La Confiserie de Rosie : Le livre de Jenny Colgan
Parce que personne, dans la famille, ne voulait s'en charger, Rosie s'est portée volontaire. Sa mission ? Trouver une maison de retraite pour sa vieille tante Lilian, ainsi qu'un acquéreur pour la confiserie qu'elle a tenue des années durant.
Seulement en découvrant la petite ville de Lipton, la Londonienne hésite. La vieille dame s'avère plutôt acariâtre. Mais au milieu des sucreries et des bocaux multicolores, un vieux secret et une nouvelle vie pourraient bien se trouver cachés...
De (auteur) : Jenny Colgan
Traduit par : Laure Motet
Les libraires et les médias en parlent
Avis Babelio
coclem
• Il y a 2 semaines
Je vous mets au défi de lire ce livre et de ne pas avoir envie de dévorer bonbon et chocolat !!! Jenny Colgan nous dévoile quelques recettes de confiserie que je vais m'empresser de tester ! Tout comme ses autres livres la confiserie de Rosie est un joli moment de lecture, et ce livre est particulièrement émouvant car on suit parallèlement, grâce à un retour au passé, la vie de sa grande tante qu'elle est venue aider. Je vous le recommande.
KarineFichterBarnoud
• Il y a 1 mois
J'ai enfin découvert la plume de cette autrice avec ce fort joli roman acheté en promo, et je suis ravie de ces quelques heures passées en compagnie de Rosie, citadine londonienne à la vie terne qui va découvrir, d'abord à contrecœur, la vie dans la campagne anglaise pour venir en aide à sa grand-tante Lilian qui a tenu, toute sa vie une confiserie. Cette dernière a même écrit un livre sur le sujet dont des extraits savoureux émaillent le roman en nous mettant l'eau à la bouche. D'ailleurs, c'est un livre qui vous donnera envie de déguster toutes sortes de bonbons et autres barres chocolatées dont vous découvrirez l'histoire et les recettes pour certains. J'ai beaucoup aimé suivre les aventures de Rosie, non dénuées d'humour pour la plupart, ses relations avec les habitants du village et Lilian dont les souvenirs de jeunesse, pendant la Seconde Guerre mondiale, sont évoqués en alternance. Une histoire pleine d'amour, d'humour, mais aussi empreinte de nostalgie et d'humanité. J'aurais bien aimé lire le tome suivant, malheureusement d'un prix excessif en ebook, je vais guetter les promotions en espérant l'y trouver à l'occasion. Je compte bien découvrir les romans de l'autrice se trouvant déjà dans ma monstrueuse pile à lire en attendant. Une lecture que je vous conseille pour un moment de douceur. #passionlecture #livreaddict #bookaddict #bookstagram #bookstagramfrance #editionsprisma #JennyColgan #laconfiseriederosie
Jalawy
• Il y a 3 mois
Bon livre, jolie histoire douce qui fait du bien, mais qui aurait gagné à être beaucoup plus courte! Malgré cela, Jenny Colgan reste toujours une valeur sûre pour passer un bon moment #x1f60a.
LizzieC12
• Il y a 3 mois
En général, je considère que lire un roman de Jenny Colgan est toujours synonyme de bon moment et de réconfort. J’ai aimé la plupart de ses romans. Certains ont été des coups de cœur et d’autres non. C’est le cas de celui-ci qui m’a en grande partie déçue ou c’est parce que j’ai trop lu de feel-good et que je dois simplement faire une pause dans ce genre littéraire. On fait donc la connaissance de Rosie, aide-soignante intérimaire qui enchaîne les missions aux quatre coins de Londres. Elle vit avec son petit ami Gérard, un pharmacien enjoué mais un brin fainéant. Un jour, la mère de Rosie lui demande de se rendre dans le Derbyshire pour aider la grand-tante Lilian à se remettre d’une chute, vendre sa confiserie et son cottage et lui trouver une maison de retraite. Rosie quitte Londres en traînant les pieds, se jurant que son séjour à la campagne sera de courte durée. Est-ce que je commence à me lasser des feel-good où des jeunes femmes au bord du burn-out quittent la ville pour la campagne, se découvrent une vocation de commerçante, vivent d’amour et d’eau fraîche avec un type bourru mais sexy et dont la morale est que ce n’est pas grave de n’avoir que trois clients et pas de revenu, l’essentiel c’est d’être heureux, de réaliser son rêve… Je pense que oui, je me suis lassée de tous ces récits qui se ressemblent, ont tous la même trame et cochent les mêmes cases. La seule originalité de ces histoires est de découvrir le type de commerce choisi et le lieu où se déroulera l’histoire. Si au début, ce genre de récit nous fait du bien, nous remonte le moral et nous sort d’un quotidien pas toujours rose, au bout d’un moment ça fait l’effet inverse. Car on sait tous que c’est irréaliste. De nos jours, ouvrir un commerce, qui plus est dans un petit village, n’est pas facile. On sait que les jeunes célibataires sexy ne sont pas courant au fin fond des campagnes et qu’on n’a pas tous une grand-mère ou une tante fantasque qui casse sa pipe en nous laissant une maison et un local commercial. Mais revenons à notre lecture ! A part Lilian que j’ai adoré, l’histoire et les personnages m’ont semblés fades et peu intéressants. Malgré toute sa bonne volonté, Rosie me laisse l’impression d’une jeune femme un peu stupide et égoïste. Ses déboires, vus et revus de nombreuses fois chez Jenny Colgan, façon Bridget Jones ou « Martine fait de la bicyclette » font rire une fois et lui font perdre toute crédibilité. Elle passe son temps à se plaindre de son grand âge (31 ans), du fait qu’elle ne soit pas mariée et qu’elle est condamnée à finir vieille fille. J’ai vérifié, le livre a été écrit en 2012 et pas en 1812. J’ai donc suivi ses atermoiements avec agacement et me disant qu’au lieu d’être attachante, Rosie apparaît comme une fille particulièrement stupide et incapable d’apprendre de ses erreurs. Gérard, son petit ami londonien est guère mieux. Il cumule tous les clichés pour qu’on comprenne que Rosie va le larguer : il est en surcharge pondérale, passe sont temps devant la télé à manger des glaces et son comportement est totalement immature et misogyne. Rosie décide donc de se trouver un nouvel amoureux, mais là encore je n’adhère pas à son choix. Après avoir subi un quadrilatère amoureux sans intérêt, elle jette son dévolu (sans surprise) sur le gars torturé et ténébreux. Problème, l’heureux élu est complètement antipathique. On a beau expliquer ça par des relations difficiles avec sa mère, un refus de son statut privilégié (non, ce n’est pas un futur roi) et un drame peu crédible, il n’arrive pas du tout à m’attendrir et pour moi c’est juste un homme à fuir. Au milieu de ça, il y a Lilian la grand-tante de Rosie et ancienne gérante de la confiserie, qui apporte beaucoup au roman et sans qui celui-ci aurait été bien insipide. J’ai adoré me plonger dans ses souvenirs de la guerre à travers des flashbacks bien écrits, dans son parcours triste et touchant qui a sans doute été partagé par beaucoup de femmes à l’époque. Son caractère affirmé et son franc-parler apporte de la fraîcheur et de la légèreté à un récit lourd. Elle secoue Rosie et lui fait comprendre que le mariage n’est pas une étape obligatoire pour trouver le bonheur et être épanouie. Lilian est finalement plus moderne que sa nièce ! Le côté confiserie ne m’a pas fait rêver, malheureusement. Rosie nettoie la boutique, l’ouvre et a plein de clients. Fin. Il n’y a presque pas d’enjeu et très peu de suspens. Je n’ai pas retrouvé l’aspect commercial et créatif qui m’avait séduite dans la petite boulangerie ou dans la charmante librairie. Les personnages secondaires sont sympathiques, mais on les oublie rapidement. Certains même, comme le meilleur ami de Rosie dont j’ai oublié le nom, ne servent à rien du tout. C’est quand même bien dommage. Afin de rendre le récit plus intéressant, Jenny Colgan invente pleins de péripéties. Mais ces événements sont trop tirés par les cheveux et ne correspondent pas vraiment à l’aspect réaliste auquel nous avait habitué l’autrice. Il y a aussi une scène intime assez détaillée plutôt malaisante et bizarre. Je ne comprends pas trop l’intérêt de cette scène. Il y a quand même quelques aspects positifs : les paysages du Derbyshire, l’ambiance cosy et chaleureuse du cottage de Lilian et la fin douce-amère que j’ai trouvée très juste. Entre des personnages fades et geignards, des situations abracadabrantes, un manque de réalisme et une furieuse impression de déjà-vu, ce n’est donc pas une lecture de Jenny Colgan que je retiendrai. J’ai eu la désagréable impression que l’autrice voulait changer sa façon de rédiger son récit, le moderniser peut-être ou le rendre plus dans l’air du temps, mais que ça a été fait de manière maladroite. Elle devrait garder sa simplicité, son émotion et les scènes réalistes et touchantes dont elle a le secret, ça lui réussit bien mieux.
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Romans , Roman Féminin
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- EAN
- 9782266340199
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- Collection ou Série
- Littérature contemporaine
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- Format
- Poche
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- Nombre de pages
- 560
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- Dimensions
- 179 x 109 mm
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9,90 € Poche 560 pages