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Le chien des Basqueville
Collection : Polar
Date de parution : 04/02/2016
Éditeurs :
10/18

Le chien des Basqueville

Collection : Polar
Date de parution : 04/02/2016
Une nouvelle enquête d'Edward Holmes et Gower Watson sous le règne du roi de France et d’Angleterre Henri VI, à la recherche de sulfureuses missives qui risqueraient de bouleverser la succession au trône de France.

 
Au printemps de l’an de grâce 1422, durant la maudite guerre entre les Armagnacs et les Bourguignons, Isabeau de Bavière, reine de France et épouse du pauvre roi fou Charles... Au printemps de l’an de grâce 1422, durant la maudite guerre entre les Armagnacs et les Bourguignons, Isabeau de Bavière, reine de France et épouse du pauvre roi fou Charles VI, charge le clerc anglais Edward Holmes de conduire une de ses demoiselles d’honneur au château de Basqueville afin qu’elle... Au printemps de l’an de grâce 1422, durant la maudite guerre entre les Armagnacs et les Bourguignons, Isabeau de Bavière, reine de France et épouse du pauvre roi fou Charles VI, charge le clerc anglais Edward Holmes de conduire une de ses demoiselles d’honneur au château de Basqueville afin qu’elle puisse prier sur le gisant de son époux. Mais rien ne se passe comme prévu, le voyage a en vérité un tout autre but et, malgré sa sagacité, Holmes se fera abuser. De retour à Paris, Edward et son ami Gower Watson n’auront de cesse de retrouver la jeune femme et de prendre leur revanche. Or, peu après, la reine Isabeau découvre avec terreur qu’un inconnu mystérieux la menace de révéler le contenu de lettres qu’elle a écrites à son amant près de vingt ans auparavant. Des missives qui peuvent remettre en question la succession au trône de France. Heureusement que Holmes a ramené de Basqueville le molosse de l’ancien châtelain, qui s’avère aussi perspicace que son nouveau maître.
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EAN : 9782264067869
Code sériel : 5033
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 504
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264067869
Code sériel : 5033
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 504
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Davalian 24/05/2021
    Pour son deuxième roman dans l’univers des chroniques d’Edward Holmes et de Gower Watson, Jean d’Aillon, garde les meilleurs éléments pour nous cocotter une nouvelle intrigue qui sera nous tenir en haleine de la première à la dernière page. Comme dans Une étude en écarlate, nos deux compères vont ici évoluer dans leur contexte historique et auront une influence non négligeable sur les événements, d’autant que le sujet est une question centrale de la guerre de Cent ans. Si celle-ci est introduite de manière habile, elle manque hélas de perspectives plus lointaines (le sujet touche même, par ricochet aux origines du conflit centenaire). De mêmes sherlockiens et holmésiens pourront ressentir ici un petit sentiment de frustration. L’intrigue n’est pas vraiment celle d’un apocryphe. Certes, il y a bien un Holmes et un Watson (qui ressemblent beaucoup à vous savez qui…), cette fois-ci il y a même deux jeunes irréguliers et une certaine femme… mais le roman tient ici davantage du roman historique. Les personnages sont plaisants, l’intrigue est intéressante, le style est agréable et de belles surprises viennent ponctuer la lecture. Mais quelques défauts doivent être révélés. La narration est ici clairement omnisciente et aucun effort n’est consenti pour donner du corps au récit. Certes nous savons que Holmes écrit une chronique mais en dehors de cela, le lien avec le canon reste ténu. Quelques mauvaises surprises viendront également gâcher le plaisir : des références à une autre nouvelle (le chanoine à la lèvre tordue) assortie de quelques révélations mineures, mais surtout la révélation complète du roman précédent alors que tout cela ne se justifie aucunement… L’approche parfois utilitaire de certains personnages est assez étonnante, sans être désagréable. Il est fort probablement que ceux-ci (du moins certains) fassent parler d’eux à l’avenir. Les meurtres sont ici nombreux et la justification pas toujours heureuse, mais tout cela reste dans des proportions acceptables (pour un roman, nous sommes bien d’accord). Le chien des Basqueville est un roman agréable, vite et facilement lu, qui donnera immanquablement envie de poursuivre les aventures de nos deux compères… Pour son deuxième roman dans l’univers des chroniques d’Edward Holmes et de Gower Watson, Jean d’Aillon, garde les meilleurs éléments pour nous cocotter une nouvelle intrigue qui sera nous tenir en haleine de la première à la dernière page. Comme dans Une étude en écarlate, nos deux compères vont ici évoluer dans leur contexte historique et auront une influence non négligeable sur les événements, d’autant que le sujet est une question centrale de la guerre de Cent ans. Si celle-ci est introduite de manière habile, elle manque hélas de perspectives plus lointaines (le sujet touche même, par ricochet aux origines du conflit centenaire). De mêmes sherlockiens et holmésiens pourront ressentir ici un petit sentiment de frustration. L’intrigue n’est pas vraiment celle d’un apocryphe. Certes, il y a bien un Holmes et un Watson (qui ressemblent beaucoup à vous savez qui…), cette fois-ci il y a même deux jeunes irréguliers et une certaine femme… mais le roman tient ici davantage du roman historique. Les personnages sont plaisants, l’intrigue est intéressante, le style est agréable et de belles surprises viennent ponctuer la lecture. Mais quelques défauts doivent être révélés. La narration est ici clairement omnisciente et aucun effort n’est consenti pour donner...
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  • LPV 29/07/2020
    Une fois n'est pas coutume, mon père livrivore s'est mêlé de mes lectures estivales. Grand bien lui en a pris. En plus de m'avoir divertie, me voilà avec plus de matière qu'il m'en faut pour mes cours de la rentrée sur le roman historique. Voilà l'histoire. Ou presque. Je n'aime pas faire un pseudo pitch du texte, je préfère vous en livrer mon sentiment. J'avoue avoir eu un petit peu de mal à rentrer dedans au début. L'entrée en matière sur une généalogie royale très floue et labyrinthique m'a un peu rebutée. Bon, pas grave, il faut lui reconnaître qu'elle est indispensable et que la frontière est bien mince entre intimité, familiarité, enseignement et, disons, condescendance. Le truc, c'est que j'arrive à la fin de Fortune de France, et que je ne me voyais pas me lancer dans le treizième tome sans savoir que j'avais de quoi rebondir. D'Aillon devait faire l'affaire. Mouais bof au début, mais c'est sûr qu'on retrouve un vocabulaire fleuri et que la comparaison est cruelle. Mais quand même. Une fois qu'on est passé sur le style un peu lourd, des dialogue parfois un peu bancals, et sa réussite aléatoire à fondre l'historique dans la fiction, reste qu'on s'amuse bien. C'est l'essentiel. Holmes et Watson, c'est cadeau.Une fois n'est pas coutume, mon père livrivore s'est mêlé de mes lectures estivales. Grand bien lui en a pris. En plus de m'avoir divertie, me voilà avec plus de matière qu'il m'en faut pour mes cours de la rentrée sur le roman historique. Voilà l'histoire. Ou presque. Je n'aime pas faire un pseudo pitch du texte, je préfère vous en livrer mon sentiment. J'avoue avoir eu un petit peu de mal à rentrer dedans au début. L'entrée en matière sur une généalogie royale très floue et labyrinthique m'a un peu rebutée. Bon, pas grave, il faut lui reconnaître qu'elle est indispensable et que la frontière est bien mince entre intimité, familiarité, enseignement et, disons, condescendance. Le truc, c'est que j'arrive à la fin de Fortune de France, et que je ne me voyais pas me lancer dans le treizième tome sans savoir que j'avais de quoi rebondir. D'Aillon devait faire l'affaire. Mouais bof au début, mais c'est sûr qu'on retrouve un vocabulaire fleuri et que la comparaison est cruelle. Mais quand même. Une fois qu'on est passé sur le style un peu lourd, des dialogue parfois un peu bancals, et sa réussite aléatoire à fondre l'historique dans la fiction,...
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  • Scopa 23/03/2020
    Dans Le Chien des Basqueville, le roman démarre au printemps 1422. Paris est alors aux mains des Anglais et la misère dans la capitale du royaume de France atteint des sommets, tandis que la campagne environnante est régulièrement ravagée par des bandes de routiers commandées par les Armagnacs. Signé deux ans plus tôt, le traité de Troyes a écarté de la succession le dernier fils de la reine Isabeau de Bavière et du roi Charles VI, Charles, retiré dans ses terres au sud de la Loire. C'est Henry V de Lancastre, le roi d'Angleterre et époux de Catherine de Valois, qui doit ceindre la couronne après la mort de Charles VI et, ainsi, unir les couronnes des lys et des léopards sur une même tête après la signature de l'honteux traité de Troyes. Or, justement, voilà que l'on fait chanter la reine de France ! Un mystérieux corbeau lui fait dire qu'il possède un coffre dans lequel est serrée une correspondante compromettante, signée de sa main. Pour la récupérer, elle doit payer une certaine somme, sinon, l'inconnu menace de tout révéler, ce qui pourrait avoir des conséquences particulièrement funestes pour le royaume de France ! Un coffre qui était jusqu'ici dissimulé dans un château normand appartenant à un ancien fidèle du duc d'Orléans, Guillaume Martel de Basqueville, mort à Azincourt et que Edward va devoir chercher, au péril de sa propre vie, pour ramener à la reine les documents sensibles qui pourraient lui valoir le même sort que les brus du roi Philippe le Bel : l'enfermement dans un cachot jusqu'à ce que mort s'ensuive, pour adultère. Une seconde intrigue palpitante, oscillant parfaitement entre une parfaite maîtrise historique et le talentueux hommage à Arthur Conan Doyle et Alexandre Dumas.Dans Le Chien des Basqueville, le roman démarre au printemps 1422. Paris est alors aux mains des Anglais et la misère dans la capitale du royaume de France atteint des sommets, tandis que la campagne environnante est régulièrement ravagée par des bandes de routiers commandées par les Armagnacs. Signé deux ans plus tôt, le traité de Troyes a écarté de la succession le dernier fils de la reine Isabeau de Bavière et du roi Charles VI, Charles, retiré dans ses terres au sud de la Loire. C'est Henry V de Lancastre, le roi d'Angleterre et époux de Catherine de Valois, qui doit ceindre la couronne après la mort de Charles VI et, ainsi, unir les couronnes des lys et des léopards sur une même tête après la signature de l'honteux traité de Troyes. Or, justement, voilà que l'on fait chanter la reine de France ! Un mystérieux corbeau lui fait dire qu'il possède un coffre dans lequel est serrée une correspondante compromettante, signée de sa main. Pour la récupérer, elle doit payer une certaine somme, sinon, l'inconnu menace de tout révéler, ce qui pourrait avoir des conséquences particulièrement funestes pour le royaume de France ! Un coffre qui était jusqu'ici dissimulé...
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  • Souri7 10/06/2018
    Second volet des aventures d'Edward Holmes et Gower Watson.#9876;️ Après avoir mis fin au complot mis en place par Lady Mortimer (voir Une étude en écarlate), Edward Holmes est las de tout. Plus rien ne le passionne et les quelques enquêtes auxquelles il participe ne lui permettent pas de s'occuper l'esprit. Alors, lorsque la reine Isabeau requiert sa présence et lui donne comme mission d'accompagner Jeannette de la tour au château de Basqueville afin d'y retrouver un coffre et de le rapporter fermé, cela ne peut que titiller sa curiosité. Malheureusement, arrivé sur place, tout ne se passe pas comme prévu : le coffre est dérobé, la monarchie est menacée et la guerre risque de reprendre. #9888;️ATTENTION#9888;️ : Pour les fans de Sherlock Holmes et Watson de Conan Doyle, vous risquez d'être déçu. Certes, les personnages portent les noms des héros, les titres des oeuvres sont des clins d'oeil, mais l'auteur a pris une grande distance avec l'univers holmésien, d'une part par l'époque historique et les personnages. Par contre, c'est justement la présence de ces personnages de Holmes et Watson qui m'ont permis de découvrir une série plutôt sympathique... et sanglante. Pourquoi les cours d'histoire que nous avons tous connus étaient ennuyants, sans vie et insipides ???? Parce qu'en lisant ce roman, on ne peut qu'avoir envie d'en apprendre plus sur le conflit entre les Français et les Anglais à cette époque pour obtenir le trône de France. Jean d'Aillon sous couvert de nous raconter une histoire de complot visant à destituer Isabeau, reine de France nous entraîne dans L Histoire avec un grand H. Nous apprenons alors les raisons de cette guerre pour le trône puisque plusieurs prétendants (légitimes ou pas) pouvaient prétendre au titre. Sans parti pris, Jean d'Aillon nous brosse une histoire vivante de cette période en relatant les affaires de cours de l'époque, mais également les conditions de vie difficiles des Parisiens. le vocabulaire d'antan que cela soit les termes concernant l'habillement, les dialogues ou les courriers apportent sans conteste cette sensation de retour dans le passé. Une époque peu connue puisque l'auteur base son roman pendant la vingtaine d'années où Paris était anglaise et ose même placer les héros du côté des perdants puisque les Armagnacs gagneront ce conflit et les Anglais quitteront Paris. Côté enquête : Nos héros Edward Holmes et Gower Watson doivent récupérer des lettres rédigées par la reine Isabeau qui pourrait faire basculer l'histoire si elles tombaient en de mauvaises mains. Jean d'Aillon nous propose une enquête à péripéties ! À chaque fois que tout semble s'arranger, un pépin survient. Cela rend d'autant plus l'histoire attractive. Nos héros vont voir leur duo s'agrandir avec un nouvel enquêteur canin et deux enfants mendiants (Armagnacs donc ennemis du pouvoir en place). Côté structure du récit, j'apprécie que Jean d'Aillon se permette une grande liberté d'adaptation de l'oeuvre de Conan Doyle. Nous n'avons pas là un énième pastiche, mais une oeuvre inédite qui par moment – avec notamment la rythmique d'action - rappelle les Trois Mousquetaires ou à La Reine Margot d'Alexandre Dumas. Autre élément sympathique, c'est le rapprochement même éloigné avec l'univers holmésien. Ainsi les personnages portent les noms des héros de Conan Doyle et d'autres comme Lestrade y fait des apparitions. de même, les titres sont en lien avec les oeuvres de Conan Doyle, ce qui est plutôt un bel hommage. Jean d'Aillon prend même le partie de lier les deux romans puisque basant son histoire sur des faits historiques, la famille Basqueville est une branche de la famille Baskerville émigrée en Angleterre. Pour conclure : Pour les fans de Sherlock Holmes, vous risquez de trouver le livre très éloigné de l'univers de Conan Doyle. Par contre, joli clin d'oeil pour parler d'une époque méconnue et oubliée, mais très sanglante. 😱 Une fiction passionnante, basée sur des faits historiques avérés et relatés de manière passionnante. Que demandez de plus ???😍 Second volet des aventures d'Edward Holmes et Gower Watson.#9876;️ Après avoir mis fin au complot mis en place par Lady Mortimer (voir Une étude en écarlate), Edward Holmes est las de tout. Plus rien ne le passionne et les quelques enquêtes auxquelles il participe ne lui permettent pas de s'occuper l'esprit. Alors, lorsque la reine Isabeau requiert sa présence et lui donne comme mission d'accompagner Jeannette de la tour au château de Basqueville afin d'y retrouver un coffre et de le rapporter fermé, cela ne peut que titiller sa curiosité. Malheureusement, arrivé sur place, tout ne se passe pas comme prévu : le coffre est dérobé, la monarchie est menacée et la guerre risque de reprendre. #9888;️ATTENTION#9888;️ : Pour les fans de Sherlock Holmes et Watson de Conan Doyle, vous risquez d'être déçu. Certes, les personnages portent les noms des héros, les titres des oeuvres sont des clins d'oeil, mais l'auteur a pris une grande distance avec l'univers holmésien, d'une part par l'époque historique et les personnages. Par contre, c'est justement la présence de ces personnages de Holmes et Watson qui m'ont permis de découvrir une série plutôt sympathique... et sanglante. Pourquoi les cours d'histoire que nous avons tous connus étaient ennuyants, sans...
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  • kickaha 07/03/2017
    Encore un pastiche de Sherlock Holmes. Mais là ou cela devient fort , c'est que c'est en 1420 que cela ce passe. Sherlock devint Edward et James Watson se prénomme Gower. Et pas de Baker Street, c'est à Paris que cela ce passe. Bluffant, passionnant. L'auteur se sert de l'enquête pour nous faire découvrir l'histoire et la capitale au XV em siècle.
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