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Déraillé
Patrick Couton (traduit par)
Date de parution : 14/02/2019
Éditeurs :
Pocket

Déraillé

Patrick Couton (traduit par)
Date de parution : 14/02/2019
Le jeune Richard Simnel le sait : son invention va révolutionner le Disque-Monde. La Poutrelle-de-fer, puisque c’est son petit nom, se déplace grâce à la vapeur. Il ne manque plus qu’un... Le jeune Richard Simnel le sait : son invention va révolutionner le Disque-Monde. La Poutrelle-de-fer, puisque c’est son petit nom, se déplace grâce à la vapeur. Il ne manque plus qu’un mécène pour financer le projet à grande échelle. Pour ce faire, il se rend à Ankh-Morpork où, justement, Henri Roi... Le jeune Richard Simnel le sait : son invention va révolutionner le Disque-Monde. La Poutrelle-de-fer, puisque c’est son petit nom, se déplace grâce à la vapeur. Il ne manque plus qu’un mécène pour financer le projet à grande échelle. Pour ce faire, il se rend à Ankh-Morpork où, justement, Henri Roi cherche à rendre sa fortune moins malodorante. La locomotive est née, ainsi que, forcément, la Compagnie du Chemin de fer à la tête de laquelle est placé, par le Patricien Vétérini, Moite von Lipwig, ex(?)-escroc, nouveau ministre des Postes et vice-président de la Banque royale. Mais le progrès n’est pas du goût de tous, et dans l’ombre se trament des attentats menés par des fondamentalistes nains.

« Déraillé est un excellent roman, qui continue de manière intéressante le Disque-Monde en apportant un élément moderne dans un univers d'heroic fantasy, bousculant au passage les critères du genre. » Babelio
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EAN : 9782266277150
Code sériel : 417
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 496
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266277150
Code sériel : 417
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 496
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Déraillé est un excellent roman, qui continue de manière intéressante le Disque-monde en apportant un élément moderne dans un univers d'heroic fantasy, bousculant au passage les critères du genre. », Curabooks

« On a le plaisir de revoir Moite, Vimaire, Vétérini, quelques agents du Gué, le Petit Roi … et quelques autres. On sourit souvent et on attend le prochain. », Actu du noir
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • louneraia 14/08/2022
    Re lire déraillé lors d'un voyage en train à un goût des plus savoureux. Je viens de finir les dernières pages qui me restaient à lire. Avec une envie très forte de re lire le régiment monstrueux (grâce à Dame Plume qui me l'a mis sur ma liseuse ça va être possible :) ) Cet auteur à un humour qui redresse l'humanité. Nos manques, nos maladresses y sont épinglés avec délicatesses et notre chemin, nos aspirations esquissés avec finesse. Je traverse la France en pleure après une sécheresse qui a assoiffé la terre et je suis le chemin de mon deuil sur la vitre. Je peux relire à l'infini ce grand auteur mais tous ce qu'il a écrit je l'ai déjà lu. Tristesse
  • Zazaboum 16/02/2021
    A chaque fois que je referme ce tome, je suis toujours un peu triste parce que c'est le dernier des Annales du Disque-Monde et qu'il signifie que Pratchett est mort quelques mois plus tard. Il clôt aussi le cycle Moite von Lipwig, surnommé “Un-peu-humide" par les gobelins, qui est le moteur du développement à grande échelle sur le Disque-Monde ; Un jeune homme débrouillard, ingénieux et mathématicien accompli, a réussi à maîtriser la vapeur et inventé la première locomotive : Poutrelle-de-fer ! Il s'adresse à Henri Roi pour développer son idée et surtout le financer. le tyran ne voulant pas être obligé de “prendre le train en marche” charge Moite von Lipwig de faire disparaître les obstacles au développement du chemin de fer et arriver le plus rapidement possible en Überwald ! Cette invention apporte énormément de changements dans le comportement des habitants, de l'adulation ou rejet pur et simple et le regret du passé pousse certains nains fondamentalistes à vouloir renverser le Petit Roi et détruire le Chemin de fer ! On y retrouve avec plaisirs les membres du Guet, Vimaire-Le-Responsable-Du-Tableau, en tête. Comme toujours ce roman est empli d'humour malgré son côté sombre et caricatural des extrémistes et de leur rejet systématique des développements. Je suis toujours aussi admirative des capacités de Pratchett à réinventer l'idée et le développement d'une invention mais aussi d'avoir créé et fait vivre un Monde parodique sans tomber dans le ridicule ou la médiocrité ! Sur ce, je vais ressortir un des premiers tomes ! Challenge MULTI-DEFIS 2021 Challenge MAUVAIS GENRE 2021 Challenge ATOUTPRIX 2021 Lecture commune ANNALES DU DISQUE-MONDE Dans le monde Fabuleux de Terry Pratchett A chaque fois que je referme ce tome, je suis toujours un peu triste parce que c'est le dernier des Annales du Disque-Monde et qu'il signifie que Pratchett est mort quelques mois plus tard. Il clôt aussi le cycle Moite von Lipwig, surnommé “Un-peu-humide" par les gobelins, qui est le moteur du développement à grande échelle sur le Disque-Monde ; Un jeune homme débrouillard, ingénieux et mathématicien accompli, a réussi à maîtriser la vapeur et inventé la première locomotive : Poutrelle-de-fer ! Il s'adresse à Henri Roi pour développer son idée et surtout le financer. le tyran ne voulant pas être obligé de “prendre le train en marche” charge Moite von Lipwig de faire disparaître les obstacles au développement du chemin de fer et arriver le plus rapidement possible en Überwald ! Cette invention apporte énormément de changements dans le comportement des habitants, de l'adulation ou rejet pur et simple et le regret du passé pousse certains nains fondamentalistes à vouloir renverser le Petit Roi et détruire le Chemin de fer ! On y retrouve avec plaisirs les membres du Guet, Vimaire-Le-Responsable-Du-Tableau, en tête. Comme toujours ce roman est empli d'humour malgré son côté sombre et caricatural des extrémistes et...
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  • Phoenicia 06/02/2021
    Sans conteste mon tome préféré qui a des allures de conclusion. Cela fait un peu plus de deux ans que Terry Pratchett m'accompagne tous les mois. L'occasion pour moi de découvrir peu à peu le monde des Annales et toute sa richesse. Si il est vrai que tous les livres peuvent se lire de manière indépendante, cela reste cependant bien dommage. Déraillé est rempli de références à des tomes passés. Les remarquer est autant de petites joies qui parsèment ce récit. Ainsi, Déraillé n'est pas uniquement un tome sur Moite von Lipwig, notre escroc "réhabilité", faire-valoir de Vétérini lorsqu'il s'agit de trouver des idées lumineuses pour le bien d'Ankh-Morpork. On y retrouve une bonne partie du Guet, Henri Roi, Vétérini et Tambourinoeud, les Mages et d'autres personnages qui, si ils ne sont pas dans l'action, sont du moins mentionnés. Terry Pratchett poursuit son dessein : dévoiler Ankh-Morpork à un tournant. Un tournant identitaire et culturelle, avec l'intégration et l'acceptation progressive de toutes les espèces, mais également un tournant technologique avec le Chemin de fer! Très inspiré par notre Révolution Industrielle, on suit avec plaisir les opportunités qu'apporte cette technologie. Le récit est ainsi, par endroits, émaillés de petits épisodes au quotidien avec pour seul intérêt de montrer l'impact de réseau ferré... Le tout avec des personnages, principaux comme secondaires, bigarrés, nous offrant de bons moments d'humour. Ainsi, face à la modernité, il y a toujours des réfractaires. En l'occurrence on les retrouve avec les fanatiques de fondementistes, découverts il y a quelques tomes. Une histoire riche, drôle, dans laquelle on ne s'ennuie pas malgré l'épaisseur du tome. Une très bonne conclusion pour cette série. Challenge et LC Pratchett Challenge Mauvais Genres 2021 Challenge Séries 2021 Challenge Multi-défis 2021Sans conteste mon tome préféré qui a des allures de conclusion. Cela fait un peu plus de deux ans que Terry Pratchett m'accompagne tous les mois. L'occasion pour moi de découvrir peu à peu le monde des Annales et toute sa richesse. Si il est vrai que tous les livres peuvent se lire de manière indépendante, cela reste cependant bien dommage. Déraillé est rempli de références à des tomes passés. Les remarquer est autant de petites joies qui parsèment ce récit. Ainsi, Déraillé n'est pas uniquement un tome sur Moite von Lipwig, notre escroc "réhabilité", faire-valoir de Vétérini lorsqu'il s'agit de trouver des idées lumineuses pour le bien d'Ankh-Morpork. On y retrouve une bonne partie du Guet, Henri Roi, Vétérini et Tambourinoeud, les Mages et d'autres personnages qui, si ils ne sont pas dans l'action, sont du moins mentionnés. Terry Pratchett poursuit son dessein : dévoiler Ankh-Morpork à un tournant. Un tournant identitaire et culturelle, avec l'intégration et l'acceptation progressive de toutes les espèces, mais également un tournant technologique avec le Chemin de fer! Très inspiré par notre Révolution Industrielle, on suit avec plaisir les opportunités qu'apporte cette technologie. Le récit est ainsi, par endroits, émaillés de petits épisodes au...
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  • Luniver 12/12/2019
    Avant de découvrir Pratchett, mes auteurs favoris étaient déjà tous morts : pas de surprises donc sur leur bibliographie, elle m’était connue d’avance et je devais faire avec. En parcourant le disque-monde et tous ses personnages attachants, la donne a changé : la série ne semblait ne pas avoir de fin, ce qui m’arrangeait bien puisque je n’en avais jamais assez. La mort de l’auteur a laissé un certain vide en moi, et j’ai même envisagé de me rendre à ses obsèques en Angleterre. Déraillé est donc resté un long moment dans ma bibliothèque, car j’ai eu bien du mal à me résoudre à lire le point final de son œuvre. Le cycle s’achève donc avec les aventures de Moite von Lipwig, désigné par Vétérini pour gérer une découverte qui va bouleverser le monde : le chemin de fer à vapeur ! Idéal pour doper le commerce, favoriser les relations internationales, et aussi occasion rêvée pour le dictateur de rejoindre dame Margolotta à l’autre bout du monde sans devoir organiser un voyage d’un mois. Ce roman est assez classique dans sa structure : une invention inconnue hier et qui devient indispensable aujourd’hui, avec un tas d’habitants reproduisant un peu magiquement les mêmes comportements : fascination à regarder passer la machine, enthousiasme débordant en entendant le sifflet, … Pratchett développe aussi les sujets du féminisme et du racisme, avec les revendications sociales des gobelins à être inclus dans la société, l’affirmation de certains nains à se revendiquer .. naines malgré le port de la barbe, et les difficultés que représentent pour certains groupes la perte des traditions ancestrales. Un roman plutôt agréable dans l’ensemble, même si je ne suis pas personnellement influencé par la magie des trains. Plusieurs petits pincements au cœur également (« tiens, c’est sûrement la dernière fois que je vois X ») qui a du me donner une impression générale de nostalgie qui n’existe sans doute pas pour un lecteur neutre.Avant de découvrir Pratchett, mes auteurs favoris étaient déjà tous morts : pas de surprises donc sur leur bibliographie, elle m’était connue d’avance et je devais faire avec. En parcourant le disque-monde et tous ses personnages attachants, la donne a changé : la série ne semblait ne pas avoir de fin, ce qui m’arrangeait bien puisque je n’en avais jamais assez. La mort de l’auteur a laissé un certain vide en moi, et j’ai même envisagé de me rendre à ses obsèques en Angleterre. Déraillé est donc resté un long moment dans ma bibliothèque, car j’ai eu bien du mal à me résoudre à lire le point final de son œuvre. Le cycle s’achève donc avec les aventures de Moite von Lipwig, désigné par Vétérini pour gérer une découverte qui va bouleverser le monde : le chemin de fer à vapeur ! Idéal pour doper le commerce, favoriser les relations internationales, et aussi occasion rêvée pour le dictateur de rejoindre dame Margolotta à l’autre bout du monde sans devoir organiser un voyage d’un mois. Ce roman est assez classique dans sa structure : une invention inconnue hier et qui devient indispensable aujourd’hui, avec un tas d’habitants reproduisant un peu magiquement les mêmes comportements : fascination à regarder...
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  • Miney 21/04/2019
    Terminus, tout l'monde descend ! C'est avec une boule dans la gorge que j'ai tourné la page du dernier opus du Disque-Monde. Plus de voyages sur ce monde plat porté par quatre (cinq !) éléphants sur le dos d'une tortue qui vogue dans l'espace, plus de rencontres avec ces personnages plus dingues et attachants les uns que les autres. Bon, je dramatise : je n'ai pas fini les aventures de Tiphaine Patraque, il me reste encore un peu de temps sur ce bon vieux Disque-Monde, Miyard ! Cet ultime tome, pourtant plein de panache et de fumée, m'a moins embarquée que je l'espérais, le pincement au cœur mis à part. Les thèmes chers à Pratchett sont toujours bien présents, le vivre ensemble, la tolérance, le fanatisme religieux, la révolution industrielle... Mais mes éclats de rire fréquents d'ordinaire se sont mués ici en vagues gloussements espacés. Les traits d'humour sont moins percutants, la satire moins mordante. L'intrigue est poussive, comme une locomotive trop chargée. Elle met du temps à démarrer et ne décolle pas tout à fait vraiment, encombrée par une foule de petites choses qui rendent l'histoire certes plus crédible (les discussions avec les propriétaires terriens pour le tracé de la voie ferrée, les détails sur le wagon-restaurant, les commodités, les guides touristiques... et tout ce qui fait partie d'un voyage) mais qui additionnées ne sont pas forcément passionnantes. Moite n'a jamais été un de mes personnages favoris, mais il est heureusement bien entouré. Henri Roi, Vimaire, Vétérini... Aucun ne s'est vraiment démarqué, même si j'ai apprécié les retrouver une dernière fois. J'ai juste été un peu dubitative concernant Vétérini, que j'ai trouvé amolli : c'est un personnage qui a toujours plusieurs coups d'avance, alors le voir suivre à contre-coeur l'apparition de la machine à vapeur ne m'a pas convaincue. D'ordinaire, il aurait déjà prévu et planifié à son avantage toutes les possibilités de cette avancée technologique avant même qu'elle ne soit inventée. Au bout de 35 tomes et vu la maladie qui pesait sur l'auteur lors de l'écriture de cette œuvre, je pense que l'indulgence est de mise... Cela reste quand même une bonne lecture, intelligente et bien écrite. La déception n'est là que parce que Pratchett m'a habituée à l'excellence. Terminus, tout l'monde descend ! C'est avec une boule dans la gorge que j'ai tourné la page du dernier opus du Disque-Monde. Plus de voyages sur ce monde plat porté par quatre (cinq !) éléphants sur le dos d'une tortue qui vogue dans l'espace, plus de rencontres avec ces personnages plus dingues et attachants les uns que les autres. Bon, je dramatise : je n'ai pas fini les aventures de Tiphaine Patraque, il me reste encore un peu de temps sur ce bon vieux Disque-Monde, Miyard ! Cet ultime tome, pourtant plein de panache et de fumée, m'a moins embarquée que je l'espérais, le pincement au cœur mis à part. Les thèmes chers à Pratchett sont toujours bien présents, le vivre ensemble, la tolérance, le fanatisme religieux, la révolution industrielle... Mais mes éclats de rire fréquents d'ordinaire se sont mués ici en vagues gloussements espacés. Les traits d'humour sont moins percutants, la satire moins mordante. L'intrigue est poussive, comme une locomotive trop chargée. Elle met du temps à démarrer et ne décolle pas tout à fait vraiment, encombrée par une foule de petites choses qui rendent l'histoire certes plus crédible (les discussions avec les propriétaires terriens pour le tracé de la voie...
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