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Figure controversée de l’Histoire de France, Napoléon est mort le 5 mai 1821 sur l’île de Saint-Hélène. 2021 marque le bicentenaire de la mort de l’empereur, l’occasion d’en apprendre davantage sur son histoire.
Napoléon par Napoléon, Charles Bonaparte
Les citations sont précédées d’un bref rappel historique qui permet au lecteur de se retrouver dans la carrière de Napoléon et de mieux suivre l’évolution de sa pensée.
Nous parcourons ainsi les chemins de ce fils de notable corse, jeune général de la révolution, premier Consul, puis Empereur des Français, conquérant l’Europe entière avant de tout perdre et de mourir, proscrit, à Sainte-Hélène.
Le nouveau visage de Napoléon que propose ce livre permet de comprendre pourquoi tant d’hommes, depuis deux siècles, appartenant à tant de continents, affichant les opinions politiques les plus opposées, se reconnaissent en sa personnalité, louent son action… ou le détestent, avec tant de constance.
On y trouve en effet un homme toujours passionné, vif, rapide, aux formules souvent assassines.
« Quel roman pourtant que ma vie ! » a dit Napoléon, à Sainte-Hélène. Ce livre nous permet d’en saisir, de la main même de l’empereur, les temps forts et les réflexions les plus pertinentes.
Le Mémorial de Sainte-Hélène, Collectif
un Napoléon plus authentique. »
Le Parisien
« Saluons en tout cas la résolution
d’une des plus vieilles énigmes de l’édition
et gageons que tous les napoléoniens […]
voudront lire l’original de leur Bible. »
Le Point
« Nous voici donc en présence
de la version la plus proche de la pensée
et, surtout, des mots de Napoléon. »
L’Histoire
Le conseiller d’État Emmanuel de Las Cases accompagna Napoléon dans son exil en 1815, mais dut le quitter seize mois plus tard. Ce n’est qu’en 1823 que parut son Mémorial fondé sur ses conversations avec l’Empereur, réelles ou supposées : il apparut vite que ce document était parfois trop beau pour être tout à fait vrai. Pour en juger, il aurait fallu disposer du manuscrit original, rédigé à Sainte-Hélène presque sous la dictée de Napoléon. Or les Anglais l’avaient confisqué en expulsant Las Cases. Les quatre historiens qui le publient l’ont retrouvé récemment à la British Library, où il sommeillait
incognito depuis deux siècles. Cette aventure éditoriale apporte un éclairage précieux et souvent inattendu sur ce que Napoléon a vraiment dit, et que Las Cases a enrichi et enjolivé. Ainsi la voix de l’Empereur se fait plus proche et plus authentique.
Napoléon, Richard Holmes
Accusé Napoléon, levez-vous !, Philippe Courroye
Alors que des centaines de nos rues et avenues célèbrent ses victoires et ses maréchaux, très peu honorent sa mémoire. Quant aux rares lignes que lui consacrent les manuels scolaires, elles sont le plus souvent critiques. Napoléon Bonaparte mérite-t-il cet oubli, voire ce blâme de l’Histoire ?
Le grand magistrat qu’est Philippe Courroye ose ouvrir son procès. Autour de six chefs d’accusation, il peint un tableau objectif et impartial de l’homme comme de sa trace dans l’Histoire. Ni nouvelle biographie ni simple récit historique, Accusé Napoléon, levez-vous ! fait revivre, au travers de nombreuses anecdotes et d’analyses documentées, ce personnage hors du commun qui dirigea quinze ans durant la France et la transforma profondément.
Cette métamorphose fut-elle un bien ou un mal pour notre pays ? Napoléon était-il un tyran, un boucher sanguinaire qui sacrifia tout à la guerre, un empereur mégalomane, un homme sans cœur ? C’est à ces accusations qu’est consacré ce « procès » dont le verdict appartient à chacun d’entre vous… une fois ce livre refermé.
Napoléon face à la mort, Alain Frerejean
Les obus et les balles de l’ennemi, le poignard des assassins, les machines infernales des comploteurs, la noyade, la chute dans les précipices, la chasse à l’homme, le poison qu’il s’est lui-même versé, les duels de sa jeunesse… À se demander ce qui l’a sauvé. À moins que la Providence s’en soit mêlée… mais l’Empereur croyait-il en Dieu ? ou à sa bonne étoile ?
À l’évidence, Napoléon fut un chevalier sans peur. Mais combien de millions d’hommes a-t-il envoyés au trépas, sans plus de haine que de remords ? Que ressentait-il quand il arpentait le champ de bataille, entendant le cri des mourants : « Vive l’Empereur ! » Et comment expliquer qu’après avoir vainement cherché la mort à Arcis-sur-Aube, à Montereau, à Fontainebleau, à Waterloo, il n’ait pas cherché à la devancer à Sainte-Hélène ?
La mort de Napoléon, Jacques Macé et Thierry Lentz
Or, ces dernières d’années ont vu émerger les thèses « empoisonnistes » et « substitutionnistes ». Insensées et sans fondement historique, répondent les auteurs. Mais il n’est jamais aisé d’aller à contre-courant d’affirmations aussi sensationnelles. Pourtant, grâce à Thierry Lentz et Jacques Macé, ces questions trop longtemps débattues trouvent ici une réponse définitive.
Cahiers de Sainte-Hélène, Françous Houdecek et Thierry Lentz
La présente édition publie les deux dernières années des Cahiers dont, pour la première fois, l’année 1820 demeurée entièrement inédite et sur laquelle il n’existe aucun autre témoignage d’envergure alors qu’elle est charnière. Scribe du triste quotidien, le Grand-Maréchal raconte la transformation graduelle, jour par jour, heure par heure de Napoléon se métamorphosant en malade, puis en mourant. Tel un greffier, il consigne dans son Journal la lente agonie de son Empereur et maître qu’il sert avec une loyauté qui force l’admiration tant le dernier Napoléon est difficile. Le 5 mai 1821 à 17h49, il est le premier à embrasser la main morte de celui qui avait gouverné sa vie pendant 20 ans. Liés dans l’exil, les deux hommes le sont dans la mort et pour l’éternité puisque Bertrand a rejoint Napoléon aux Invalides en 1847.
Un document capital dans l’édition de référence qui faisait défaut.
Pour Napoléon, Thierry Lentz
Napoléon à Sainte-Hélène, Pierre Branda
A partir de sources ignorées ou inédites, Pierre Branda traite des différents aspects matériels, politiques et moraux, de l’existence de l’illustre exilé et de ce qui s’y rattache. Tous les acteurs du drame, des compagnons les plus proches aux témoins les plus humbles, des gouvernants aux anonymes, prennent consistance et mouvement, à Sainte-Hélène mais aussi à Londres, à Paris, et partout où le sort de Napoléon obsède, inquiète ou apitoie. Toutes les situations, tous les incidents, sont passés au peigne fin et rendus à leur signification véritable. Il en ressort des éclairages insolites, des portraits toujours justes et parfois sévères, des remises en perspective et, au fil de jours parfois interminables, un récit saisissant, comme si le lecteur n’en connaissait pas la fin.
Napoléon, Charles-Eloi Vial
C’est particulièrement le cas pour Napoléon raconté de main de maître par le nouveau maître de l’histoire impériale.
« Il faut avoir un peu de courage pour oser découvrir Napoléon de près, par les yeux ou par les œuvres de ceux qui l'ont vu. Décaper la légende pour en revenir aux points fondamentaux de la construction de sa personnalité, de son rapport au pouvoir et de ses relations avec ses contemporains permet de faire émerger une autre image de l'immortel empereur. Tout se résume peut-être à ce seul enjeu : comprendre qui il était et s'il fut maître de son destin ou prisonnier d'une fatalité qui le dépassait. Dans cet intervalle entre les deux visions – de l'homme et du génie – se noue le pari biographique napoléonien. »
La vie de Napoléon fut une épopée, celle d'un homme aux prises avec son époque. Une plongée inédite dans les collections de la Bibliothèque nationale de France peut aider à mieux le comprendre : les images, les témoins et leurs archives sont prêts à parler.
Écrits clandestins de Sainte-Hélène, Pierre Branda et Thierry Lentz
1816. À Londres, le docteur Warden, chirurgien du navire qui convoya l’Empereur jusqu’à Sainte-Hélène, publie des lettres sur ses prétendues conversations avec lui. Grand succès. Napoléon comprend le parti qu’il peut en tirer. Le voici qui, en 1817-1818, rédige clandestinement et fait paraître en anglais trois écrits successifs – les Lettres du Cap, les Lettres d’un capitaine de bateau, enfin le Manuscrit de l’île d’Elbe –, chez le même éditeur londonien, à la barbe du gouverneur Hudson Lowe et du cabinet britannique qui ne surent jamais par quelles complicités ces textes étaient parvenus en Angleterre. L’écho fut retentissant, mais jamais le nom du véritable auteur ne fut découvert avant sa mort en 1821.
Changeant de style d’un livre à l’autre, Napoléon traite successivement d’épisodes de son épopée, des conditions de sa détention et du caractère imprescriptible de la légitimité impériale, et révèle son génie exceptionnel de la communication sur le seul champ de bataille qui lui demeurait, celui de l’opinion. Il en sortit une dernière fois vainqueur. Ces textes largement oubliés retrouvent vie et signification grâce à l’édition établie par Pierre Branda dans ce nouveau volume de la « Bibliothèque de Sainte-Hélène », fondée et dirigée par Thierry Lentz.
La saga des Bonaparte, Pierre Branda
Pour les étudier, l’auteur a mené l’enquête à partir de sources renouvelées, d’études récentes, battant en brèche nombre d’idées reçues ou de légendes devenues vérité au fil du temps. Sur fond d’intrigues et avec une large place accordée au récit, le style vivant et alerte de Pierre Branda nous fait revivre leurs improbables et attachantes destinées.
Dans les armées de Napoléon, Christophe Bourachot
Parus en 1914, jamais réédités depuis, les souvenirs vivants du major Le Roy sont un document exceptionnel sur une carrière militaire de plus de 35 ans, un témoignage irremplaçable de l’épopée napoléonienne vue de l’intérieur.
Les Mémoires de Claude Le Roy ont été exhumés et sont présentés par Christophe Bourachot, à qui l’ont doit Les Hommes de Napoléon, Napoléon, la dernière bataille et Avec Napoléon aux éditions Omnibus.
Entre l'éternité, l'océan et la nuit, Napoléon
« Napoléon écrivain est aussi grand que Napoléon homme d’État ou capitaine », disait Thiers.
Chez Napoléon, l’écriture – même dictée – est le prolongement de l’action. Elle l’accompagne, elle la magnifie, elle la transfigure. Elle en a aussi bien été transfigurée. L’action, l’exercice du commandement et le travail gouvernemental auront fait l’apprentissage littéraire de Napoléon. Son style s’y est épuré, il s’est ramassé, réduit à une algèbre. Rien n’est plus remarquable que les dizaines, les centaines de lettres, d’ordres, de billets qui précèdent le déclenchement de chaque campagne. C’est qu’alors Napoléon est au maximum de ses capacités, l’oeil à tout, attentif aussi bien à la conception d’ensemble qu’aux détails de l’exécution.
Le jeune homme, l’officier, le chef d’armée, le stratège, le diplomate, l’administrateur, l’orateur, l’amant, le frère, le législateur ont tous leur place dans les choix judicieusement faits par Loris Chavanette. Ce sont vingt années incomparables – et même un peu plus si l’on ajoute les années de jeunesse – qui défilent ici. Et quelles années ! Je crois bien que l’histoire n’offre pas un seul épisode comparable à celui-ci. C’est un tourbillon, une tornade qui s’abat sur l’Europe et même au-delà.
La lecture de la correspondance de Napoléon n’est pas seulement instructive, elle n’aide pas seulement à mieux comprendre le personnage et les circonstances de sa vie, à prendre la mesure de ce destin unique. C’est un cordial pour les temps maussades que nous vivons, une excursion vers des cimes où l’air est pur et vif. Il y a donc toutes sortes de bonnes raisons de découvrir, ou de redécouvrir, l’un des monuments les plus étonnants de notre histoire littéraire.
Patrice Gueniffey
La conversation, Jean d'Ormesson
Un soir de l’hiver 1803-1804, aux Tuileries. Une conversation imaginaire entre Bonaparte et son deuxième consul, ami et confident, Jean-Jacques Régis de Cambacérès. Au comble de la tension entre l’esprit révolutionnaire et l’avidité de puissance, le vainqueur d’Arcole tente de rallier son complice à ses convictions. Une seule volonté anime le héros républicain : bâtir sa légende. L’empire, va-t-il démontrer avec éloquence, c’est la république qui monte sur le trône.
« Ce moment d'Histoire imaginée est plus vrai que beaucoup de récits scrupuleux. »
Laurent Joffrin – L'Obs
« Jean d'Ormesson capture cet instant, fragile, où l'ambition d'un homme bouleverse le cours du monde. »
François Busnel – L'Express
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