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Le Dernier exploit de Poxl West
Pierre Brévignon (traduit par)
Date de parution : 03/11/2016
Éditeurs :
Les Escales

Le Dernier exploit de Poxl West

Pierre Brévignon (traduit par)
Date de parution : 03/11/2016
Un récit éblouissant sur la transmission, l’épopée familiale, le deuil et l’amour.
Après avoir échappé aux nazis en Tchécoslovaquie au début de la Seconde Guerre mondiale, le jeune Poxl West fuit aux Pays-Bas où il leur dame le pion une nouvelle fois... Après avoir échappé aux nazis en Tchécoslovaquie au début de la Seconde Guerre mondiale, le jeune Poxl West fuit aux Pays-Bas où il leur dame le pion une nouvelle fois et où il tombe éperdument amoureux de la belle Françoise. Pourtant, un beau jour, il tourne les talons et gagne... Après avoir échappé aux nazis en Tchécoslovaquie au début de la Seconde Guerre mondiale, le jeune Poxl West fuit aux Pays-Bas où il leur dame le pion une nouvelle fois et où il tombe éperdument amoureux de la belle Françoise. Pourtant, un beau jour, il tourne les talons et gagne la Grande-Bretagne. Réfugié à Londres, il n’a qu’un seul but : devenir pilote. Après avoir sauvé de nombreuses vies pendant le Blitz et croiser la route de la jeune Glynnis, il intègre enfin la Royal Air Force. Bientôt, il participe à de périlleux bombardements aériens sur l’Allemagne. Véritable destinée de personnage de roman, la vie de Poxl est émaillée de rebondissements et péripéties.
Aujourd’hui retraité aux États-Unis, il fascine son neveu, Eli Goldstein, en lui racontant ses actes de bravoure, aventures et romances. Il en rassemble les meilleurs épisodes dans son autobiographie Skylock qui devient un best-seller dès sa parution. Eli ne cesse de lire et de relire les épisodes de la vie trépidante de cet oncle qui incarne pour lui la quintessence.de la virilité. Pourtant, un jour, le mythe s’écroule : un journaliste du New York Times a enquêté sur Poxl et met en question la véracité de ses exploits. Poxl West aurait-il pu s’arranger avec la réalité et trahir ses lecteurs en commençant par Eli ?
 
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EAN : 9782365693004
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782365693004
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Pliopupus 21/06/2018
    Beau récit d'un pilote de la RAF pendant la Seconde Guerre Mondiale. J'aurais voulu que les passages d'aviation soient plus longs, comme le laisse présager le résumé. Dommage que beaucoup de temps soit passé à raconter un relationnel difficile avec ses parents, puis ses compagnes ou ses cousines. Je ne me suis pas tout à fait laissée emporter par le récit, et les personnages sont à mon sens peu attachants.
  • jg69 10/01/2017
    Nous sommes à Boston, Eli Goldstein le narrateur se souvient des décennies plus tard de l'histoire de son oncle Poxl West. Poxl West, cet oncle qui a remplacé le grand père qu'il avait perdu, était originaire d'Europe, plus précisément d'une petite ville près de Prague. Il avait eu un père pilote qui lui avait appris à voler, il est ainsi devenu pilote de la Royal Air Force pendant la deuxième guerre mondiale et un héros de guerre juif, premier juif à avoir combattu les nazis, sous le nom de Poxl West, Weisberg étant un nom juif trop dangereux à porter. Poxl était pour Eli un héros qui le fascinait, une sorte de mentor qui lui organisait des sorties culturelles quand il était petit et lui lisait des extraits de son livre en cours d'élaboration. Quand les Mémoires de Poxl sont publiées et deviennent un best-seller Eli est très fier de cet oncle et très fier d'apparaitre dans les remerciements à la fin du récit. Dans ses Mémoires Poxl raconte son périple de la Tchécoslovaquie aux Pays-Bas où il tombe éperdument amoureux de Françoise puis pour la Grande-Bretagne où il réussit à devenir pilote de la Royal Air Force et participe au largage de bombes incendiaires sur Hambourg. Il finit dans l'Allemagne occupée en charge d'un camp de prisonniers. La vie de Poxl est émaillée de rebondissements et de péripéties Ce roman est construit par strates alternant deux voix, celle d'Ei et et celles de Poxl au travers des extraits de ses Mémoires de Poxl mais il est impossible d'en dire plus pour ne pas dévoiler l'intrigue. Un conseil : ne pas lire la quatrième de couverture qui dévoile à mon avis trop de choses. L'écriture est agréable, parfois lyrique, Daniel Torday a vraiment le souci du détail. Incontestablement le personnage qui m'a le plus intéressée dans ce récit est Eli, ce neveu en admiration devant Poxl, sa quête d'amour, ses attentes, ses déceptions m'ont particulièrement émue. Le personnage de Poxl, quant à lui, s'est révélé assez complexe, c'est un homme qui préfère souvent fuir sans un adieu plutôt que d'affronter les problèmes. Le deuil impossible, le remords, la culpabilité et la vengeance sont les thèmes principaux développés dans ce roman. La période de l'après-guerre m'a particulièrement plu quand l'ennemi peut devenir un ami, quand se développe une certaine fraternité entre anciens ennemis. Nous sommes à Boston, Eli Goldstein le narrateur se souvient des décennies plus tard de l'histoire de son oncle Poxl West. Poxl West, cet oncle qui a remplacé le grand père qu'il avait perdu, était originaire d'Europe, plus précisément d'une petite ville près de Prague. Il avait eu un père pilote qui lui avait appris à voler, il est ainsi devenu pilote de la Royal Air Force pendant la deuxième guerre mondiale et un héros de guerre juif, premier juif à avoir combattu les nazis, sous le nom de Poxl West, Weisberg étant un nom juif trop dangereux à porter. Poxl était pour Eli un héros qui le fascinait, une sorte de mentor qui lui organisait des sorties culturelles quand il était petit et lui lisait des extraits de son livre en cours d'élaboration. Quand les Mémoires de Poxl sont publiées et deviennent un best-seller Eli est très fier de cet oncle et très fier d'apparaitre dans les remerciements à la fin du récit. Dans ses Mémoires Poxl raconte son périple de la Tchécoslovaquie aux Pays-Bas où il tombe éperdument amoureux de Françoise puis pour la Grande-Bretagne où il réussit à devenir pilote de la Royal Air Force et participe au...
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  • MaminouG 20/12/2016
    Prenez un joli titre "Le dernier exploit de Poxl West", ajoutez une couverture d’une grande élégance sur laquelle trois quadrimoteurs Lancaster volent dans un ciel bleu ennuagé de blanc, saupoudrez de personnages attachants, insérez une histoire entrecoupée d’interludes et vous obtenez le très beau et original premier roman de Daniel Torday, écrivain américain. Poxl West, de son vrai nom Léopold Weisberg, publie son autobiographie, "Shylock", qui devient rapidement un best-seller. Son premier lecteur et plus fidèle fan, Elijah Goldstein, le considère comme son oncle et lui voue une admiration sans borne. Ainsi, ces deux personnages principaux prennent la parole à tour de rôle et le roman de l’un est entrecoupé par des interludes – des entractes, en quelque sorte – qui sont les réflexions de l’autre. Un roman, dans le roman : original tant on a l’impression d’être dans une pièce de théâtre. Je me suis vite plongée dans ce récit. L’écriture y est fine, jolie et véritablement touchante. La vie de Poxl mouvementée à souhait s’oppose à celle d’Eli vécue par procuration. Si lui mène une vie quelque peu banale, son admiration pour l’auteur grandit à chaque lecture qu’il refait du roman, à chaque critique dithyrambique dont il prend connaissance dans les journaux et son bonheur est à son comble puisqu’il est cité dans la rubrique des remerciements. Le roman est fort bien construit qui ménage ses effets, entretient le suspense. Il est d’une extrême richesse puisqu’il y mêle l’aventure, avec une part d’histoire, des références littéraires intéressantes et une étude psychologique forte. J’ai beaucoup aimé les héros forts et fragiles à la fois. Au fur et à mesure que nous avançons dans le récit des modifications se font jour dans les personnalités. Qui est vraiment Poxl ? Est-il vraiment l’homme qu’il montre aux autres ? Difficile de savoir. Mais sait-on jamais à qui nous avons affaire ? Et Eli, est-il aussi naïf qu’on pourrait l’imaginer de prime abord ? C’est peut-être ça justement le grand intérêt de l’histoire. Cette lecture, grand moment de plaisir, ne sera pourtant pas la seule. Je compte bien m’y replonger, certaine de ne pas avoir exploré la totalité des idées abordées dans cet ouvrage. Prenez un joli titre "Le dernier exploit de Poxl West", ajoutez une couverture d’une grande élégance sur laquelle trois quadrimoteurs Lancaster volent dans un ciel bleu ennuagé de blanc, saupoudrez de personnages attachants, insérez une histoire entrecoupée d’interludes et vous obtenez le très beau et original premier roman de Daniel Torday, écrivain américain. Poxl West, de son vrai nom Léopold Weisberg, publie son autobiographie, "Shylock", qui devient rapidement un best-seller. Son premier lecteur et plus fidèle fan, Elijah Goldstein, le considère comme son oncle et lui voue une admiration sans borne. Ainsi, ces deux personnages principaux prennent la parole à tour de rôle et le roman de l’un est entrecoupé par des interludes – des entractes, en quelque sorte – qui sont les réflexions de l’autre. Un roman, dans le roman : original tant on a l’impression d’être dans une pièce de théâtre. Je me suis vite plongée dans ce récit. L’écriture y est fine, jolie et véritablement touchante. La vie de Poxl mouvementée à souhait s’oppose à celle d’Eli vécue par procuration. Si lui mène une vie quelque peu banale, son admiration pour l’auteur grandit à chaque lecture qu’il refait du roman, à chaque critique dithyrambique dont il prend connaissance dans...
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  • mesechappeeslivresques 19/12/2016
    C’est la quatrième de couverture qui a, au départ, attiré mon attention avec cette histoire d’imposture qui m’intriguait. De plus, ce roman se déroule en majeure partie pendant la Seconde Guerre Mondiale, période dans laquelle j’aime me replonger avec plaisir lors de mes lectures. J’ai aimé la construction du récit alternant entre la retranscription du livre de Poxl qui raconte ses aventures durant la guerre et le ressenti de son neveu, Eli. Ce dernier est complètement béat d’admiration face à son oncle héroïque et leur relation est un élément intéressant du récit qui aurait mérité plus d’approfondissement selon moi. Ces chassés-croisés entre la vie de Poxl et Eli donne du rythme au roman. De plus, l’écriture de Daniel Torday est fluide et plaisante. Le bémol que j’ai envie d’émettre sur cette lecture concerne principalement les personnages qui manquent de profondeur à mon goût. J’ai apprécié le personnage d’Eli mais celui de Poxl reste assez plat malgré son passé et sa relation amoureuse avec Françoise. C’est dommage car le contexte historique est intéressant et j’aurais aimé être plus touchée par les aventures que Poxl traversent pendant la guerre. Au final, malgré ses mensonges, Poxl reste humain, ses actes sont justifiables mais il n’en demeure pas moins un personnage assez énigmatique jusqu’à la fin du récit. Un roman agréable pour lequel j’aurais aimé ressentir plus d’émotion à travers les personnages. L’intrigue n’en demeure pas moins originale, riche et je ne me suis pas ennuyée un seul instant lors de cette lecture.C’est la quatrième de couverture qui a, au départ, attiré mon attention avec cette histoire d’imposture qui m’intriguait. De plus, ce roman se déroule en majeure partie pendant la Seconde Guerre Mondiale, période dans laquelle j’aime me replonger avec plaisir lors de mes lectures. J’ai aimé la construction du récit alternant entre la retranscription du livre de Poxl qui raconte ses aventures durant la guerre et le ressenti de son neveu, Eli. Ce dernier est complètement béat d’admiration face à son oncle héroïque et leur relation est un élément intéressant du récit qui aurait mérité plus d’approfondissement selon moi. Ces chassés-croisés entre la vie de Poxl et Eli donne du rythme au roman. De plus, l’écriture de Daniel Torday est fluide et plaisante. Le bémol que j’ai envie d’émettre sur cette lecture concerne principalement les personnages qui manquent de profondeur à mon goût. J’ai apprécié le personnage d’Eli mais celui de Poxl reste assez plat malgré son passé et sa relation amoureuse avec Françoise. C’est dommage car le contexte historique est intéressant et j’aurais aimé être plus touchée par les aventures que Poxl traversent pendant la guerre. Au final, malgré ses mensonges, Poxl reste humain, ses actes sont justifiables mais il n’en demeure pas...
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  • LePetitCrayon 08/12/2016
    Je le dis d’entrée, je n’ai jamais été trop passionnée par les histoires qui se déroulaient pendant la seconde guerre mondiale. Il faut croire que Les Escales vont finir par me faire changer d’avis après l’excellent "La voix des vagues" ou "Lettres à Stella"! Quid du dernier exploit de Poxl West? Tout d’abord Poxl. C’est le surnom de Léopold, un des protagonistes du livre (oui je voulais juste lire ce livre à cause de la couverture et du surnom « Poxl » que je trouvais amusant). No comment. Daniel Torday, présente ici les récits enchevêtrés d’Elijah, un jeune garçon juif de 15 ans qui vit dans le Boston des années 80 et des mémoires de l’oncle qu’il adule : Léopold Weisberg (dit Poxl West) qui a été pilote pendant la WW2. C’est le principal intérêt du livre, ici on n’a pas l’alternance de deux histoires qui se rejoignent à la fin du livre mais plutôt les mémoires de Léopold (véritable livre), entrecoupé par les intermèdes d’Elijah qui comprend, malgré lui, que son oncle n’a peut-être pas été le héros qu’il a dépeint lors de ses mémoires. Si l’histoire ne m’a pas passionnée plus que ça je vous en conseille tout de même la lecture parce que l’écriture y est très belle et touchante. Suite de la critique sur mon blogJe le dis d’entrée, je n’ai jamais été trop passionnée par les histoires qui se déroulaient pendant la seconde guerre mondiale. Il faut croire que Les Escales vont finir par me faire changer d’avis après l’excellent "La voix des vagues" ou "Lettres à Stella"! Quid du dernier exploit de Poxl West? Tout d’abord Poxl. C’est le surnom de Léopold, un des protagonistes du livre (oui je voulais juste lire ce livre à cause de la couverture et du surnom « Poxl » que je trouvais amusant). No comment. Daniel Torday, présente ici les récits enchevêtrés d’Elijah, un jeune garçon juif de 15 ans qui vit dans le Boston des années 80 et des mémoires de l’oncle qu’il adule : Léopold Weisberg (dit Poxl West) qui a été pilote pendant la WW2. C’est le principal intérêt du livre, ici on n’a pas l’alternance de deux histoires qui se rejoignent à la fin du livre mais plutôt les mémoires de Léopold (véritable livre), entrecoupé par les intermèdes d’Elijah qui comprend, malgré lui, que son oncle n’a peut-être pas été le héros qu’il a dépeint lors de ses mémoires. Si l’histoire ne m’a pas passionnée plus que ça je vous en conseille tout de même...
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