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Les Vies de papier
Nicolas Richard (traduit par)
Date de parution : 25/08/2016
Éditeurs :
Les Escales
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Les Vies de papier

Nicolas Richard (traduit par)
Date de parution : 25/08/2016
Roman éblouissant à l’érudition joueuse, célébrant la beauté et la détresse de Beyrouth,  Les Vies de papier est une véritable déclaration d’amour à la littérature. 
Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. À l’ombre des murs anciens de son appartement, elle s’apprête pour son rituel... Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. À l’ombre des murs anciens de son appartement, elle s’apprête pour son rituel préféré. Chaque année, le 1er janvier, après avoir allumé deux bougies pour Walter Benjamin, cette femme irrévérencieuse et un brin... Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. À l’ombre des murs anciens de son appartement, elle s’apprête pour son rituel préféré. Chaque année, le 1er janvier, après avoir allumé deux bougies pour Walter Benjamin, cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle commence à traduire en arabe l’une des œuvres de  ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov.
À la fois refuge et « plaisir aveugle », la littérature est l’air qu’elle respire, celui qui la fait vibrer comme cet opus de Chopin qu’elle ne cesse d’écouter. C’est entourée de livres, de cartons remplis de papiers, de feuilles volantes de ses traductions qu’Aaliya se sent vivante.
Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient ; de l’odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l’imprévisibilité de Beyrouth.
 
Roman éblouissant à l’érudition joueuse, célébrant la beauté et la détresse de Beyrouth,  Les Vies de papier est une véritable déclaration d’amour à la littérature.  
 
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EAN : 9782365692632
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782365692632
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« À travers l’histoire de cette femme singulière, émouvante dans les affres de la vieillesse, et ses pérégrinations dans la belle et troublante Beyrouth, Les Vies de papier est une véritable ode à la littérature.»
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • SebastienFritsch 08/04/2024
    350 pages du monologue d'une septuagénaire solitaire aux cheveux bleus, ça vous dit ? Eh bien vous avez raison, parce que ce livre est excellent. Les cheveux bleus, c'est une erreur de shampoing - et peut-être un symbole. La solitude, en revanche, c'est volontaire. Les hommes qui décident pour les femmes, les femmes qui cancanent et répètent les schémas traditionnels qui les limitent dans leurs vies, cela ne lui plait pas, à Aaliya, notre narratrice. Alors, elle préfère vivre isolée, enfermée dans son appartement de Beyrouth, ne sortant que pour le strict nécessaire, en évitant de croiser ses voisines. Isolée, cela ne veut pas dire seule : envahissant son appartement, livres et disques lui tiennent compagnie. De même que les travaux de traduction qu'elle s'impose. Et les souvenirs. Voilà de quoi composer une solitude des plus riches ; et nous donner envie de voir défiler les pages. Avec une plume très réaliste, qui alterne émotion, information et ironie, l'auteur nous emmène à la rencontre de Beyrouth au fil des décennies. C'est une peinture sans fard du Liban, avec ses règles, ses traditions, ses beautés, sa population chamarrée, ses tensions, ses guerres, ses camps de réfugiés, ses inégalités, ses souffrances, ses combines pour passer au travers de toutes ces épreuves. L'auteur nous invite aussi à explorer le monde de la littérature et de la musique classique, piochant dans les les mots et les notes des grands artistes des réflexions ou des sensations qui permettent de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Et parce que toute chose et tout être sur cette terre a un début et une fin, ce roman pose aussi les questions essentielles qui concerne toute vie : l'espoir et les rêves, les liens humains, la relation entre hommes et femmes, le rôle qui nous échoit, les traces que l'on laisse, la vieillesse, la mort... Finalement, septuagénaire, trentenaire, actif, retraité, homme, femme, Libanais, Européen, Japonais, Australien, nous pouvons tous nous approprier ce monologue. Et c'est cette capacité à l'universalité qui fait de ce roman une réussite.350 pages du monologue d'une septuagénaire solitaire aux cheveux bleus, ça vous dit ? Eh bien vous avez raison, parce que ce livre est excellent. Les cheveux bleus, c'est une erreur de shampoing - et peut-être un symbole. La solitude, en revanche, c'est volontaire. Les hommes qui décident pour les femmes, les femmes qui cancanent et répètent les schémas traditionnels qui les limitent dans leurs vies, cela ne lui plait pas, à Aaliya, notre narratrice. Alors, elle préfère vivre isolée, enfermée dans son appartement de Beyrouth, ne sortant que pour le strict nécessaire, en évitant de croiser ses voisines. Isolée, cela ne veut pas dire seule : envahissant son appartement, livres et disques lui tiennent compagnie. De même que les travaux de traduction qu'elle s'impose. Et les souvenirs. Voilà de quoi composer une solitude des plus riches ; et nous donner envie de voir défiler les pages. Avec une plume très réaliste, qui alterne émotion, information et ironie, l'auteur nous emmène à la rencontre de Beyrouth au fil des décennies. C'est une peinture sans fard du Liban, avec ses règles, ses traditions, ses beautés, sa population chamarrée, ses tensions, ses guerres, ses camps de réfugiés, ses inégalités, ses souffrances, ses combines pour...
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  • lulu8723 02/04/2024
    Rabih ALAMEDDINE. Les vies de papier. Je plonge dans le Liban meurtri par ses guerres fratricides. Aaliya Saleh a 72 ans. Elle se souvient de toute son existence et nous retrace son parcours de vie. Depuis de nombreuses années, elle traduit en arabe les livres de ses auteurs préférés, Kafka, Pessoa, Nabokov, etc.... Mais elle conserve toutes ces traductions dans des cartons, des classeurs, des feuilles volantes qu’elle entasse dans des pièces de son appartement dont elle n’a pas l’utilité. Elle vit seule, ayant été répudiée par son époux. Ce dernier, un homme impuissant l’a évincée de sa vie pour infertilité. Ils ont divorcé. Depuis qu’elle est à la retraite, elle se complaît dans son univers. Auparavant, elle possédait une petite librairie de quartier. La littérature , les livres, la musique ont occupé son existence. Elle n’a jamais pensé à faire publié sa production, c’est son plaisir personnel. Lorsqu’elle parcourt les rues de Beyrouth, elle se souvient de son amie intime, Hannah. Elle nous fait partager leurs conversations tout en visitant le musée national où le gardien lui témoigne une grande amitié. Elle nous décrit sa ville, victime de la guerre, ses immeubles menaçants ruine , la fuite des habitants vers des lieux épargnés par les bombes, les diverses coupures qui impactent la vie au quotidien des la population urbaine. Elle dépeint la société patriarcale traditionnelle, l’ignorance dans laquelle l’homme se complaît à tenir la femme. Cette dernière n’a qu’un rôle : enfanter et de préférence un bébé mâle. Nous faisons la connaissance de sa mère et de sa seconde fratrie. Les relations sont un peu compliquées. Aaliya aime son indépendance, elle y tient comme à la prunelle de ses yeux et ne veut nullement s’encombrer de sa mère, très âgée et malade. Avec beaucoup d’humour elle nous décrit ses tranches de vies, depuis son enfance jusqu’à ce jour. De l’ironie, de l’amitié, de la tendresse, de l’humilité et beaucoup de nostalgie dans cette narration, par ailleurs fluide et bien rythmée. Un roman mêlant les livres, la littérature du monde, romans anglais, russes, français, la poésie et la musique. Les références aux auteurs sont nombreuses et diverses. Rabith ALAMEDDINE possède une grande culture littéraire et musicale. Il nous distille son savoir et nous permet de connaître des ouvrages et des auteurs peu lus en France. Il aborde les problèmes liés à la vieillesse, à l’isolement. Mais une lueur d’espoir naît au travers de ces traductions secrètes menées à bien par son héroïne, et qui sont sa fierté, son enfant. Je vous invite à mettre vos pas dans ceux de cette femme à la forte personnalité, intègre, laborieuse, vivant humblement dans un appartement vieillot, défraîchi. Je vous souhaite une bonne journée. (02/04/2024). Rabih ALAMEDDINE. Les vies de papier. Je plonge dans le Liban meurtri par ses guerres fratricides. Aaliya Saleh a 72 ans. Elle se souvient de toute son existence et nous retrace son parcours de vie. Depuis de nombreuses années, elle traduit en arabe les livres de ses auteurs préférés, Kafka, Pessoa, Nabokov, etc.... Mais elle conserve toutes ces traductions dans des cartons, des classeurs, des feuilles volantes qu’elle entasse dans des pièces de son appartement dont elle n’a pas l’utilité. Elle vit seule, ayant été répudiée par son époux. Ce dernier, un homme impuissant l’a évincée de sa vie pour infertilité. Ils ont divorcé. Depuis qu’elle est à la retraite, elle se complaît dans son univers. Auparavant, elle possédait une petite librairie de quartier. La littérature , les livres, la musique ont occupé son existence. Elle n’a jamais pensé à faire publié sa production, c’est son plaisir personnel. Lorsqu’elle parcourt les rues de Beyrouth, elle se souvient de son amie intime, Hannah. Elle nous fait partager leurs conversations tout en visitant le musée national où le gardien lui témoigne une grande amitié. Elle nous décrit sa ville,...
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  • Sallyrose 03/03/2024
    Aaliya vit seule dans son appartement de Beyrouth. Son mari l’a quitté, son amie Hannah n’est plus qu’un souvenir. À 72 ans, Aaliya vit entourée de livres et évite soigneusement ses voisines toujours prêtes pour les ragots. Elle évoque ses souvenirs, beaucoup se déroulant pendant les différentes périodes de guerre civile qu’a connues le Liban. Elle était vendeuse en librairie et a développé un amour viscéral pour la littérature et l’art en général. Ce texte à la fois nostalgique et moqueur fourmille de références littéraires. Le talent de l’auteur réside notamment à ne pas proposer un catalogue mais à insérer des citations qui tombent à pic. Autre talent, il fait parler une femme, une rebelle cultivée et tout est crédible. C’est un très beau texte pour un très beau portrait de femme.
  • Marinou446 08/01/2024
    Ce livre parle d'Aaliya, 72 ans, qui dénonce la condition féminine et autre carcans imposés par la société libanaise. Elle y retrouve refuge dans la littérature et les traductions. Aaliya nous partage ces souvenirs et sa vie actuelle. Je mets 3,5 malgré une très belle écriture car je me suis perdu dans le récit. Je n'arrivais plus à suivre l'histoire des personnages, à me situer temporellement. Il y a beaucoup références littéraires pourtant j'adore ça habituellement et pareil on s'y perd. Je reste dubitative de ma lecture mais ressayerai une autrefois
  • PLK 17/12/2023
    Ce livre m'a d'abord attirée par son cadre : Beyrouth J’ai fait un long chemin avec cet ouvrage qui demande de la patience pour s’en délecter. Les références littéraires, philosophiques et musicales sont abondantes, les citations, les anecdotes aussi. J’ai lu ce que j’appellerai le journal d’Aaliya Saleh 72 ans, une Beyrouthine non conformiste, irrévérencieuse, très érudite, ancienne libraire, passionnée de littérature, mal mariée. « #8466;𝑜𝓇𝓈𝓆𝓊𝑒 𝒸𝒽𝒶𝒸𝓊𝓃𝑒 𝒹𝑒𝓈 𝒿𝑒𝓊𝓃𝑒𝓈 𝒻𝒾𝓁𝓁𝑒𝓈 𝒶𝓇𝒶𝒷𝑒𝓈 𝒻𝒾𝓉 𝓁𝒶 𝓆𝓊𝑒𝓊𝑒 𝑒𝓃 𝒶𝓉𝓉𝑒𝓃𝒹𝒶𝓃𝓉 𝓆𝓊𝑒 𝒟𝒾𝑒𝓊 𝓁𝓊𝒾 𝒹𝑜𝓃𝓃𝑒 𝓁𝑒 𝑔è𝓃𝑒 𝒹𝑒 𝒸𝑒𝓁𝓁𝑒-𝓅𝓇ê𝓉𝑒-à-𝓉𝑜𝓊𝓉-𝓅𝑜𝓊𝓇-𝓈𝑒-𝓂𝒶𝓇𝒾𝑒𝓇, 𝒿𝑒 𝒹𝑒𝓋𝒶𝒾𝓈 ê𝓉𝓇𝑒 𝒶𝒾𝓁𝓁𝑒𝓊𝓇𝓈, 𝓅𝓇𝑜𝒷𝒶𝒷𝓁𝑒𝓂𝑒𝓃𝓉 𝓅𝑒𝓇𝒹𝓊𝑒 𝒹𝒶𝓃𝓈 𝓊𝓃 𝓁𝒾𝓋𝓇𝑒. ». Elle est traductrice. Mais qui le sait ? Depuis cinquante ans à chaque nouvel an, elle commence la traduction d'un chef d'œuvre de la littérature étrangère, en arabe, roman ensuite qu'elle place dans des cartons « #8492;𝑒𝓎𝓇𝑜𝓊𝓉𝒽 𝑒𝓈𝓉 𝓁'#8496;𝓁𝒾𝓏𝒶𝒷𝑒𝓉𝒽 𝒯𝒶𝓎𝓁𝑜𝓇 𝒹𝑒𝓈 𝓋𝒾𝓁𝓁𝑒𝓈: dé𝓂𝑒𝓃𝓉𝑒, 𝓂𝒶𝑔𝓃𝒾𝒻𝒾𝓆𝓊𝑒, 𝓋𝓊𝓁𝑔𝒶𝒾𝓇𝑒,𝒸𝓇𝑜𝓊𝓁𝒶𝓃𝓉𝑒,𝓋𝒾𝑒𝒾𝓁𝓁𝒾𝓈𝓈𝒶𝓃𝓉𝑒,𝑒𝓉 𝓉𝑜𝓊𝒿𝑜𝓊𝓇𝓈 𝑒𝓃 𝓅𝓁𝑒𝒾𝓃 𝒹𝓇𝒶𝓂𝑒. » Elle évoque les maux de l'âge, son rapport aux livres, la vie quotidienne dans un Beyrouth en guerre, ses relations avec ses sorcières de voisines, ses souvenirs d'enfance, son mariage, son amie Hannah, ses relations avec sa mère et fratrie, le métier de traducteur. Peut-être que présenté ainsi, ce livre ne vous tente pas... Et pourtant, quelle pépite ! Une femme haute en couleurs cette Aaliya ! Je ne l’oublierais pas de sitôt ! Le livre a un côté "brouillon"- bien évidemment voulu, - avec toutes les digressions d’ Aaliya. Pas de chapitres, pas de distinguo entre passé et présent. L’écriture est très belle. C’est vivant, plein d’humour, de poésie, de mélancolie, et même de cynisme... Bref, un coup de cœur ! Un livre à lire et relire… tout doucementEnvieuse et admirative d’Aaliya de pouvoir parler et citer si simplement Spinoza, Nabokov, Camus, Descartes, Yourcenar, Pessoa, Rilke, H.Miller, G. Bataille, Hume, Cioran, Sebald, Coetzee, V. Woolf, Heidegger, M. Twain... ou encore Walter Benjamin, Brodsky et tellement d'autres ? Je fus parfois honteuse de ne pas connaitre certains auteursCe livre m'a d'abord attirée par son cadre : Beyrouth J’ai fait un long chemin avec cet ouvrage qui demande de la patience pour s’en délecter. Les références littéraires, philosophiques et musicales sont abondantes, les citations, les anecdotes aussi. J’ai lu ce que j’appellerai le journal d’Aaliya Saleh 72 ans, une Beyrouthine non conformiste, irrévérencieuse, très érudite, ancienne libraire, passionnée de littérature, mal mariée. « #8466;𝑜𝓇𝓈𝓆𝓊𝑒 𝒸𝒽𝒶𝒸𝓊𝓃𝑒 𝒹𝑒𝓈 𝒿𝑒𝓊𝓃𝑒𝓈 𝒻𝒾𝓁𝓁𝑒𝓈 𝒶𝓇𝒶𝒷𝑒𝓈 𝒻𝒾𝓉 𝓁𝒶 𝓆𝓊𝑒𝓊𝑒 𝑒𝓃 𝒶𝓉𝓉𝑒𝓃𝒹𝒶𝓃𝓉 𝓆𝓊𝑒 𝒟𝒾𝑒𝓊 𝓁𝓊𝒾 𝒹𝑜𝓃𝓃𝑒 𝓁𝑒 𝑔è𝓃𝑒 𝒹𝑒 𝒸𝑒𝓁𝓁𝑒-𝓅𝓇ê𝓉𝑒-à-𝓉𝑜𝓊𝓉-𝓅𝑜𝓊𝓇-𝓈𝑒-𝓂𝒶𝓇𝒾𝑒𝓇, 𝒿𝑒 𝒹𝑒𝓋𝒶𝒾𝓈 ê𝓉𝓇𝑒 𝒶𝒾𝓁𝓁𝑒𝓊𝓇𝓈, 𝓅𝓇𝑜𝒷𝒶𝒷𝓁𝑒𝓂𝑒𝓃𝓉 𝓅𝑒𝓇𝒹𝓊𝑒 𝒹𝒶𝓃𝓈 𝓊𝓃 𝓁𝒾𝓋𝓇𝑒. ». Elle est traductrice. Mais qui le sait ? Depuis cinquante ans à chaque nouvel an, elle commence la traduction d'un chef d'œuvre de la littérature étrangère, en arabe, roman ensuite qu'elle place dans des cartons « #8492;𝑒𝓎𝓇𝑜𝓊𝓉𝒽 𝑒𝓈𝓉 𝓁'#8496;𝓁𝒾𝓏𝒶𝒷𝑒𝓉𝒽 𝒯𝒶𝓎𝓁𝑜𝓇 𝒹𝑒𝓈 𝓋𝒾𝓁𝓁𝑒𝓈: dé𝓂𝑒𝓃𝓉𝑒, 𝓂𝒶𝑔𝓃𝒾𝒻𝒾𝓆𝓊𝑒, 𝓋𝓊𝓁𝑔𝒶𝒾𝓇𝑒,𝒸𝓇𝑜𝓊𝓁𝒶𝓃𝓉𝑒,𝓋𝒾𝑒𝒾𝓁𝓁𝒾𝓈𝓈𝒶𝓃𝓉𝑒,𝑒𝓉 𝓉𝑜𝓊𝒿𝑜𝓊𝓇𝓈 𝑒𝓃 𝓅𝓁𝑒𝒾𝓃 𝒹𝓇𝒶𝓂𝑒. » Elle évoque les maux de l'âge, son rapport aux livres, la vie quotidienne dans un Beyrouth en guerre, ses relations avec ses sorcières de voisines, ses souvenirs d'enfance, son mariage, son amie Hannah, ses relations avec sa mère et fratrie, le métier de traducteur. Peut-être que présenté ainsi, ce livre ne vous tente pas... Et pourtant, quelle pépite ! Une femme haute en couleurs cette...
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