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La Nuit des elfes
Date de parution : 04/11/2010
Éditeurs :
Belfond

La Nuit des elfes

Date de parution : 04/11/2010

 

Le monde a sombré dans le chaos lorsque les hommes ont exterminé les derniers royaumes nains. Seuls les elfes pourraient s'opposer à eux, mais ils se sont retranchés dans leurs...

Le monde a sombré dans le chaos lorsque les hommes ont exterminé les derniers royaumes nains. Seuls les elfes pourraient s'opposer à eux, mais ils se sont retranchés dans leurs immenses forêts, inconscients du danger qui les menace à leur tour.

Pour empêcher le duc Gorlois d'étendre la domination des hommes...

Le monde a sombré dans le chaos lorsque les hommes ont exterminé les derniers royaumes nains. Seuls les elfes pourraient s'opposer à eux, mais ils se sont retranchés dans leurs immenses forêts, inconscients du danger qui les menace à leur tour.

Pour empêcher le duc Gorlois d'étendre la domination des hommes sur la terre, au nom de Dieu, le druide Merlin s'attache aux pas du chevalier Uter, l'amant de Lliane, la reine des elfes. Investi du pouvoir de Lliane, Uter devient le Pendragon, chef de guerre de tous les peuples libres, et tient désormais entre ses mains le pouvoir de restaurer l'ordre ancien. Mais il lui reste à choisir entre l'amour de deux reines : Lliane, l'inaccessible, réfugiée dans son île d'Avalon ; ou Ygraine, si réelle, si humaine …

Récit flamboyant du combat entre deux mondes, deux religions, deux femmes, La Nuit des elfes apporte une dimension violente et sensuelle à la genèse du cycle arthurien.

La Nuit des elfes est le deuxième volet de la saga entreprise avec Le Crépuscule des elfes.

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EAN : 9782714449139
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714449139
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Melisende 28/06/2020
    Je continue la relecture de cette trilogie qui a marqué mon adolescence puisque c’est grâce à Jean-Louis Fetjaine que j’ai découvert la fantasy. J’avais adoré ma première lecture, celle-ci a à nouveau été passionnante et passionnée. Si le premier tome rendait hommage au Seigneur des Anneaux de Tolkien, ce deuxième volume s’en éloigne définitivement et entre de plein fouet dans le mythe arthurien. Pas question pour autant d’en oublier le folklore nordique et la mythologie irlandaise puisque les nains, les elfes et les artefacts des quatre tribus de la Déesse ont plus que jamais leur place dans l’intrigue. Et si Uter est présenté comme le grand héros de ce cycle, ce sont les elfes qui en sont la pierre angulaire, comme nous le rappelle le titre de la trilogie. Les premiers chapitres de ce deuxième tome donne le ton : la mort (un combat violent entre hommes et nains) versus la vie (Lliane donne naissance). La soif de pouvoir des humains ne cesse de grandir. Le roi Pellehun rêvait de conquêtes, le duc Gorlois lui, souhaite ardemment éradiquer les races qui ne sont pas la sienne. Et tous les coups sont permis. Uter semble être le seul espoir de rétablir le fragile équilibre de la Terre, celui qui fait le lien entre les hommes et les elfes. Mais ses convictions semblent elles aussi fragiles : entre la sauvage reine des Hauts-Elfes Lliane et « l’obéissante » reine humaine Ygraine, son cœur balance. Monde païen ancien ou nouvelle religion unique et humaine, nos personnages sont à un tournant. C’est l’heure des choix. Le propos pourrait sembler assez manichéen ainsi conté mais il n’en est rien. Car tout n’est pas noir ou blanc, même les elfes peuvent se révéler d’une cruauté somme toute… humaine ! De violentes émotions se dégagent de ses pages : on se révolte en apprenant la destinée des nains, on souffre des trahisons et des amours déçues, on s’indigne de l’ambition des hommes… et on découvre presque un discours écolo derrière tout ça : après tout, les elfes sont les parfaits représentants d’une pensée « verte ». Attention malgré tout, peu de pacifisme dans ce court roman mais au contraire, un tome très guerrier et très sanglant. Plus que le précédent. C’est plein de rancœur, de haine, de violence et de chagrin. On peinerait presque à trouver de l’espoir dans les agissements d’Uter et ce ne sont pas les dernières pages qui nous font changer d’avis. Avec cette relecture, je suis à nouveau sous le charme de la plume de Jean-Louis Fetjaine et de la sensibilité qui s’en dégage. Je suis toujours impressionnée par l’entremêlement des légendes arthuriennes avec des éléments de folklore et de fantasy purs et durs. Merlin-Myrddin est ainsi mi-homme mi-elfe. C’est l’évidence. Finalement, le seul reproche que je pourrais faire à cette histoire, c’est qu’elle est trop courte… chaque tome pris indépendamment ne s’étend pas sur plus de 300 pages et pourtant, il s’en passe des choses ! Le double de mots n’aurait pas été de trop pour s’attacher encore plus aux personnages et aux situations qu’ils vivent. Heureusement, il me reste encore le tome 3 à relire… et l’autre trilogie préquelle : Les Chroniques des Elfes. Deuxième tome de la Trilogie, cette Nuit des Elfes s’assombrit. La soif de pouvoir a perverti les Hommes qui souhaitent plus que tout être les seuls à régner, pourvus des artefacts magiques des autres peuples. Une réécriture très fantasy et sensible du mythe arthurien. Idéal pour se lancer dans la littérature imaginaire !Je continue la relecture de cette trilogie qui a marqué mon adolescence puisque c’est grâce à Jean-Louis Fetjaine que j’ai découvert la fantasy. J’avais adoré ma première lecture, celle-ci a à nouveau été passionnante et passionnée. Si le premier tome rendait hommage au Seigneur des Anneaux de Tolkien, ce deuxième volume s’en éloigne définitivement et entre de plein fouet dans le mythe arthurien. Pas question pour autant d’en oublier le folklore nordique et la mythologie irlandaise puisque les nains, les elfes et les artefacts des quatre tribus de la Déesse ont plus que jamais leur place dans l’intrigue. Et si Uter est présenté comme le grand héros de ce cycle, ce sont les elfes qui en sont la pierre angulaire, comme nous le rappelle le titre de la trilogie. Les premiers chapitres de ce deuxième tome donne le ton : la mort (un combat violent entre hommes et nains) versus la vie (Lliane donne naissance). La soif de pouvoir des humains ne cesse de grandir. Le roi Pellehun rêvait de conquêtes, le duc Gorlois lui, souhaite ardemment éradiquer les races qui ne sont pas la sienne. Et tous les coups sont permis. Uter semble être le seul espoir de rétablir le fragile équilibre...
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  • Ashallayne 03/05/2020
    J'ai malheureusement moins aimé ce deuxième tome de la Trilogie des elfes. L'histoire reprend neuf mois après la fin du premier tome. On retrouve les personnages principaux, Lliane et Uter, bien qu'ils soient séparés, ainsi que le perfide Gorlois, Merlin, Ygraine... Ce volume est plus sombre que le précédent. On assiste à l'extinction d'un peuple, dont la plupart des membres ont choisi de disparaître avec panache et honneur en mourant par ce qui leur tenait lieu de refuge, plutôt que par la main sale de traîtres. Une scène poignante et incroyablement forte. Mais ce n'est pas tout, on est témoin du déchirement d'un autre peuple, de sa dégringolade brutale qui mène progressivement à leur déchéance. Je regrette de ne pas avoir retrouvé l'humour présent dans le premier tome. Un humour brut, disséminé là où il faut pour donner un peu de peps au roman. Mais point de ça ici. Dommage, bien que je comprenne que le ton soit davantage à la gravité qu'au rire... Les événements s'enchaînent vite, un peu trop à mon goût, surtout à la fin. [masquer] Une fois qu'Uter est devenu le Pendragon, tout s'enchaîne très vite. Sa conquête et la procession qui se forme autour de lui, tout ça m'a paru bien trop facile. Et on en parle de la toute fin ? Je l'ai trouvée bâclée. L'auteur aurait pu prendre deux lignes pour expliquer que Lliane avait pris possession du corps du jongleur, et en profiter pour indiquer comment d'ailleurs, parce que je ne comprends toujours pas... Il n'a pas mangé la pomme de la connaissance d'Avalon, nom de dieu, alors comment elle a pu le posséder ? Et surtout POURQUOI ? C'est pas comme s'il avait besoin des skills de la reine pour venir à bout de la muraille enfin ! C'est lui le voltigeur, pas elle ! Bref, grosse incompréhension. J'ai été complètement paumée pendant tout ce passage, car l'auteur mentionne le visage souriant de Lliane, alors qu'en fait elle habite le corps du jongleur... Bref un passage bâclé selon moi. [/masquer] Du côté des personnages, je n'ai pas réussi à m'y attacher. Je les ai trouvés soit détestables, soit atrocement naïfs ou stupides [masquer] (on en parle de la mort de Pellehun ? C'est du foutage de gueule ! Mais quelle mort débile !) [/masquer] , énervants à leur donner des baffes (la place des femmes à cette époque... Rien que d'y penser ça me donne envie de cogner ! Heureusement Ygraine évolue et remonte dans mon estime à la fin) J'ai trouvé le revirement d'Uter quelque peu... brutal. Certes compréhensible au vu des événements [masquer] : il est possédé, privé de son corps et de son libre arbitre, on a fait de lui un symbole sans lui demander son avis... Et il se bat pour une guerre qui n'est pas vraiment la sienne. Le pire : il est terriblement seul. La personne à qui il tient plus que tout l'a repoussé/abandonné à deux reprises, alors forcément quand il retrouve la belle Ygraine qui, elle, le dévore des yeux, forcément qu'il va virer de bord ! J'ai juste eu du mal avec la brutalité de la chose, le fait que ce noble chevalier ait trahi (ou plutôt va très bientôt trahir) les nains qui comptent sur lui. Mais une fois de plus, ce n'était pas sa quête, il n'avait rien demandé, on s'est outrageusement servi de lui. [/masquer] Fetjaine a bien préparé le terrain pour le bouquet final du prochain et dernier tome, qu'il me tarde de le découvrir. Bien que la fin s'annonce bien sombre... J'ai malheureusement moins aimé ce deuxième tome de la Trilogie des elfes. L'histoire reprend neuf mois après la fin du premier tome. On retrouve les personnages principaux, Lliane et Uter, bien qu'ils soient séparés, ainsi que le perfide Gorlois, Merlin, Ygraine... Ce volume est plus sombre que le précédent. On assiste à l'extinction d'un peuple, dont la plupart des membres ont choisi de disparaître avec panache et honneur en mourant par ce qui leur tenait lieu de refuge, plutôt que par la main sale de traîtres. Une scène poignante et incroyablement forte. Mais ce n'est pas tout, on est témoin du déchirement d'un autre peuple, de sa dégringolade brutale qui mène progressivement à leur déchéance. Je regrette de ne pas avoir retrouvé l'humour présent dans le premier tome. Un humour brut, disséminé là où il faut pour donner un peu de peps au roman. Mais point de ça ici. Dommage, bien que je comprenne que le ton soit davantage à la gravité qu'au rire... Les événements s'enchaînent vite, un peu trop à mon goût, surtout à la fin. [masquer] Une fois qu'Uter est devenu le Pendragon, tout s'enchaîne très vite. Sa conquête et la procession qui se forme autour de lui,...
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  • Foxfire 04/07/2019
    Après un 1er volet splendide qui m’avait enchantée, je ne m’attendais pas à ce que le 2ème tome de la trilogie des elfes soit aussi réussi. Et de fait, « la nuit des elfes » est moins bon que « le crépuscule des elfes ». Mais ne fuyez pas, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, ce second volet reste un très bon roman qui procure un grand plaisir de lecture. Si « la nuit des elfes » est moins enthousiasmant que « le crépuscule des elfes » c’est sans doute que l’aspect fantasy est atténué et que le récit épique laisse la place à une intrigue plus intimiste. En effet, on s’intéresse ici d’avantage aux états d’âmes des personnages, et tout particulièrement Uter, personnage décidément très charismatique et finement dépeint. L’intrigue fait également la part belle aux intrigues de cour, plus politiques. D’épique, le récit glisse vers la tragédie. Cette émotion face à un monde qui peu à peu s’efface était déjà présente dans le 1er tome qui avait un ton à la fois épique et mélancolique mais ce dernier sentiment s’intensifie ici, s’incarnant dans la douloureuse histoire d’amour entre Lliane et Uter. L’opposition entre paganisme et chrétienté est encore plus marquée dans ce 2ème volet et est encore une fois traitée de façon intéressante et sans aucun simplisme. Cette dualité entre croyances païennes et religion nouvelle trouve une résonnance avec le triangle amoureux qui voit Uter hésiter entre Lliane, incarnation du paganisme, et Ygraine, qui représente le christianisme. Le récit se rapproche encore d’avantage dans ce tome de la légende arthurienne, ce qui n’est pas pour me déplaire. D’autant plus que si on retrouve les grandes lignes de ce mythe fondateur Fetjaine y apporte un traitement personnel. De plus, j’ai eu grand plaisir à retrouver l’écriture fine et élégante de l’auteur. Le côté épique qui m’avait tant plu dans le 1er volet m’a un peu manqué ici. Le récit de « la nuit des elfes » est prenant et bien mené mais est tout de même globalement moins intense que dans « le crépuscule des elfes » mais réserve tout de même de grands moments. Je pense notamment à la merveilleuse scène du tournoi. En fait, ce tome apparait comme un tome de transition, de haute volée, avant la conclusion que j’ai maintenant hâte de connaitre. Après un 1er volet splendide qui m’avait enchantée, je ne m’attendais pas à ce que le 2ème tome de la trilogie des elfes soit aussi réussi. Et de fait, « la nuit des elfes » est moins bon que « le crépuscule des elfes ». Mais ne fuyez pas, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, ce second volet reste un très bon roman qui procure un grand plaisir de lecture. Si « la nuit des elfes » est moins enthousiasmant que « le crépuscule des elfes » c’est sans doute que l’aspect fantasy est atténué et que le récit épique laisse la place à une intrigue plus intimiste. En effet, on s’intéresse ici d’avantage aux états d’âmes des personnages, et tout particulièrement Uter, personnage décidément très charismatique et finement dépeint. L’intrigue fait également la part belle aux intrigues de cour, plus politiques. D’épique, le récit glisse vers la tragédie. Cette émotion face à un monde qui peu à peu s’efface était déjà présente dans le 1er tome qui avait un ton à la fois épique et mélancolique mais ce dernier sentiment s’intensifie ici, s’incarnant dans la douloureuse histoire d’amour entre Lliane et Uter. L’opposition entre...
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  • Gaphanie 06/11/2018
    Le Crépuscule des Elfes s'est achevé sur les émeutes dans la ville de Loth et la rencontre d'Uter et de Lliane avec Merlin qui leur a conseillé, pour leur sécurité, de ne pas regagner la ville. La Nuit des Elfes commence sur le champ de bataille : humains contre nains, et s'achève par la mort de l'abominable traître Gorlois et l'avènement d'un nouveau roi, Uther Pendragon, que la Pierre de Fal, talisman des humains, a reconnu comme légitime. Ce deuxième tome est encore plus palpitant que le premier : en vrac et dans le désordre, on y voit s'effondrer - au sens propre !- le Royaume des Nains, mourir le traître Pellehun sur le champ de bataille de la guerre qu'il a provoquée, l'abominable Gorlois contraindre Ygraine à l'épouser, Lliane accoucher, Llandon massacrer les humains, et surtout, surtout, on y voit comment Uter deviendra le Pendragon sur Avalon, et quel choix sera le sien entre les deux reines qui l'aiment, Lliane, et Ygraine. Et encore : des tentatives, et parfois des réussites, d'infanticide, de fratricide, des fuites et des trahisons en tous genres, un tournoi truqué, des prêtres, des druides, et la brume... Ah, la brume et ses mystères... Elle ne laisse ni les Elfes ni les hommes indifférents, la brume... Vraiment, cette suite tient ses promesses ! Pour peu qu'on ne soit pas trop attaché aux "vraies" légendes arthuriennes, ni à l'image traditionnelle des Elfes en fantasy, bref qu'on soit un peu ouvert, c'est un régal ! Le Crépuscule des Elfes s'est achevé sur les émeutes dans la ville de Loth et la rencontre d'Uter et de Lliane avec Merlin qui leur a conseillé, pour leur sécurité, de ne pas regagner la ville. La Nuit des Elfes commence sur le champ de bataille : humains contre nains, et s'achève par la mort de l'abominable traître Gorlois et l'avènement d'un nouveau roi, Uther Pendragon, que la Pierre de Fal, talisman des humains, a reconnu comme légitime. Ce deuxième tome est encore plus palpitant que le premier : en vrac et dans le désordre, on y voit s'effondrer - au sens propre !- le Royaume des Nains, mourir le traître Pellehun sur le champ de bataille de la guerre qu'il a provoquée, l'abominable Gorlois contraindre Ygraine à l'épouser, Lliane accoucher, Llandon massacrer les humains, et surtout, surtout, on y voit comment Uter deviendra le Pendragon sur Avalon, et quel choix sera le sien entre les deux reines qui l'aiment, Lliane, et Ygraine. Et encore : des tentatives, et parfois des réussites, d'infanticide, de fratricide, des fuites et des trahisons en tous genres, un tournoi truqué, des prêtres, des druides, et la brume... Ah, la brume et ses mystères... Elle ne...
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  • RosenDero 21/10/2016
    Les hommes ont volé le talisman des nains. Ainsi privés de tout espoir, ces derniers vont rapidement être anéantis. Pour éviter que le même sort ne soit réservé aux elfes, et pour tenter de reprendre Caledfwlch, l'épée de Nudd, des mains des hommes, Uter, Ulfin et Bran (dernier des nains sous la montagne rouge) aidés de Merlin, s'en vont à la recherche de la reine Lliane et de sa fille Morgane. Ceci les mènera dans le coeur de la forêt des Liandes (Brocéliande), sur l'île de la connaissance, Avalon. ——— Là où Jean-Louis Fetjaine nous offrait de l'action, de l'aventure, des péripéties et des personnages hauts en couleurs, il nous assomme là avec un tome basé sur les histoires à l'eau de rose entre Uter et Lliane, Uter et Ygraine. Je caricature, car il y a de nombreux passages très intéressants, comme la chute de la montagne rouge, ou comme l'avancée des troupes du Pendragon dans les derniers chapitres, mais entre temps, je me suis ennuyé sévère lors des divagations d'Uter, de Merlin, de Lliane. C'est assez mystique et ésotérique pour en devenir plutôt flou. Mais, finalement, c'est tout de même un bon roman plein d'intelligence et d'informations documentaires (les chapitres sur le tournoi et le banquet sont si riches !), qui permet d'ancrer l'histoire dans du connu, en l'éloignant encore un peu plus des canons de la fantasy. C'est réellement dans ce tome, et la dernière phrase enfonce le clou, que l'aspect fantasy-arthurienne prend une part importante. On aime ou on n'aime pas, j'ai trouvé ça intéressant au titre culturel. On sent bien l'importance de la bibliographie en fin de l'ouvrage. de même lorsqu'il s'agit des coutumes et de la mythologie celtique (irlandaise). Enfin, j'avoue ne pas avoir compris le dédoublement du Pendragon lors de l'infiltration finale. Ok Lliane et Uter ne font qu'un en lui, il est donc le Pendragon. Mais comment diable peut-elle sortir de son corps, pourquoi en faire un personnage masculin, et comment Uter peut-il la/le tuer pour qu'elle/il soit ensuite accusé(e) du meurtre de Gorlois ? C'est un peu flou.Les hommes ont volé le talisman des nains. Ainsi privés de tout espoir, ces derniers vont rapidement être anéantis. Pour éviter que le même sort ne soit réservé aux elfes, et pour tenter de reprendre Caledfwlch, l'épée de Nudd, des mains des hommes, Uter, Ulfin et Bran (dernier des nains sous la montagne rouge) aidés de Merlin, s'en vont à la recherche de la reine Lliane et de sa fille Morgane. Ceci les mènera dans le coeur de la forêt des Liandes (Brocéliande), sur l'île de la connaissance, Avalon. ——— Là où Jean-Louis Fetjaine nous offrait de l'action, de l'aventure, des péripéties et des personnages hauts en couleurs, il nous assomme là avec un tome basé sur les histoires à l'eau de rose entre Uter et Lliane, Uter et Ygraine. Je caricature, car il y a de nombreux passages très intéressants, comme la chute de la montagne rouge, ou comme l'avancée des troupes du Pendragon dans les derniers chapitres, mais entre temps, je me suis ennuyé sévère lors des divagations d'Uter, de Merlin, de Lliane. C'est assez mystique et ésotérique pour en devenir plutôt flou. Mais, finalement, c'est tout de même un bon roman plein d'intelligence et d'informations documentaires (les chapitres sur le...
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