Lisez! icon: Search engine
L'ombre au tableau
Nicolas Porret-Blanc (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 01/11/2015
Éditeurs :
L'Archipel

L'ombre au tableau

Nicolas Porret-Blanc (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 01/11/2015
Dans l’appartement du vieux professeur d’Oliver, étudiant à Cambridge, on peut admirer un tableau représentant un groupe de Vénitiens masqués faisant la fête pendant le carnaval.Au cours d’une froide nuit... Dans l’appartement du vieux professeur d’Oliver, étudiant à Cambridge, on peut admirer un tableau représentant un groupe de Vénitiens masqués faisant la fête pendant le carnaval.Au cours d’une froide nuit d’hiver, le vieux professeur décide de révéler à son étudiant l’étrange secret de cette peinture envoûtante, qui possède le mystérieux... Dans l’appartement du vieux professeur d’Oliver, étudiant à Cambridge, on peut admirer un tableau représentant un groupe de Vénitiens masqués faisant la fête pendant le carnaval.Au cours d’une froide nuit d’hiver, le vieux professeur décide de révéler à son étudiant l’étrange secret de cette peinture envoûtante, qui possède le mystérieux pouvoir de capturer la vie…Le contempler trop longtemps, c’est jouer avec le feu. Défier les démons invisibles qui s’y cachent, c’est risquer de devenir la prochaine victime de la toile…Oliver parviendra-t-il à ne pas succomber aux charmes macabres du tableau ? 
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782809817782
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 96
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809817782
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 96
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Adoptalibrarian 08/12/2021
    "L'ombre au tableau" de Susan Hill est un conte fantastique où il est question d'un tableau mystérieux mais surtout très dangereux... Même si l'histoire est sans surprise et a un petit goût de déjà vu, c'est une lecture agréable avec une atmosphère pesante et fascinante.
  • Philios 31/08/2019
    Lors d’une froide soirée d’hiver, au coin du feu réconfortant, un vieux professeur de l’université de Cambridge raconte à l’un de ses anciens étudiants une histoire terrible, étroitement liée à la présence d’un tableau maléfique. Ce tableau de la fin du XVIIIe siècle qui figure une scène nocturne de carnaval vénitien, avec personnages masqués, est donc le thème central du roman. Venise, ville romantique et magnifique, se révèle être ici un décor de cauchemar (c’est ainsi qu’elle apparaissait également dans une nouvelle de Daphné du Maurier). L’atmosphère du roman est au gothique revisité. Une histoire diabolique qui tient en haleine le lecteur jusqu’au dénouement final. Toutefois, l’histoire ne possède pas la même profondeur, ni la densité, ni le « climat poétique » de, selon moi, l'un des chefs d'œuvre de Susan Hill, La main de la nuit.
  • Usuwabu 11/03/2019
    Certes l'histoire est envoutant et bien menée, c'est un bon exercice de roman gothique ou plutôt de longue nouvelle (d'autres l'ont suffisamment résumée pour que je n'en reprenne l'exercice). J'ai par contre été déçu par le style. on se surprend à plusieurs reprises à réécrire les phrase d'une manière plus harmonieuse (et je vous assure que cela ne m'arrive jamais, j'en ai été le premier surpris). S'agissant d'un auteur confirmé, publié à maintes reprises, j'en déduit que cette impression étrange d'écriture qui se cherche et s'égare est l'effet du traducteur. Cela ne nuit évidemment pas au sel de l'histoire, mais cette impression étrange (qu'on pourrait croire réservée au fond de l'histoire plutôt qu'à sa forme) me semble à signaler.
  • Syl 21/10/2017
    Oliver, le narrateur, rend souvent visite à son ancien tuteur de Cambridge qui malgré son âge avancé, a gardé toute sa vivacité d’esprit et son humour. En cette nuit d’hiver, tous deux se réconfortent avec un excellent whisky, un bon feu dans la cheminée et des anecdotes croustillantes, lorsque le vieux professeur souhaite confier au jeune homme une étrange histoire. Mais avant d’entamer son récit, il lui demande d’aller chercher dans la pièce, un tableau qui représente une scène d’un carnaval à Venise, avec des personnages masqués en bordure du grand canal. C’est sa tante qui l’a initié tout jeune à l’art et qui plus tard, lui a offert les premières peintures de sa collection. Il raconte la fois où il avait vu ce tableau, l’émoi qu’il avait ressenti lorsqu’il avait surenchéri sur les offres d’un homme qui s’entêtait à le vouloir et qui lui avait proposé une somme exorbitante pour le lui racheter. Il raconte aussi la lettre reçue quelques années après, l’invitant dans le Yorkshire dans le magnifique château de la comtesse d’Hawdon. Il raconte surtout l’incroyable maléfice qui le rattache à elle. Un personnage de la toile qu’on ne distingue pas au premier abord, semble se mouvoir, jusqu’à pénétrer le monde réel. Et Oliver, désormais dépositaire du secret, se voit contraint de rentrer dans une farandole maudite. C’est le deuxième livre de l’auteur que je lis et j’ai trouvé dans ce roman un peu plus de ce que je recherchais dans le précédent, angoisse, frissons et ambiance gothique. Toujours de l’ordre de la nouvelle, l’histoire commence comme une énigme à la Arthur Conan Doyle, lorsque Watson écoute son ami Holmes lui raconter une enquête, pour terminer de façon fantastique comme les histoires extraordinaires d’Edgar Allan Poe. Dans l’ensemble ce fut une lecture sympa, mais pas assez pour m’inciter à lire un autre titre de Susan Hill. Peut-être pour me protéger, je suis restée en dehors du tableau…Oliver, le narrateur, rend souvent visite à son ancien tuteur de Cambridge qui malgré son âge avancé, a gardé toute sa vivacité d’esprit et son humour. En cette nuit d’hiver, tous deux se réconfortent avec un excellent whisky, un bon feu dans la cheminée et des anecdotes croustillantes, lorsque le vieux professeur souhaite confier au jeune homme une étrange histoire. Mais avant d’entamer son récit, il lui demande d’aller chercher dans la pièce, un tableau qui représente une scène d’un carnaval à Venise, avec des personnages masqués en bordure du grand canal. C’est sa tante qui l’a initié tout jeune à l’art et qui plus tard, lui a offert les premières peintures de sa collection. Il raconte la fois où il avait vu ce tableau, l’émoi qu’il avait ressenti lorsqu’il avait surenchéri sur les offres d’un homme qui s’entêtait à le vouloir et qui lui avait proposé une somme exorbitante pour le lui racheter. Il raconte aussi la lettre reçue quelques années après, l’invitant dans le Yorkshire dans le magnifique château de la comtesse d’Hawdon. Il raconte surtout l’incroyable maléfice qui le rattache à elle. Un personnage de la toile qu’on ne distingue pas au premier abord, semble se mouvoir, jusqu’à pénétrer...
    Lire la suite
    En lire moins
  • mallard 03/05/2017
    Un court roman de 166 pages qui se dévore d’un trait et qui vous hante comme un fantôme un bon moment après sa lecture.
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés