voir du côté de ses autres romans.
  • Jardins_Secrets 15/06/2017
    Je ne ferai pas l’affront de présenter Laurent Scalese… Il signe ici un vrai polar français bien “noir”. Pendant toute ma lecture j’ai eu l’impression de voir un vieux film en noir et blanc. Laurent travaille depuis quelques années lui-même dans le milieu du cinéma et de la télévision. Alors où s’arrête le vrai, où commence le roman ? En tout cas de vrais personnages déchirés, mal dans leurs peaux dans ce milieu où seuls les requins paraisse tenir le haut de la scène. Un roman où Laurent Scalese joue avec nos nerfs… Jusqu’à la dernière page !
  • LeilaRogon 12/03/2014
    Je viens de finir « La cicatrice du diable » de Laurent Scalese. Ce n’est pas le premier ouvrage que je lis de cet auteur et je dois dire que je suis toujours assez surprise par sa façon de décrire l’univers dans lequel évoluent les personnages. 4eme : « À Paris, un scénariste se défenestre du bureau de Cécilia Rhodes, célèbre productrice. Pour Artus Millot, commissaire, ce drame n'a rien d'un suicide. Pour comprendre, il n'hésite pas à rouvrir le sombre dossier de Lucie Drax, scénariste, également décédée dans de troubles circonstances vingt ans auparavant. Et plonge alors dans l'obscur passé de Cécilia... » Mon avis : Une intrigue qui se déroule dans le monde de l’audiovisuel avec des personnages écorchés vif, portant les stigmates d’un drame passé, d’une vie ratée ou d’un amour vain… Cécilia Rhodes est sans doute le personnage qui est le plus fouillé de cette intrigue et malgré la méchanceté qui s’en dégage, il n’en reste pas moins attachant voir intriguant. Les deux tiers du roman posent le décor, présentent les personnages faisant monter la tension crescendo. Le découpage en scènes nous expose les faits passés et présents de l’histoire révélant petit à petit les éléments en liens avec l’intrigue. Le dernier tiers est sans doute la partie qui se lit le plus vite. Tout s’accélère. Révélations, violence, crimes etc… Les questions trouvent leurs réponses : qui est Lucie Drax ? Pourquoi Artus Milot, commissaire de police en proie à ses propres démons, s’obstine et pense que Lucie a été assassinée ? Pour moi cette lecture a été agréable il y a juste un détail qui me laisse sur ma faim. Que va-t-il arriver à Charlie Kessel ? Un roman écrit à la manière d’un scénario très dense avec une ambiance glauque et pesante poussant le lecteur à aller plus loin et donnant envie de connaître la fin. Je recommande ce livre car c’est encore une belle découverte pour moi-même si pour le moment j’ai une préférence pour « L’ombre de Janus » toujours du même auteur, Laurent Scalese. Je viens de finir « La cicatrice du diable » de Laurent Scalese. Ce n’est pas le premier ouvrage que je lis de cet auteur et je dois dire que je suis toujours assez surprise par sa façon de décrire l’univers dans lequel évoluent les personnages. 4eme : « À Paris, un scénariste se défenestre du bureau de Cécilia Rhodes, célèbre productrice. Pour Artus Millot, commissaire, ce drame n'a rien d'un suicide. Pour comprendre, il n'hésite pas à rouvrir le sombre dossier de Lucie Drax, scénariste, également décédée dans de troubles circonstances vingt ans auparavant. Et plonge alors dans l'obscur passé de Cécilia... » Mon avis : Une intrigue qui se déroule dans le monde de l’audiovisuel avec des personnages écorchés vif, portant les stigmates d’un drame passé, d’une vie ratée ou d’un amour vain… Cécilia Rhodes est sans doute le personnage qui est le plus fouillé de cette intrigue et malgré la méchanceté qui s’en dégage, il n’en reste pas moins attachant voir intriguant. Les deux tiers du roman posent le décor, présentent les personnages faisant monter la tension crescendo. Le découpage en scènes nous expose les faits passés et présents de l’histoire révélant petit à petit les éléments en liens avec l’intrigue. Le...
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  • Lanto_Onirina 22/11/2013
    J'ai lu en une poignée d'heures "La Cicatrice du diable" de Laurent Scalese et je le recommande chaudement. Le pitch, assez simple, un scénariste se défenestre du bureau de Cécilia Rhodes, une célèbre productrice. Chargé de l’enquête, le commissaire Milot ne croit pas à la thèse du suicide et établit un parallèle avec la mort de Lucie Drax, une autre jeune scénariste employée par Cécilia trente ans plus tôt. C'est bien bien noir, cru et dérangeant comme j'aime bien. Ca se lit facilement, presque comme des séquences de films. Une écriture très rythmée, une histoire pleine de rebondissements. Laurent Scalese balade son lecteur tout au long de l'histoire. Un petit bijou dont la construction est particulièrement soignée et surprend jusqu'à la dernière phrase.
  • gruz 24/07/2013
    Bienvenue dans l’univers impitoyable de la création cinématographique et télévisuelle. Laurent Scalese nous propose un fondu au noir (très noir) sur ce monde, à la rencontre de ses pires travers. Une histoire assez glauque, gros plan sur les perversions de ce microcosme, travelling sur l’amoralité d’un milieu où tout semble permis pour réussir (même si c’est une œuvre de fiction, bien évidemment…). Usant d’une palette de couleurs sombres, Scalese échafaude un récit déstabilisant, éprouvant, troublant et parfois heurtant. Parce que c’est avant tout un roman noir et l’auteur utilise à merveille les bons outils pour nous déboussoler, à coups de contre-champs, plongées et contre-plongées. On navigue d’un personnage à l’autre, différents angles de prise de vue (sans qu’il soit possible d’imaginer ce qui va bien pouvoir se passer par la suite), hallucinant devant leurs dérives, leurs failles et leurs dérangements. Des fondus-enchaînés, déchaînés parfois. En effet, la profondeur de champ de cette histoire assez originale met assez mal à l’aise, sentiment accentué par le montage assez inventif de l’auteur. Laurent Scalese travaillant dans ce milieu, le lecteur fantasmera sur la part de réel du propos. Un auteur qui se fond dans son histoire, avec un style fluide et des dialogues qui sonnent juste. Et quelques messages assénés au passage sur la création et l’authenticité, avec un zoom sur le crédit que certains donnent à ces valeurs. Un casting de personnages complexes, dont certains auraient mérité plus de développement à mon sens (quelques pages supplémentaires auraient été les bienvenues), une sorte de galerie des horreurs en Dolby Stéréo, mixée avec intelligence par Laurent Scalese. Quant au fin mot de l’histoire, vous n’en n’aurez une vision panoramique qu’au clap de fin (jusqu’à l’importance des tous derniers mots), et ça aussi c’est la marque d’une intrigue qui fonctionne. Alors qu’attendez-vous ? Action !Bienvenue dans l’univers impitoyable de la création cinématographique et télévisuelle. Laurent Scalese nous propose un fondu au noir (très noir) sur ce monde, à la rencontre de ses pires travers. Une histoire assez glauque, gros plan sur les perversions de ce microcosme, travelling sur l’amoralité d’un milieu où tout semble permis pour réussir (même si c’est une œuvre de fiction, bien évidemment…). Usant d’une palette de couleurs sombres, Scalese échafaude un récit déstabilisant, éprouvant, troublant et parfois heurtant. Parce que c’est avant tout un roman noir et l’auteur utilise à merveille les bons outils pour nous déboussoler, à coups de contre-champs, plongées et contre-plongées. On navigue d’un personnage à l’autre, différents angles de prise de vue (sans qu’il soit possible d’imaginer ce qui va bien pouvoir se passer par la suite), hallucinant devant leurs dérives, leurs failles et leurs dérangements. Des fondus-enchaînés, déchaînés parfois. En effet, la profondeur de champ de cette histoire assez originale met assez mal à l’aise, sentiment accentué par le montage assez inventif de l’auteur. Laurent Scalese travaillant dans ce milieu, le lecteur fantasmera sur la part de réel du propos. Un auteur qui se fond dans son histoire, avec un style fluide et des dialogues qui sonnent juste. Et quelques messages...
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