L'Archipel des oubliés : Le livre de Nicolas Beuglet

Et voilà ! J'ai dit au revoir à mes deux inspectrices préférées ! J'ai adoré retrouver Sarah et découvrir son évolution, comment elle avait évolué en parallèle de Grace. J'ai aussi beaucoup aimé retourner sur les lieux de la première trilogie et clore la boucle là où tout a basculé vers Olympe sans qu'on le sache à l'époque. Tout est toujours aussi bien ficelé et on trouve dans cet ultime tome la conclusion de toute la quête de Grace contre une Olympe bien trop réaliste. On ne nous donne pas le temps de respirer pendant presque 400 pages, si bien qu'on est amené à se demander si un élément mentionné s'est produit pendant les 3 derniers jours ou les 3 dernières années, tout se mélange un peu...trop peut-être, d'où mes 4 étoiles et non 5

De cette troisième saga, c'est celui que j'ai le moins aimé mais pour une raison très personnelle, c'est celui traite le plus des sujets d'actualité/scientifique. J'ai perdu le fil à plusieurs reprises. Mais ça y est c'est le tome final pour notre enquêtrice Grâce Campbell qui est rejointe par Sarah Geringen qui est connue pour être l'héroïne de la première trilogie de cet auteur. Elles sont déterminées à détruire Olympe et le passager. Leur enquête vont les mener encore dans plusieurs pays. Entre veuve épleurée, manoir angoissant, île cachée et hôpital psy, nos deux enquêtrice vont encore devoir encore déjouer les plans d'Olympe. Un roman très rythmique au début, tout s'enchaîne on relève beaucoup d'élément de l'enquête. Puis des phases calmes, d'explication qui comme je l'ai dit m'ont fait lâcher. Et la fin arrive assez vite, peut-être même trop vite. Je n'en dirais pas plus car c'est un dernier tome mais encore une fois les thèmes dont traite Nicolas BEUGLET sont forts intéressants et d'actualité mais beaucoup sont sur la technologie et ce n'est pas un thème qui m'anime. Cependant, il n'empêche que c'est un auteur dont j'apprécie la plume.

Un crime. Une île isolée. Une enquête qui déterre les zones les plus sombres de l’âme humaine. Dès les premières pages, Nicolas Beuglet nous plonge dans une atmosphère sombre et oppressante où chaque silence semble cacher un secret. J’ai beaucoup aimé l’ambiance : brumeuse, froide, presque cinématographique. On ressent le vent, le sel, la solitude des lieux. L’enquête menée par Grace Campbell et Sarah Geringën est rythmée, et certaines révélations frappent fort. Mais j’ai trouvé que l’intrigue, malgré son intensité, manquait parfois de nuance. Quelques longueurs, des explications un peu forcées… et une émotion qui, à mes yeux, peine parfois à transpercer la mécanique du thriller. Un bon moment de lecture tout de même — immersif, bien documenté et fidèle à la patte Beuglet. Un roman qui questionne les dérives de la science et la fragilité de l’humain face au pouvoir. #xNaN 3/5 : une enquête glaciale et efficace, mais un peu trop maîtrisée pour m’emporter totalement.

Dévoré en un week-end #x2601 Dans ce tome 3/3 ou 6/6 comme on veut #x263a on retrouve deux enquêtrices au culot et à la force admirable qui partent à la quête de réponses avec un long chemin d’embûches semées par le géant Olympe. Pourquoi ? Comment ? Qui est derrière tout ça ? Une longue quête qui les mènera au plus profond de l’Ecosse et leur donnera la réponse, mais peut être pas celle qu’elles cherchaient…. Un polar haletant et explosif ! Alors que Nicolas Beuglet nous met en scènes deux femmes incroyables on parcours l’Ecosse et son histoire. Dans cette quête un sujet de société se cache (ou pas) et il nous fait réfléchir. Presque un escape game version polar.