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Trois guinées
Viviane Forrester (traduit par)
Date de parution : 02/02/2023
Éditeurs :
10/18

Trois guinées

Viviane Forrester (traduit par)
Date de parution : 02/02/2023
Un essai incontournable de Virginia Woolf, dans la lignée d’Une Chambre à soi.
Trois Guinées est un essai dans lequel Virginia Woolf répond à la lettre d’un interlocuteur anonyme qui lui demande comment empêcher la guerre. Alors que le fascisme est en plein... Trois Guinées est un essai dans lequel Virginia Woolf répond à la lettre d’un interlocuteur anonyme qui lui demande comment empêcher la guerre. Alors que le fascisme est en plein essor en Europe, Woolf prolonge la réflexion entamée dans Une Chambre à soi : selon elle, la guerre est inévitable lorsque... Trois Guinées est un essai dans lequel Virginia Woolf répond à la lettre d’un interlocuteur anonyme qui lui demande comment empêcher la guerre. Alors que le fascisme est en plein essor en Europe, Woolf prolonge la réflexion entamée dans Une Chambre à soi : selon elle, la guerre est inévitable lorsque le patriarcat régit le moindre aspect de la société. A l’instar du fascisme, c’est une entrave à l’égalité, à la justice et à la liberté. Comment imaginer la paix dans un monde où la moitié de la population est placée par défaut sous la tutelle de l’autre moitié ? Woolf répond également à deux autres lettres, l’une demandant des fonds pour ouvrir une université pour femmes, et l’autre pour aider des femmes à accéder à des carrières qui leur sont inaccessibles. Elle alimente ainsi sa réflexion et fait don d’une guinée à chaque cause qu’elle souhaite défendre. Scandaleux lors de sa publication un an avant le début de la Seconde guerre mondiale, Trois Guinée est un essai féministe, anti-impérialiste et pacifiste. 

« Les femmes ont réussi à s’imposer comme actrices du monde, autrices d’idées […] grâce à des femmes comme Virginia Woolf » Le Vif/ L’Express 
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EAN : 9782264082251
Code sériel : 03451
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264082251
Code sériel : 03451
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Kez 15/12/2023
    Après avoir lu une chambre à soi, j'ai continué avec 3 guinées. Virginia Woolf dans cet essai explique la position et le rôle des femmes pour empêcher la guerre. Son argumentation sur le droit à une éducation de qualité, la répartition des finances dans un mariage, le droit à ne pas dépendre financièrement d'un homme (père ou mari), le droit à exercer un métier et être payer de la même façon sont listées dans ce livre comme les 3 points majeurs. On voit que pour l'éducation et l'autonomie (au niveau occidental) des progrès ont été faits... Pour ce qui est de l'égalité salariale... on en est encore loin. Bref toujours d'actualité Mme Woolf
  • Natiora 18/04/2023
    Ce texte est l’objet d’une longue réflexion de Virginia Woolf suite à une lettre qu’elle a reçue et qui pose la question suivante : comment empêcher la guerre ? ("How in your opinion are we to prevent war ?)". Une question d’actualité puisque nous sommes en 1938 et que la montée du fascisme menace la paix en Europe. Pour y répondre, l’autrice a une réponse simple : la faute au patriarcat. Mais pour développer cette réponse, qui ne peut se suffire à elle-même, elle va développer trois axes de réflexion avec une guinée pour chaque : l’éducation des femmes, l’accès au travail et la place de la femme dans la sphère publique. L'écriture de Virginia Woolf est posée, claire, savamment articulée. Elle prend le temps pour expliquer son point de vue, s’adressant en permanence à son locuteur, imaginant comment elle pourrait répondre à l’une ou l’autre des lettres reçues. C’est un long monologue auquel nous sommes conviés. Sans condescendance et avec une pointe d’ironie. Elle parvient à identifier les problèmes et à étayer son point de vue avec tant d’arguments qui semblent couler de source qu’elle nous persuade et nous convainc. Il y a des longueurs, c’est certain. Mais j’ai trouvé cet essai passionnant et il s’inscrit dans la continuité de Un lieu à soi. Les femmes doivent gagner leur indépendance. En ayant accès à l’éducation, elles peuvent penser par elles-mêmes et acquérir des compétences. En acquérant des compétences elles peuvent travailler autrement qu’en étant gouvernante ou personnel de maison. En travaillant elles peuvent être indépendantes financièrement et exprimer le fond de leurs pensées, puisque le mariage et la maternité ne sont plus leurs seules professions et qu’elles n’ont plus le souci de plaire à un bon parti, de calquer leurs opinions sur celles du mari, d’être en faveur de la guerre dans laquelle se vautrent les hommes en quête de gloire en l’honneur de la patrie. Une patrie qui n’a jamais rien fait pour elles, les réduisant à être les esclaves des hommes, les bannissant des universités, leur fermant la porte des professions intellectuelles, les reniant si elles épousent un étranger. Essai féministe s’il en est, bien que Virginia Woolf n’approuve pas ce mot, l’autrice reste sur la position adoptée dans "Un lieu à soi". Les hommes et les femmes ne doivent pas être égaux puisqu’ils sont différents. Il faut simplement qu’ils aient les mêmes droits, les mêmes accès au travail et à la vie publique, la même considération. Les femmes ne doivent surtout pas être les égales des hommes, elles doivent seulement être traitées également. La nature intrinsèque des femmes et leur histoire commune les a forgées pour ne pas être des êtres guerriers. Qu’elles tirent avantage de cette qualité et contribuent ainsi à aller vers un monde où on pourrait empêcher la guerre. Encore une fois, je suis absolument conquise par l’esprit et la plume de Virginia Woolf. Il me tarde déjà de la relire !Ce texte est l’objet d’une longue réflexion de Virginia Woolf suite à une lettre qu’elle a reçue et qui pose la question suivante : comment empêcher la guerre ? ("How in your opinion are we to prevent war ?)". Une question d’actualité puisque nous sommes en 1938 et que la montée du fascisme menace la paix en Europe. Pour y répondre, l’autrice a une réponse simple : la faute au patriarcat. Mais pour développer cette réponse, qui ne peut se suffire à elle-même, elle va développer trois axes de réflexion avec une guinée pour chaque : l’éducation des femmes, l’accès au travail et la place de la femme dans la sphère publique. L'écriture de Virginia Woolf est posée, claire, savamment articulée. Elle prend le temps pour expliquer son point de vue, s’adressant en permanence à son locuteur, imaginant comment elle pourrait répondre à l’une ou l’autre des lettres reçues. C’est un long monologue auquel nous sommes conviés. Sans condescendance et avec une pointe d’ironie. Elle parvient à identifier les problèmes et à étayer son point de vue avec tant d’arguments qui semblent couler de source qu’elle nous persuade et nous convainc. Il y a des longueurs, c’est certain. Mais j’ai trouvé cet essai passionnant...
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  • Levant 02/03/2023
    1938, la guerre n’est déjà plus une hypothèse. Le monstre d’outre Rhin fourbit ses armes. Virginia Woolf publie Trois guinées. La guerre est pour elle entre autres préoccupations une obsession. Autant que celle du statut de la femme dans la société humaine. Statut qui, s’il dédouane cette dernière de la responsabilité de la guerre, a contrario de son congénère mâle, ne l’exonère pas des dommages de cette calamité. Dommages qu’illustrent pour elle les photos « de cadavres et de maisons en ruine » venues d’Espagne, lequel pays fait déjà l’expérience du totalitarisme et son lot de conséquences néfastes. Dans Trois guinées, Virginia Woolf répond à la lettre d’un homme lui demandant, en désespoir d’envisager lui-même une issue heureuse à la période de tension que connaît l’Europe, comment éviter la guerre. Mais sans doute ne s’attend-il pas à recevoir une réponse laquelle n’a rien d’un réconfort ou d’un espoir. Une réponse mettant en cause le patriarcat dans sa responsabilité de la situation qui va conduire l’Europe au désastre. Le patriarcat, cette moitié mâle de l’humanité qui a mis sous le joug l’autre moitié en instituant sa suprématie depuis l’origine des temps. Suprématie usurpée qui fait enrager Virginia Woolf. Même si en Angleterre les femmes ont obtenu le droit de vote en 1918, cette ouverture à la démocratie est encore loin de leur ouvrir les portes des universités et des carrières professionnelles, ne laissant encore aux femmes, selon Virginia Woolf, comme perspective de promotion sociale que le mariage et la maternité. Suprématie que la religion chrétienne, en contradiction avec la parole du Christ n’a pas su abolir, bien au contraire. Alors que les femmes quant à elles et de par leur complexion peuvent faire naître et prospérer une société égalitaire et pacifiste. Virginia Woolf enfonce le clou. Dix ans après avoir publié son fameux Une chambre à soi, ouvrage qui l’a cataloguée parmi les militantes féministes. Elle a inventé le « psychomètre », instrument imaginaire propre à mesurer la force émotionnelle émanant de la personne et sa responsabilité dans les situations qu’elle engendre. « Quel mot peut désigner le manque de droits et de privilèges ? Allons-nous une fois de plus faire appel au vieux mot de « liberté » ? La « fille de l’homme cultivé », expression que Virginia Woolf invente, revient en leitmotiv dans cet ouvrage. Cette « fille de l’homme cultivé » est son spécimen étalon de l’être privé de droits et de privilège et par là assujetti à une tyrannie sexiste que Virginia n’hésite pas à comparer à la tyrannie totalitaire en train de gangréner l’Europe. Alors que si la femme se trouvait à parité de statut et de droit avec son frère elle serait à même de bâtir et faire prospérer une société de justice, d’égalité et de liberté. « Les filles des hommes cultivés qu’on appelait contre leur gré des « féministes »… luttaient contre la tyrannie du patriarcat, comme vous luttez contre la tyrannie fasciste. » Virginia Woolf est à ce point obnubilée par ce déséquilibre fondamental entre les sexes, que de sexe, au sens charnel du terme, il n’est nullement question dans son discours. Au point de l’avoir fait cataloguée de frigide par ses détracteurs. Sans doute à court de répondant à la lecture de ce que cette femme ose publier de ses récriminations émancipatrices. Dans trois guinées, elle nous assène un discours dont la redondance des idées peut paraître fastidieuse. Il témoigne de son obsession du déséquilibre fondamental qui prive ses consœurs de ces justice, égalité et liberté si chère à la femme qu’elle est. Ce martèlement accusateur tente de traduire son exaspération, celle de voir l’humanité courir à sa perte du seul fait de son manque de sagesse et sa cupidité à mettre au crédit de la moitié dominante. Et de clamer que « seule la culture désintéressée peut garder le monde de sa ruine. » Exaspération qui virera au désespoir au point que Virginia, un jour de 1941, emplira ses poches de cailloux pour s’avancer dans la rivière. Et de fermer à jamais les yeux devant l’ampleur des horreurs du fascisme, dont le patriarcat assume selon elle la responsabilité. 1938, la guerre n’est déjà plus une hypothèse. Le monstre d’outre Rhin fourbit ses armes. Virginia Woolf publie Trois guinées. La guerre est pour elle entre autres préoccupations une obsession. Autant que celle du statut de la femme dans la société humaine. Statut qui, s’il dédouane cette dernière de la responsabilité de la guerre, a contrario de son congénère mâle, ne l’exonère pas des dommages de cette calamité. Dommages qu’illustrent pour elle les photos « de cadavres et de maisons en ruine » venues d’Espagne, lequel pays fait déjà l’expérience du totalitarisme et son lot de conséquences néfastes. Dans Trois guinées, Virginia Woolf répond à la lettre d’un homme lui demandant, en désespoir d’envisager lui-même une issue heureuse à la période de tension que connaît l’Europe, comment éviter la guerre. Mais sans doute ne s’attend-il pas à recevoir une réponse laquelle n’a rien d’un réconfort ou d’un espoir. Une réponse mettant en cause le patriarcat dans sa responsabilité de la situation qui va conduire l’Europe au désastre. Le patriarcat, cette moitié mâle de l’humanité qui a mis sous le joug l’autre moitié en instituant sa suprématie depuis l’origine des temps. Suprématie usurpée qui fait enrager Virginia Woolf. Même si en Angleterre les...
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  • ATOS 07/10/2021
    1938. Avant dernier écrit de Virginia Woolf. Une fiction épistolaire qui tient lieu presque de testament adressé au monde. Femmes et hommes. A la question " comment peut-on empêcher la guerre", Virginia Woolf, lettres en mains, analyse les causalités de cette catastrophe imminente, de ce nouveau carnage qui s'annonce. La question est posée à une femme, l'auteure, par un homme. Et la femme répond d'une façon magistrale, éblouissante, percutante, brûlante. Une société ( l'Angleterre et l'Europe en général ) repose, grandit, et croit sur un système fasciste et dictatorial ( patriarcat) qui ne peut empêcher la guerre. Si la paix doit régner il faut que ce vieux monde disparaisse. Il faut qu'un nouveau monde puisse naître et s’épanouir. Que les dominants disparaissent. Que les anciennes valeurs qui ont nourri ce système injuste disparaissent. Un nouveau monde, une nouvelle ère sera seule en capacité d’étouffer les menaces de guerre. De nouvelles règles contre de mauvaises lois. Travail, éducation, engagement politique, littérature, art, journalisme doivent permettre à chacun.e de faire ses choix de vie, en toute liberté sans jamais s’aliéner, sans se soumettre, ni se vendre. Ouverte, pauvre, libre et éclairée telle sera la maison commune que Virginia Woolf nous demande de créer. Certainement le texte le plus impressionnant, le plus exigeant, le plus efficace que Virginia Woolf nous adresse. Astrid Shriqui Garain. 1938. Avant dernier écrit de Virginia Woolf. Une fiction épistolaire qui tient lieu presque de testament adressé au monde. Femmes et hommes. A la question " comment peut-on empêcher la guerre", Virginia Woolf, lettres en mains, analyse les causalités de cette catastrophe imminente, de ce nouveau carnage qui s'annonce. La question est posée à une femme, l'auteure, par un homme. Et la femme répond d'une façon magistrale, éblouissante, percutante, brûlante. Une société ( l'Angleterre et l'Europe en général ) repose, grandit, et croit sur un système fasciste et dictatorial ( patriarcat) qui ne peut empêcher la guerre. Si la paix doit régner il faut que ce vieux monde disparaisse. Il faut qu'un nouveau monde puisse naître et s’épanouir. Que les dominants disparaissent. Que les anciennes valeurs qui ont nourri ce système injuste disparaissent. Un nouveau monde, une nouvelle ère sera seule en capacité d’étouffer les menaces de guerre. De nouvelles règles contre de mauvaises lois. Travail, éducation, engagement politique, littérature, art, journalisme doivent permettre à chacun.e de faire ses choix de vie, en toute liberté sans jamais s’aliéner, sans se soumettre, ni se vendre. Ouverte, pauvre, libre et éclairée telle sera la maison...
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  • mumuboc 14/10/2020
    Pour qui a lu Un lieu à soi, trouvera dans ce court essai bien des similitudes car Virginia Woolf évoque à nouveau, mais nous savons combien elle y était attachée, son combat pour la condition féminine et en particulier ici sur l'argent (nerf de la guerre, de toutes les guerres) mais aussi sur l'éducation possible pour les femmes au lieu du mariage comme but ultime de leurs vies, sur l'égalité des chances. Publié en 1938, dans les prémices d'une guerre, la question est posée à l'écrivaine : "Comment empêcher la guerre ?".... Pour la féministe que l'on connaît, la réponse ne se fait pas attendre et va dans la même direction. On lui pose la question, elle répond, en tan que femme. Laisser faire les femmes, donnez leur autant de chances que ce soit sur la scolarité, le choix du mariage, l'éducation et le travail que pour les hommes et vous verrez.... Le monde changera peut-être. Cette question simple mais oh combien difficile à résoudre, donne lieu à une réponse sous forme de correspondance argumentée en plusieurs points et quand on connaît sa plume et ses convictions, inutile de préciser qu'elle le fait avec brio, ne laissant place à aucune faiblesse dans son discours. Elle décortique, analyse, retrace la place de la femme dans l'histoire (en particulier avec le parcours de Mary Kingsley et de son frère Arthur) mais pas celle à laquelle elle a droit comme égale de l'homme, mais celle qu'on lui réserve, lui attribue et ce qui pourrait changer si elle avait accès comme lui à l'éducation, à l'instruction et non aux arts ménagers, à la liberté de choix, à l'indépendance financière. Il y a les guerres extérieures mais il faut également mener les guerres intérieures, celle de la société et on ressent toute la colère sous-jacente derrière les mots, ses craintes également sur le fascisme montant, sur la folie des hommes, sur leur rapport à la force et aux armes. Comme toujours son discours est élaboré, clair, structuré et argumenté et ce qui est encore plus surprenant, bref, concis, sans appel. Il faut éduquer pour penser, pour agir, tout passe par l'accès à l'éducation et pas seulement celle "accordée" à l'époque aux femmes. Une éducation égalitaire, similaire à celle "offert" aux hommes mais dont les femmes feraient un meilleur usage. J'ai  décidément une admiration sans borne pour cette femme, pour ses valeurs, ses combats, la justesse de ses propos, très avant-gardistes et ne me lasse pas de la lire (et ici de l'écouter à travers Coline Serreau). C'est un texte presque universel, moderne, inspirant qui pourrait s'appliquer à bien des domaines. N'ayez pas peur de Virginia Woolf, lisez-la, écoutez-la.Pour qui a lu Un lieu à soi, trouvera dans ce court essai bien des similitudes car Virginia Woolf évoque à nouveau, mais nous savons combien elle y était attachée, son combat pour la condition féminine et en particulier ici sur l'argent (nerf de la guerre, de toutes les guerres) mais aussi sur l'éducation possible pour les femmes au lieu du mariage comme but ultime de leurs vies, sur l'égalité des chances. Publié en 1938, dans les prémices d'une guerre, la question est posée à l'écrivaine : "Comment empêcher la guerre ?".... Pour la féministe que l'on connaît, la réponse ne se fait pas attendre et va dans la même direction. On lui pose la question, elle répond, en tan que femme. Laisser faire les femmes, donnez leur autant de chances que ce soit sur la scolarité, le choix du mariage, l'éducation et le travail que pour les hommes et vous verrez.... Le monde changera peut-être. Cette question simple mais oh combien difficile à résoudre, donne lieu à une réponse sous forme de correspondance argumentée en plusieurs points et quand on connaît sa plume et ses convictions, inutile de préciser qu'elle le fait avec brio, ne laissant place à aucune faiblesse dans...
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    10/18

    Virginia Woolf : ses trésors aux Éditions 10/18

    Si la collection 10/18 recèle trois œuvres majeures de l’inénarrable romancière britannique, la richesse de ses mots et de ses idées trouve un élan tout particulier dans Trois guinées, paru en 1938. Un essai révolutionnaire pour l’époque et encore terriblement pertinent aujourd’hui.

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