Orgueilleux, emphatique, looser provocateur, Arturo Bandini bourlingue dans l’Amérique des années trente. Enfermé dans un placard qui lui sert de « bureau », errant de petits boulots en grosses galères,...
Orgueilleux, emphatique, looser provocateur, Arturo Bandini bourlingue dans l’Amérique des années trente. Enfermé dans un placard qui lui sert de « bureau », errant de petits boulots en grosses galères, Bandini veut être écrivain. La Route de Los Angeles publiée après la mort de John Fante, marque la naissance d’un...
Orgueilleux, emphatique, looser provocateur, Arturo Bandini bourlingue dans l’Amérique des années trente. Enfermé dans un placard qui lui sert de « bureau », errant de petits boulots en grosses galères, Bandini veut être écrivain. La Route de Los Angeles publiée après la mort de John Fante, marque la naissance d’un anti-héros culte et le début d’une œuvre flamboyante.
« John Fante, avant les beatniks, a raconté l’aventure des laissés-pour-compte, des ivrognes. La Route de Los Angeles, c'est déjà le bréviaire d'une Amérique vulgaire et mal élevée. »
Jacques-Pierre Amette, Le Point
Traduit de l’anglais (Etats-Unis)
par Brice Matthieussent
Alors que sort le 30 octobre sur grand écran l'adaptation par Yvan Attal du roman-culte de John Fante Mon chien Stupide, retour sur la situation particulière de ce bijou d'humour désabusé dans la carrière chahutée de l'un des précurseurs supposés de la Beat Generation – idole de Charles Bukowski.