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Nouveauté
Le Cuisinier de l'Alcyon
Date de parution : 21/09/2023
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

Le Cuisinier de l'Alcyon

Date de parution : 21/09/2023
Le commissaire Montalbano reprend du service.
Tandis que sur la terre ferme, Montalbano est aux prises avec la révolte d’ouvriers dont le chantier naval ferme pour cause d’incurie d’un jeune héritier jouisseur, au large de Vigàta... Tandis que sur la terre ferme, Montalbano est aux prises avec la révolte d’ouvriers dont le chantier naval ferme pour cause d’incurie d’un jeune héritier jouisseur, au large de Vigàta croise une splendide goélette. Y embarquent des femmes magnifiques dont le commissaire aura l’occasion de faire la connaissance, et aussi... Tandis que sur la terre ferme, Montalbano est aux prises avec la révolte d’ouvriers dont le chantier naval ferme pour cause d’incurie d’un jeune héritier jouisseur, au large de Vigàta croise une splendide goélette. Y embarquent des femmes magnifiques dont le commissaire aura l’occasion de faire la connaissance, et aussi de plus inquiétants personnages. Mais le commissaire commence à peine à enquêter sur les activités du voilier qu’il est démis de ses fonctions et traîné dans la boue. Surgit un étrange et sympathique agent du FBI sicilo-américain. Avec son aide, et celle de son fidèle Fazio ainsi que de l’inénarrable Catarella, le commissaire démis devra agir sous couverture pour réussir un des plus gros coups de sa carrière aux dépens de trafiquants internationaux. Pour cela, il devra manier la mitraillette, et également affronter un défi inédit. Familier des bonnes tables, mais pas des cuisines, il lui faudra se mettre aux fourneaux.


 
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EAN : 9782266337816
Code sériel : 19180
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266337816
Code sériel : 19180
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« La langue de Camilleri est vivante et rythmée comme une partition musicale. » Adeline Fleury, Le Parisien Magazine
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Baluzo 25/05/2023
    Voila donc la dernière histoire de Montalbano écrite par Camillieri....c'est du même jus que les autres romans , la même tonalité....le même plaisir de retrouver ces personnages ....Cette fois ci , double innovation pour autant car pour la premiere fois ( me semble t il) Montalbano est confronté au FBI et en plus il se déguise ( ou tout au moins , on le travestit). A lire et relire puisqu'il ne faut évidemment rien attendre de nouveau....
  • Jangelis 04/02/2023
    Quel bonheur de retrouver encore une fois le commissaire Montalbano. D'autant plus que j'avais cru, en lisant L'autre bout du fil que ce serait le dernier. Après une longue préface tellement émouvante du traducteur, nous retrouvons notre commissaire préféré aux prises avec plusieurs affaires, qui finiront sans doute par se rejoindre. Cette fois encore, ce sont des problèmes très actuels auxquels il est confronté. Sur terre, fermeture d'usine, licenciements et drame. Sur mer, de drôles de trafics. Non seulement Salvo va devoir quitter la terre ferme, son bureau, sa plage, son restaurant préféré et ses habitudes, mais il va même se retrouver cuisinier !! Alors que tout ce qu'il connait de la cuisine, c'est le goût des bons plats. D'ailleurs ce volume nous apparait un peu différent des autres, plus d'action, un côté thriller, des morts nombreux. L'auteur s'en explique, dans la postface. Mais j'ai eu autant de plaisir à retrouver Montalbano, son équipe et son environnement. Les personnages secondaires nous sont devenus aussi familiers, et les paysages merveilleux de son coin de Sicile nous font voyager. Je voudrais une fois encore remercier le traducteur, qui fait résonner en moi ces superbes phrases ! En refermant un roman de Camilleri, j'aurais presque envie de parler comme... Quel bonheur de retrouver encore une fois le commissaire Montalbano. D'autant plus que j'avais cru, en lisant L'autre bout du fil que ce serait le dernier. Après une longue préface tellement émouvante du traducteur, nous retrouvons notre commissaire préféré aux prises avec plusieurs affaires, qui finiront sans doute par se rejoindre. Cette fois encore, ce sont des problèmes très actuels auxquels il est confronté. Sur terre, fermeture d'usine, licenciements et drame. Sur mer, de drôles de trafics. Non seulement Salvo va devoir quitter la terre ferme, son bureau, sa plage, son restaurant préféré et ses habitudes, mais il va même se retrouver cuisinier !! Alors que tout ce qu'il connait de la cuisine, c'est le goût des bons plats. D'ailleurs ce volume nous apparait un peu différent des autres, plus d'action, un côté thriller, des morts nombreux. L'auteur s'en explique, dans la postface. Mais j'ai eu autant de plaisir à retrouver Montalbano, son équipe et son environnement. Les personnages secondaires nous sont devenus aussi familiers, et les paysages merveilleux de son coin de Sicile nous font voyager. Je voudrais une fois encore remercier le traducteur, qui fait résonner en moi ces superbes phrases ! En refermant un roman de Camilleri, j'aurais presque envie de parler comme lui !!
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  • Cath_perrin 19/12/2022
    Si, comme moi, vous êtes un fan du commissaire Montalbano et de cette langue si particulière, magnifiquement traduite, ne passez pas à côté de cet opus, car il n’en reste plus beaucoup à publier depuis que l’auteur nous a quittés (en 2019). En revanche, si vous n’en avez jamais lu, ce n’est pas par celui-là qu’il faut commencer, l’intrigue n’est pas représentative de la série. Justement, il ne se passe pas grand-chose que Montalbano puisse se mettre sous la dent, du moins au début. Une jeune fille aux allures de mannequin se fait voler son sac, une grève dégénère chez un industriel, l’antipathique Trincanato, et une mystérieuse goélette s’approvisionne à Vigàta. C’est sans doute pour ça que Montalbano ne s’émeut pas plus que ça quand le service RH le contraint à des vacances forcées à cause de ses nombreux jours de congés en retard. Il a bien tort, parce que le Questeur en profite pour mettre son nez dans l’organisation du commissariat, et pas qu’un peu. Pendant les trois quarts du livre, le rythme du livre est assez lent, savourez la langue, admirablement traduite par Serge Quadruppani. Une fois que le commissaire aura compris ce qui se passe, les choses vont se précipiter,... Si, comme moi, vous êtes un fan du commissaire Montalbano et de cette langue si particulière, magnifiquement traduite, ne passez pas à côté de cet opus, car il n’en reste plus beaucoup à publier depuis que l’auteur nous a quittés (en 2019). En revanche, si vous n’en avez jamais lu, ce n’est pas par celui-là qu’il faut commencer, l’intrigue n’est pas représentative de la série. Justement, il ne se passe pas grand-chose que Montalbano puisse se mettre sous la dent, du moins au début. Une jeune fille aux allures de mannequin se fait voler son sac, une grève dégénère chez un industriel, l’antipathique Trincanato, et une mystérieuse goélette s’approvisionne à Vigàta. C’est sans doute pour ça que Montalbano ne s’émeut pas plus que ça quand le service RH le contraint à des vacances forcées à cause de ses nombreux jours de congés en retard. Il a bien tort, parce que le Questeur en profite pour mettre son nez dans l’organisation du commissariat, et pas qu’un peu. Pendant les trois quarts du livre, le rythme du livre est assez lent, savourez la langue, admirablement traduite par Serge Quadruppani. Une fois que le commissaire aura compris ce qui se passe, les choses vont se précipiter, genre film américain (ce n’est pas tout à fait par hasard). Vous risquez de ne plus reconnaître votre commissaire sicilien préféré. Bref, le parler sicilien est là, Montalbano est là, sans oublier Catarella et Fazio, Livia est aussi explosive que dans les autres romans, mais il y a un petit quelque chose d’inhabituel, de pas très crédible dans ce dernier opus. Une scène éprouvante a lieu sans que j’aie le souvenir d’en avoir lu de tels dans cette série. Mais les explications de cette différence vous seront données par l’auteur lui-même.
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  • Sharon 29/11/2022
    Je commencerai par la fin, une fois n’est pas coutume : si quelqu’un se plaint de certains développements de l’intrigue en se disant « ce n’est pas possible », je les renvoie à la postface signé Andrea Camilleri dans lequel il explique son choix de construction d’intrigue. Maintenant, de mon côté, je serai claire : j’aime les romans d’Andrea Camilleri, j’aime Salvo Montalbano, et peu importe le sujet de son enquête, je veux lire tous les romans qui le mettent en scène. Montalbano doit faire avec – avec des ouvriers en grève parce que leur nouveau patron préfère ses intérêts à ceux de son entreprise. Il n’est malheureusement pas le seul, totalement déconnecté de la réalité, sauf la sienne, celle qui lui permet d’avoir la vie la plus agréable possible. Il se questionne cependant, sur certains faits, la présence d’un bateau bien tapageur. Seulement voilà : Montalbano est victime d’une campagne de calomnie, on cherche à le mettre prématurément à la retraite, il est même remplacé dans son propre commissariat. Il ne prend pas le temps de se lamenter, ce n’est pas son genre, il prend cependant le temps de faire semblant de se lamenter. Pourquoi ? Parce qu’il se retrouve dans... Je commencerai par la fin, une fois n’est pas coutume : si quelqu’un se plaint de certains développements de l’intrigue en se disant « ce n’est pas possible », je les renvoie à la postface signé Andrea Camilleri dans lequel il explique son choix de construction d’intrigue. Maintenant, de mon côté, je serai claire : j’aime les romans d’Andrea Camilleri, j’aime Salvo Montalbano, et peu importe le sujet de son enquête, je veux lire tous les romans qui le mettent en scène. Montalbano doit faire avec – avec des ouvriers en grève parce que leur nouveau patron préfère ses intérêts à ceux de son entreprise. Il n’est malheureusement pas le seul, totalement déconnecté de la réalité, sauf la sienne, celle qui lui permet d’avoir la vie la plus agréable possible. Il se questionne cependant, sur certains faits, la présence d’un bateau bien tapageur. Seulement voilà : Montalbano est victime d’une campagne de calomnie, on cherche à le mettre prématurément à la retraite, il est même remplacé dans son propre commissariat. Il ne prend pas le temps de se lamenter, ce n’est pas son genre, il prend cependant le temps de faire semblant de se lamenter. Pourquoi ? Parce qu’il se retrouve dans une enquête plus complexe qu’il n’y parait, parce que, plutôt que de parler de cuisinier de l’Alcyon, ce roman m’évoque plutôt une partie d’échec dans lequel Montalbano essaie de ne pas être qu’un pion, mais d’être plus que cela : pas facile quand nombreux sont ceux qui vous manipulent ou qui essaient de le faire. Il est aussi des personnes qui pensent être chevronnées, et qui se font avoir, eh bien comme des bleus. Ce sont des choses qui arrivent sur la mer Méditerranée. Oui, c’est une enquête de Montalbano pas tout à fait comme les autres, et cela empêche-t-il le plaisir de lecture ? Non !
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  • Hornita 25/11/2022
    Un Montalbano thriller typique; Il y a quelques années, j'avais déjà lu de nombreux romans policiers de Montalbano et j'étais très heureux qu'il y en ait encore que je ne connaissais pas. Au début, le traducteur a donné quelques indications sur sa traduction de l'italien sicilien typique de Camilleri et sur la manière dont il a essayé de transmettre ce flair particulier en français. Il a fait du bon travail, même s'il a fallu un peu de temps pour s'y habituer au début. Cette affaire a une structure inhabituelle, mais est résolue par Montalbano de sa manière charmante habituelle et est logique et compréhensible en soi. Le sens de justice typique du commissaire est repris par certaines questions socialement critiques et locales. Le style d'écriture est clair et ne diffère pas des autres livres, bien que l'histoire d'origine soit différente selon les indices du livre. J'ai beaucoup aimé le livre car il reflète le charme intemporel et très particulier de cette série policière. D`ailleurs on peut lire ce cas et tous les autres sans avoir à connaître les précédents.
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