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Le Premier qui meurt à la fin
Cécile Ardilly (traduit par), Fabien Leroy (traduit par)
Collection : Collection R
Date de parution : 27/10/2022
Éditeurs :
Robert Laffont

Le Premier qui meurt à la fin

Cécile Ardilly (traduit par), Fabien Leroy (traduit par)
Collection : Collection R
Date de parution : 27/10/2022
La préquelle du best-seller mondial Et ils meurent tous les deux à la fin
« Ne cherchez pas à comprendre comment nous savons que vous allez mourir, concentrez-vous plutôt sur votre manière de mener à bien votre existence. »

New York, la veille de la mise en...
« Ne cherchez pas à comprendre comment nous savons que vous allez mourir, concentrez-vous plutôt sur votre manière de mener à bien votre existence. »

New York, la veille de la mise en fonction de Death-Cast...
Orion Pagan vit dans la crainte de mourir, il s’est inscrit à Death-Cast pour cesser d’avoir peur.
Valentino Prince...
« Ne cherchez pas à comprendre comment nous savons que vous allez mourir, concentrez-vous plutôt sur votre manière de mener à bien votre existence. »

New York, la veille de la mise en fonction de Death-Cast...
Orion Pagan vit dans la crainte de mourir, il s’est inscrit à Death-Cast pour cesser d’avoir peur.
Valentino Prince vient juste de s’installer à New York prêt à mordre la vie à pleines dents.
Lorsque Orion et Valentino se croisent à Times Square, c’est le coup de foudre. Mais les premiers appels de Death-Cast commencent à tomber, bouleversant leur vie : l’un a reçu l’appel, l’autre pas.
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EAN : 9782221265581
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 600
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221265581
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 600
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bookoceane 10/09/2023
    J’ai vraiment adoré ce livre. J’avais déjà adoré le tome 1 mais là j’avoue que l’histoire d’Orion et Valentino m’a bouleversé. C’est profond, intense et addictif. Orion est un garçon dont le cœur est malade et qui vit chaque jour comme le dernier. Valentino est mannequin et vient de s’installer à New York la veille du lancement de Death-Cast. Quand l’un des deux reçoit le fameux appel, l’autre est bien décidé à faire de son jour Final un jour inoubliable. Pour tous les deux
  • sarah_rtg 08/09/2023
    Ayant adoré le premier tome, j'avais très hâte de lire celui-ci et je ne suis pas déçue, je l'aime autant ! J'ai beaucoup aimé les clins d'œil à l'autre roman. Dans cette préquelle, nous suivons Orion et Valentino, au début de l'invention de Death-Cast. C'est le genre de livre qui se lit rapidement malgré ses 600 pages, avec une plume qui reste simple, mais que j'aime tout de même beaucoup. Les personnages sont attachants, comme dans le deuxième (premier ?) livre. L'auteur nous tient en haleine, on continue à se dire que peut être il n'y aura pas de mort, qu'il reste un espoir... Bien sûr l'histoire entre les personnages reste assez clichée, mais ce n'est pas gênant. Le point négatif est qu'on ne sait toujours pas comment les morts sont prédites, mais d'un côté, ce n'est pas plus dérangeant que ça : il vaut mieux je pense, garder un peu de mystère, que d'avoir une explication qui ne nous plait pas, car ça peut être difficile à justifier, je me demande si l'auteur sait lui-même. C'est le genre de livre qui me donne envie de vivre ma vie à 100%, comme nos personnages, de profiter de chaque instant ! J'ai hâte de... Ayant adoré le premier tome, j'avais très hâte de lire celui-ci et je ne suis pas déçue, je l'aime autant ! J'ai beaucoup aimé les clins d'œil à l'autre roman. Dans cette préquelle, nous suivons Orion et Valentino, au début de l'invention de Death-Cast. C'est le genre de livre qui se lit rapidement malgré ses 600 pages, avec une plume qui reste simple, mais que j'aime tout de même beaucoup. Les personnages sont attachants, comme dans le deuxième (premier ?) livre. L'auteur nous tient en haleine, on continue à se dire que peut être il n'y aura pas de mort, qu'il reste un espoir... Bien sûr l'histoire entre les personnages reste assez clichée, mais ce n'est pas gênant. Le point négatif est qu'on ne sait toujours pas comment les morts sont prédites, mais d'un côté, ce n'est pas plus dérangeant que ça : il vaut mieux je pense, garder un peu de mystère, que d'avoir une explication qui ne nous plait pas, car ça peut être difficile à justifier, je me demande si l'auteur sait lui-même. C'est le genre de livre qui me donne envie de vivre ma vie à 100%, comme nos personnages, de profiter de chaque instant ! J'ai hâte de lire le 3ème quand il sortira.
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  • marinesbooks 04/09/2023
    C’est mon troisième roman d’Adam Silvera. C’est aussi mon troisième coup de cœur de l’auteur. Je ne peux que me rendre à l’évidence : son style d’écriture me touche particulièrement et je vais vraiment suivre de près tout ce qu’il écrit. J’avais lu Et ils meurent tous les deux à la fin en 2018 (oui, ça remonte à quelques années déjà !). Quand j’ai vu qu’un préquel était annoncé l’année dernière, je me le suis presque immédiatement commandé. Encore une fois, on suit deux garçons après une annonce inattendue de la part de Death-Cast, l’entreprise qui est capable de vous annoncer votre mort imminente. Je tiens à repréciser qu’il ne s’agit ni d’un roman fantastique, ni futuriste. Death-Cast est tout simplement une nouvelle « fonctionnalité ». D’ailleurs, ce roman étant un préquel, il se passe en 2010, et l’ensemble dégage plutôt un esprit rétro. Et ce n’est pas n’importe quel jour : il s’agit du 31 juillet 2010, le premier jour du lancement de Death-Cast. Il n’existe pas encore l’application qui a permis à Rufus et Mateo de se rencontrer, une grande partie de la population reste très sceptique face à Deat-Cast et le lancement de ce nouveau service va provoquer... C’est mon troisième roman d’Adam Silvera. C’est aussi mon troisième coup de cœur de l’auteur. Je ne peux que me rendre à l’évidence : son style d’écriture me touche particulièrement et je vais vraiment suivre de près tout ce qu’il écrit. J’avais lu Et ils meurent tous les deux à la fin en 2018 (oui, ça remonte à quelques années déjà !). Quand j’ai vu qu’un préquel était annoncé l’année dernière, je me le suis presque immédiatement commandé. Encore une fois, on suit deux garçons après une annonce inattendue de la part de Death-Cast, l’entreprise qui est capable de vous annoncer votre mort imminente. Je tiens à repréciser qu’il ne s’agit ni d’un roman fantastique, ni futuriste. Death-Cast est tout simplement une nouvelle « fonctionnalité ». D’ailleurs, ce roman étant un préquel, il se passe en 2010, et l’ensemble dégage plutôt un esprit rétro. Et ce n’est pas n’importe quel jour : il s’agit du 31 juillet 2010, le premier jour du lancement de Death-Cast. Il n’existe pas encore l’application qui a permis à Rufus et Mateo de se rencontrer, une grande partie de la population reste très sceptique face à Deat-Cast et le lancement de ce nouveau service va provoquer un chaos absolu sur l’ensemble du territoire. Cela n’empêche pas Valentino, venu d’Arizona pour vivre son rêve à New York, et Orion, jeune new-yorkais malade et quelque peu blasé par la ville, de partager 24 heures absolument magiques. Comme dans le roman original, ce n’est pas une histoire larmoyante qui cherche à nous faire pleurer du début à la fin. Et je réitère mes propos tenus pour le premier roman : il s’agit d’une ode à la vie. Certes, la fin nous est annoncée dès le début et, même si on garde espoir, on sait que les dernières pages seront difficiles à lire. Bien sûr, j’ai éclaté en sanglots en le terminant, mais l’ensemble du roman célèbre la vie. Ce qu’il faut en retenir, c’est que même si l’on est jeune, même si l’on est en bonne santé, rien n’est jamais acquis. Et c’est pour cela qu’il faut vivre, profiter de chaque instant, réaliser ses rêves et suivre son cœur avant qu’il ne soit trop tard. Et même quand la fin est proche, il n’est jamais trop tard pour commencer à vivre sa vie. Valentino et Orion nous le prouvent bien, avec 24 heures vécues si pleinement qu’elles pourraient remplacer toute une vie. On retrouve le rythme extrêmement dynamique du livre original, avec 24 heures décrites dans les moindres détails. Sur 600 pages, je trouve que c’est réellement une prouesse d’écriture, car je n’ai trouvé aucune longueur au récit et je ne me suis ennuyée à aucun moment. Encore une fois, on retrouve de nombreux points de vue intercalés avec ceux des deux héros de l’histoire, des personnes qui vont mourir ou non ce jour-là, mais qui jouent toutes un rôle de façon directe ou indirecte dans l’intrigue principale. C’est tellement bien réussi ! J’ai particulièrement apprécié les apparitions de Rufus et Mateo, ainsi que les introductions aux personnages de Paz et Alano, qui seront les héros du troisième tome. C’est un gros livre, mais pourtant, il ne dure que 24 heures, et c’est peu, tellement peu quand Orion et Valentino auraient eu toute une vie à vivre à deux. Mais il faut parfois se contenter de ce que l’on a et faire au mieux pour ne pas avoir de regrets. Ce roman est une pépite absolue et je ne peux que vous le recommander vivement !
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  • harukochan 29/08/2023
    En résumé : Young adult. Et si une entreprise permettait de révolutionner la mort ? C’est ce que propose Death-Cast : à partir de minuit, leurs téléopérateurs contactent toutes les personnes inscrites au service qui vont rendre l’âme dans les prochaines 24h, afin qu’ils puissent profiter au mieux de leurs derniers instants. En détail : garanti sans spoil ! Ce roman est le préquel de “Et ils meurent tous les deux à la fin”, dans lequel le système de Death-Cast est déjà bien rodé. Ici au contraire, le lecteur assiste aux débuts de l’entreprise sur le marché et ses premiers impacts sur la société. De nouveaux protagonistes sont à l'œuvre et le récit tourne comme précédemment autour de deux personnages, Orion et Valentino, qui vont passer une journée ensemble. Il y a de nombreux points communs avec le premier roman : la thématique du deuil est très (très) présente, clairement ce roman fait dans le pathos à fond, mais c’est un parti pris assumé. Les personnages ont tous un lourd passé ou un avenir qui prend fin à très court terme. Le récit suit également les créateurs de Death-Cast et d’autres personnages qui semblent plus anecdotiques mais qui croisent le chemin d’Orion et... En résumé : Young adult. Et si une entreprise permettait de révolutionner la mort ? C’est ce que propose Death-Cast : à partir de minuit, leurs téléopérateurs contactent toutes les personnes inscrites au service qui vont rendre l’âme dans les prochaines 24h, afin qu’ils puissent profiter au mieux de leurs derniers instants. En détail : garanti sans spoil ! Ce roman est le préquel de “Et ils meurent tous les deux à la fin”, dans lequel le système de Death-Cast est déjà bien rodé. Ici au contraire, le lecteur assiste aux débuts de l’entreprise sur le marché et ses premiers impacts sur la société. De nouveaux protagonistes sont à l'œuvre et le récit tourne comme précédemment autour de deux personnages, Orion et Valentino, qui vont passer une journée ensemble. Il y a de nombreux points communs avec le premier roman : la thématique du deuil est très (très) présente, clairement ce roman fait dans le pathos à fond, mais c’est un parti pris assumé. Les personnages ont tous un lourd passé ou un avenir qui prend fin à très court terme. Le récit suit également les créateurs de Death-Cast et d’autres personnages qui semblent plus anecdotiques mais qui croisent le chemin d’Orion et Valentino à un moment ou à un autre, donnant de la profondeur au récit et surtout, disséminant des indices qui auront leur importance. Ce qui change : il s’agit du premier jour de fonctionnement de Death-Cast, et quelques erreurs ont l’air de s’être glissées dans le système, ce qui laisse planer un doute supplémentaire. La romance est bien plus présente et le récit très LGBT friendly. Malgré ses près de 600 pages (pour le récit d'une seule journée !), le roman se dévore. Si vous avez lu “Et ils meurent tous les deux à la fin”, vous retrouverez quelques clins d'œil à ce premier roman, agréable connivence avec l’auteur. Du même auteur : Et ils meurent tous les deux à la fin. Dans le même genre : La faucheuse (en trois tomes), de Neal Shusterman.
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  • Nulle_en_critique 16/08/2023
    Un coup de foudre entre les protagonistes qui laissera crédules certains lecteurs. Le point de vue de certains personnages secondaires qui prennent presque trop de place dans l'histoire. Malgré ça, j'ai aimé retrouver le concept de Death Cast. Je ne trouve pas ça frustrant d'ailleurs de ne toujours pas savoir comment marchent leurs prédictions. Parfois, c'est bien de laisser du suspens pour un autre livre (ou non), de laisser le lecteur et son imagination. Puis, le titre n'indique pas lequel des deux protagonistes va mourir à la fin du livre, ce qui nous laisse un suspens en plus. Même si, pour ma part, je m'en doutais.
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