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Accrochages
Date de parution : 11/05/2023
Éditeurs :
Les Escales

Accrochages

Date de parution : 11/05/2023
Le meilleur roman de l’année pour The Times.
Une comédie familiale acerbe et hilarante.

 
La famille Hanrahan est menée d’une main de fer par Ray, le patriarche, artiste convaincu de son propre génie dans un monde qui ne l’attend plus. Depuis, il est confit dans son... La famille Hanrahan est menée d’une main de fer par Ray, le patriarche, artiste convaincu de son propre génie dans un monde qui ne l’attend plus. Depuis, il est confit dans son insociabilité et son amertume.

Mais Ray compte bien revenir sur le devant de la scène et prépare, ou plutôt délègue, l’organisation d’une exposition...
La famille Hanrahan est menée d’une main de fer par Ray, le patriarche, artiste convaincu de son propre génie dans un monde qui ne l’attend plus. Depuis, il est confit dans son insociabilité et son amertume.

Mais Ray compte bien revenir sur le devant de la scène et prépare, ou plutôt délègue, l’organisation d’une exposition à sa gloire. Toute la famille est mise à contribution. Ses trois enfants, Leah, la préférée, Patrick, le grand sensible, et la très tourmentée Jess, se rassemblent pour l’occasion.

Et puis il y a Lucia, leur mère. Elle aussi artiste, qui a toujours dû mettre sa carrière de côté pour ne pas risquer de prendre la lumière au détriment de Ray. Pourtant, alors que la tension monte à l’approche du vernissage, il devient évident qu’elle ne pourra pas continuer à se cacher très longtemps. Ni à elle-même, ni aux autres.
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EAN : 9782365698252
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782365698252
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ils en parlent

"Une chronique grinçante et d’une éclatante drôlerie (...)"
Raphaëlle Leyris / Le Monde des Livres

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gromit33 30/11/2023
    Accrochages avec un s et le s est important dans le titre et les histoires de ce premier roman anglais. Accrochage, terme qui raconte les préparations des expositions. Comment vont être accrochées les œuvres pur une future exposition ou rétrospective. Ray, le père, vénérable, aigri est un artiste reconnu qui va avoir droit à une rétrospective de ses œuvres et la famille va être réunie à cette "belle" occasion. La famille va se retrouver à la maison familiale, avant l'exposition. La mère, muse mais aussi artiste aimerait aussi accrocher ses œuvres. Il y a aussi les trois enfants, Leah, Patrick, Jess et chacun a essayé de trouver une place dans la famille, auprès de ce père si omniprésent. Chacun va raconter sa vie, ses ressentis, son rapport à l'artiste, à l'art, celui de ce père qui n'a vécu que pour son art. Ce texte parle aussi des organisations pratiques avant des expositions (quels œuvres accrochées, quel traiteur choisir, qui inviter et ne pas inviter, comment s'habiller pour ce moment....). Nous en serons peu sur les œuvres que ce soient du père ou de la mère. L'auteure nous décrit des êtres cabossées, aigries et des relations limite toxiques avec ce père omniprésent, égoïste, égocentrique et la difficulté de se faire une place avec ou à côté que ce soit sa femme ou ses enfants. Je ne dirai pas jusqu'à dire comme le Times que c'est le « Meilleur roman de l'année », mais une lecture qui nous parle de l'art, des expositions et comment mêler art et vie familiale; Cela avec une certaine ironie et beaucoup d'aigreur tout de même. #Accrochages #NetGalleyFrance Accrochages avec un s et le s est important dans le titre et les histoires de ce premier roman anglais. Accrochage, terme qui raconte les préparations des expositions. Comment vont être accrochées les œuvres pur une future exposition ou rétrospective. Ray, le père, vénérable, aigri est un artiste reconnu qui va avoir droit à une rétrospective de ses œuvres et la famille va être réunie à cette "belle" occasion. La famille va se retrouver à la maison familiale, avant l'exposition. La mère, muse mais aussi artiste aimerait aussi accrocher ses œuvres. Il y a aussi les trois enfants, Leah, Patrick, Jess et chacun a essayé de trouver une place dans la famille, auprès de ce père si omniprésent. Chacun va raconter sa vie, ses ressentis, son rapport à l'artiste, à l'art, celui de ce père qui n'a vécu que pour son art. Ce texte parle aussi des organisations pratiques avant des expositions (quels œuvres accrochées, quel traiteur choisir, qui inviter et ne pas inviter, comment s'habiller pour ce moment....). Nous en serons peu sur les œuvres que ce soient du père ou de la mère. L'auteure nous décrit des êtres cabossées, aigries et des relations limite toxiques avec ce père omniprésent, égoïste, égocentrique et la difficulté...
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  • ThecosmicSam 23/10/2023
    Dans ce roman, on découvre la famille Hanrahan, une famille d’artistes clairement dysfonctionnelle. En effet, on comprend dès les premières pages que le patriarche, Ray, mène son petit monde à la baguette ; s’érigeant en figure masculiniste tout à fait détestable. Caricature de l’artiste fini (et raté), il ne supporte pas le succès de sa femme, Lucia – une sculptrice de talent – qui fût, par le passé, son étudiante. Acceptant mal de ne pas être dans la lumière, Ray décide de programmer une exposition qui devrait signer son grand retour sur la scène artistique londonienne. Et pour l’organiser, toute la famille doit se plier à ses exigences (invitations, traiteur, accrochage, etc…). Ray ne s’occupe que de son art (vraiment ?) Tandis que son aînée, Leah, cède à toutes les folies de « son petit papa » sans broncher, on comprend que sa cadette, Jess, son beau-fils, Patrick, et sa femme sont, eux, en fin de course. Psychologiquement perturbés par tout ce que Ray leur fait subir depuis des années. Ils nourrissent des envies d’émancipation (via l’amour, le travail, leurs projets et ambitions personnels) sans oser en parler à Ray. Mais à l’approche de cette exposition, qui semble bien être la goutte d’eau de trop dans un vase déjà bien rempli, ils ont de plus en plus de mal à se contenir. On sent, alors, la pression monter à la façon d’une cocotte-minute à deux doigts d’exploser. J’ai été tenue par cette tension qui monte crescendo pendant une partie du roman, m’attendant à une catharsis jubilatoire. Sauf que rien ne vient (ou seulement à demi) et le tout retombe donc comme un soufflé. J’ai été vraiment déçue que ce tyran de Ray ne soit pas remis à sa place une bonne fois pour toute. Les membres de la famille sont tout à fait passifs et laissent Ray (et, plus généralement, les autres) décider de leur vie, si bien qu’à un moment on a juste envie de les secouer. Ce manque d’empathie pour les personnages m’a, globalement, dérangée. En revanche, je dois reconnaitre que le style de Charlotte Mendelson est évocateur et emprunt d’une grande dramaturgie, ce qui me fait dire que ce roman se porterait bien sur une scène de théâtre. Vous l’aurez compris, j’en attendais beaucoup plus d’ « Accrochages » et j’ai été frustrée par la tournure des évènements et la perte de rythme après l’exposition de Ray, que j’imaginais pourtant comme un point de non-retour bien plus exubérant.Dans ce roman, on découvre la famille Hanrahan, une famille d’artistes clairement dysfonctionnelle. En effet, on comprend dès les premières pages que le patriarche, Ray, mène son petit monde à la baguette ; s’érigeant en figure masculiniste tout à fait détestable. Caricature de l’artiste fini (et raté), il ne supporte pas le succès de sa femme, Lucia – une sculptrice de talent – qui fût, par le passé, son étudiante. Acceptant mal de ne pas être dans la lumière, Ray décide de programmer une exposition qui devrait signer son grand retour sur la scène artistique londonienne. Et pour l’organiser, toute la famille doit se plier à ses exigences (invitations, traiteur, accrochage, etc…). Ray ne s’occupe que de son art (vraiment ?) Tandis que son aînée, Leah, cède à toutes les folies de « son petit papa » sans broncher, on comprend que sa cadette, Jess, son beau-fils, Patrick, et sa femme sont, eux, en fin de course. Psychologiquement perturbés par tout ce que Ray leur fait subir depuis des années. Ils nourrissent des envies d’émancipation (via l’amour, le travail, leurs projets et ambitions personnels) sans oser en parler à Ray. Mais à l’approche de cette exposition, qui semble bien être la goutte...
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  • miss-tairieuse 07/09/2023
    J'ai trouvé ce livre "étouffant". D'une part, en raison de l'ambiance qui règne au sein de cette famille déglinguée du fait de la toute puissance du père, tyrannique, égocentrique et finalement complètement immature et, d'autre part, en raison, non pas exactement du style de l'auteure, mais de sa façon toute particulière de passer d'un personnage à l'autre sans prévenir et de ses phrases et de son vocabulaire parfois alambiqué, pour ne pas dire obscur. Malgré tout, on est pris dans l'histoire et on déteste le père, on souffre pour la mère et pour les enfants et on se demande qui, comment et si les personnages vont s'en sortir. Eh bien, nous n'en saurons pratiquement rien tant la fin est bâclée ! Dommage. Avec plus de simplicité dans le propos, plus de cohérence dans la rédaction et une fin plus explicite, ce livre aurait pu être un très bon livre.
  • auray2 21/08/2023
    Accrochages a été mis en valeur par des journaux prestigieux comme le Times ou le Guardian. Il est vrai que l'écriture très personnelle de Charlotte Mendelson se retrouve dès les premières lignes. Il faut au moins une centaine de pages afin de se familiariser avec la famille Hanrahan. Par la suite, on est vite récompensé. Il est vrai que parfois, on ne sait pas de suite qui parle, mais, si vous avez suivi depuis le départ, il est facile de reconnaître le caractère du protagoniste qui cause, ça en devient même un jeu entre le lecteur et la romancière. C'est en racontant le livre à ma femme que je me suis rendu compte que c'est le personnage de Patrick, celui dont on parle le moins au final, qui m'a le plus touché. Également, je ne suis pas passé à côté de Lucia, qui subit de plein fouet le narcissisme de son horrible mari, Ray. Ce dernier m'a fortement rappelé mon grand-père. Il est drôle sur le coup et puis, on subit l'horreur du patriarcat de plein fouet. Un livre exigeant par son écriture, mais, qui vaut le coup de « s'accrocher » pour tous ces sujets modernes intelligemment abordés.
  • marsenavril 08/07/2023
    Peinture acerbe d'une famille toxique. Ils sont tortueux et torturés, sous la coupe d'un père et mari artiste férocement narcissique. Chacun se plie à sa toute puissance, même s'il est en perte de vitesse. La mainmise du tyran peut-elle être menacée ?C'est pointu, aigu, drôle dans sa cruauté, l'auteur débusque les contradictions et circonvolutions des tourments de chacun mais la démonstration est un peu trop parfaite.
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