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Cette main qui a pris la mienne
Michèle Valencia (traduit par)
Date de parution : 28/04/2011
Éditeurs :
Belfond

Cette main qui a pris la mienne

Michèle Valencia (traduit par)
Date de parution : 28/04/2011

 

Récompensé par le très prestigieux Costa Book Award, un somptueux roman, bouleversant et sensible, où s'entremêlent des voix aussi émouvantes que troublantes pour évoquer les relations maternelles, la force des...

Récompensé par le très prestigieux Costa Book Award, un somptueux roman, bouleversant et sensible, où s'entremêlent des voix aussi émouvantes que troublantes pour évoquer les relations maternelles, la force des liens du sang et le pouvoir destructeur des non-dits.

Lexie a accompli son rêve : rejoindre Londres pour y devenir...

Récompensé par le très prestigieux Costa Book Award, un somptueux roman, bouleversant et sensible, où s'entremêlent des voix aussi émouvantes que troublantes pour évoquer les relations maternelles, la force des liens du sang et le pouvoir destructeur des non-dits.

Lexie a accompli son rêve : rejoindre Londres pour y devenir journaliste. Insolente, sûre d'elle, la jeune femme évolue triomphalement dans le fougueux Soho des sixties, menant de front sa vie professionnelle et de mère célibataire. Jusqu'au jour où le destin se rappelle à elle…

Quarante ans plus tard, Elina, une jeune artiste d'origine finnoise, vient de mettre au monde son premier enfant. Un accouchement qui a failli lui coûter la vie et dont le souvenir obsédant menace de détruire son couple.
Car depuis la naissance, son mari Ted se comporte de façon très étrange, comme si son inconscient se réveillait d'un profond sommeil. En quête désespérée d'une main qui le guiderait à travers les zones d'ombre de son enfance, Ted va mettre au jour un terrible secret. Un secret qui unit intimement Lexie et Elina…

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EAN : 9782714451446
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714451446
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

À propos de L’Étrange disparition d’Esme Lennox :
« [Maggie O'Farrell] brasse les époques en virtuose et transmet les atmosphères avec grâce. Les personnalités et les drames se dévoilent par petites touches, selon les errements du souvenir et une tension croissante. A chaque page ? jusqu'à l'ultime ?, c'est la stupéfaction. [...] Magistral. »
Jeanne de Ménibus - Madame Figaro

« [Maggie O'Farrell] réussit une histoire construite avec rigueur, refusant de s'appuyer sur une morale, préférant décrire la complexité des liens, le poids du silence et de la solitude infinie. »
Christine Ferniot - Télérama

À propos de Cette main qui a pris la mienne :
« À n’en pas douter, Cette main qui a pris la mienne rencontrera le même succès que les précédents romans de Maggie O’Farrell. Une plume naturellement élégante ; le thème de la maternité est abordé ici avec beaucoup de profondeur et d’intelligence. »
The Bookseller

« Maggie O’Farrell a un don pour rendre avec précision la palette des sentiments humains. Avec Cette main qui a pris la mienne, Maggie O’Farrell démontre une nouvelle fois ses talents de conteuse. »
The Observer

« Dans la lignée de Daphne du Maurier, Maggie O’Farrell écrit des histoires conçues pour ébranler le subconscient des femmes et faire apparaître nos angoisses les plus primaires. »
Daily Mail

« Un livre que l’on ne peut reposer avant la fin… Maggie O’Farrell est incontestablement l’un des plus talentueux écrivains britanniques contemporains. »
Literary Review

« Un moment de lecture incroyablement captivant et émouvant. »
Washington Post

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marialit 26/02/2024
    Même si j'ai mis un peu de temps à entrer dans ce roman, j'ai été séduite par l'écriture empreinte de sensibilité de l'autrice, et ses personnages tout en nuances (en particulier Innes et Lexie, qui ne me plaisaient pas au début et finalement m'ont séduite). Il se détache de l'ensemble une sorte de sincérité qui m'a touchée et qui me donne envie de continuer à découvrir l'oeuvre de cette écrivaine.
  • PLK 08/02/2024
    Une fois encore, l’écriture de Maggie m’a séduite et captivée. Quel titre superbe pour deux destinées de femmes, à une génération de distance, deux époques différentes. L’action alterne entre le Londres d’aujourd’hui et le Soho des années 50-60. Deux histoires qui vont s’entremêler... Maggie sème des petits cailloux très discrets, et dévoile parfois avec rudesse, la suite. Elle nous inquiète, nous appâte, nous encourage à tourner les pages.. Maggie O’Farrell nous parle de l’amour inconditionnel d’une mère pour son enfant, du bouleversement qu’un enfant crée dans un couple, une histoire familiale étrange… Le personnage d’Innes est charismatique... sa seule vraie faiblesse est Gloria ! J’ai aimé suivre Lexie/Alexandra, une femme forte, intelligente, courageuse. Elina et Ted vivent leurs premières semaines de parentalité : l’auteure décrit ces moments avec réalisme et tellement d’amour. L’appel de Elina à sa maman lorsqu’elle a envie de se rapprocher d’elle est fascinant de vérité… J’ai aimé ces incursions dans ce monde des peintres, du cinéma et journalistes. Encore une fois, j’ai aimé la tendresse avec laquelle Maggie O’Farrell décrit ses personnages. Il est question de l’émancipation féminines, de maternité, couple, secret de famille. Certes, ce n’est pas le coup de foudre littéraire ressenti pour 𝐻𝑎𝑚𝑛𝑒𝑡, 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑡𝑢 𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖 ou 𝐿𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒 mais j’ai beaucoup aimé cette lecture. Je reste une inconditionnelle et continue à explorer le monde de Dame Maggie.Une fois encore, l’écriture de Maggie m’a séduite et captivée. Quel titre superbe pour deux destinées de femmes, à une génération de distance, deux époques différentes. L’action alterne entre le Londres d’aujourd’hui et le Soho des années 50-60. Deux histoires qui vont s’entremêler... Maggie sème des petits cailloux très discrets, et dévoile parfois avec rudesse, la suite. Elle nous inquiète, nous appâte, nous encourage à tourner les pages.. Maggie O’Farrell nous parle de l’amour inconditionnel d’une mère pour son enfant, du bouleversement qu’un enfant crée dans un couple, une histoire familiale étrange… Le personnage d’Innes est charismatique... sa seule vraie faiblesse est Gloria ! J’ai aimé suivre Lexie/Alexandra, une femme forte, intelligente, courageuse. Elina et Ted vivent leurs premières semaines de parentalité : l’auteure décrit ces moments avec réalisme et tellement d’amour. L’appel de Elina à sa maman lorsqu’elle a envie de se rapprocher d’elle est fascinant de vérité… J’ai aimé ces incursions dans ce monde des peintres, du cinéma et journalistes. Encore une fois, j’ai aimé la tendresse avec laquelle Maggie O’Farrell décrit ses personnages. Il est question de l’émancipation féminines, de maternité, couple, secret de famille. Certes, ce n’est pas le coup de foudre littéraire ressenti pour 𝐻𝑎𝑚𝑛𝑒𝑡, 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑡𝑢 𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖 ou 𝐿𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑎𝑔𝑒...
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  • steph_bookin 13/11/2023
    Pour la troisième fois, je ressors d'un roman de Maggie O'Farrell émue et enchantée, toujours plus conquise par l'univers romanesque de l'autrice irlandaise. Dans ce roman sensible et intelligemment construit, nous suivons deux histoires parallèles, l'une qui se déroule dans les années 60 autour de Lexie, indépendante et talentueuse jeune femme partie tenter sa chance à Londres, et l'autre dans la même ville, mais 40 ans plus tard, auprès d'un couple de tout jeunes parents, Elina et Ted, qui vivent ces premières semaines de parentalité dans une atmosphère d'étrangeté troublante. On le sait, on le sent, ces deux trajectoires sont destinées à se percuter, d'autant que l'autrice s'amuse à semer de petits cailloux blancs sur notre chemin, de menus détails qui viennent attiser notre curiosité et nous guident sur la piste du dénouement final tant attendu. Encore une fois, j'ai adoré le travail d'écriture de M. O'Farrell, ses personnages et la tendresse avec laquelle l'autrice les dépeint, sa façon si sensible d'évoquer le bouleversement prodigieux que représente l'arrivée d'un enfant dans la vie d'une mère (et d'un père), de dépeindre l'amour fou et la haine triste. C'est, je crois, ce que je préfère chez elle, sa capacité à entrer dans l'intimité des êtres et des choses, celle d'une mère qui berce son enfant au coeur de la nuit, d'un souvenir d'enfance qui affleure quand la vie nous bouscule, de la mémoire d'un lieu à travers les époques. Un coup de cœur! Pour la troisième fois, je ressors d'un roman de Maggie O'Farrell émue et enchantée, toujours plus conquise par l'univers romanesque de l'autrice irlandaise. Dans ce roman sensible et intelligemment construit, nous suivons deux histoires parallèles, l'une qui se déroule dans les années 60 autour de Lexie, indépendante et talentueuse jeune femme partie tenter sa chance à Londres, et l'autre dans la même ville, mais 40 ans plus tard, auprès d'un couple de tout jeunes parents, Elina et Ted, qui vivent ces premières semaines de parentalité dans une atmosphère d'étrangeté troublante. On le sait, on le sent, ces deux trajectoires sont destinées à se percuter, d'autant que l'autrice s'amuse à semer de petits cailloux blancs sur notre chemin, de menus détails qui viennent attiser notre curiosité et nous guident sur la piste du dénouement final tant attendu. Encore une fois, j'ai adoré le travail d'écriture de M. O'Farrell, ses personnages et la tendresse avec laquelle l'autrice les dépeint, sa façon si sensible d'évoquer le bouleversement prodigieux que représente l'arrivée d'un enfant dans la vie d'une mère (et d'un père), de dépeindre l'amour fou et la haine triste. C'est, je crois, ce que je préfère chez elle, sa capacité à entrer dans l'intimité des...
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  • Livronsnous 12/10/2023
    C'est une lecture agréable que nous offre ce roman, nous emmenant dans les vies de Lexie et d'Elina, 2 jeunes femmes qui ne se ressemblent en rien mais qui ont pourtant un lien que nous devinons petit à petit dans la seconde partie de la lecture. Si j'ai attendu avec impatience de saisir ce lien, de comprendre comment leurs vies étaient connectées, j'ai cependant préféré la première partie du livre et la découverte de ses personnages attachants. J'ai aimé en particulier la description de cette jeune Maman - la découverte de son bébé, de la maternité et de son couple transformé par cette naissance. Les émotions qu'elle traverse sont joliment décrites. J'ai également aimé la force qui se dégage de Lexie, j'ai admiré son envie d'indépendance et sa vie de jeune maman solo.
  • lulu8723 26/11/2021
    Maggie O’FARRELL. Cette main qui a pris la mienne. Dans ce roman, nous faisons la rencontre de deux femmes, à deux époques différentes à quelques quarante ans de distance. Nous sommes à Londres. A la fin des années 1950, Lexie, Alexandra vingt-et-un ans, quitte la demeure paternelle, ses frères et sœurs, dans le Devon pour aller vivre à Londres. Elle s’affranchit de la tutelle familiale et vole vers son destin de ses propres ailes. Avec beaucoup de volonté, elle va mener de front, sa vie professionnelle, sa vie amoureuse et élever seule son enfant. Grâce à Innes, le patron d’une revue « Elsewhere », elle devient une bonne journaliste, spécialiste de chroniques sur l’art. C’est « Cette main qui a pris la mienne ». Elle s’épanouit pleinement et réalise une vie riche à souhaits. Eléna, une jeune femme d’une trentaine d’années vient de donner un fils à son époux Théodore. L’accouchement a été très douloureux, elle ne s’en souvient même pas. Elle a tout oublié et ne parvient pas a assumer les taches incombant à son nouveau rôle. Son époux ne lui est pas d’un grand secours, il plonge dans un état cotonneux, une sorte de dépression. Il ne peut aider son épouse. Il ne trouve pas cette main qui devrait le prendre et l’extirper de cette confusion dont il ne connaît pas l’origine. Quel mystère , quelle énigme sont à l’origine de cet état ? Parviendra-t-il à affronter les démons qui le hantent ? Quels liens unissent ces deux femmes ? Un roman intimiste qui plonge dans le passé, la petite enfance. Une fiction chorale avec alternance des héroïnes et des époques. Il nous expose les affres qui émanent de secrets familiaux dument enfouis au fond des mémoires. Une bonne étude psychologique. Une femme très forte et une femme faible face à leurs destins. Une lecture sur des faits de société réels. (23/11/2021). Maggie O’FARRELL. Cette main qui a pris la mienne. Dans ce roman, nous faisons la rencontre de deux femmes, à deux époques différentes à quelques quarante ans de distance. Nous sommes à Londres. A la fin des années 1950, Lexie, Alexandra vingt-et-un ans, quitte la demeure paternelle, ses frères et sœurs, dans le Devon pour aller vivre à Londres. Elle s’affranchit de la tutelle familiale et vole vers son destin de ses propres ailes. Avec beaucoup de volonté, elle va mener de front, sa vie professionnelle, sa vie amoureuse et élever seule son enfant. Grâce à Innes, le patron d’une revue « Elsewhere », elle devient une bonne journaliste, spécialiste de chroniques sur l’art. C’est « Cette main qui a pris la mienne ». Elle s’épanouit pleinement et réalise une vie riche à souhaits. Eléna, une jeune femme d’une trentaine d’années vient de donner un fils à son époux Théodore. L’accouchement a été très douloureux, elle ne s’en souvient même pas. Elle a tout oublié et ne parvient pas a assumer les taches incombant à son nouveau rôle. Son époux ne lui est pas d’un grand secours, il plonge dans un état cotonneux, une sorte de dépression. Il ne peut aider...
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