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Le signe des trois
Collection : Polar
Date de parution : 02/09/2021
Éditeurs :
10/18

Le signe des trois

Collection : Polar
Date de parution : 02/09/2021
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier.
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier. Hélas, Azincourt devait briser ce rêve. L’un y fut égorgé avec d’autres prisonniers... Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier. Hélas, Azincourt devait briser ce rêve. L’un y fut égorgé avec d’autres prisonniers sur ordre d’Henry V, et les deux autres partirent comme prisonniers en Angleterre. Leur rançon ne fut jamais payée.
 
Or, un...
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier. Hélas, Azincourt devait briser ce rêve. L’un y fut égorgé avec d’autres prisonniers sur ordre d’Henry V, et les deux autres partirent comme prisonniers en Angleterre. Leur rançon ne fut jamais payée.
 
Or, un beau jour du joli mois de mai de l’an de grâce 1425, dix ans après Azincourt, une noble dame, épouse du bras droit du président du parlement Philippe de Morvilliers, fervent soutien de la cause anglaise à Paris, vint demander au clerc Edward Holmes de rechercher un chanteur de rue qu’elle a aperçu et qui portait sur sa cotte une fleur de mouron rouge.
 
Or cette fleur, Gower Watson l’avait vue sur les cottes d’armes de trois écuyers prisonniers après la bataille d’Azincourt. Des damoiseaux que le duc de Gloucester lui avait ordonné de tuer comme la plupart des prisonniers de la bataille. Ce qu’il avait refusé.
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EAN : 9782264078285
Code sériel : 5691
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 600
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264078285
Code sériel : 5691
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 600
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Davalian 05/08/2023
    A ce jour, Le signe des trois est le pénultième récit des chroniques d'Edward Holmes et de Gower Watson se déroulant au cours de la Guerre de cent ans. Le roman en annonce d'ailleurs un nouveau dont le titre devrait ravir les adeptes des histoires non racontées du canon holmésien. Ce roman est conséquent : 600 pages au format poche. Il faudra donc accepter d'y passer un temps certain. Il faudra également se révéler patient pour le savourer à sa juste saveur. Par ailleurs, comme la plupart des titres précédents, il s'adresse davantage aux amateurs de romans historiques qu'aux fans du grand détective. Ces précautions posées, l'ouvrage s'offre aux lecteurs... d'une manière assez surprenante. Les deux cent premières pages permettront de suivre un chevalier, de sa formation à ses premières batailles, ce qui amène le récit par Azincourt et Baugé. Au cours de cette période, nous allons approcher des très loin Watson et Holmes alors qu'il ne se connaissent pas encore. Mais là n'est pas le plus important. L'attention sera prise par l'approche presque sociologique de la vie d'un chevalier...au destin hors du commun. Sans en révéler plus que nécessaire, l'auteur s'intéressera ici à un processus bien particulier de la vie du chevalier. Ces passages, bien connus des historiens, le sont peut-être moins du grand public. Les quatre cents pages suivantes seront consacrées au récit lui-même. Il s'appuie sur ce qui c'est passé, laissant ainsi le lecteur dans une situation omnisciente. Pendant ce temps, Holmes vaque à ses occupations qui vont, d'enquêtes en découvertes se rapprocher du mystérieux chevalier dont il va être question. Le tout est agréable à lire, bercé par un style efficace... Mais hélas s'il est agréable, l'histoire est aussi longue et manque d'imprévue, donnant l'impression de suivre des rails et une logique qui ne sort guère de sa zone de confort. Le dénouement ne sera pas vraiment suprenant et c'est bien dommage, car l'auteur a fait de son mieux pour préserver le secret... mais le lecteur chevronné aura vite fait de savoir de quoi il en retourne passé les deux tiers de l'ouvrage. Un roman agréable en somme qui s'adresse à un public bien rodé à ses habitudes et qui risque de décourager les nouveaux venus.A ce jour, Le signe des trois est le pénultième récit des chroniques d'Edward Holmes et de Gower Watson se déroulant au cours de la Guerre de cent ans. Le roman en annonce d'ailleurs un nouveau dont le titre devrait ravir les adeptes des histoires non racontées du canon holmésien. Ce roman est conséquent : 600 pages au format poche. Il faudra donc accepter d'y passer un temps certain. Il faudra également se révéler patient pour le savourer à sa juste saveur. Par ailleurs, comme la plupart des titres précédents, il s'adresse davantage aux amateurs de romans historiques qu'aux fans du grand détective. Ces précautions posées, l'ouvrage s'offre aux lecteurs... d'une manière assez surprenante. Les deux cent premières pages permettront de suivre un chevalier, de sa formation à ses premières batailles, ce qui amène le récit par Azincourt et Baugé. Au cours de cette période, nous allons approcher des très loin Watson et Holmes alors qu'il ne se connaissent pas encore. Mais là n'est pas le plus important. L'attention sera prise par l'approche presque sociologique de la vie d'un chevalier...au destin hors du commun. Sans en révéler plus que nécessaire, l'auteur s'intéressera ici à un processus bien particulier de la vie du chevalier....
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  • maliroland 22/09/2021
    Pour ceux qui ne connaissent pas , Jean D'aillon est un auteur prolixe de romans policiers historiques avec différents personnages principaux selon les époques, Fronsac sous Louis XIII, le chevalier Guilhem sous Richard Coeur de Lion, Jean sans Terre, Phillipe Auguste, Hauteville sous Henri IV et ci présentement, Holmes et Watson sous Charles VI, Isabeau de Bavière, et le duc de Bedford régent anglais en France temporairement conquise. Ici et bien sûr avec Holmes et Watson, D'Aillon s'amuse mais avec sérieux. Le signe des trois est donc un énième avatar de ce duo talentueux , et de cet auteur non moins talentueux dont j'ai apprécié la plupart des livres si ce n'est tous jusqu'à présent. Celui ci ne déroge pas à cette règle qui n'en est pas une mais avec quelques bémols. L'histoire. Trois jeunots font leur apprentissage de chevalier. Une amitié symbolisée par une fleur mouron rouge les unit. Azincourt, célèbre pâtée française pour cause d'incompétence, l'un est laissé pour mort, les deux autres emmenés en Angleterre dans l'attente d'une rançon. L'un d'entre eux réapparait dix ans plus tard et croise sur son chemin l'ayant conduit à Paris Holmes et Watson en pleine enquête. Et tout va s'entremêler, enquête des uns, mission de l'autre, retour de fantômes du passé. A vous de lire et de vous y retrouver. Bémols. Azincourt, les trois mourons et l'histoire du rescapé, passé le chauvinisme qui en prend un coup, c'est un peu long, la moitié du livre avant que Holmes et Watson n'apparaissent. Intrigue un peu confuse car elle se disperse en trois histoires si ce n'est plus et qu'un lien un peu ténu relie. De ce fait, malgré l'épaisseur du livre certains épisodes sont traités de façon lapidaire, en particulier la fin, un peu courte. Le signe des Trois, beau livre, plaisant, vous ne le quitterez pas sans rien avoir appris davantage sur notre belle Histoire, quelques bémols qui s'effacent assez vite devant le plaisir d'avoir retrouvé Jean D'Aillon et ses acolytes.Pour ceux qui ne connaissent pas , Jean D'aillon est un auteur prolixe de romans policiers historiques avec différents personnages principaux selon les époques, Fronsac sous Louis XIII, le chevalier Guilhem sous Richard Coeur de Lion, Jean sans Terre, Phillipe Auguste, Hauteville sous Henri IV et ci présentement, Holmes et Watson sous Charles VI, Isabeau de Bavière, et le duc de Bedford régent anglais en France temporairement conquise. Ici et bien sûr avec Holmes et Watson, D'Aillon s'amuse mais avec sérieux. Le signe des trois est donc un énième avatar de ce duo talentueux , et de cet auteur non moins talentueux dont j'ai apprécié la plupart des livres si ce n'est tous jusqu'à présent. Celui ci ne déroge pas à cette règle qui n'en est pas une mais avec quelques bémols. L'histoire. Trois jeunots font leur apprentissage de chevalier. Une amitié symbolisée par une fleur mouron rouge les unit. Azincourt, célèbre pâtée française pour cause d'incompétence, l'un est laissé pour mort, les deux autres emmenés en Angleterre dans l'attente d'une rançon. L'un d'entre eux réapparait dix ans plus tard et croise sur son chemin l'ayant conduit à Paris Holmes et Watson en pleine enquête. Et tout va s'entremêler, enquête des uns,...
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  • Papyriri 21/09/2021
    Conan Doyle, (en réalité) Watson , a écrit sur les enquêtes de Sherlock Holmes 56 nouvelles et 4 romans ces derniers étant ,et de loin , moins alertes et vifs ce sont des récits bien fin XIX° allant chercher la genèse des affaires traitées loin dans le temps et l 'espace ( voir par exemple , une Etude en Rouge et le Signe des 4 ) , il faut bien reconnaître que dés que l on s'éloigne de Baker Street le récit devient languissant . Nous sommes là en plein style D'Aillon ,impeccable au niveau historique , car nous avons droit à l avant Azincourt , à pendant Azincourt , à l après Azincourt, aux conséquences de la défaite d'Azincourt sur à peu près 200 pages . Ensuite cela s'anime un peu avec l entrée en scène de nos deux clones de S.H et J. W médiévaux Edward et Glover , l auteur pris d'une étonnante envie d'action multiplie les récits de violences plus ou moins gratuites mais sanglantes très étonnantes . Mais restez calmes vous ne risquez pas de crise de tachycardie , ni pour ceux fragile du coeur de fracture du myocarde vous lisez du d'Aillon tout de même ! Alors oui cette histoire de vengeance ,même si la fin est un peu bâclée et vite close, après plus de 580 pages , est sans doute plus agitée et vive que les précédentes ....Ou alors je m' habitue .....?Conan Doyle, (en réalité) Watson , a écrit sur les enquêtes de Sherlock Holmes 56 nouvelles et 4 romans ces derniers étant ,et de loin , moins alertes et vifs ce sont des récits bien fin XIX° allant chercher la genèse des affaires traitées loin dans le temps et l 'espace ( voir par exemple , une Etude en Rouge et le Signe des 4 ) , il faut bien reconnaître que dés que l on s'éloigne de Baker Street le récit devient languissant . Nous sommes là en plein style D'Aillon ,impeccable au niveau historique , car nous avons droit à l avant Azincourt , à pendant Azincourt , à l après Azincourt, aux conséquences de la défaite d'Azincourt sur à peu près 200 pages . Ensuite cela s'anime un peu avec l entrée en scène de nos deux clones de S.H et J. W médiévaux Edward et Glover , l auteur pris d'une étonnante envie d'action multiplie les récits de violences plus ou moins gratuites mais sanglantes très étonnantes . Mais restez calmes vous ne risquez pas de crise de tachycardie , ni pour ceux fragile du coeur de fracture du...
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