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L'Agent des ombres - T7
Les Chiens de Guerre
Date de parution : 11/10/2012
Éditeurs :
Fleuve éditions

L'Agent des ombres - T7

Les Chiens de Guerre

Date de parution : 11/10/2012

Cellendhyll de Cortavar tourne en cage à Tygarde, le palais de la Lumière. Son allégeance forcée à l'empereur Priam le rend fou et sa relation avec Constance s'étiole. Très vite,...

Cellendhyll de Cortavar tourne en cage à Tygarde, le palais de la Lumière. Son allégeance forcée à l'empereur Priam le rend fou et sa relation avec Constance s'étiole. Très vite, pourtant, il est chargé par l'empereur d'une nouvelle mission : arrêter Vargh Loken, échappé de la forteresse de l'Oubli et...

Cellendhyll de Cortavar tourne en cage à Tygarde, le palais de la Lumière. Son allégeance forcée à l'empereur Priam le rend fou et sa relation avec Constance s'étiole. Très vite, pourtant, il est chargé par l'empereur d'une nouvelle mission : arrêter Vargh Loken, échappé de la forteresse de l'Oubli et bien décidé à tuer Priam qui l'a trahi. Vargh a réuni ses Chiens de guerre, de redoutables soldats d'élite, les seuls capables d'affronter l'Ange du Chaos...

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EAN : 9782265096905
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 456
Format : 154 x 240 mm
EAN : 9782265096905
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 456
Format : 154 x 240 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fnitter 21/07/2023
    Plus animé mais avec les mêmes défauts que le tome précédent. Désormais Lige de la lumière, notre héros va devoir affronter une équipe de guerriers renégats pour sauver l’Empire de la Lumière. La partie vie privée et amours tumultueuses de Cellendhyl  sont sans intérêt. Les épisodes érotiques n’ont plus aucun attrait. Constance, loin d’être la guerrière badass que l’on pensait, se trouve être finalement qu’une petite princesse qui n’a probablement pas résolu son complexe d’Electre. N’est pas Estrée qui veut. Priam passe d’Empereur-Dieu à petit vers de terre (trouvez la référence, elle est facile). N’est pas Morion qui veut. La seule chose qui compte encore, et qui nous intéresse, est le destin de notre héros et les explications sur son passé. Informations qui ne nous sont délivrées qu’au compte gouttes. L’auteur délaye la sauce à l’infini. Alors oui, je lirais la suite, mais l’intérêt pour la licence est franchement retombé. La lecture reste fluide, agréable et sans difficulté, on est clairement dans le divertissement, littérature « pop corn ». Tiens, j’en serais presque à aller sur Internet pour connaître les tenants et aboutissants de la série, mais elle n’est pas finie et je suis sûr qu’on n’a pas l’info (si dans le tome 10 me dit-on ? )
  • maellelian 09/05/2023
    Nouvelle aventure de Cellendhyll de Cortavar (et mésaventures...) qui nous fait découvrir un passé trouble qui reste une énigme (sera-t-elle dévoilée dans le tome 10 ?). Toujours aussi fan de cette série malgré quelques défauts d'écriture (des répétitions parfois) mais rien de bien méchant et qui finalement ne gâchent rien au plaisir de suivre ce personnage si complexe et fascinant ! Michel Robert nous transporte dans son univers qui ne ressemble à aucun autre mais qu'on imagine sans aucune difficulté grâce aux nombreuses descriptions dont il a le secret. Et c'est sans parler des combats qu'on pourrait presque voir !
  • Magdalae 04/12/2022
    Ce tome 7 présente à la fois des longueurs (en gros, toute l'intrigue du "je t'aime moi non plus" entre Cellendhyll et Constance qui est définitivement un personnage qui ne me manquera pas si elle disparaît...) et des qualités notamment grâce aux Chiens de guerre qui restent l'intérêt principal du tome. Les révélations autour de la "dame" annoncent l'intrigue qui va suivre dans les prochains tomes même si son identité n'est pas dure à deviner dès les premiers dialogues et avant même la révélation finale de la tombe vide. Le tome 8 s'annonce sûrement plus palpitant et plus porté sur l'action.
  • Tatooa 27/04/2017
    Bon, je crois que je vais arrêter pour l'instant parce que, finalement, laisser du temps entre les tomes à partir du tome 5, c'est plutôt une bonne idée... Même si c'est la suite directe de "Guerrier des lunes", bah j'aurais mieux fait de pas le lire de suite. Quoi que... Je sais pas trop, parce qu'en fait, c'est Constance qui m'a considérablement agacée. Plus que ça même... Mais qu'elle est c** quoi ! Hallucinant. Je sais pas si l'auteur a vécu un truc du genre, mais franchement, elle mérite des baffes ! Donc je suis pas sûre que même dans 6 mois j'aurais apprécié davantage le bouquin, mdr ! Et que Gheritarish me manque. Il me manque encore plus qu'à Cellendhyl, je crois ! arfeu ! le fait qu'il soit revenu "côté lumière", c'est dérangeant je trouve... Mais c'est bien fait car on sent bien qu'il n'est pas dans son élément, il est pas à l'aise, mais du coup nous non plus. Je me demande encore une fois si l'auteur sait où il va. On dirait que oui, mais que c'est long pour y arriver, flûte quoi !!! ça traîne un peu trop en digressions, là... Bon dans ce bouquin j'ai préféré les "méchants", et franchement j'ai un doute quant au fait qu'ils étaient vraiment les méchants, même si la psychopathie de Danseur ne plaide pas pour eux, mdr ! Vargh Loken est un super personnage, et ses "Chiens de guerre" aussi ! Non di zou ils sont formidables eux ! Sans scrupules et archi violents, mais formidables quand même ! Pi c'est Vargh qui veut se venger donc du coup je suis "de son côté", voilà, c'est dit et c'est comme ça. Muarf ! Il y a encore ici et là quelques maladresses dans le style, mais bon, ça reste correct. Là où c'est toujours parfait, c'est dans les combats, très visuels, vraiment excellents. Sur le fond, les révélations se font au compte-gouttes, à force ça épuise un peu la patience... C'est là qu'on se dit que l'auteur sait où il va, et heureusement, en fait. Aussi Cellendhyl redevient "lui-même" à la fin du bouquin, non mais sans blague, il était temps, quoi ! Et Morion, même si on le voit peu, est génial dans ce tome... Bref, pour l'instant je lâche un peu l'affaire, même si Gheritarish réapparaît dans le tome suivant, et OUF ! Bon, je crois que je vais arrêter pour l'instant parce que, finalement, laisser du temps entre les tomes à partir du tome 5, c'est plutôt une bonne idée... Même si c'est la suite directe de "Guerrier des lunes", bah j'aurais mieux fait de pas le lire de suite. Quoi que... Je sais pas trop, parce qu'en fait, c'est Constance qui m'a considérablement agacée. Plus que ça même... Mais qu'elle est c** quoi ! Hallucinant. Je sais pas si l'auteur a vécu un truc du genre, mais franchement, elle mérite des baffes ! Donc je suis pas sûre que même dans 6 mois j'aurais apprécié davantage le bouquin, mdr ! Et que Gheritarish me manque. Il me manque encore plus qu'à Cellendhyl, je crois ! arfeu ! le fait qu'il soit revenu "côté lumière", c'est dérangeant je trouve... Mais c'est bien fait car on sent bien qu'il n'est pas dans son élément, il est pas à l'aise, mais du coup nous non plus. Je me demande encore une fois si l'auteur sait où il va. On dirait que oui, mais que c'est long pour y arriver, flûte quoi !!! ça traîne un peu trop en digressions, là... Bon dans ce bouquin j'ai...
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  • Mardiii 24/11/2012
    Toi qui bois avidement tout ce que je peux raconter, tu sais le culte que je voue à Cellendhyll de Cortavar, le héros créé par Michel Robert. Le septième tome de ses aventures étant sorti en octobre, c’est les yeux écarquillés et la bave aux lèvres que je l’ai commandé en septembre. Bon, les événements ont fait que j’ai pas pu l’ouvrir avant novembre, et c’est pas faute de l’avoir reluqué tous les jours avec envie. Mais, bref, dès que j’ai pu j’ai sauté dessus. Et j’ai assez vite déchanté. La fin du sixième tome promettait un début de septième explosif. Eh bien, non. La première moitié est longue, l’histoire met trop de temps à se mettre réellement en place, les vraies actions sont trop sporadiques pour tenir réellement en haleine. Mon Cellendhyll adoré s’est bien ramolli. Est-ce la faute de l’amour ? En tout cas, il passe bien trop de temps à se poser des questions et à jouer l’amoureux. Heureusement, il finit par se reprendre et se rattrape dans le dernier tiers, dégommant tout sur son passage, comme à son habitude, puis nous quittant sur un mystérieux mystère… Mais voilà, le mal est fait. Mais que se passe-t-il ?? Est-ce moi ou est-ce que mon auteur favori se ramollit lui aussi ? J’espère bien que non ! Allez, tout le monde a droit à un coup de mou, et j‘attends tout de même le tome 8 avec impatience, en espérant que les réponses seront au rendez-vous ! Toi qui bois avidement tout ce que je peux raconter, tu sais le culte que je voue à Cellendhyll de Cortavar, le héros créé par Michel Robert. Le septième tome de ses aventures étant sorti en octobre, c’est les yeux écarquillés et la bave aux lèvres que je l’ai commandé en septembre. Bon, les événements ont fait que j’ai pas pu l’ouvrir avant novembre, et c’est pas faute de l’avoir reluqué tous les jours avec envie. Mais, bref, dès que j’ai pu j’ai sauté dessus. Et j’ai assez vite déchanté. La fin du sixième tome promettait un début de septième explosif. Eh bien, non. La première moitié est longue, l’histoire met trop de temps à se mettre réellement en place, les vraies actions sont trop sporadiques pour tenir réellement en haleine. Mon Cellendhyll adoré s’est bien ramolli. Est-ce la faute de l’amour ? En tout cas, il passe bien trop de temps à se poser des questions et à jouer l’amoureux. Heureusement, il finit par se reprendre et se rattrape dans le dernier tiers, dégommant tout sur son passage, comme à son habitude, puis nous quittant sur un mystérieux mystère… Mais voilà, le mal est fait. Mais que se passe-t-il ??...
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