En une quinzaine d'années, Michel Bussi a réalisé l'exploit de faire de chaque parution de ses romans un événement pour une communauté de lecteurs fidèles. Son secret ? Un art consommé du "twist" final, des allers-retours entre sa chère Normandie et le reste du monde, et un travail approfondi sur la mémoire et ses résonances. Trois caractéristiques parfaitement illustrées dans J'ai dû rêver trop fort, qui paraît ces jours-ci chez Pocket.
Le lundi 15 Avril, le SR Club, organisme fondé en 1952 à Kyoto, a remis pour la seconde fois le prix de la traduction d’un polar à Michel Bussi pour Nymphéas noirs.