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Le Comte de Monte-Cristo
Catherine Eugène (préface de)
Date de parution : 27/03/2019
Éditeurs :
Pocket

Le Comte de Monte-Cristo

Catherine Eugène (préface de)
Date de parution : 27/03/2019

LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Naguère trahi par la bassesse et la lâcheté de ses amis, l'ex-capitaine Dantès poursuit son œuvre de vengeance et de haine. Mais Dantès existe-t-il toujours ?...

LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Naguère trahi par la bassesse et la lâcheté de ses amis, l'ex-capitaine Dantès poursuit son œuvre de vengeance et de haine. Mais Dantès existe-t-il toujours ? De sa rencontre miraculeuse au château d'If avec l'abbé Faria et son trésor est né le richissime, l'extravagant comte de...

LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Naguère trahi par la bassesse et la lâcheté de ses amis, l'ex-capitaine Dantès poursuit son œuvre de vengeance et de haine. Mais Dantès existe-t-il toujours ? De sa rencontre miraculeuse au château d'If avec l'abbé Faria et son trésor est né le richissime, l'extravagant comte de Monte-Cristo. Grâce à sa fortune et à son savoir, cet homme, ce surhomme, peut tout désormais. Il règne sur les êtres et les choses. Le monde est à ses pieds, mais il ne peut jouir de rien.
Dantès est mort, victime de la cruauté humaine, mais Monte-Cristo n'est qu'une ombre, une obsession, un fantôme, une incarnation de la loi du Talion, acharné à détruire ceux qui ont voulu sa perte.

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EAN : 9782266295994
Code sériel : 6217
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 768
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266295994
Code sériel : 6217
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 768
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Meli2 11/04/2024
    Ce livre grimpe directement en première position dans mon top 5 des livres préférés. Je l'ai lu avec un ami, chapitre par chapitre, on en débattait et on a tous les deux adoré. Le thème principal est la vengeance suite à une terrible injustice. On pense que c'est exagéré et que ça ne pourrait pas se passer aujourd'hui. Et pourtant cette histoire serait tirée d'une histoire vraie...! Dumas développe plein d'autres thèmes également: l'amour, la haine, la trahison, l'amitié sincère, l'argent, le pouvoir, la jalousie... La plume de l'auteur est agréable, fluide, intelligente. Je recommande ce livre à tous. Un classique de la littérature à lire absolument.
  • jage 10/04/2024
    Chef d’œuvre. Une écriture magnifique avec une plume inégalée, une fresque sur l’époque napoléonienne, un vrai bijou. Chaque chapitre semble être un acte d’une pièce de théâtre avec son décor, ses personnages et son intrigue. L’emprisonnement d’Edmond Dantes avec l’Abbe Faria, la renaissance en Comte de Monte-Cristo puis sa vengeance auprès de ceux l’ayant trahi. À lire absolument (ne pas se rebuter au nombre de pages ni à l’imparfait du subjonctif ;))
  • carorourou 10/04/2024
    J'ai lu pour la première fois les deux tomes du Comte de Monte-Cristo l'été de mes 15 ans, en 15 jours de temps. J'avais du mal à lâcher ce roman, alors même que nous étions en famille en vacances en Espagne et qu'il y avait autre chose à faire que lire... Heureusement, les siestes espagnoles me fournissaient le prétexte d'y retourner, toujours plus avide de connaître la suite, envahie de sentiments forts et fort divers. En effet, le grand Alexandre Dumas est le créateur des séries d'aujourd'hui, ayant publié la plupart de ses romans en feuilletons dans les journaux. Il y a tout, dans Le Comte de Monte-Cristo ! Grand amour, jalousie, injustice, trahison, évasion spectaculaire, aventures dangereuses, trésor, fausses identités, enquête, meurtres, amitié, famille je vous hais et secret de "famille", exotisme... ! Quelle plume ! Ce roman est resté depuis et restera parmi mes préférés, et j'en ai lu, des romans... !
  • REIVAX69 13/03/2024
    Voilà que je termine cette seconde partie d’une œuvre incontournable de la littérature française, d’une densité remarquable (1454 pages tout de même sur le T2). C’est donc avec une pointe de tristesse que je quitte le comte et les différents protagonistes de cette histoire, qui faisaient partie de mon quotidien ces derniers temps. Tout s’imbrique à merveille dans ce roman et Alexandre Dumas ne laisse rien filer au hasard, sa maîtrise du récit est totale de bout en bout. Chaque rebondissement est un nouveau fil conducteur vers la vengeance finale de notre héros. Les personnages sont d’une épaisseur de la taille du livre, même les personnages secondaires sont décrits impeccablement. Fermez les yeux et la magie opère. Quant au héros, on touche ici quasiment à la perfection. Ses failles et ses faiblesses (rares moments) nous donnent encore plus envie de l’aimer. Il y a des livres qui vous marquent à jamais, celui ci, me concernant, appartient à cette catégorie si spéciale.
  • sireraromeo 21/02/2024
    J'ai lu ce livre de Dumas en faisant une pause avec L'Homme qui Rit de Hugo et après avoir lu Notre-Dame de Paris. J'ai essayé de comparer leurs deux styles. Hugo est beaucoup plus dans la recherche de la phrase d'esprit étirée, recherchée, souvent engagée d'ailleurs. Dumas le fait aussi à quelques endroits, mais le narrateur est de manière générale beaucoup moins présent que chez Hugo (chez qui il est même quelque fois presque imposant). Ce livre est génial pour beaucoup de points, mais celui que je souhaite mettre en avant est que tout va vite dans l'intrigue. Cela fait du bien dès fois, loin justement des digressions chez Flaubert, Hugo et Balzac qui certes sont souvent belles et intéressantes, mais qui, je trouve, retardent voire empêchent le romanesque de vraiment se dérouler. Chez Dumas, le romanesque est au galop. Dumas reconnaît lui-même "la rapidité du récit" (Chapitre LII, p.565, Folio Classique en un seul volume). Je ne veux pas approfondir plus sur l'intrigue. Elle m'a fait vibrer (au point même où je trouve ça injuste que c'est Danglars qui ait pris le moins cher alors que c'était clairement lui l'instigateur principal du complot contre Edmond. A l'opposé, Villefort qui perd absolument tout, n'en voulait pas personnellement a Edmond, il s'est juste servi de lui pour faire avancer sa carrière (ce qui est condamnable aussi bien sûr). J'ai lu ce livre de Dumas en faisant une pause avec L'Homme qui Rit de Hugo et après avoir lu Notre-Dame de Paris. J'ai essayé de comparer leurs deux styles. Hugo est beaucoup plus dans la recherche de la phrase d'esprit étirée, recherchée, souvent engagée d'ailleurs. Dumas le fait aussi à quelques endroits, mais le narrateur est de manière générale beaucoup moins présent que chez Hugo (chez qui il est même quelque fois presque imposant). Ce livre est génial pour beaucoup de points, mais celui que je souhaite mettre en avant est que tout va vite dans l'intrigue. Cela fait du bien dès fois, loin justement des digressions chez Flaubert, Hugo et Balzac qui certes sont souvent belles et intéressantes, mais qui, je trouve, retardent voire empêchent le romanesque de vraiment se dérouler. Chez Dumas, le romanesque est au galop. Dumas reconnaît lui-même "la rapidité du récit" (Chapitre LII, p.565, Folio Classique en un seul volume). Je ne veux pas approfondir plus sur l'intrigue. Elle m'a fait vibrer (au point même où je trouve ça injuste que c'est Danglars qui ait pris le moins cher alors que c'était clairement lui l'instigateur principal du complot contre Edmond. A l'opposé, Villefort qui perd absolument...
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