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La voleuse d'hommes
Anne Rabinovitch (traduit par)
Date de parution : 20/01/2005
Éditeurs :
10/18

La voleuse d'hommes

Anne Rabinovitch (traduit par)
Date de parution : 20/01/2005

Trois amies déjeunent ensemble. Elles n’ont rien en commun, sinon qu’elles nourrissent toutes trois une haine féroce contre Zénia, cette femme énigmatique et envoûtante qui leur a volé leur homme....

Trois amies déjeunent ensemble. Elles n’ont rien en commun, sinon qu’elles nourrissent toutes trois une haine féroce contre Zénia, cette femme énigmatique et envoûtante qui leur a volé leur homme. Elles viennent d’apprendre sa mort, et quel soulagement ! Mais lorsque Zénia fait son entrée dans le restaurant, plus conquérante...

Trois amies déjeunent ensemble. Elles n’ont rien en commun, sinon qu’elles nourrissent toutes trois une haine féroce contre Zénia, cette femme énigmatique et envoûtante qui leur a volé leur homme. Elles viennent d’apprendre sa mort, et quel soulagement ! Mais lorsque Zénia fait son entrée dans le restaurant, plus conquérante que jamais, c’est le choc. Le cauchemar va-t-il recommencer ?

« Que vous ayez une femme, un mari, un amant, les pieds plats, les oreilles décollées ou tout cela à la fois, vous pouvez être sûr de trouver votre portrait dans La voleuse d'hommes. »
Gérard Meudal, Libération

Traduit de l'anglais (Canada)
par Anne Rabinovitch

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EAN : 9782264035943
Code sériel : 3744
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 656
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264035943
Code sériel : 3744
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 656
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« La romancière canadienne Margaret Atwood nous tient en haleine jusqu'à la fin. [...] Un grand roman de femmes, qui rappelle tout à la fois le légendaire Groupe, de Mary McCarthy, et Toilettes pour femmes, de Marilyn French. »
Danièle Mazingarbe, Madame Figaro

« Ce roman palpitant nous transporte entre rêve et réalité, dans ce monde obscur où œuvrent de concert esprit de vengeance et fascination. Un conte sophistiqué signé par l'un des plus célèbres écrivains canadiens. »
Page

« La grande romancière canadienne place très haut la barre avec ce roman copieux, la description méticuleuse d'une génération perdue. »
Gérard-Humbert Goury, Biba

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gerardgivon 04/10/2023
    C'est vrai que ce gros pavé (je l'ai lu dans son édition originale) peut décourager... ce n'est pas une dystopie contrairement à la "Servante écarlate" mais une passionnante étude des relations amicales et amoureuses entre quatre personnages féminins... Les hommes sont étrangement absents et falots.... mais les personnages féminins sont finement décrits et leurs comportements analysés avec une précision entomologique... Retour à l'enfance et vie familiale antérieure... Influence de l'activité professionnelle, de la fortune... Bien sûr, le déroulement est très lent mais j'ai été séduit par ce roman peu ordinaire...
  • Taraxacum 02/09/2021
    La voleuse d'hommes, c'est Zenia. Véneuse Zenia, intelligente, brillante Zenia, mais perverse Zenia, qui ne peut s'empêcher, après avoir mordu dans le fruit du voisin, ou de la voisine plutôt, de flanquer le feu au verger en partant. Le roman débute par le retour de Zenia, censée être morte, un choc pour les trois amies, qui se connues depuis l'université et se sont rapprochées plus tard par ce point commun: l'homme de leur vie a fichu le camp avec Zenia. Au tout début, j'ai été un peu déboussolée par ce retour en arrière sur la vie des trois amies, alors que ce que je voulais savoir c'était les raisons du retour de Zenia, et de sa fausse mort, avant de me laisser prendre au roman et de voir que le sujet principale, ce n'était pas Zenia. Zenia est une tumeur, et ce sont les fagilités des personnages l'ayant laissé s'installer, et leurs forces pour se relever, et apprendre du passé, qui se trouvent finalement l'âme du roman. Trois beaux portraits de femmes.
  • Emyllie 28/01/2021
    Une approche intéressante de l#x2019intrigue: une construction en étages temporels pour se pencher sur nous et notre reflet de nous, ce que nous sommes prêts à voir et à entendre et la vérité que nous nous refusons- une relation intime d#x2019amour et de haine entre nous ....et nous!
  • collectifpolar 19/09/2020
    Tony, Charis et Roz, trois vieilles copines de fac sont réunies pour un déjeuner dans un restaurant de Toronto. Mais voilà qu’éparait Zémia. Elle qu’elles croyait morte, tuée au Liban. Et là le passé resurgit… On dit que La voleuse d’homme est le roman de la lutte âpre que se livrent les femmes entre elles, de leurs projections et de leurs fantasmes. Entre rêve et réalité, entre fascination et vengeance, c'est un conte de fées moderne et sophistiqué dans lequel la méchante sorcière finit presque par triompher. Pour moi c’est sans doute le meilleur Atwood. Elle nous livre ici un suspense aux limites du fantastique Une histoire d’amitié somme toute particulière. Car l’amitié peut être belle mais elle peut aussi être redoutable voire toxique. Alors peut-être méfiez-vous de Zemia
  • 4bis 02/03/2020
    J'aime beaucoup les livres de Margaret Atwood. Celui-ci n'est pas le meilleur mais il est tout de même plaisant. Le sel de la narration vient de la manière dont on pénètre tour à tour dans la psyché des trois personnes féminins. Zenia et ses ravages ne se dévoilent que par cela. Et l'accumulation des griefs contre elle en tend à la rendre presque impossible à exister réellement, une boursouflure de mille fantasmes haineux. Le livre pêche un peu, à mon avis, à jouer de cette ambivalence : elucubrations névrotiques ou réalisme pittoresque croquant trois destins d'après guerre ? Ca tangue entre les deux et comme aucune justification rationnelle ne vient éclairer les actes de Zenia, sa trajectoire en devient assez invraisemblable. Pourtant, ses actes semblent assez ancrés dans une stratégie de toute puissance machiavélique pour n'être pas le fruit de l'imagination des autres personnages. Plutôt que d'entretenir un doute fertile, 'incertitude d'interprétation affaiblit le propos. C'est une petite réserve pour un livre toutefois bien mené où j'ai retrouvé avec grand plaisir la finesse du trait de Margaret Atwood et son talent à peindre les portraits de femmes.
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