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Un invincible été
Date de parution : 07/04/2022
Éditeurs :
Pocket

Un invincible été

Date de parution : 07/04/2022
Depuis son retour à Sosúa, en République dominicaine, Ruth se bat aux côtés d’Almah pour les siens et pour la mémoire de sa communauté, alors que les touristes commencent à déferler sur l’île.... Depuis son retour à Sosúa, en République dominicaine, Ruth se bat aux côtés d’Almah pour les siens et pour la mémoire de sa communauté, alors que les touristes commencent à déferler sur l’île. Passionnée, sa fille Gaya affirme son indépendance et part étudier aux États-Unis, où Arturo et Nathan mènent leurs vies d’artistes.
La tribu Rosenheck-Soteras a...
Depuis son retour à Sosúa, en République dominicaine, Ruth se bat aux côtés d’Almah pour les siens et pour la mémoire de sa communauté, alors que les touristes commencent à déferler sur l’île. Passionnée, sa fille Gaya affirme son indépendance et part étudier aux États-Unis, où Arturo et Nathan mènent leurs vies d’artistes.
La tribu Rosenheck-Soteras a fait sienne la maxime de la poétesse Salomé Ureña : « C’est en continuant à nous battre pour créer le pays dont nous rêvons que nous ferons une patrie de la terre qui est sous nos pieds. »
Mais l’ Histoire, comme toujours, les rattrape : de l’attentat du World Trade Center au terrible séisme de 2010 en Haïti, en passant par les émeutes en République dominicaine... chacun devra tracer son chemin, malgré les obstacles et la folie du monde.
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EAN : 9782266322997
Code sériel : 18545
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 464
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266322997
Code sériel : 18545
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 464
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un roman à succès absolument parfait. »
Europe 1
« Un invincible été clôture avec passion une fresque romanesque bouleversante. »
Gérard Collard / Le Magazine de la santé
« Clap de fin d’une saga réjouissante qui nous aura embarqués pendant trois ans entre la République dominicaine, les Etats-Unis et Israël. »
CNews

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • oran 15/02/2024
    Ainsi s’achève cette tétralogie s’étendant sur 83 longues années étalées sur deux siècles. De ce dernier tome, j’ai aimé, avant tout, son titre emprunté à une citation de Camus « Au milieu de l’hiver, j’apprenais enfin qu’il y avait en moi un été invincible » ( L’Eté- 1954- Retour à Tipasa 1954). Il résume si bien la saga de cette famille, de chacun de ses membres et du cercle de ses amis , qui a dû affronter la peine, la tristesse, la guerre, l’exil, la mort et la vie qui continue, l’apaisement, l’amour qui ressurgit dans les moments les plus insidieux, les plus poignants, qui a surpassé le froid douloureux de l’hiver , symbole du mal, du désespoir, de la violence, des heures sombres, pour retrouver la lumière sublime de l’été, métaphore du bonheur, de la joie de vivre… Une famille qui a su, grâce à ses valeurs, et comme Camus, faire de sa vie son métier d’Homme et de Femme «  J’avais fait mon métier d’homme et d’avoir connu la joie tout un long jour ne me semblait pas une réussite exceptionnelle, mais l’accomplissement ému d’une condition qui, en certaines circonstances, nous fait un devoir d’être heureux. » (Camus, Noces à Tipasa 1938). Catherine Bardon a, une fois de plus, avec justesse et intelligence, croisé et intégré les évènements marquants ou un peu moins qui ont jalonné les 33 ans racontés dans ce dernier livre. Une réussite littéraire.Ainsi s’achève cette tétralogie s’étendant sur 83 longues années étalées sur deux siècles. De ce dernier tome, j’ai aimé, avant tout, son titre emprunté à une citation de Camus « Au milieu de l’hiver, j’apprenais enfin qu’il y avait en moi un été invincible » ( L’Eté- 1954- Retour à Tipasa 1954). Il résume si bien la saga de cette famille, de chacun de ses membres et du cercle de ses amis , qui a dû affronter la peine, la tristesse, la guerre, l’exil, la mort et la vie qui continue, l’apaisement, l’amour qui ressurgit dans les moments les plus insidieux, les plus poignants, qui a surpassé le froid douloureux de l’hiver , symbole du mal, du désespoir, de la violence, des heures sombres, pour retrouver la lumière sublime de l’été, métaphore du bonheur, de la joie de vivre… Une famille qui a su, grâce à ses valeurs, et comme Camus, faire de sa vie son métier d’Homme et de Femme «  J’avais fait mon métier d’homme et d’avoir connu la joie tout un long jour ne me semblait pas une réussite exceptionnelle, mais l’accomplissement ému d’une condition qui, en certaines circonstances, nous...
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  • cecile70 18/01/2024
    Cela faisait un petit moment que j'avais ce livre dans ma PAL, que j'ai la chance d'avoir dédicacé puisque j'ai rencontré Catherine Bardon l'année dernière au salon du livre de Paris. Clap de fin pour cette saga des déracinés. Le temps se sera écoulé sur ces quatre volets, passant de 1930 à 2013. Dans ce dernier opus, on retrouve bien évidemment Ruth, sa mère Alma, et toutes les personnes proches qui les entourent, sur leur belle ile de République Dominicaine. Ici, les personnages sont moins détaillés ni fouillés, mais nous les connaissions déjà précédemment, donc cela n'est pas dérangeant. Ce livre se lit rapidement, les chapitres sont courts et l'on passe de 1980 à 2013 très rapidement. Tout comme les chapitres du livre, l'Histoire (avec un grand H) apporte des changements rapides et le monde évolue rapidement. C'est le cas en République Dominicaine, avec les changements politiques et le développement du tourisme de masse, mais également de manière plus générale avec la globalisation et les grands événements du XXIème siècle : 11 septembre 2001, tremblement de terre à Haïti... Ce dernier tome est donc l'occasion de voir, de manière condensée, quelle sera la fin des personnages que nous avons suivis jusqu'ici ; mais également de comprendre de quelle manière aura évolué l'ile. Avec le postface de l'auteure à la fin, on comprend que, petit à petit, Joshua et la République Dominicaine perd petit à petit les traces des premiers juifs envoyés ici. Cette saga est une belle façon de conserver les mémoires de ceux qui ont œuvré et ont été déportés lors de la Seconde Guerre Mondiale. Cela faisait un petit moment que j'avais ce livre dans ma PAL, que j'ai la chance d'avoir dédicacé puisque j'ai rencontré Catherine Bardon l'année dernière au salon du livre de Paris. Clap de fin pour cette saga des déracinés. Le temps se sera écoulé sur ces quatre volets, passant de 1930 à 2013. Dans ce dernier opus, on retrouve bien évidemment Ruth, sa mère Alma, et toutes les personnes proches qui les entourent, sur leur belle ile de République Dominicaine. Ici, les personnages sont moins détaillés ni fouillés, mais nous les connaissions déjà précédemment, donc cela n'est pas dérangeant. Ce livre se lit rapidement, les chapitres sont courts et l'on passe de 1980 à 2013 très rapidement. Tout comme les chapitres du livre, l'Histoire (avec un grand H) apporte des changements rapides et le monde évolue rapidement. C'est le cas en République Dominicaine, avec les changements politiques et le développement du tourisme de masse, mais également de manière plus générale avec la globalisation et les grands événements du XXIème siècle : 11 septembre 2001, tremblement de terre à Haïti... Ce dernier tome est donc l'occasion de voir, de manière condensée, quelle sera la fin des personnages que nous avons suivis jusqu'ici ;...
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  • JPCorniou 23/11/2023
    Dernier opus de la série les Déracinés, on vit la fin de l'aventure de la première génération de la colonie de la Dominique, l'éclatement géographique de leurs enfants et l'effacement progressif de ce qui fur une aventure humaine extraordinaire. Evidemment, avec la fin d l'épopée, l'enthousiasme du lecteur s'atténue même si les qualités narratives restent intactes et l'intérêt humain ne faiblit pas. La nostalgie affleure à chaque page, mais au fond c'est que doit aussi faire un roman, remuer les tripes, et ceci résonne en octobre 2023 avec une actualité bien particulière. On ne peut que els aimer, ces déracinés, victimes et certainement pas coupables de vouloir vivre dans un monde pacifié où le fait d'être juif ne vous met pas en banc des accusés. Il faut donc lire les quatre tomes, rendre justice à l'auteur pour ce travail précis, documenté et très bien conduit à travers une histoire qui ne cesse d'être actuelle.
  • lulusoho 16/11/2023
    Fin de cette magnifique série des déracinés. Sur ce volet de 1980 à 2013, l'auteure a la talent de nous faire suivre tous les personnages, leurs vies inscrites dans l'Histoire ainsi que les effets qu'a encore ce déracinement sur toutes les générations, et ce sans lourdeurs . Pour ma part, une certaine mélancolie à l'idée de laisser tous ces personnages
  • fabriceverdure 13/11/2023
    Dernier tome de cette grande saga «  Les déracinés » Comment ne pas spolier une histoire en quatre tomes … en évitant de le résumer, laisser toute l’intrigue aux autres curieux lecteurs. On peut parler du contexte, de 1980 à 2013. Des temps forts, comme les changements politiques de l’île Dominicaine. Attentat sur les tours du 11 septembre, séisme sur Haïti … Naissance, mort, renaissance, très longue vie de notre initiale héroïne Almah. Sa fille Ruth conclue finement cette belle famille, ses enfants, un peuple juif dans ce monde bien perturbé. J’ai vraiment apprécié la manière dont l’auteure nous fait partager ses personnages de fiction dans un contexte historique des plus saisissants. Une citation : « Ce qui compte, ce ne sont pas les années qu’il y a eu dans la vie.  C’est la vie qu’il y a eu dans les années. » Abraham Lincoln
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