"Le décor urbain et froid de la fuite en avant de cet "homme blanc en déconfiture" se transforme en une déambulation sépulcrale dans un monde "en ruine", qu'il est illusoire de croire qu'on peut rendre meilleur."
Stéphane Ehles / Télérama
"Avec ce peu sirupeux et plutôt amer Sugar Street, Jonathan Dee sonne le glas de la quête de liberté ultime et un prévisible autant que désolant deuil des illusions."
Cédric Petit / Le Soir
"Jonathan Dee parvient à faire endosser à ses personnages toutes les contradictions du monde contemporain sans jamais être manichéen ou pesant. Une mission périlleuse et impossible sans son style incisif. Un régal."
Télé Z
"Un roman noir, certes, mais haletant, dans l'attente d'un évènement que la présence d'un revolver laisse pressentir: "Pour rendre le monde meilleur, la seule méthode c'est la soustraction." "
François Montpezat / DNA
"C'est un roman énigmatique et envoûtant, pessimiste aussi, addictif comme du Don DeLillo réécrit par les scénaristes de "Breaking Bad."
Didier Jacob / L'OBS
« Avec Sugar Street, Jonathan Dee signe le roman dense et dérangeant d’un homme qui tente de fuir sa propre existence dans l’Amérique d’aujourd’hui. »
Philippe Blanchet / Rolling Stone
« On y retrouve le portraitiste ironique et grinçant du mythe américain de la seconde chance. »
Hubert Artus / Lire Magazine
« Sans nom ni visage, il veut utiliser ses 168 548 dollars pour fuir sa vie, son identité et ses relations dans l’anonymat d’une ville moyenne. Un portait désabusé de l’Amérique.»
Isabelle Lesniak / Les Echos
« L’histoire d’un type qui en a marre. (…) Un roman sur le changement de vie mais très radical. C’est assez jubilatoire à lire. »
Nicolat Carreau / Europe 1
"Sugar Street est une sorte de conte, de fable, et aurait pu n’être qu’un exercice de style, une variation urbaine autour de Thoreau, sans la formidable maîtrise romanesque de Dee"
Olivier Muny / LH Le magazine
« Un livre troublant, propulsif, à l’humour souvent incisif. »
Kirkus Reviews
« L’étude de cas audacieuse d’un homme blanc décidé à fuir sa propre vie… Le travail de Dee se confronte curieusement à la myopie délibérée du narrateur. Une œuvre qui prouve la maîtrise narrative de Dee. »
Publishers Weekly
« Dee met en scène avec virtuosité son personnage dont la voix changeante couvre une large palette d’émotions – ruse, désespoir, cynisme, résignation et plus encore. »
Harvey Freedenberg / Shelf Awareness
« Le narrateur de Sugar Street ne cherche même pas à s’échapper, il nous le dit lui-même, mais à disparaître complètement – à assassiner son ancien lui afin de vivre les jours qui restent en tant que quelqu’un d’autre… C’est dans sa démonstration méthodique de la façon dont un humain peut cesser d’exister sans attenter à sa vie que Sugar Street nous captive comme jamais. »
The New York Times Book Review
« Captivant et palpitant. L’impressionnante versatilité de Dee n’est plus à prouver avec ce récit aussi brillant que divertissant. »
Booklist
À propos du roman Les Privilèges : « Une médiation ironique et raffinée sur les forces illusoires de l’existence, ce jeu de dupes dont nul ambitieux n’est jamais sorti vainqueur. Un éblouissant bûcher des vanités. »
Les Inrocks
« Avec un récit sur le désespoir et l’impossibilité ultime de l’isolation, la narration de Dee est une toile d’araignées de questions qui ne laissent pas de répit au lecteur, questionnant par exemple le début et la fin de la folie. Les lecteurs des premiers romans de Dee ne voudront pas passer à côté de ce page-turner. »
Library Journal
À propos du roman Les Privilèges : « Regard à la fois empathique et distancié, écriture élégante et méditative qui le rapproche du grand James Salter. »
Le Point
À propos du roman Les Privilèges : « Un roman formidable »
Télérama
À propos du Ceux d'ici : « Un roman qui assoit définitivement Jonathan Deeparmi les très grands écrivains de l’Amérique au présent. »
Diacritik
À propos du roman Ceux d'ici : « Jonathan Dee, fin décrypteur de l’Amérique d’aujourd’hui »
Madame Figaro
À propos du roman Ceux d'ici : « Jonathan Dee, révélateur de l’Amérique d’en bas. »
Les Échos
À propos du roman Ceux d'ici : « Avec Ceux d’ici, l’écrivain signe le premier roman significatif sur les États-Unis de Trump. »
Le Monde
À propos de La Fabrique des illusions : « Un roman […] que l’on est pas près d’oublier. »
L'Obs
"Grand chroniqueur d'une société malade d'elle-même, Jonathan Dee poursuit, avec ce nouveau roman, sa peinture d'un monde qui ne semble plus constitué que d'une accumulation de fractures."
Stanislas Rigot / Page des Libraires
À propos de Mille excuses : « Confirmation éclatante de la capacité d’incarnation de Dee (qui en fait peut-être le plus digne successeur de Richard Ford) et de son génie moraliste qui, lui, le rapprocherait plutôt d’un Salter ou d’une Joan Didion. »
Livres Hebdo