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Nouveauté
Mamma Roma
Elsa Damien (traduit par)
Date de parution : 06/04/2023
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

Mamma Roma

Elsa Damien (traduit par)
Date de parution : 06/04/2023
En 1871, à la création de l’Italie, trois personnages vont se croiser, se perdre et se retrouver.
 Ils sont trois orphelins, jetés sur les routes du Royaume d’Italie. Pietro, le « chiot » perdu, au regard duquel rien n’échappe. Puis Nella, la Comtesse flamboyante aux idées d’avant-garde. Enfin Marta,...  Ils sont trois orphelins, jetés sur les routes du Royaume d’Italie. Pietro, le « chiot » perdu, au regard duquel rien n’échappe. Puis Nella, la Comtesse flamboyante aux idées d’avant-garde. Enfin Marta, la jeune saltimbanque flouée par le destin.
Trois Sans-Famille auxquels Rome tend les bras – Rome la mère, Rome la louve,...
 Ils sont trois orphelins, jetés sur les routes du Royaume d’Italie. Pietro, le « chiot » perdu, au regard duquel rien n’échappe. Puis Nella, la Comtesse flamboyante aux idées d’avant-garde. Enfin Marta, la jeune saltimbanque flouée par le destin.
Trois Sans-Famille auxquels Rome tend les bras – Rome la mère, Rome la louve, Rome la catin splendide et miséreuse, avec ses amours violentes, ses truands, ses complots… Rome assiégée qui en cette année 1870 s’apprête à tomber aux mains des partisans… Aux premières loges de cet opéra révolutionnaire, tous trois vont assister – et participer, à leur façon – à la naissance d’une nation.
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EAN : 9782266327459
Code sériel : 18738
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 816
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266327459
Code sériel : 18738
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 816
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Homme de théâtre et écrivain, [Luca Di Fulvio] est un narrateur hors pair et un porteur de rêves, d’où le succès de ses romans. » 
Le Monde.fr

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • 974JerLab34 13/05/2023
    « Ainsi mon frère, tu t’en reviens du pays dont je me souviens » Osons le pari, Alfred aurait adoré cet opus de Di Fulvio. L’écrivain italien, plume romantique, s’il en est, comme le montre son hommage à Hugo, nous offre une rocambolesque aventure avec en toile de fond la libération de Rome de 1870. Les déboires de Napoléon III eurent, en effet, comme conséquence collatérale, d’accélérer le processus de réunification de la Botte, la ville éternelle et ses alentours constituant jusque là une enclave papale. La Prise de Rome, événement considérable pour nos voisins transalpins, est méconnue en France, sans doute parce que, au même moment, un tragique épisode laissait dans nos cœurs une plaie ouverte. 800 pages qui se dévorent comme se dévore la cuisine de ce pays en général et de cette ville en particulier. Forcément, des grincheux trouveront les personnages trop purs pour être crédibles, dénonceront les anachronismes, s’insurgeront des ficelles romanesques un peu trop criantes. Si l’on s’en tient à la rationalité de leurs arguments, ils n’ont objectivement pas tort, c’est oublier que Di Fulvio est un chef de gang… des rêves… Et puis, surtout pour éviter de cracher dans le minestrone, il fallait seulement éviter de... « Ainsi mon frère, tu t’en reviens du pays dont je me souviens » Osons le pari, Alfred aurait adoré cet opus de Di Fulvio. L’écrivain italien, plume romantique, s’il en est, comme le montre son hommage à Hugo, nous offre une rocambolesque aventure avec en toile de fond la libération de Rome de 1870. Les déboires de Napoléon III eurent, en effet, comme conséquence collatérale, d’accélérer le processus de réunification de la Botte, la ville éternelle et ses alentours constituant jusque là une enclave papale. La Prise de Rome, événement considérable pour nos voisins transalpins, est méconnue en France, sans doute parce que, au même moment, un tragique épisode laissait dans nos cœurs une plaie ouverte. 800 pages qui se dévorent comme se dévore la cuisine de ce pays en général et de cette ville en particulier. Forcément, des grincheux trouveront les personnages trop purs pour être crédibles, dénonceront les anachronismes, s’insurgeront des ficelles romanesques un peu trop criantes. Si l’on s’en tient à la rationalité de leurs arguments, ils n’ont objectivement pas tort, c’est oublier que Di Fulvio est un chef de gang… des rêves… Et puis, surtout pour éviter de cracher dans le minestrone, il fallait seulement éviter de rentrer dans cette auberge italienne tenue par ce sympathique chef. Que voulez-vous ! Il est comme ça, Luca… Le client reconnaît de suite la patte, ou plutôt la pâte du Maestro, histoire de filer la métaphore culinaire… Pour me faire l’avocat du diablo, ces convives récalcitrants, pourraient reconnaître que certains personnages, l’Albanese ou Leone Pompei notamment, introduisent des ambiguïtés qui empêchent Mamma Roma d’être considérée comme une œuvre naïve ou manichéenne. Il est aussi envisageable de réfuter l’argument de la photographie jugée anachronique. Les historiens s’accordent à considérer que la Commune, j’y reviens, marque l’irruption de ce médium comme document historique avec ce qu’il suppose de subjectivité. Que Di Fulvio s’accorde cette licence romanesque n’a donc rien de choquant… Pour la troisième fois, j’admire la faculté de l’écrivain à tenir en haleine le lecteur en l’immergeant dans des milieux différents dépeints sans détails superflus mais de façon suffisamment précise. Cependant, le talent principal de Di Fulvio réside dans ses tableaux où les nombreux personnages se croisent, autant de figures vivantes. Comme dans la Commedia dell’arte ? Oui et alors ? Entrez donc sous le chapiteau de cette grande fresque, le magicien Di Fulvio saura flatter votre âme d’enfant… Vous ne « croyez » pas aux prestidigitateurs ? Lisez Mamma Roma et, quand les épées transperceront la boîte, vous tremblerez pour la prisonnière ingénue. N’est-ce pas Paolo ? « Ma cos'è la luce piena di vertigine, Come di, come di… »
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  • adda33 28/04/2023
    Quel magnifique roman ! C'est romanesque à souhait avec un fond historique sur l'année 1870, l'année où est née l'Italie en tant que nation. L'action se déroule essentiellement à Rome sur une courte période mais le côté historique italien pour des non initiés est très bien expliqué grâce aux différents points de vue des personnages qui apportent des éclaircissements par leurs questionnements et leurs analyses sur la situation politique. Tous les personnages sont intéressants et donnent une vision de la société à cette période.
  • NoelleL 25/04/2023
    Un orphelin qui veut changer le monde avec son appareil-photo. Une artiste de cirque passionnée de politique. Une comtesse aux aspirations républicaines. Trois personnes que le destin conduit à Rome en 1870, cœur battant de l'Italie. Leurs chemins se croisent au milieu de cette ville prometteuse, et leurs rêves apparaissent comme un lien magique. Mais Rome l'éblouissante, l'insaisissable, présente des défis inattendus à ses nouveaux admirateurs. Jusqu'au jour où un événement dramatique secoue la Ville éternelle... Encore un excellent roman de cet auteur qui nous plonge en Italie.
  • Lilolaly 02/04/2023
    Lire un roman de @lucadifulvio_ , c'est se laisser embarquer dans une fresque grandiose. #x1f386 J'ai adoré suivre les destinées de ces trois orphelins qui s'entremêlent, découvrir des personnages hauts en couleurs à travers la naissance de Rome, personnage à part entière, faite de grandeur et de misères. #x1f386 Après New York, Venise, Buenos Aires et Rome, j'ai hâte de voyager de nouveau grâce au talent extraordinaire de conteur de Luca Di Fulvio... Je crois avoir entendu parler d'une histoire de sorcières, j'ai déjà le chat noir #x1f408#x1f609
  • Aouan 21/12/2022
    Un vrai roman historique centré sur le rattachement de la ville de Rome dans le royaume italien, qui permet de mieux connaître une période charnière de l'Europe et la fin de l'ingérence française. La partie romanesque est très plaisante, avec des personnages forts et attachants, des gentils avec leurs fêlures et des méchants avec de bons côtés, du suspens, de l'amour, de la bravoure et tout se finit bien à la fin. Pas très réaliste mais ne boudons pas notre plaisir, ça fait du bien d'y croire.
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