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La Ferme des animaux
Charles Recoursé (traduit par)
Date de parution : 01/04/2021
Éditeurs :
10/18

La Ferme des animaux

Charles Recoursé (traduit par)
Date de parution : 01/04/2021
Une nouvelle traduction du grand classique d’Orwell.
Quand les animaux de la ferme du Manoir, las des abus, renversent leur maître, l’acoolique Mr Jones, et reprennent le contrôle de leurs existences, ils imaginent le début d’une douce... Quand les animaux de la ferme du Manoir, las des abus, renversent leur maître, l’acoolique Mr Jones, et reprennent le contrôle de leurs existences, ils imaginent le début d’une douce vie de liberté et d’égalité. Mais petit à petit, les cochons, à coups de manipulation, cupidité, orgueil, et mauvaise foi... Quand les animaux de la ferme du Manoir, las des abus, renversent leur maître, l’acoolique Mr Jones, et reprennent le contrôle de leurs existences, ils imaginent le début d’une douce vie de liberté et d’égalité. Mais petit à petit, les cochons, à coups de manipulation, cupidité, orgueil, et mauvaise foi s’imposent sur leurs camarades, et les autres comprennent à leurs dépends que “Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que les autres”.
Histoire d’une révolution qui finit en queue de cochon, cette brillante satire orwelienne du totalitarisme est l’un des plus célèbres romans du XXe sc. Et son inventivité folle, son humour, son style et, surtout, son message toujours férocement actuel, devraient continuer de séduire encore un bon siècle de lecteurs.

Précédé de Pourquoi j’écris.

Traduit de l’anglais par Charles Recoursé.

 
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EAN : 9782264078001
Code sériel : 5656
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 144
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264078001
Code sériel : 5656
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 144
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • InkyDragonflies 28/04/2023
    Un classique que je suis ravie d'avoir découvert. La plume simple et fluide de George Orwell marche à merveille avec moi. Ce conte fantastique est court et efficace ! Malgré la différence de génération, le texte reste d'une étonnante vérité et fait réfléchir sur pas mal de choses,autant politiques que humaines
  • Tenkohan 04/04/2023
    "La Ferme des Animaux" de George Orwell. Ce livre de notre maître Orwell est un roman satirique qui a été publié en 1945. Ce livre est une critique du totalitarisme et de la montée du communisme (et bolchévisme). L'histoire raconte l'histoire d'un groupe d'animaux qui se rebellent contre leur propriétaire humain et créent leur propre société autonome sur la ferme. Cependant, les cochons, qui se révèlent être les dirigeants, deviennent peu à peu des tyrans corrompus qui abusent de leur pouvoir et commencent à ressembler étrangement aux humains qu'ils ont renversés. Ce livre est une critique acerbe du pouvoir et de la politique, qui montre comment les dirigeants peuvent facilement sombrer dans la tyrannie et la corruption une fois qu'ils ont acquis le pouvoir. Orwell utilise des animaux pour représenter les êtres humains, ce qui donne une dimension supplémentaire à sa critique et permet aux lecteurs de mieux comprendre les mécanismes du pouvoir. En fin de compte, "La Ferme des Animaux" est un livre puissant qui a une pertinence permanente dans notre monde actuel. J'ai adoré lire ce roman qui est assez rapide et simple à comprendre et voir une critique du communisme du côté anglais est toujours assez intéressant historiquement parlant.
  • gatsbi 03/04/2023
    J’observe les gens dans le métro. La plupart sont penchés sur un petit objet qui capte toute leur attention. Parfois, cet objet est un livre. Exceptionnellement, ce livre est une Bible, un Coran. Et sur le visage de cet homme pieux je lis, invariablement, l’expression de la sérénité même. Tel est le pouvoir, semble-t-il, du livre sacré, ou du moins de ce qui s’y trouve. Et pour le commun des croyants, il y a toujours cet homme de Dieu qu’on écoute en réunion. Pas d’inquiétude : il choisit pour vous un passage. Il apporte ses lumières, raconte une anecdote. L’enseignement. Oui le monde semble parfois bien noir, oppressant, immoral, mais avec la foi et l’exemple à suivre, on peut vivre heureux et l’esprit apaisé. Spiritualité. La ferme des animaux, de Georges Orwell, fonctionne dans l’autre sens. Cette fable parfaite, satire ultime de la société, ne viendra pas à vous toute seule. Ce qu’elle renferme ? Pas moins que les clés de compréhension de la nature humaine, habilement illustrée par l’aimable concours de quelques sympathiques animaux d’élevage. Mais ne vous y trompez pas : ce livre est dangereux, à double titre. Ici, point de morale, point d’injonction. Seules ces clés de compréhension… et l’assurance d’en... J’observe les gens dans le métro. La plupart sont penchés sur un petit objet qui capte toute leur attention. Parfois, cet objet est un livre. Exceptionnellement, ce livre est une Bible, un Coran. Et sur le visage de cet homme pieux je lis, invariablement, l’expression de la sérénité même. Tel est le pouvoir, semble-t-il, du livre sacré, ou du moins de ce qui s’y trouve. Et pour le commun des croyants, il y a toujours cet homme de Dieu qu’on écoute en réunion. Pas d’inquiétude : il choisit pour vous un passage. Il apporte ses lumières, raconte une anecdote. L’enseignement. Oui le monde semble parfois bien noir, oppressant, immoral, mais avec la foi et l’exemple à suivre, on peut vivre heureux et l’esprit apaisé. Spiritualité. La ferme des animaux, de Georges Orwell, fonctionne dans l’autre sens. Cette fable parfaite, satire ultime de la société, ne viendra pas à vous toute seule. Ce qu’elle renferme ? Pas moins que les clés de compréhension de la nature humaine, habilement illustrée par l’aimable concours de quelques sympathiques animaux d’élevage. Mais ne vous y trompez pas : ce livre est dangereux, à double titre. Ici, point de morale, point d’injonction. Seules ces clés de compréhension… et l’assurance d’en sortir davantage tourmenté. Car ce livre n’a pas l’ambition de vous protéger du mal, de vous guider dans une saine et bonne conduite. Son ambition est plus limitée et néanmoins immense : vous ouvrir les yeux sur le monde tel qu’il est. Derrière la gentille fable se cache l’une des démarches intellectuelles les plus puissantes que je connaisse : la construction ou la déconstruction. Partant d’une situation utopique dans laquelle les animaux de la ferme, fraîchement libérés du joug de l’homme à l’issue d’une révolte historique (une révolution), instaurent une société fondée sur l’égalité entre tous les animaux, Orwell déroule les évènements qui, insensiblement, vont corrompre cet idéal sociétal (collectivisme ?) pour aboutir à une tyrannie similaire à celle des hommes, voire pire. La réalisation est magnifique, à la fois d’une simplicité confondante et d’une justesse qui fait son œuvre. La traduction par Jean Quéval laisse un texte dont la langue désuète et le style maîtrisé s’accordent magnifiquement à la forme (la fable) et l’univers (une ferme anglaise de la première moitié du vingtième siècle). Le récit en lui-même est pur régal, et l’humour anglais bien présent, savamment distillé toutes les cinq pages, qui s’estompe avec tact quand l’horreur grandit. Au-delà du plaisir de lecture, c’est bien le propos qui marque. Très rapidement à vrai dire, je n’ai pu faire autrement que méditer les phrases les unes après les autres, arrêtant ma lecture pour donner libre cours à ma pensée. Évidemment, on voit en filigrane la critique du stalinisme. Plus utilement, on peut voir dans cette fable la mise en garde face à la dérive autoritaire qui menace tout régime. Et puis on peut aller plus loin encore, et voir dans ce texte une formidable démonstration des biais cognitifs à l’œuvre dans la tragédie humaine, de tout temps, en tous lieux, sans oublier le véritable sujet : la lutte des classes, incessante, immuable, inhumaine (ou malheureusement humaine, justement ?). On trouve ainsi dans ce texte la parfaite illustration de très nombreux thèmes récurrents dans cette lutte pour le pouvoir ou le maintien au pouvoir d’une petite caste de dominants : - L’exploitation de la naïveté et de la crédulité. - L’exploitation de la résilience (le cheval, la religion). - La croyance répandue selon laquelle les chefs servent nécessairement les intérêts du groupe (absence de contrôle). - Les privilèges et la propriété privée (sujets à dérive), l’accroissement des inégalités. - La réécriture de l’histoire (les commandements complétés, Boule-de-neige qui est sali). - Le maintien dans l’analphabétisme des masses. - Le maintien dans le labeur des masses (moins de loisirs, moins de réflexion, moins de contestation). - La propagande, le contrôle des médias (le porte-parole, le bras droit). - L’usage des données statistiques. - La répression, la violence pour marquer les esprits, la milice. - L’intimidation. - L’appel à la dénonciation. - Le maintien d’un état de guerre permanent ou d’un ennemi (boucs émissaires, diversion). - Le manichéisme exacerbé. - Le patriotisme exacerbé. - La restriction des libertés. - Le culte de la personnalité du chef. - Le comportement irrationnel du chef, mensonges éhontés (sidération des masses). Ce ne sont là que quelques exemples… La ferme des animaux est une œuvre intemporelle. Elle dissèque les mécanismes à l’œuvre dans les dérives autoritaires des régimes passés comme présents, mais également dans la lutte ordinaire des classes, et finalement dans tous les lieux d’exercice du pouvoir, jusques et y compris l’institution, l’entreprise ou la cellule familiale. À ce titre elle est aussi une arme intellectuelle inestimable. Monsieur Orwell, mille mercis !
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  • Morphil 03/04/2023
    C'est une relecture. A bientôt soixante-dix ans, ce roman n'est pas trop ridé. J'aurais même tendance à dire qu'il a pris un coup de jeune ces derniers temps … suivez mon regard, quoique, dans quelle direction. D'accord certains termes ne sont plus de la première fraicheur mais à part ça… à part ça chantait Jacques Dutronc. Avantage de ce livre, c'est qu'il est court et qu'on y retrouve une partie des thèmes que l'auteur développera dans 1984, donc pour ceux que ce pavé (1984) aurait tendance à effrayer, on a déjà un petit aperçu. Okay, il suffit d'allumer la télé ou la radio et d'écouter les journaux d'information(??) pour avoir une idée, il n'y a qu'à se servir, il y a ce qu'il faut. Et oui, ceux qui défilent en chantant "ah ça ira, ça ira, ça ira…" le lundi, passe le balai ou la lime le mardi à moins qu'ils ne refassent les lits pour avoir le droit de faire la, queue à l'aide alimentaire. Mais, comme le disait Coluche, "rassurez vous, on mange pour vous". Enfin, je ne vais pas refaire l'histoire, d'autres s'en chargent avec bien plus de talent. Dindon de la farce ? Ce n'est pas... C'est une relecture. A bientôt soixante-dix ans, ce roman n'est pas trop ridé. J'aurais même tendance à dire qu'il a pris un coup de jeune ces derniers temps … suivez mon regard, quoique, dans quelle direction. D'accord certains termes ne sont plus de la première fraicheur mais à part ça… à part ça chantait Jacques Dutronc. Avantage de ce livre, c'est qu'il est court et qu'on y retrouve une partie des thèmes que l'auteur développera dans 1984, donc pour ceux que ce pavé (1984) aurait tendance à effrayer, on a déjà un petit aperçu. Okay, il suffit d'allumer la télé ou la radio et d'écouter les journaux d'information(??) pour avoir une idée, il n'y a qu'à se servir, il y a ce qu'il faut. Et oui, ceux qui défilent en chantant "ah ça ira, ça ira, ça ira…" le lundi, passe le balai ou la lime le mardi à moins qu'ils ne refassent les lits pour avoir le droit de faire la, queue à l'aide alimentaire. Mais, comme le disait Coluche, "rassurez vous, on mange pour vous". Enfin, je ne vais pas refaire l'histoire, d'autres s'en chargent avec bien plus de talent. Dindon de la farce ? Ce n'est pas plutôt la farce qu'on met dans le dindon pour Noël ? Je referme cette tribune en conseillant ce petit ouvrage à ceux qui ne l'ont pas lu … et aussi à ceux qui voudrait se rafraichir la mémoire. En conclusion 'Napoléon a toujours raison". Suivez le guide …
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  • CLOU5426 30/03/2023
    Je lis mon premier livre anglais en v.o. avec ce classique que je devais lire de toute façon. Cette édition est très pratique pour lire dans la langue originale. Il faut quand même une bonne base d'anglais mais loin de le parler avec facilité. Les aides en marge jouent leur rôle 90% du temps. Oui car des fois il y a des explications qui paraissent inutiles et d'autres fois il n'y en a pas quand on en aurait eu besoin. Mais dans l'ensemble c'est bien fichu. Après il y a toujours des applis sur le net pour compléter les rares lacunes de cette aide à la lecture. Concernant le roman en lui même, excellent ! C'est une fable moquant la nature humaine à travers le prisme d'animaux de la ferme prenant la place des hommes. Ça s'attaque clairement et avec talent aux révolution de "peuples"contre les nantis. Et ça s'applique à pleins de cas : des bolcheviques à l'esprit gilets jaunes en passant par la révolution française. Et c'est très bien vu. Écrit avant son "1984", ce roman en est une sorte de coup d'essai où l'on retrouve la manipulation des masses, notamment par celle de la pensée (ici en persuadant les animaux, trop... Je lis mon premier livre anglais en v.o. avec ce classique que je devais lire de toute façon. Cette édition est très pratique pour lire dans la langue originale. Il faut quand même une bonne base d'anglais mais loin de le parler avec facilité. Les aides en marge jouent leur rôle 90% du temps. Oui car des fois il y a des explications qui paraissent inutiles et d'autres fois il n'y en a pas quand on en aurait eu besoin. Mais dans l'ensemble c'est bien fichu. Après il y a toujours des applis sur le net pour compléter les rares lacunes de cette aide à la lecture. Concernant le roman en lui même, excellent ! C'est une fable moquant la nature humaine à travers le prisme d'animaux de la ferme prenant la place des hommes. Ça s'attaque clairement et avec talent aux révolution de "peuples"contre les nantis. Et ça s'applique à pleins de cas : des bolcheviques à l'esprit gilets jaunes en passant par la révolution française. Et c'est très bien vu. Écrit avant son "1984", ce roman en est une sorte de coup d'essai où l'on retrouve la manipulation des masses, notamment par celle de la pensée (ici en persuadant les animaux, trop stupides, qu'ils n'ont pas vu ce qu'ils ont vu ni lu ce qu'ils ont lu). 1984 en est une sorte de réécriture dans l'univers définitivement réaliste des hommes ; en bien plus sombre.
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