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La Famille Middlestein
Karine Reignier-Guerre (traduit par)
Date de parution : 21/08/2015
Éditeurs :
Les Escales

La Famille Middlestein

Karine Reignier-Guerre (traduit par)
Date de parution : 21/08/2015
Bienvenue chez les Middlestein, une famille aussi irrésistible que dysfonctionnelle, minée par l’appétit hors norme de la matriarche. Un roman à dévorer d’une traite !
Grandeur et décadence d’une famille juive de Chicago, confrontée à l’appétit dévorant d’une mère. Best-seller du New York Times, élu livre du mois d’Amazon lors de sa parution, dans la... Grandeur et décadence d’une famille juive de Chicago, confrontée à l’appétit dévorant d’une mère. Best-seller du New York Times, élu livre du mois d’Amazon lors de sa parution, dans la lignée de Jonathan Franzen, un livre universel sur le mariage, la filiation et l’obsession de notre société pour la nourriture,... Grandeur et décadence d’une famille juive de Chicago, confrontée à l’appétit dévorant d’une mère. Best-seller du New York Times, élu livre du mois d’Amazon lors de sa parution, dans la lignée de Jonathan Franzen, un livre universel sur le mariage, la filiation et l’obsession de notre société pour la nourriture, porté par un humour aussi cinglant que désopilant, et une humanité débordante.
 
Bienvenue chez les Middlestein, une famille au bord de la crise de nerfs, depuis que Edie, la mère, risque d’y passer si elle ne prend pas au sérieux ses problèmes d’obésité. Cerise sur le gâteau, le père la quitte pour découvrir à soixante ans les affres du speed dating.
Une trahison impardonnable pour leur célibataire invétérée de fille, un rebondissement que voudrait bien oublier leur fils en fumant son joint quotidien, si sa femme ne s’était mis en tête de sauver Edie à base de cours de Pilates et de Weight Watchers… quand elle n’est pas en train d’obliger leurs jumeaux à réviser leur chorégraphie hip-hop pour leur bar-mitsvah !
Une question taraude toutefois les Middlestein : et s’ils étaient tous un peu responsables du sort d’Edie ?
 
Une ronde de personnages à la fois tragique et jubilatoire pour un roman addictif !
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EAN : 9782365691321
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782365691321
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Kez 24/01/2022
    "How could she not feed her daughter?" Un livre sur une famille juive Américaine mais aussi sur l'obésité ou plutôt les conduites auto destructrices. Un livre où l'on découvre Edie et ses proches. Edie qui va mourrir de trop manger. Eddie qui n'a pas la langue dans sa poche pour ses proches mais qui a du mal à se défendre lorsqu'elle va se faire virer du fait de son obésité. Edie que ses proches vont vouloir protéger, aimer ou quitter. Bref un livre résumer parfaitement ici. Je ne connais pas grand chose à la religion juive donc je ne sais pas si cette famille est typique ou non. C'est un livre prenant mais j'avoue avoir eu du mal à m'identifier avec les différentes personnes qui sont toutes un peu caricaturales. La belle fille dans sa recherche de la perfection alors qu'elle est peut être plus proche de sa belle mère qu'elle ne le pense. Les enfants qui prennent partie pour leur mère alors que...
  • Little_stranger 07/02/2021
    A jewish familly, Chicago. Le patriarche est venu d'Europe, affamé et a fondé une famille. Avec son épouse, ils ont eu une petite fille Eddie, très intelligente, qui a peut être eut, un peu de mal à exister entre les engagements politiques de ses parents et l'histoire familiale. Eddie grandit, Eddie devient une femme qui souffre d'obésité morbide. Petite, elle était déjà ronde, obsédée par la nourriture et gavée comme une oie par sa mère. Adulte, après la mort de ses deux parents, la nourriture devient sa protection contre la douleur : celle d'être orpheline, celle de ne plus pouvoir/vouloir séduire, de rendre la vie infernale à son mari, Richard, au point qu'il la quitte, car il ne supporte plus le suicide alimentaire de sa femme, d'avoir du assumer la charge des enfants, Robin et Benny, petits, pour qu'ils la quittent adultes ... Les opérations possibles pour stopper le processus d'auto-destruction d'Eddie, sont dérisoires, car Eddie ne veut pas changer. Un beau roman triste sur l'impossibilité de sauver ceux qui ne le veulent pas et les choix qu'il faut faire pour éviter d'être happés par la destruction.
  • GoodBooksGoodFriends 17/12/2020
    Ce roman était sympa mais pas inoubliable, alors je vais résumer mes impressions. Points forts vs Points faibles ➕ Une famille dysfonctionnelle, de la bonne matière à roman ➖ Mais : a souffert de la comparaison avec le très réussi Les Altruistes de Andrew Ridker, pourtant postérieur ➕ Un chapitre à la narration à la Virgin Suicides qui m'a beaucoup plu ➖ Mais : un seul ➕ Il y a de temps en temps des petits flashs vers le futur, c'est un procédé que j'aime assez ➖ Mais : ils ne sont pas assez développés ➖ Heureusement que je l'ai lu rapidement, ce roman m'a donné faim en permanence ! ➖ Un petit détail qui m'a agacée, à deux reprises dans le roman, un homme se fait la réflexion que sa femme/compagne s'enlaidit car elle fait une grimace. L'un d'eux sent même son amour pour elle s'estomper ! 😡 Bilan Ce roman se lit vite mais je ne m'en souviendrai plus dans... Tiens de quoi ça parle déjà ? 🤔 De Jami Attenberg, je vous conseille plutôt de lire Mazie : Sainte patronne des fauchés et des assoiffés.
  • adtraviata 16/10/2020
    Bienvenue chez les Middlestein, une famille juive d’une banlieue de Chicago dont le personnage central est (comme dans toute bonne famille juive) Edie, la mère qui est vraiment très grosse (ce qu’on appelle de l’obésité morbide) et qui se fout comme d’une guigne (ou presque) des conseils des médecins, des recommandations de sa fille Robin et de sa belle-fllle Rachelle, « une pudibonde obsessionnelle et coincée » (du moins sous le regard de son beau-père Richard Middlestein), et des anxiétés de ses petits-enfants. Mais quand son mari Richard la quitte, entre deux opérations chirurgicales, toute la famille éclate et même Edie, qui s’est toujours bien cachée et caparaçonnée sous sa couche de graisse, vacille. Jami Attenberg passe d’un personnage à l’autre et d’une époque à l’autre (elle joue pas mal de l’effet de prolepse) dans l’histoire de cette famille née de l’exil pour en comprendre tous les membres, leurs ambitions, leurs rêves, leurs angoisses, leur rapport au corps et au désir et bien sûr, à la nourriture. Une famille pas ultra-religieuse mais qui célèbre les grandes fêtes juives qui marquent aussi son identité (et qui sont aussi de fameuses occasions de célébrer la nourriture). C’est un chouette roman sur l’amour et la bouffe, un roman tout en contrastes, comme ses personnages bien typés, racontés – comme le dit la quatrième de couverture – avec tendresse et humour par Jami Attenberg. Un roman qui trouve son apogée dans le final, où l’amant d’Edie lui cuisine amoureusement des nouilles et un plat de canard chinois qui contraste avec toutes les nourritures industrielles qu’Edie a consommées pendant longtemps pour combler le manque d’amour dont elle souffrait. Je pense que je me souviendrai de cette femme forte dans tous les sens du terme.Bienvenue chez les Middlestein, une famille juive d’une banlieue de Chicago dont le personnage central est (comme dans toute bonne famille juive) Edie, la mère qui est vraiment très grosse (ce qu’on appelle de l’obésité morbide) et qui se fout comme d’une guigne (ou presque) des conseils des médecins, des recommandations de sa fille Robin et de sa belle-fllle Rachelle, « une pudibonde obsessionnelle et coincée » (du moins sous le regard de son beau-père Richard Middlestein), et des anxiétés de ses petits-enfants. Mais quand son mari Richard la quitte, entre deux opérations chirurgicales, toute la famille éclate et même Edie, qui s’est toujours bien cachée et caparaçonnée sous sa couche de graisse, vacille. Jami Attenberg passe d’un personnage à l’autre et d’une époque à l’autre (elle joue pas mal de l’effet de prolepse) dans l’histoire de cette famille née de l’exil pour en comprendre tous les membres, leurs ambitions, leurs rêves, leurs angoisses, leur rapport au corps et au désir et bien sûr, à la nourriture. Une famille pas ultra-religieuse mais qui célèbre les grandes fêtes juives qui marquent aussi son identité (et qui sont aussi de fameuses occasions de célébrer la nourriture). C’est un chouette roman sur l’amour et la...
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  • iris29 10/08/2020
    Lorsque on fait la connaissance de la famille Middlestein, habitant à Chicago, elle est au bord du gouffre. La mère, Edie, avocate, a été poussée à la retraite par son cabinet pour cause d'obésité morbide ( ça leur gâchait la vue de la croiser dans les couloirs... ) , son mari à la bonne idée de demander le divorce. Du coup les enfants en veulent à leur père, la belle-fille ne veut plus qu'il voit ses petits-enfants, et tout ce petit monde culpabilise, comment Edie en est-elle arrivée à peser 160 kilos? La belle-fille la suit en cachette pour comprendre, et pour comprendre , ça va lui crever les yeux ... après le petit déjeuner, halte au drive du petit clown jaune , puis halte à un autre drive, puis resto chinois. Edie se suicide à petit feu, Edie a deux opérations prévues, des stents posés sur ses jambes. Opérations de la dernière chance... Le New York Times ( où l'auteure est journaliste...) déclare : " Un roman , brillant, plein d'humour et d'esprit"... Oui, peut- être , sauf que l'histoire racontée n'est pas universelle, elle est très particulière de par les thèmes traités. La famille se réveille un peu tard concernant l'obésité de la grand- mère, tout le monde aurait pu s'inquiéter avant, lui faire faire du sport. Tout ce petit monde vit au final de façon égoîste, et sans communiquer ; chacun ne se souciant de l'autre qu'une fois le problème apparu. La mise à l'écart du père qui de façon tout à fait légitime demande le divorce, ce qui est perçu comme une trahison, alors que ce brave homme a le droit de vouloir connaître l'amour, avant de mourir, il n'a pas à "s' enterrer" avec sa femme qui est dans une obésité morbide (on ne parle pas de gourmandise, de bonne vivante, elle "engouffre" vraiment la nourriture de façon maladive et névrotique ). La religion avec ses fêtes et des dates à honorer apparaît alors comme vécue de façon assez superficielle. Tous ces gens sont seuls mais en famille ... . Bref, je ne me suis pas sentie concernée, je les ai observés de loin, bouder, se disputer , passer les uns à côté des autres . Une sacrée brochette de névrosés ! J'ai mis du temps à rentrer dans la famille, mais au fil du temps, j'ai fini par les comprendre et donc à les apprécier (un peu ). Je n'ai pas trouvé ce roman drôle, sauf une fois : le père étant à la recherche de l'amour, passé soixante ans, il découvre les joies (et les limites) d'internet. Un "roman plein d'esprit", si on est patient, si les thèmes évoqués vous touchent, vous interpellent, ou vous rendent curieux, pourquoi pas ? Pour ma part, je suis au regret de d'avouer que j'oublierai la famille Middlestein, assez vite. Mais je réessaierai avec cette auteure, à l'occasion, un de ses titres évoquant un peu Bridget Jones ..Lorsque on fait la connaissance de la famille Middlestein, habitant à Chicago, elle est au bord du gouffre. La mère, Edie, avocate, a été poussée à la retraite par son cabinet pour cause d'obésité morbide ( ça leur gâchait la vue de la croiser dans les couloirs... ) , son mari à la bonne idée de demander le divorce. Du coup les enfants en veulent à leur père, la belle-fille ne veut plus qu'il voit ses petits-enfants, et tout ce petit monde culpabilise, comment Edie en est-elle arrivée à peser 160 kilos? La belle-fille la suit en cachette pour comprendre, et pour comprendre , ça va lui crever les yeux ... après le petit déjeuner, halte au drive du petit clown jaune , puis halte à un autre drive, puis resto chinois. Edie se suicide à petit feu, Edie a deux opérations prévues, des stents posés sur ses jambes. Opérations de la dernière chance... Le New York Times ( où l'auteure est journaliste...) déclare : " Un roman , brillant, plein d'humour et d'esprit"... Oui, peut- être , sauf que l'histoire racontée n'est pas universelle, elle est très particulière de par les thèmes traités. La famille se réveille un peu tard concernant...
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