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Les Testaments
Michèle Albaret-Maatsch (traduit par)
Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 12/05/2021
Éditeurs :
Robert Laffont

Les Testaments

Michèle Albaret-Maatsch (traduit par)
Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 12/05/2021

La suite de La Servante écarlate.

Quinze ans après les événements racontés dans La Servante écarlate, roman dystopique désormais culte, le régime théocratique de la République de Galaad a toujours la mainmise sur le pouvoir, mais...

Quinze ans après les événements racontés dans La Servante écarlate, roman dystopique désormais culte, le régime théocratique de la République de Galaad a toujours la mainmise sur le pouvoir, mais certains signes ne trompent pas : il est en train de pourrir de l’intérieur. À ce moment crucial, les vies...

Quinze ans après les événements racontés dans La Servante écarlate, roman dystopique désormais culte, le régime théocratique de la République de Galaad a toujours la mainmise sur le pouvoir, mais certains signes ne trompent pas : il est en train de pourrir de l’intérieur. À ce moment crucial, les vies de trois femmes radicalement différentes convergent, avec des conséquences potentiellement explosives.
Avec Les Testaments, Margaret Atwood poursuit l’histoire de Galaad dans un savant mélange de suspense, de vivacité et de virtuosité.

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EAN : 9782221254547
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 122 x 182 mm
EAN : 9782221254547
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 122 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • christinebrignon 29/01/2024
    Les Testaments Margaret Atwood Traduit de l'anglais (Canada) par Michèle Albaret-Maatsch Pavillons poche (Robert Laffont), 2019 C'est dans la merveilleuse cave à livres de mon village, toujours renouvelée, que je t'ai trouvé en venant déposer d'autres livres. Quelle belle surprise ! J'ai ainsi appris que Margaret Atwood avait écrit une suite – qui n'en est pas vraiment une – à son chef-d'oeuvre La Servante écarlate, presque quarante années plus tard et deux ans après la série télévisée du même nom. Les Testaments n'ont rien à voir avec cette série. Ils regroupent les témoignages alternés de trois femmes dont on va découvrir peu à peu qui elles sont. Ces écrits retracent des faits qui se déroulent quinze années après que Defred, la servante héroïne du premier roman, a été probablement sortie des frontières du régime théocratique de Galaad (ou Gilead) grâce à Nick, son amant secret et le père du bébé qu'elle croit sentir dans son ventre. Nick est en effet un agent double : Gardien et Oeil à Galaad, mais aussi en relation avec le réseau de résistance Mayday. La fin ouverte de la Servante écarlate laisse imaginer plusieurs suites possibles. On retrouve Tante Lydia, l'une des quatre fondatrices d'Ardua Hall qui régente les femmes à Galaad, conjointement au régime politique administré par les Commandants. Tante Lydia, ancienne juge aux Affaires familiales, s'est servie de son expérience mais aussi de son intelligence et de sa ruse pour supplanter ses trois rivales en s'alliant avec le Commandant Judd à qui cette entente a également donné plus de pouvoir. de plus, elle a installé des caméras de surveillance partout et sait tout sur tout le monde, y-compris les secrets les plus lourds. le personnage de Tante Lydia qui apparaissait très noir dans le premier roman va ici se nuancer considérablement. On apprend ainsi comment elle est passée de juge à bourreau et pourquoi elle en arrive à orchestrer la chute du régime qui l'a rendue si puissante, grâce à l'aide de deux jeunes femmes, l'une ayant grandi à Galaad et l'autre au Canada. Je me rappelle bien la première fois où j'ai lu La Servante écarlate. le style de Margaret Atwood m'a tout d'abord rendu la progression dans ce roman complétement déstabilisante. Je ne savais vraiment plus où j'étais. C'était voulu bien sûr, quelle maîtrise pour distiller le mystère ! Rien de tel ici car l'univers de Galaad nous est déjà familier. Si la plume de Margareth Atwood est toujours aussi magistrale, j'avoue que je n'ai pas apprécié que la traductrice se soit permis de transformer les Marthas en Marthes, ni surtout Gilead en Galaad – évoquant ainsi de manière inappropriée les légendes arthuriennes. On lit Les Testaments comme un polar, mais quel polar ! J'ai dévoré ses 650 pages en trois jours. Ce livre a obtenu le Man Booker Prize 2019, prestigieuse récompense littéraire britannique. Mais bien au-delà, Margaret Atwood est une auteure engagée et visionnaire, féministe, écologiste… comme en témoigne son oeuvre. En 2017, elle a été pressentie pour le prix Nobel de littérature, finalement attribué à Kazuo Ishiguro. Pour ma part, j'ai bien l'intention de tout lire d'elle, comme je le fais en ce moment pour Ursula K. Le Guin. En effet, après avoir passé une grande partie de ma vie à lire en majorité des auteurs masculins – parce qu'ils étaient systématiquement mis en avant – j'ai un certain retard à rattraper du côté des femmes, qui se sont révélées¸ se révèlent, tout aussi talentueuses. Les Testaments Margaret Atwood Traduit de l'anglais (Canada) par Michèle Albaret-Maatsch Pavillons poche (Robert Laffont), 2019 C'est dans la merveilleuse cave à livres de mon village, toujours renouvelée, que je t'ai trouvé en venant déposer d'autres livres. Quelle belle surprise ! J'ai ainsi appris que Margaret Atwood avait écrit une suite – qui n'en est pas vraiment une – à son chef-d'oeuvre La Servante écarlate, presque quarante années plus tard et deux ans après la série télévisée du même nom. Les Testaments n'ont rien à voir avec cette série. Ils regroupent les témoignages alternés de trois femmes dont on va découvrir peu à peu qui elles sont. Ces écrits retracent des faits qui se déroulent quinze années après que Defred, la servante héroïne du premier roman, a été probablement sortie des frontières du régime théocratique de Galaad (ou Gilead) grâce à Nick, son amant secret et le père du bébé qu'elle croit sentir dans son ventre. Nick est en effet un agent double : Gardien et Oeil à Galaad, mais aussi en relation avec le réseau de résistance Mayday. La fin ouverte de la Servante écarlate laisse imaginer plusieurs suites possibles. On retrouve Tante Lydia, l'une des quatre fondatrices d'Ardua Hall qui régente les femmes à...
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  • pinky95 22/01/2024
    J'ai pris un grand plaisir à retrouver l'univers de la Servante Ecarlate. Dans celui-ci, on survole la société Galaadiène à travers le regard de trois autres personnages, une tante, une jeune fille élevée dans la famille d'un Commandeur, et une autre jeune fille élevée au Canada dans une société libérales. La noirceur de cette société est toujours aussi prégnante. En revanche j'ai été déçue par l'intrigue elle-même, et les ressorts que j'ai trouvé par moments assez faciles.
  • Carlainesrose 14/01/2024
    - LES TESTAMENTS- Après la servante écarlate, je me devais de lire sa suite. Elle très différente, avec plusieurs points de vues très différents et une narrative différente. Un livre qui explique un peu lieux le monde de Galaad avec plusieurs rôles féminin comme les tantes, une jeune fille près a devenir épouse et une personne extérieur qui se convertie aux monde de Galaad. De ces trois points de vue, nous allons voir comment ils vont bouleverser cette dictatures. Il y a des référence toujours du monde américain dans ce livre, le fil narrative est différent car il est écrit sous une forme in medias res ou encore sous une forme de testament ou un des personnages principales s’adresse aux lecteurs. La plume est toujours aussi fluide et simple, ce que j'ai aimais, c'est qu'on pouvait voir que chaque personnages avait chacun sa propre voix. Un roman qui m'a transporté dans ce monde dystopique, je ne me suis pas ennuyer pendant une minute. Je le conseille vivement ! Carlaines
  • Lesmotsdelivrent 26/12/2023
    Revenir à Galaad après la gifle que j'ai prise en lisant La Servante Écarlate ? Challenge accepted ! Je dois dire que je m'attendais pas vraiment à ce que l'autrice nous propose ces trois points de vue narratifs. Je pensais retrouver Offred dans ses aventures contre cette république qui n'en a que le nom. Mais je dois dire qu'il était vraiment intéressant d'être projeté 15 ans après les événements de la Servante Écarlate. Et de se rendre compte à quel point Galaad et ses principes reposent sur... rien du tout, si ce n'est des préceptes religieux liberticides qui n'ont pour objectif que de soumettre les femmes au bon vouloir d'hommes manipulateurs et menteurs. Maintenir les femmes dans l'ignorance et la soumission, ça me rappelle les mots tirés d'une autre dystopie "la liberté, c'est l'esclavage, l'ignorance, c'est la force". Ce qui m'a néanmoins fait très plaisir, c'est de voir ce "pays" pourrir de l'intérieur. On alterne donc dans ce récit entre le point de vue d'une jeune fille qui a grandi libre, en dehors des murs de Galaad, une autre qui est fille de Commandeur et ne connaît rien d'autre que l'interprétation de la religion qu'on lui sert. Et enfin, ma favorite, Tante Lydia. Je n'aurais pas cru le dire avant, mais elle est si brave et intelligente, son rôle se révèle au grand jour dans Les Testaments et j'ai découvert avec stupéfaction qu'elle n'était pas le monstre froid et sans cœur dépeint dans La Servante Écarlate. C'est une vraie battante, un personnage avec une vraie profondeur. Et rien que pour ça, je mets 5 étoiles. Mis à part ça, j'ai trouvé que les récits s'entrecroisaient parfaitement bien, j'ai découvert un peu plus des horreurs qui surviennent à Galaad et j'ai souvent ragé devant mon livre "mais c'est pas vrai ! Quel c*nnard !". Ce qui me fait encore plus rager, c'est que certaines choses pourraient bien arriver dans la réalité. C'est un rappel glaçant mais nécessaire que nos droits peuvent nous être supprimés en un claquement de doigts, comme le disait une grande dame : "N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant" (non, ce n'est pas Tante Lydia ^^).Revenir à Galaad après la gifle que j'ai prise en lisant La Servante Écarlate ? Challenge accepted ! Je dois dire que je m'attendais pas vraiment à ce que l'autrice nous propose ces trois points de vue narratifs. Je pensais retrouver Offred dans ses aventures contre cette république qui n'en a que le nom. Mais je dois dire qu'il était vraiment intéressant d'être projeté 15 ans après les événements de la Servante Écarlate. Et de se rendre compte à quel point Galaad et ses principes reposent sur... rien du tout, si ce n'est des préceptes religieux liberticides qui n'ont pour objectif que de soumettre les femmes au bon vouloir d'hommes manipulateurs et menteurs. Maintenir les femmes dans l'ignorance et la soumission, ça me rappelle les mots tirés d'une autre dystopie "la liberté, c'est l'esclavage, l'ignorance, c'est la force". Ce qui m'a néanmoins fait très plaisir, c'est de voir ce "pays" pourrir de l'intérieur. On alterne donc dans ce récit entre le point de vue d'une jeune fille qui a grandi libre, en dehors des murs de Galaad, une autre qui est fille de Commandeur et ne connaît rien d'autre que l'interprétation de la religion qu'on lui sert. Et enfin, ma favorite, Tante...
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  • Insomnya 05/12/2023
    La lecture de « La servante écarlate » m’avait fait ressentir une certaine dissonance entre ce que je pensais découvrir (une dystopie féministe) et ce que l’œuvre est réellement (une dystopie autour d’une théocratie totalitaire). Enchaînant avec la lecture des « Testaments », suite écrite 35 ans plus tard et parue en 2019, c’est de nouveau la surprise, car je me trouve alors devant… une dystopie féministe. La saga de la servante écarlate est devenue ce que le public en a fait… (ou ce que les réalisateurs de la série en ont fait, n’ayant pas vu la série je ne sais pas dans quelle mesure celle-ci a influencé l’écriture des Testaments). Se tenant 15 ans après les événements décrits dans la servante écarlate, le récit retrace les prémices de la chute de Galaad. Pour cela, exit Defred la servante, qui n’était qu’un véhicule entraînant le lecteur à la découverte de Galaad, et place à une narration alternant le témoignage de 3 personnages : -       Tante Lydia, personnage déjà rencontré dans « La servante écarlate ». Avec Tante Lydia, nous allons découvrir les débuts de la République de Galaad, avec notamment la création de la caste des Tantes, ainsi que les coulisses du pouvoir en place. -       Agnes, jeune fille qui a grandi dans la culture Galaadienne ; -       Daisy, jeune canadienne qui ne connaît de Galaad que ce qu’elle en a vu dans les médias. Ce choix de personnages est particulièrement intelligent et efficace. On alterne ainsi entre le point de vue d’une personne qui a connu le monde avant Galaad et qui a dû s’y adapter pour survivre, une personne qui est née dedans (ou c’est tout comme) et une personne qui a un point de vue externe sur ce régime. Non seulement ces 3 personnages sont bien plus intéressants et charismatiques que ne l’était Defred, mais en outre cela permet de traiter des sujets extrêmement variés tels que le contrôle des populations, l’endoctrinement ou encore le fonctionnement de la résistance. C’est riche, varié, rythmé, bref tout ce qu’il manquait au 1er tome de la série. Je regrette le parti pris orientant clairement le récit sur les problématiques féministes : mariages forcés pour les jeunes filles, féminicides… Le propos était plus nuancé dans le premier tome, ce qui avait l’avantage de proposer un point de vue moins manichéen permettant une réflexion plus poussée sur le régime en place à Galaad ou d'autres thématiques telles que l'écologie. Néanmoins, cela a l’avantage de présenter un point de vue nouveau sur certaines facettes de la hiérarchie à Galaad, notamment sur les Tantes. Dans « La servante écarlate », force est de constater que les Tantes semblent avoir beaucoup de pouvoir dans cette société, par exemple en livrant des hommes en pâture aux servantes lors des fameuses dilacérations. « Les testaments » offrent une nouvelle vision de ce pouvoir, mais il serait dommage d’en dire plus ici… Pour conclure, même si, paraît-il, Margaret Atwood ne souhaitait pas écrire de suite à La servante écarlate, il s’agit de mon point de vue d’une grande réussite qui enrichit l’univers et corrige le tir vis-à-vis des défauts de son prédécesseur. Je recommande sa lecture à tous ceux qui ont apprécié le 1er volet. La lecture de « La servante écarlate » m’avait fait ressentir une certaine dissonance entre ce que je pensais découvrir (une dystopie féministe) et ce que l’œuvre est réellement (une dystopie autour d’une théocratie totalitaire). Enchaînant avec la lecture des « Testaments », suite écrite 35 ans plus tard et parue en 2019, c’est de nouveau la surprise, car je me trouve alors devant… une dystopie féministe. La saga de la servante écarlate est devenue ce que le public en a fait… (ou ce que les réalisateurs de la série en ont fait, n’ayant pas vu la série je ne sais pas dans quelle mesure celle-ci a influencé l’écriture des Testaments). Se tenant 15 ans après les événements décrits dans la servante écarlate, le récit retrace les prémices de la chute de Galaad. Pour cela, exit Defred la servante, qui n’était qu’un véhicule entraînant le lecteur à la découverte de Galaad, et place à une narration alternant le témoignage de 3 personnages : -       Tante Lydia, personnage déjà rencontré dans « La servante écarlate ». Avec Tante Lydia, nous allons découvrir les débuts de la République de Galaad, avec notamment la création de la caste des Tantes, ainsi que les coulisses du pouvoir en place. -       Agnes, jeune fille qui a grandi...
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