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Les Filles comme nous
Emmanuelle Aronson (traduit par)
Date de parution : 12/01/2023
Éditeurs :
Les Escales

Les Filles comme nous

Emmanuelle Aronson (traduit par)
Date de parution : 12/01/2023
Un roman choral magistral qui raconte la vie des filles à la peau brune du Queens, de leur naissance à leur mort.
 
Dans le quartier hétéroclite et vibrant du Queens, à New York, des jeunes femmes tentent de conjuguer leurs origines métissées avec la culture américaine dans laquelle elles ont grandi. C’est... Dans le quartier hétéroclite et vibrant du Queens, à New York, des jeunes femmes tentent de conjuguer leurs origines métissées avec la culture américaine dans laquelle elles ont grandi. C’est ici qu’elles se jurent d’être meilleures amies pour la vie.
Débordantes d’énergie, ces filles arpentent New York, chantent Mariah Carey à...
Dans le quartier hétéroclite et vibrant du Queens, à New York, des jeunes femmes tentent de conjuguer leurs origines métissées avec la culture américaine dans laquelle elles ont grandi. C’est ici qu’elles se jurent d’être meilleures amies pour la vie.
Débordantes d’énergie, ces filles arpentent New York, chantent Mariah Carey à tue-tête, s’éprennent de garçons désintéressés et brisent des coeurs tout en essayant d’honorer l’image lisse de filles obéissantes que leur imposent leurs mères. Mais en grandissant, un fossé se creuse : là où certaines restent fidèles à leurs racines, d’autres s’évertuent à toucher les étoiles.
Premier roman embrasé par un choeur de voix inoubliables, Les Filles comme nous raconte la découverte de l’âge adulte, l’amitié féminine et la quête poignante de femmes qui tentent de se forger une place dans le monde d’aujourd’hui.
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EAN : 9782365697996
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782365697996
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ils en parlent

"Un superbe roman de filles fortes et émouvantes, où chacune enchaîne son destin à l'autre."
Flair

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Bazart 24/03/2024
    Dans un texte presque slamé, loin des schémas narratifs traditionnels, la romancière américaine Daphné Palasi Andreades nous immerge dans une communauté de jeunes femmes qui vivent dans le Queens au cœur de New York. Issues de la première ou de la deuxième génération d’expatriés, ces jeunes femmes ont toutes un peu de mal à trouver leur place. Toutes tentent de se frayer un chemin, éternelles équilibristes d’une ligne de crête entre la culture américaine qui les a vues grandir et leurs origines. Ces filles célèbrent l'amitié, rêvent de gloire et de liberté, tout en défiant les lois du déterminisme social. Un texte qui valorise l’amitié féminine et sondes nos racines, mais aussi le racisme, le féminisme, la lutte des classes et ce qui fait une vie réussie surtout lorsqu'on est écartelées entre deux identités .
  • Sunnieboo 22/03/2024
    Étonnante découverte dans le cadre du Prix des libraires 10/18. Ce livre, ce n'est pas qu'une histoire. Ce sont les histoires de plusieurs filles à la peau brune issues du Queens. Elles se cherchent elles-mêmes mais aussi leur place dans la société. De leur enfance à leur mort, elles oscillent entre moments de joie et déceptions, entre espoir et désillusions. Ce livre est le récit de leurs vies, une véritable ode à ces femmes que l'on ne prend pas la peine d'écouter. L'écriture peut perturber au premier abord, mais j'ai personnellement beaucoup aimé. Je l'ai trouvé très original, qui résonne comme une chanson dans l'esprit. Peut être que les chapitres très courts aident aussi. Ce livre est la voix des femmes stigmatisées tout au long de leur vie. Seul bémol que je pourrais relever : il n'y a eu que très peu de place accordée à la femme ménopausée. Le récit est passé de la vie adulte à la mort en très très peu de temps. Dommage.
  • fab250 02/03/2024
    Des jeunes filles de couleur vivent dans le Queens. Elles sont d'origines différentes , ont des rêves différents . L'auteure nous fait découvrir leur vie des années 90 aux années COVID . Je dois avouer que ce livre m'a déstabilisée. Déjà ce " nous" qui englobe toutes les filles et puis l'énumération des différentes options de vie . Malgré tout il est très intéressant à lire parce qu'il donne une vision d'ensemble sur la vie dans le Queens, sur le racisme latent , sur les choix de vie qui ne sont pas toujours des rêves . Et enfin il est intéressant parce que l'auteure ne se contente pas de dire racisme anti noir mais elle explique aussi qu'il existe un racisme anti blanc qui fragilise la vie de beaucoup de femmes . C'est enfin un hommage à toutes les femmes qui se battent pour surpasser les a priori. Bonne lecture
  • ThecosmicSam 25/09/2023
    La lecture m’a, dans un premier temps, désarçonnée mais une fois le cap de la surprise passée, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir ce texte et je me suis laissée porter par les mots de Daphne Palasi Andreades. A la façon d’un slam ou d’une chanson, Daphne Palasi Andreades nous immerge dans une communauté au cœur de New York. Les personnages ne sont pas clairement identifiés/identifiables et il n’y a pas de trame narrative à proprement parler. Le texte est plutôt clamé à l’unisson par une multitude de femmes qui se retrouvent dans cette quête identitaire du fait de leur couleur de peau, de leurs origines sociales, de leur prénom et de leur genre. Issues de la première ou de la deuxième génération d’expatriés, ces fillettes, adolescentes puis, jeunes femmes ont du mal à trouver leur place. Tiraillées entre, d’une part, leurs origines et la culture de leurs ascendants et, d’autre part, le rêve américain tel qu’il est diffusé dans les médias et auquel elles aspirent sans s’y reconnaître. Si certaines ne désirent qu’une chose : quitter leur quartier pour évoluer dans les hautes sphères de Manhattan, d’autres, à l’inverse, redoutent le changement et s’accrochent à ce qu’elles connaissent. Les chemins de ces copines soudées par les souvenirs de l’enfance se séparent alors dans des directions opposées. Pourtant, leurs préoccupations restent les mêmes. Car dans les grandes universités, les sociétés cotées, les places tendances, intégrées à force de volonté, peu sont celles et ceux qui leur ressemblent. Cette errance identitaire plane dans tous les domaines de leur vie et on se demande si elle prendra fin un jour. Au fil des chapitres qui défilent en même temps que l’âge de ces femmes accroît, la compréhension de soi et du monde se fait plus facile et, avec elle, une certaine acceptation. Par la force d’évocation de ses mots, Daphne Palasi Andreades a réussi le bel exploit de capter le lecteur par un texte en prose, s’éloignant d’un schéma narratif classique. Alors, je reconnais que cet ouvrage ne plaira pas à tous, mais il s’agit d’une fenêtre vers un autre que soi, d’une ouverture sur le monde et les autres. Ce texte porte un message universel : « Pourquoi avoir cru que chez soi se résumait à un seul endroit ? Alors qu’exister dans ces corps signifie porter en soi plusieurs mondes ? »La lecture m’a, dans un premier temps, désarçonnée mais une fois le cap de la surprise passée, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir ce texte et je me suis laissée porter par les mots de Daphne Palasi Andreades. A la façon d’un slam ou d’une chanson, Daphne Palasi Andreades nous immerge dans une communauté au cœur de New York. Les personnages ne sont pas clairement identifiés/identifiables et il n’y a pas de trame narrative à proprement parler. Le texte est plutôt clamé à l’unisson par une multitude de femmes qui se retrouvent dans cette quête identitaire du fait de leur couleur de peau, de leurs origines sociales, de leur prénom et de leur genre. Issues de la première ou de la deuxième génération d’expatriés, ces fillettes, adolescentes puis, jeunes femmes ont du mal à trouver leur place. Tiraillées entre, d’une part, leurs origines et la culture de leurs ascendants et, d’autre part, le rêve américain tel qu’il est diffusé dans les médias et auquel elles aspirent sans s’y reconnaître. Si certaines ne désirent qu’une chose : quitter leur quartier pour évoluer dans les hautes sphères de Manhattan, d’autres, à l’inverse, redoutent le changement et s’accrochent à ce qu’elles connaissent. Les chemins de...
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  • MilleetunepagesLM 01/08/2023
    Le commentaire de Lynda : Ce roman choral est écrit non pas au ‘’je’’ mais au ‘’nous’’. Qui sont les filles comme nous, et bien, ce sont les filles brunes, brunes de toutes les nuances, du brun chocolat foncé au brun chocolat au lait, elles ont une chose en commun, elles vivent ou bien ont vécu dans le Queens à New York. Elles sont belles, jeunes, et elles vivront de la vie à la mort dans cette partie de New York. Elles s’appellent Michaela, Anjali, Trish, entre autres, des noms comme on entend presque tous les jours, la différence, et bien, ce sont des filles de couleur. La plupart viennent d’un quartier pauvre, la plupart vont suivre le chemin que l’on a pavé pour elles. Les frères et les pères ont souvent fait de la prison, les ancêtres, on ne les connaît pas, puisque que les familles sont parties d'autres coins du monde pour essayer de vivre dans ce qui est l’Amérique. Ce roman, ce sont elles, ce sont leurs voix que l’on peut lire. Elle nous raconte, elle nous parle. Elles m’ont fait rire à plusieurs reprises, mais elles m’ont aussi ému très souvent à travers la lecture, et ce au larmes. On y parle de beaucoup de choses, même si le roman a peu de pages, le racisme bien sûr, mais aussi la pandémie, les mots de Donald Trump, la pauvreté, la misère, et celles qui vont l’école, qui veulent s’en sortir et faire comme elles le disent un métier de ‘’blanche’’. La violence y a sa place également, la violence des hommes envers les femmes, mais aussi la violence verbale des blancs envers ses femmes noires, comme par exemple les préposées. En fait ce roman est bouleversant, parce que nous sommes témoins de plein de choses qu’elles nous disent, et nous ne sommes pas dans le Queens. De très courts chapitres, font que la lecture se fait assez rapidement. Je vous recommande ce roman, il bouleverse d’une certaine façon, mais il fait aussi du bien en faisant la lumière sur des filles comme nous !Le commentaire de Lynda : Ce roman choral est écrit non pas au ‘’je’’ mais au ‘’nous’’. Qui sont les filles comme nous, et bien, ce sont les filles brunes, brunes de toutes les nuances, du brun chocolat foncé au brun chocolat au lait, elles ont une chose en commun, elles vivent ou bien ont vécu dans le Queens à New York. Elles sont belles, jeunes, et elles vivront de la vie à la mort dans cette partie de New York. Elles s’appellent Michaela, Anjali, Trish, entre autres, des noms comme on entend presque tous les jours, la différence, et bien, ce sont des filles de couleur. La plupart viennent d’un quartier pauvre, la plupart vont suivre le chemin que l’on a pavé pour elles. Les frères et les pères ont souvent fait de la prison, les ancêtres, on ne les connaît pas, puisque que les familles sont parties d'autres coins du monde pour essayer de vivre dans ce qui est l’Amérique. Ce roman, ce sont elles, ce sont leurs voix que l’on peut lire. Elle nous raconte, elle nous parle. Elles m’ont fait rire à plusieurs reprises, mais elles m’ont aussi ému très souvent à travers la lecture, et ce au larmes. On y parle...
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