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La Maison des Turner
Anne-Laure Tissut (traduit par)
Date de parution : 31/08/2017
Éditeurs :
Les Escales

La Maison des Turner

Anne-Laure Tissut (traduit par)
Date de parution : 31/08/2017
Partez à la rencontre de la famille Turner : treize frères et sœurs qui se chamaillent et qui s’aiment passionnément.  Unanimement salué par la critique, La Maison des Turner inaugure le renouveau du grand roman américain.
Rentrée littéraire 2017

Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d’un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize...
Rentrée littéraire 2017

Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d’un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize enfants et d’une foule de petits-enfants, mais aussi la déchéance de la ville et la mort du père.
Quand Viola, la...
Rentrée littéraire 2017

Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d’un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize enfants et d’une foule de petits-enfants, mais aussi la déchéance de la ville et la mort du père.
Quand Viola, la matriarche, tombe malade, les enfants Turner reviennent pour décider du sort de la maison qui n’a désormais plus aucune valeur, la crise des subprimes étant passée par là.
Garder la maison pour ne pas oublier le passé ou la vendre et aller de l’avant ? Face à ce choix, tous les Turner, de Cha-Cha, le grand frère et désormais chef de famille, à Lelah, la petite dernière, se réunissent. Et s’il fallait chercher dans les secrets et la mythologie familiale pour trouver la clef de l’avenir des Turner et de leur maison ?

« Á lire absolument ! Un roman aussi drôle qu’émouvant. »
Booklist

« Un premier roman d’une la maturité exceptionnelle. Un roman fort et mémorable. Flournoy nous plonge au cœur de la famille Turner qu’on a l’impression de connaître encore mieux que  notre propre famille. »
The New York Times Review of Books

« Un premier roman élégant et maîtrisé. »
The Washington Post

« Le premier roman épatant d’Angela Flournoy renouvelle le genre du « grand roman américain », il traite de tous les thèmes chers au pays : la famille, les maisons, l’argent, les fantômes et le deuil ».
NPR

 
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EAN : 9782365693431
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782365693431
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« Un grand roman familial américain » 
20 Minutes

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Matildany 26/05/2023
    Francis Turner et Viola ont eu treize enfants. Cette grande famille a habité à Detroit, et à la mort du patriarche, les enfants ont continué d'entourer Viola. Lorsque celle-ci tombe malade, l'aîné, Cha-cha l'héberge alors chez lui. Dans ce récit on alterne entre les débuts du couple formé par Francis et Viola, depuis1944, et les interactions entre les membres de la famille en 2008, chargés de prendre une décision quant à liquider la maison familiale, qui a perdu toute valeur depuis la crise des sub-primes, ce qui entraîne bien entendu un tas de discussions, règlements de compte et animosité dans la fratrie. J'ai aimé remonter le temps pour découvrir le passé et la construction de cette famille, mais j'ai trouvé dommage que l'on ne soit focalisé que sur certains membres de la famille, surtout au vu de l'arbre généalogique foisonnant présenté au début du roman! C'est intéressant, car on en apprend beaucoup sur la ville de Détroit, les conditions difficiles pour vivre dans cette ville pour une famille afro-américaine sont également mises en évidence, mais je m'attendais à quelque chose avec plus d'ampleur, une véritable saga familiale, ici, on est plutôt à l'heure du bilan au regard d'événements passés. Francis Turner et Viola ont eu treize enfants. Cette grande famille a habité à Detroit, et à la mort du patriarche, les enfants ont continué d'entourer Viola. Lorsque celle-ci tombe malade, l'aîné, Cha-cha l'héberge alors chez lui. Dans ce récit on alterne entre les débuts du couple formé par Francis et Viola, depuis1944, et les interactions entre les membres de la famille en 2008, chargés de prendre une décision quant à liquider la maison familiale, qui a perdu toute valeur depuis la crise des sub-primes, ce qui entraîne bien entendu un tas de discussions, règlements de compte et animosité dans la fratrie. J'ai aimé remonter le temps pour découvrir le passé et la construction de cette famille, mais j'ai trouvé dommage que l'on ne soit focalisé que sur certains membres de la famille, surtout au vu de l'arbre généalogique foisonnant présenté au début du roman! C'est intéressant, car on en apprend beaucoup sur la ville de Détroit, les conditions difficiles pour vivre dans cette ville pour une famille afro-américaine sont également mises en évidence, mais je m'attendais à quelque chose avec plus d'ampleur, une véritable saga familiale, ici, on est plutôt à l'heure du bilan...
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  • Cathy81 20/09/2022
    En 2008 à Détroit, la famille Turner doit prendre une décision concernant la maison familiale, faut-il la vendre ou la garder? Le choix est difficile car c'est la crise et elle abrite 50 ans de souvenirs. Le patriarche est décédé depuis plusieurs années mais Viola la mère, ne pouvant plus vivre seule s'est installé chez le fils aîné, Charles et c'est avec ses douze frères et sœurs qu'il doit se concerter. A partir de ce point de départ, l'auteur va retracer l'histoire du couple et de leurs enfants. Elle met en scène surtout l’aîné qui à la suite d'une vision traumatique de son enfance : la vision d'un fantôme, décide de suivre une thérapie et de Lelah, la petite dernière. Celle-ci vient de se séparer à nouveau et se retrouve provisoirement sans domicile, ne voulant pas s'imposer chez les membres de sa famille, elle s'installe discrètement dans la maison familiale... J'ai beaucoup apprécié cette saga familiale qui mêle intelligemment l'histoire du pays et les histoires personnelles, les différents destins de la fratrie. Les relations entres les frères et sœurs sont riches et variées. Il est intéressant de voir que selon la place dans la fratrie, le point du vue et le ressenti sur l'attitude de leurs parents sont très différents. L'auteur a réussie à merveilles à décortiquer la complexité des relations fraternelles ! En 2008 à Détroit, la famille Turner doit prendre une décision concernant la maison familiale, faut-il la vendre ou la garder? Le choix est difficile car c'est la crise et elle abrite 50 ans de souvenirs. Le patriarche est décédé depuis plusieurs années mais Viola la mère, ne pouvant plus vivre seule s'est installé chez le fils aîné, Charles et c'est avec ses douze frères et sœurs qu'il doit se concerter. A partir de ce point de départ, l'auteur va retracer l'histoire du couple et de leurs enfants. Elle met en scène surtout l’aîné qui à la suite d'une vision traumatique de son enfance : la vision d'un fantôme, décide de suivre une thérapie et de Lelah, la petite dernière. Celle-ci vient de se séparer à nouveau et se retrouve provisoirement sans domicile, ne voulant pas s'imposer chez les membres de sa famille, elle s'installe discrètement dans la maison familiale... J'ai beaucoup apprécié cette saga familiale qui mêle intelligemment l'histoire du pays et les histoires personnelles, les différents destins de la fratrie. Les relations entres les frères et sœurs sont riches et variées. Il est intéressant de voir que selon la place dans la fratrie, le point du...
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  • Brice_B 26/01/2021
    Je ne pourrais pas expliquer pour quelle raison, mais j’ai toujours été emballé par la lecture de ces sagas familiales au travers des générations, comme dans le prisé Le soleil des Scorta, de Laurent Gaudé, l’immanquable Chronique des Clifton de Jeffrey Archer ou encore le superbe Jours de juin, de Julia Glass. Autant dire que, lorsque j’ai lu la quatrième de couverture de La maison des Turner, je me suis dit que ce roman était fait pour moi. Nous sommes à Détroit, ville portuaire du Michigan fondée par un français, longtemps prospère grâce à l’industrie automobile (d’où son surnom de « Motor city » ), puis lentement ville refuge des populations noires fuyant le sud des États-Unis, et enfin aujourd’hui cité sinistrée par la crise des subprimes, par le déclin des industries automobiles qui l’avaient fait vivre, par un chômage flirtant avec les pires records, l’ayant conduit il y a quelques années à être la première ville à se déclarer en faillite. À Détroit, les Turner essaient de maintenir les liens familiaux alors que leur mère, Viola, montre des signes inquiétants de fatigue, et semble de plus en plus malade. Les treize enfants tâcheront de gérer au mieux leurs combats personnels afin de pouvoir se réunir et décider unanimement de ce qu’ils devaient faire de la maison familiale de Yarrow Street, à l’abandon et sans aucune valeur, maintenant que leur mère ne peut plus y vivre. C’est Charles, l’aîné de la fratrie, dit Cha-cha, vers qui tous se tournent naturellement pour prendre la bonne décision, alors qu’il s’embourbe dans une thérapie après un accident au volant de son camion, pour lequel il a expliqué avoir vu le fantôme qui le poursuit depuis son enfance. Dans la maison abandonnée de Yarrow Street, il y a pourtant Lelah qui squatte dans un silence honteux après avoir tout perdu – travail, amis, famille, logement – à cause son addiction aux jeux, et surtout à la roulette dans les casinos. Cette saga n’est pas construire chronologiquement, et les turpitudes entrecroisées des frères et sœurs Turner laissent de temps en temps place à un retour dans le passé, pour suivre l’histoire des parents, Viola et Francis Turner. Le roman est globalement intéressant, agréable à lire, et pourtant je garde comme une forme de déception à son endroit, car c’est un roman très inégal, avec des personnages quasi-inexistants et d’autres très détaillés. Si j’ai aimé ma lecture, je l’ai achevée avec le sentiment trouble qu’il manquait quelque chose, qui est peut-être tout simplement la raison pour laquelle les sagas m’emballent autant : l’attachement aux personnages et cette nostalgie qui accompagne les dernières pages, que je n’ai pas retrouvé dans La maison des Turner.Je ne pourrais pas expliquer pour quelle raison, mais j’ai toujours été emballé par la lecture de ces sagas familiales au travers des générations, comme dans le prisé Le soleil des Scorta, de Laurent Gaudé, l’immanquable Chronique des Clifton de Jeffrey Archer ou encore le superbe Jours de juin, de Julia Glass. Autant dire que, lorsque j’ai lu la quatrième de couverture de La maison des Turner, je me suis dit que ce roman était fait pour moi. Nous sommes à Détroit, ville portuaire du Michigan fondée par un français, longtemps prospère grâce à l’industrie automobile (d’où son surnom de « Motor city » ), puis lentement ville refuge des populations noires fuyant le sud des États-Unis, et enfin aujourd’hui cité sinistrée par la crise des subprimes, par le déclin des industries automobiles qui l’avaient fait vivre, par un chômage flirtant avec les pires records, l’ayant conduit il y a quelques années à être la première ville à se déclarer en faillite. À Détroit, les Turner essaient de maintenir les liens familiaux alors que leur mère, Viola, montre des signes inquiétants de fatigue, et semble de plus en plus malade. Les treize enfants tâcheront de gérer au mieux leurs combats personnels afin...
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  • lulu8723 07/01/2021
    Angela FLOURNOY. La maison des Turner. Nous sommes à Détroit, dans le Michigan, aux États-Unis. Une famille noire, Francis et Viola Turner, à la tête de 13 enfants nous font participer leur quotidien et leur vie au cours d’environ soixante années. Et en soixante ans, il s’en passe des évènements, les uns heureux, les autres malheureux. Non la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Cette saga témoigne des péripéties subies par les différents personnages. Avec leurs emplois, les parents ont acquis une demeure, dans la banlieue de cette ville qui a connu un essor grâce à l’industrie automobile et à la forte population noire qui a fourni une main-d’œuvre abondante et bon marché. Mais avec les crises pétrolières successives, financières et les subprimes, la mondialisation, l’économie a chuté. Et les « villas » ont perdu beaucoup de valeur. C’est le cas de la maison des Turner qui ne vaut plus que 5 000 dollars. La somme de l’emprunt est énorme, plus de 40 000 dollars encore à rembourser…. . Suite au décès du père, de la dépendance de la mère, hébergée par son fils aîné, cette maison est à l’abandon.. Elle a même été pillée des quelques meubles restés sur place lors du déménagement de la mère. Quel sera le devenir de cette propriété, encombrante au demeurant. Et là une querelle apparaît. De toute la smala, émergent trois enfants, Cha-Cha, l’aîné, Troy, l’avant-dernier fils et Lelah, la petite dernière. Mais ils sont adultes et aptes à prendre des décisions. Cha-Cha est hanté par un fantôme vu alors qu’il avait une dizaine d’années. Il doit même suivre une thérapie pour exorciser son démon. Troy, après avoir passé une dizaine d’années sous les drapeaux, dans la marine, a pris un emploi dans la vie civile. Lelah, jeune femme, divorcée, avec une fille, elle-même mère célibataire a une grande addiction : le jeu. Elle a perdu son emploi, vit d’expédients, se terre dans la maison familiale, garde à l’occasion son petit-fils Bobbie (Robert Junior). Chacun est dans sa galère. Il y a des problèmes conjugaux, le chômage, la santé décadente, l’éloignement, le jeu, l’alcool, bref, l’avenir est obstrué. Quelle décision vont prendre les participants ? Ils ont connu des joies dans cette maison, des contrariétés, des déceptions, des tourments, mais c’est leur enfance qui va disparaître…. Quelle décision prendre pour éliminer les conflits, les malentendus et les disputes pour un bien qui est davantage une écharde qu’un bien à profit ? Heureusement, Angela nous fournit un arbre généalogique afin que nous repérions les personnages principaux. Cela nous permet de bien suivre les diverses filiations. Oui, entre tous ces enfants, petits-enfants il faut un fil conducteur. Merci beaucoup pour cette présentation très claire …. Une histoire banale mais bien construite et qui reflète la pauvreté des populations afro-américaine. Une très belle description de la descente aux enfers de ces familles que l’Amérique refuse, encore de nos jours à intégrer et à accepter. Une bonne lecture. Angela FLOURNOY. La maison des Turner. Nous sommes à Détroit, dans le Michigan, aux États-Unis. Une famille noire, Francis et Viola Turner, à la tête de 13 enfants nous font participer leur quotidien et leur vie au cours d’environ soixante années. Et en soixante ans, il s’en passe des évènements, les uns heureux, les autres malheureux. Non la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Cette saga témoigne des péripéties subies par les différents personnages. Avec leurs emplois, les parents ont acquis une demeure, dans la banlieue de cette ville qui a connu un essor grâce à l’industrie automobile et à la forte population noire qui a fourni une main-d’œuvre abondante et bon marché. Mais avec les crises pétrolières successives, financières et les subprimes, la mondialisation, l’économie a chuté. Et les « villas » ont perdu beaucoup de valeur. C’est le cas de la maison des Turner qui ne vaut plus que 5 000 dollars. La somme de l’emprunt est énorme, plus de 40 000 dollars encore à rembourser…. . Suite au décès du père, de la dépendance de la mère, hébergée par son fils aîné, cette maison est à l’abandon.. Elle a même été pillée des quelques...
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  • Tristale 09/06/2020
    RÉSUMÉ:" Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d'un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize enfants et d'une foule de petits-enfants, mais aussi la déchéance de la ville et la mort du père. Quand Viola, la matriarche, tombe malade, les enfants Turner reviennent pour décider du sort de la maison qui n'a désormais plus aucune valeur, la crise des subprimes étant passée par là. Garder la maison pour ne pas oublier le passé ou la vendre et aller de l'avant ? Face à ce choix, tous les Turner, de Cha-Cha, le grand frère et désormais chef de famille, à Lelah, la petite dernière, se réunissent. Et s'il fallait chercher dans les secrets et la mythologie familiale pour trouver la clef de l'avenir des Turner et de leur maison ?" MON AVIS: Tout d'abord si j'avais dû me fier au bandeau du livre j'aurais été un peu déçue. Je ne l'ai pas trouvé drôle cette histoire mais émouvante oui. De plus il ne faut pas s'attendre à ce que se mêlent les vies des 13 enfants Turner car le récit tourne plutôt autour de seulement 5 ou 6.Les autres sont à peine évoqués car ils ne sont pas présents dans les proches alentours de la maison Turner. Alors certes ce n’était pas à mon sens une histoire captivante et passionnante mais elle dégageait des sentiments forts. Les failles des uns et des autres apparaissent et remontent même jusqu'aux parents, Viola et Francis. Pas si facile d'être soi, d'être heureux ou simplement satisfait de sa vie. Les Turner rient, se disputent, ne sont pas souvent d'accord, font des erreurs mais ils s'aiment et c'est ce qui compte au final. Rester unis autour de cette vielle maison sans valeur marchande mais d'une grande valeur sentimentale. Une belle histoire de famille en fin de compte.RÉSUMÉ:" Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d'un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize enfants et d'une foule de petits-enfants, mais aussi la déchéance de la ville et la mort du père. Quand Viola, la matriarche, tombe malade, les enfants Turner reviennent pour décider du sort de la maison qui n'a désormais plus aucune valeur, la crise des subprimes étant passée par là. Garder la maison pour ne pas oublier le passé ou la vendre et aller de l'avant ? Face à ce choix, tous les Turner, de Cha-Cha, le grand frère et désormais chef de famille, à Lelah, la petite dernière, se réunissent. Et s'il fallait chercher dans les secrets et la mythologie familiale pour trouver la clef de l'avenir des Turner et de leur maison ?" MON AVIS: Tout d'abord si j'avais dû me fier au bandeau du livre j'aurais été un peu déçue. Je ne l'ai pas trouvé drôle cette histoire mais émouvante oui. De plus il ne faut pas s'attendre à ce que se mêlent les vies des 13 enfants Turner car le récit tourne plutôt autour de seulement 5 ou 6.Les autres sont...
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