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Ric-Rac
Date de parution : 05/02/2015
Éditeurs :
Robert Laffont
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Ric-Rac

Date de parution : 05/02/2015
Le nouveau roman de l’auteur d’En moins bien. Un run-movie, à lire en short et en baskets !

S’appeler Jeanyf et courir.
Courir après ses quatorze ans.
Courir après son avenir.
Courir après le fantôme d’Yvette, sa mère.
Courir après Pierryf, son père, un doux dingue qui ne se remet pas de...

S’appeler Jeanyf et courir.
Courir après ses quatorze ans.
Courir après son avenir.
Courir après le fantôme d’Yvette, sa mère.
Courir après Pierryf, son père, un doux dingue qui ne se remet pas de la mort de sa femme.
Courir après les tisanes de Jackyf, son oncle herboriste et rebouteux.
Courir après les visions de Soubirou,...

S’appeler Jeanyf et courir.
Courir après ses quatorze ans.
Courir après son avenir.
Courir après le fantôme d’Yvette, sa mère.
Courir après Pierryf, son père, un doux dingue qui ne se remet pas de la mort de sa femme.
Courir après les tisanes de Jackyf, son oncle herboriste et rebouteux.
Courir après les visions de Soubirou, son cousin illuminé.
Courir après les nouveaux voisins du gîte rural sadomaso.
Cours, Jeanyf !
Cours !

Dans Ric-Rac, on retrouve l’univers déjanté et tendre de l’auteur d’En moins bien.
« Si Ionesco et Desproges avaient eu un fils ensemble, ils l’auraient appelé Arnaud Le Guilcher ! » Gérard Collard

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EAN : 9782221156940
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 270
Format : 1 x 215 mm
Robert Laffont
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EAN : 9782221156940
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 270
Format : 1 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Krout 28/12/2019
    « Evidemment, j'ai raison. La preuve c'est que je n'ai jamais eu tort. Cette pensée parfois m'effraye. » Hercule Poirot Aux antipodes de Ric-Rac, je cite de mémoire le célèbre détective Belgo-Anglais, de par ses origines et son double héritage culturel doté d'un humour d'une finesse inversément proportionnelle à son tour de taille. L'ouvrage d'Arnaud le Guilcher à la grande qualité d'être léger à emporter… Faites donc travailler vos petites cellules grises, mes amis. L'humour pour un Belge est une affaire de fin gourmet. Pour un Anglais, mystère. Il eût fallu demander à Poirot. Sa mort, hélas, laissera cette énigme à jamais non-élucidée. Je préférais déjà à l'âge du petit Jeanyf Buster Keaton à Laurel et Hardy. Les tartes à la crème, je n'aime rien que les manger. Il y a quelque chose de pathétique dans l'atterrissage d'une tarte à la crème. Heureusement court mais s'essoufflant malgré quelques tentatives de relances désordonnées, Ric-Rac m'aura laissé sur ma faim. Y a-t-il à rire de la mort d'une maman ? du désarroi d'un veuf éperdu et perdu ? ou de l'écrasement d'un enfant prisonnier d'une gériatrie à ciel ouvert ? Y a-t-il à rire de la ruralité se noyant dans l'alcoolisme galopant, les uns y... « Evidemment, j'ai raison. La preuve c'est que je n'ai jamais eu tort. Cette pensée parfois m'effraye. » Hercule Poirot Aux antipodes de Ric-Rac, je cite de mémoire le célèbre détective Belgo-Anglais, de par ses origines et son double héritage culturel doté d'un humour d'une finesse inversément proportionnelle à son tour de taille. L'ouvrage d'Arnaud le Guilcher à la grande qualité d'être léger à emporter… Faites donc travailler vos petites cellules grises, mes amis. L'humour pour un Belge est une affaire de fin gourmet. Pour un Anglais, mystère. Il eût fallu demander à Poirot. Sa mort, hélas, laissera cette énigme à jamais non-élucidée. Je préférais déjà à l'âge du petit Jeanyf Buster Keaton à Laurel et Hardy. Les tartes à la crème, je n'aime rien que les manger. Il y a quelque chose de pathétique dans l'atterrissage d'une tarte à la crème. Heureusement court mais s'essoufflant malgré quelques tentatives de relances désordonnées, Ric-Rac m'aura laissé sur ma faim. Y a-t-il à rire de la mort d'une maman ? du désarroi d'un veuf éperdu et perdu ? ou de l'écrasement d'un enfant prisonnier d'une gériatrie à ciel ouvert ? Y a-t-il à rire de la ruralité se noyant dans l'alcoolisme galopant, les uns y voyant un divin fléau ? Oui ! L'on peut rire de tout. Vive l'exutoire ! Cependant Poirot vous le dirait mes amis, les gros gags pipi-caca sont moins de mise sous les monarchies que chez les sans-culottes. L'humour purgatif devient vite un enfer aux royaumes des estomacs délicats. Miracle de Noël, Pascal ! L'étoile de la crèche vient finalement de tomber du ciel comme un but décisif que l'on attendait plus. Sauvé par l'apparition de Cantona, digne de l'annonciation à Marie et surtout par la tendresse de l'auteur pour ses personnages, Ric-Rac, à l'arrache, obtient de justesse la moyenne. Je n'exclus pas une possible part autobiographique au bout d'un match correct donc mais qui n'a pas tenu toutes ses promesses. On me l'avait par trop survendu.
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  • generalmarechal 06/05/2019
    Que voulez-vous, Arnaud Le Guilcher nous emmène dans son univers où la tristesse côtoie le plus franc éclat de rire... Ric-Rac n'y coupe pas !
  • Iboo 21/06/2018
    Mon deuxième Arnaud le Guilcher et soyez certains que ce ne sera pas le dernier. Même si je dois dire que celui-ci m'a un tout petit peu moins épatée que "Du tout au tout". Et, j'ai bien dit "un tout petit peu moins" car, cette fois encore, j'ai passé un savoureux moment, truffé d'éclats de rire, toute seule en tête-à-tête avec mon bouquin. Mention spéciale pour les personnages de Soubirou et sa Pocahontas. Tellement improbables, totalement à la masse et pourtant si attachants. Enfin... attachants mais de loin, parce qu'ils schlinguent un peu quand même, hein ! Alors, oui, je suis bien partie pour tous les lire, les Le Guilcher. Parce qu'ils me font du bien. Comme les apéros déjantés sous ma glycine avec les potes où l'on oublie les horreurs du monde, où l'on est tout simplement peinards, heureux d'être ensemble sans la moindre prétention de changer quoi que ce soit au cours des choses, où l'on part dans de doux délires, où l'on a le rire gras et l'humour graveleux, où notre plus grande intelligence est d'être conscients que la vie n'est pas sérieuse et qu'il est salutaire pour notre équilibre mental de s'offrir des plages de "lâcher prise". J'ai un... Mon deuxième Arnaud le Guilcher et soyez certains que ce ne sera pas le dernier. Même si je dois dire que celui-ci m'a un tout petit peu moins épatée que "Du tout au tout". Et, j'ai bien dit "un tout petit peu moins" car, cette fois encore, j'ai passé un savoureux moment, truffé d'éclats de rire, toute seule en tête-à-tête avec mon bouquin. Mention spéciale pour les personnages de Soubirou et sa Pocahontas. Tellement improbables, totalement à la masse et pourtant si attachants. Enfin... attachants mais de loin, parce qu'ils schlinguent un peu quand même, hein ! Alors, oui, je suis bien partie pour tous les lire, les Le Guilcher. Parce qu'ils me font du bien. Comme les apéros déjantés sous ma glycine avec les potes où l'on oublie les horreurs du monde, où l'on est tout simplement peinards, heureux d'être ensemble sans la moindre prétention de changer quoi que ce soit au cours des choses, où l'on part dans de doux délires, où l'on a le rire gras et l'humour graveleux, où notre plus grande intelligence est d'être conscients que la vie n'est pas sérieuse et qu'il est salutaire pour notre équilibre mental de s'offrir des plages de "lâcher prise". J'ai un nouveau copain de "lâcher prise", il s'appelle Arnaud le Guilcher, il est complètement barré et il me fait un bien fou !
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  • marina53 28/05/2018
    Parmi les 867 habitants que compte La Sourle (dont plus de 500 vieux), il y a un adolescent. Un seul ! Et pas des moindres ! Il s'appelle Jean-Yves. Mais tout le monde l'appelle Jeanyf. Fils d'Yvette, tragiquement décédée d'une longue maladie, et de Pierre-Yves, que tout le monde appelle Pierryf. Neveu de Jacques-Yves, que tout le monde... À 14 ans, le petit Jeanyf (du bas de ses 1m35) rêve de devenir footballeur professionnel. Mais, à La Sourle, loin des montagnes et des côtes, entre les vieux grabataires, un père marionnettiste dépressif qui taille au canif des portraits d'Yvette partout (vraiment partout), un oncle soit-disant herboriste, un cousin, surnommé Soubirou, tout droit sorti d'une déchèterie, il n'y a rien à faire. Heureusement, de nouveaux voisins, pour le moins originaux et excentriques, vont bientôt débarquer et avec eux, une drôle de nana qui va ébranler le petit Jeanyf... C'est mort à La Sourle, petit village perdu au milieu de nulle part... Heureusement que Jeanyf et consorts sont là pour pimenter un tant soit peu la morosité ambiante. Du haut de ses 14 ans, Jeanyf touche presque son rêve ultime de devenir footballeur. N'était sa petite taille qui semble freiner le staff. Qu'importe,... Parmi les 867 habitants que compte La Sourle (dont plus de 500 vieux), il y a un adolescent. Un seul ! Et pas des moindres ! Il s'appelle Jean-Yves. Mais tout le monde l'appelle Jeanyf. Fils d'Yvette, tragiquement décédée d'une longue maladie, et de Pierre-Yves, que tout le monde appelle Pierryf. Neveu de Jacques-Yves, que tout le monde... À 14 ans, le petit Jeanyf (du bas de ses 1m35) rêve de devenir footballeur professionnel. Mais, à La Sourle, loin des montagnes et des côtes, entre les vieux grabataires, un père marionnettiste dépressif qui taille au canif des portraits d'Yvette partout (vraiment partout), un oncle soit-disant herboriste, un cousin, surnommé Soubirou, tout droit sorti d'une déchèterie, il n'y a rien à faire. Heureusement, de nouveaux voisins, pour le moins originaux et excentriques, vont bientôt débarquer et avec eux, une drôle de nana qui va ébranler le petit Jeanyf... C'est mort à La Sourle, petit village perdu au milieu de nulle part... Heureusement que Jeanyf et consorts sont là pour pimenter un tant soit peu la morosité ambiante. Du haut de ses 14 ans, Jeanyf touche presque son rêve ultime de devenir footballeur. N'était sa petite taille qui semble freiner le staff. Qu'importe, Jeanyf court, à perdre haleine. Qu'il est attachant ce petit bonhomme encore perturbé par la mort de sa maman. Faut dire que son père, à exposer des portraits d'Yvette partout, ne fait rien pour l'aider. Ça se bouscule alors un peu dans la tête de Jeanyf. C'est dans une ambiance déjantée et rocambolesque que nous plonge Arnaud Le Guilcher. Avec sa galerie de personnages aussi farfelus les uns que les autres, ça swingue à tout va. L'auteur ne manque pas d'imagination et nous offre un roman aussi loufoque qu'émouvant où les situations ne manquent pas de piquant. Les dialogues, jubilatoires, et l'écriture, enlevée et pittoresque, embrassent à merveille ce récit ô combien jouissif.
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  • ClaireBangert 22/11/2017
    RIC-RAC – Arnaud Le Guilcher '' Ma petite maman, Je ne suis pas sûr d'avoir vécu depuis l'enfance. Vous ne pouvez pas bien savoir cette immense gratitude que j'ai pour vous, ni quelle maison de souvenirs vous m'avez faite. J'ai l'air comme ça de ne rien sentir. Je pense simplement que je me défends terriblement. J'écris peu, ce n'est pas ma faute. J'ai la bouche cousue la moitié du temps. Ç'a toujours été plus fort que moi. Buenos-Aires - janvier 1930 '' (extrait) Antoine de Saint-Exupéry Lettres à sa mère Faut r'connaître...c'est du brutal ! En plein hiver, quand la nuit persiste à faire la grasse mat' et à se coucher avec les poules, les journées se déclinent en une seule nuance de gris et il y a bien cinquante bonnes raisons de ne rien trouver d'érotique à la veille qui ressemble déjà au lendemain : sybarite m'était conté, sexy comme un mois de janvier ! Erotique sa mère, tiens ! On est là, tranquille, à la (très) fraîche, et puis Crac, un bourre-pif ! Ric-Rac. Pile entre deux (!), la puissance de feu d'un croiseur et des flingues de concours, même pas la peine d'essayer de feinter...Préparez vos mouchoirs ! Je résume pour ceux qui ne suivent pas... RIC-RAC – Arnaud Le Guilcher '' Ma petite maman, Je ne suis pas sûr d'avoir vécu depuis l'enfance. Vous ne pouvez pas bien savoir cette immense gratitude que j'ai pour vous, ni quelle maison de souvenirs vous m'avez faite. J'ai l'air comme ça de ne rien sentir. Je pense simplement que je me défends terriblement. J'écris peu, ce n'est pas ma faute. J'ai la bouche cousue la moitié du temps. Ç'a toujours été plus fort que moi. Buenos-Aires - janvier 1930 '' (extrait) Antoine de Saint-Exupéry Lettres à sa mère Faut r'connaître...c'est du brutal ! En plein hiver, quand la nuit persiste à faire la grasse mat' et à se coucher avec les poules, les journées se déclinent en une seule nuance de gris et il y a bien cinquante bonnes raisons de ne rien trouver d'érotique à la veille qui ressemble déjà au lendemain : sybarite m'était conté, sexy comme un mois de janvier ! Erotique sa mère, tiens ! On est là, tranquille, à la (très) fraîche, et puis Crac, un bourre-pif ! Ric-Rac. Pile entre deux (!), la puissance de feu d'un croiseur et des flingues de concours, même pas la peine d'essayer de feinter...Préparez vos mouchoirs ! Je résume pour ceux qui ne suivent pas et qui s'apprêtent à lire le dernier Arnaud Le Guilcher : 1- Pluie+froid+hiver = avoir le nez qui coule : mouchoir ! 2 - Situations hilarantes+ humour déjanté = pleurer de rire : mouchoir ! 3- Requiem pour Yvette + Stabat Mater spectral = passer du rire aux larmes : mouchoir ! Un coup à faire augmenter les cadences de production chez Kleenex ! Ric-Rac, donc (Un été à la Sourle, c'est précisé juste en dessous). La Sourle, c'est le village de Jeanyf. Le bled pour lequel l'expression « trou-du-cul-du-monde » a été inventée. Jeanyf c'est le fils de de Pierryf et d'Yvette et le neveu de Jackyf. Du (pas très) haut de ses quatorze ans, il s'entraîne à devenir un homme. Le genre qui dribble sur quatre-vingt-dix mètres pour balancer un retourné direct, ric-rac, dans les filets, à la Zidane. Sauf que Zidane, lui, la taille ça le connaît. Jeanyf, dans son centre d'entraînement pour apprentis-footballeurs, n'est qu'un (trop) petit d'homme. A quelques centimètres de devenir le nouveau Cantona, il rentre chez lui pour les vacances d'été. Chez lui, c'est « le palais à Yvette », l'oeuvre de Pierryf, son Douanier Rousseau de père qui sculpte, peint, reproduit à l'infini, l'image d'Yvette qui a quitté la maison. Pour tout vous dire, elle l'a pas quittée comme ça. Elle a succombé à la "Grande Fatigue", Yvette. Les bras de Morphée, Mort-Fée. C'est pour ça que Pierryf créé un monde fantastique à La Sourle. Pour que le visage d'Yvette, la silhouette d'Yvette ne soit pas qu'un souvenir, qu'une illusion. Le sort en est jeté : le palais des Mille et une Nuits enchanté par la divine icône d'Yvette. Jeanyf, partage ses vacances d'été entre ses visites à Jackyf, son oncle qui ne mégote pas sur les conseils avisés entre ses décoctions fumistes plus que fumantes, son cousin qui a vu la Vierge, le bien-nommé Soubirou, et de longues scéances de course à pied qui fatiguent le corps et soulagent l'esprit. Et puis il fait la connaissance de ses nouveaux voisins. Ceux qui ont acheté le manoir dépravé délabré à coté du "Palais à Yvette", pour en faire un gîte trivial rural. Et de leur fille Bessie. Branle-bas-de-combat à La Sourle ! Et c'est rien de le dire ! Bessie déboule dans la vie de Jeanyf comme un chien dans un jeu de quilles (et de quilles, il est aussi question à La Sourle). Et pas que. Parce que Soubirou, en dehors d'avoir vu la Vierge, prétend aussi avoir le pouvoir de faire tourner les tables. Et le fantôme d'Yvette pourrait bien se trouver au menu. Dites, faudrait pas nous prendre pour des lapins de six semaines, Monsieur Le Guilcher ! Elle est bien là, votre tendresse, derrière cet écran de fumée (hallucinogène). Vous auriez appelé votre livre "Cinquante Nuances au pays des Péquenots", on y aurait quand même vu clair dans votre jeu ! Au milieu du délire jubilatoire de votre histoire, de l'exaltation des envolées frénétiques, des métaphores burlesques, comme ça, l'air de rien, il y a ces petites incursions qui mettent la larme à l'oeil. Et qui nous donnent raison d'avoir gardé la boite de mouchoirs à portée de mains. Parce qu'elle est partout, infusée dans le récit, l'émotion. Ric-Rac, juste quand on s'y attend le moins. La douleur, l'absence, le manque, la tristesse, par petites touches au milieu du grand feu d'artifice. Des mots emprunts d'une vraie poésie dans le grand n'importe-quoi de l'histoire de Jeanyf. Et ça marche ! Bien joué ! Pas mieux ! Cueilli, le lecteur hilare. Gloussements intempestifs, éclats de rire incontrôlables, et puis par moments, cette bonne grosse boule dans la gorge, les yeux mouillés - et pas uniquement parce que c'est la péride des rhumes-. Ames sensibles, ne pas s'abstenir ! Les émotifs vont en prendre pour leur grade ! La grande valse des sensations ! Merci pour tout, c'est tout bon votre bouquin Arnaud Le Guilcher ! J'ai même envie de dire, j'y croirais bien, moi, des fois, à ces histoires de table qui tournent. Et puis je vais reprendre la course à pied. On sait jamais... What if… Et si...
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