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L'Affaire Isobel Vine
Fabrice Pointeau (traduit par)
Date de parution : 06/04/2017
Éditeurs :
Sonatine

L'Affaire Isobel Vine

Fabrice Pointeau (traduit par)
Date de parution : 06/04/2017

« Le héros le plus complexe et obstiné depuis Harry Bosch. » The Australian
 
Pour n’importe quel passant, les rues, les places, les jardins de Melbourne possèdent un charme certain. Pour Darian Richards, chacun de ces lieux évoque une planque, un trafic de drogue,... Pour n’importe quel passant, les rues, les places, les jardins de Melbourne possèdent un charme certain. Pour Darian Richards, chacun de ces lieux évoque une planque, un trafic de drogue, un drame, un suicide, un meurtre. Lassé de voir son existence ainsi définie par le crime, et uniquement par le... Pour n’importe quel passant, les rues, les places, les jardins de Melbourne possèdent un charme certain. Pour Darian Richards, chacun de ces lieux évoque une planque, un trafic de drogue, un drame, un suicide, un meurtre. Lassé de voir son existence ainsi définie par le crime, et uniquement par le crime, il a décidé, après seize ans à la tête de la brigade des homicides, de passer à autre chose. Une vie solitaire, plus contemplative.
Il accepte néanmoins de sortir de sa retraite par amitié pour le chef de la police qui lui demande de disculper son futur successeur, en proie à des rumeurs relatives à une ancienne affaire : en 1990, après une fête donnée chez elle, on a retrouvé le corps sans vie de la jeune Isobel Vine. Suicide, accident, meurtre ? L’enquête fut d’autant plus délicate que quatre jeunes flics participaient à cette soirée. Elle fut classée sans suite, mais le doute persiste sur ce qui s’est réellement passé.
Reprendre des investigations vingt-cinq ans après les faits n’est jamais une partie de plaisir, surtout quand l’affaire concerne de près la police. Les obstacles ne manquent pas. C’est sans compter sur le caractère obstiné, rebelle et indiscipliné de Darian Richards et sur sa fâcheuse habitude à porter davantage d’attention et de respect aux morts qu’aux vivants. L’enquête rythmée de nombreux rebondissements va peu à peu l’amener aux frontières du bien et du mal, de la vérité et du mensonge, et Richards y perdra peut-être ses dernières illusions.
 
Une description rarement vue des rouages policiers. Une ville, Melbourne, personnage à part entière du roman. Une intrigue captivante. Et un antihéros plein de blessures intimes, misanthrope et obstiné, que l’on a envie de retrouver à peine la dernière page tournée.
 
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EAN : 9782355846052
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782355846052
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ils en parlent

"Un héros est né."
Philippe Blanchet / Figaro Magazine

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LuEtRelu 01/05/2022
    Construction intelligente, ambiance prenante, personnages sans clichés, nous avons ici tous les ingrédients d'un bon polar. Un duo d'enquêteurs atypiques reprend une vieille affaire non résolue : la mort de la jeune adolescente Isobel Vine il y a 25 ans. Meurtre ou accident? Les chapitres sont courts et bien construits, le rythme est lent et c'est tant mieux. Isobel Vine a été piégée par un trafiquant de drogue, mêlée à des policiers véreux, fréquentée un petit ami étrange en plus d'avoir un amant pédophile. L'auteur développe une intrigue, une histoire où il s'amuse de nous. Le final est étonnant. Il est impossible de deviner cette fin! Alors bonne lecture!
  • frimoussette 22/09/2021
    J'ai découvert Tony avec "la promesse " j'avais beaucoup aimé Je suis amoureuse de l'Australie depuis l'enfance et skippy le kangourou Hahaha.............. Cette deuxième lecture confirme mon ressenti positif des histoires de Tony . Damain Richards , le flic inflexible , que rien n'arrête . Toujours à la limite , un super enquêteur mais marginal . Cette fois ci il va mener une enquête sur une affaire vieille de 25 ans Avec des flics impliqués ou pas , des flics qui depuis ont gravi les échelons Le pouvoir , la justice pour les victimes dans une ville violente Melbourne. J'ai aimé l'ambiance , l'enquête avec ses rebondissements , tous ces flics qui se coltinent toute la noirceur de la société. Ces flics loin d'être irréprochables , des pourris avec leurs démons intérieurs L'arrestation de Dominic Stone l'arrogant friqué ..........jubilatoire !!!! J'ai lu ces deux livres dans le désordre puisque " l'affaire Isobel Vine " se passe avant " la promesse " Pas trop grave finalement et joie future il y a " requiem " qui m'attend !! Je suis bon public et quand une histoire me scotche j'en redemande
  • Mamzellegazelle 03/03/2021
    *** Un Cold-Case Australien, des flics véreux et une bague*** J'avais envie de me plonger dans un bon polar, un bon roman noir avec des flics véreux et ... je me retrouve en Australie, à Melbourne. Chose assez rare je vous l'accorde, mais j'en suis ravie, puisque c'est aussi une première pour moi avec l'auteur : Tony Cavanaugh. Ce dernier, m'a fait visiter Melbourne : ses allées fleuries aux arbres centenaires, ses quartiers chics et bobos puis tous ces endroits où, comme dans toutes les grandes villes, sont gangrenés par la drogue, la prostitution et donc la violence. Le commissaire Copland demande à son ami Darian Richards, flic "ayant pris du recul" loin de Melbourne, d'ouvrir un Cold-Case vieux de vingt cinq ans où plusieurs flics véreux étaient mêlés dans une sombre affaire de meurtre : L'affaire Isobel Vine. Copland, craint pour sa place, puisque Nick Racine, postule pour le remplacer et donc le mettre au placard. Copland persuade Darian d'enquêter sur Racine qui, jeune à l'époque, était un des suspects sur le meurtre de la jeune fille. Isobel, assassinée chez elle, pendue à un crochet et étouffée avec une cravate d'uniforme de flic, pendant que son meurtrier la violait... tuée par un flic, ou alors plusieurs flics du QG actuel de Melbourne, tous liés par un trafic de drogue qui a mal tourné ? Ou un jeu sexuel ? Darian, assisté de l'inspecteur Maria Chastain vont enquêter, dansant sur cette corde sensible, redonner dignité à Isobel et à son père qui vingt cinq ans après est persuadé du nom du coupable. Un bon polar, où l'auteur nous persuade d'un coupable ... qui ne l'est pas. *** Un Cold-Case Australien, des flics véreux et une bague*** J'avais envie de me plonger dans un bon polar, un bon roman noir avec des flics véreux et ... je me retrouve en Australie, à Melbourne. Chose assez rare je vous l'accorde, mais j'en suis ravie, puisque c'est aussi une première pour moi avec l'auteur : Tony Cavanaugh. Ce dernier, m'a fait visiter Melbourne : ses allées fleuries aux arbres centenaires, ses quartiers chics et bobos puis tous ces endroits où, comme dans toutes les grandes villes, sont gangrenés par la drogue, la prostitution et donc la violence. Le commissaire Copland demande à son ami Darian Richards, flic "ayant pris du recul" loin de Melbourne, d'ouvrir un Cold-Case vieux de vingt cinq ans où plusieurs flics véreux étaient mêlés dans une sombre affaire de meurtre : L'affaire Isobel Vine. Copland, craint pour sa place, puisque Nick Racine, postule pour le remplacer et donc le mettre au placard. Copland persuade Darian d'enquêter sur Racine qui, jeune à l'époque, était un des suspects sur le meurtre de la jeune fille. Isobel, assassinée chez elle, pendue à un crochet et étouffée avec une cravate d'uniforme de flic, pendant que son meurtrier la violait... tuée par un...
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  • MesPolars 16/04/2020
    C'est une lecture bien particulière que je viens de refermer avec le livre de Tony Cavanaugh. Un voyage différent, dans des contrées inattendues (et je ne parle pas de l'Australie). J’ai bien failli passer à côté. The Australian compare Darian Richards, le flic récurrent de Tony Cavanaugh à Harry Bosch, à mon avis avec justesse. On y retrouve le même genre d’anti-héros, couturé de partout, épidermique au point de rater sa vie et pourtant implacable et blasé. Le côté gros dur qui flingue quelqu’un avant de terminer son assiette de raviolis. C’est pas du tout ma came. Et pourtant. Derrière les apparences froides et distanciées de l’écriture de Tony Cavanaugh, il y a une vie qui bat, mais comme au ralenti, comme engourdie, et l’écriture fait ici merveilleusement écho au héros. L’écriture, c’est une grande force de Cavanaugh. Précise et imagée (« il ne marchait pas, il martelait le sol de ses pas »), elle est aussi lapidaire et un peu désespérée (« J’essaie d’éviter la politique mais c’est impossible…… Elle est là, comme le mal. On peut fermer les yeux, certes, mais les machinations et les pactes en coulisse sont comme une rumeur permanente dans le monde de la police, comme les rouages d’une machine » ou « La corruption n’est peut-être pas une condition nécessaire pour le boulot mais ce n’est certainement pas un obstacle »). Rien à dire sur l’intrigue, qui est bien ficelée malgré quelques racourcis que je n’aurais jamais osés mais qui passent crème. Parce que l’essentiel est ailleurs. L’essentiel, c’est la quête de ces flics pour débusquer une vérité vieille de 25 ans et faire justice quoiqu’il en coûte à l’institution ou au héros. On marche dans les pas de Dario, à un rythme qui n’est ni lent (il y a vraiment beaucoup d’actions), ni trépidant (il y a de la langueur dans le style, le choix des mots, de l’angle de vue, les descriptions à petites touches de la plus européenne des villes australiennes), mais plutôt hypnotique. Bien que, sur le papier, L’affaire Isobel Vine ait eu beaucoup trop pour me déplaire, je l’ai lu jusqu’à la fin avec plaisir un peu comme une citronnade qu’on sirote par une journée d’été étouffante. Le rythme hypnotique des mots, l’ambiance et même les personnages commencent même à me manquer un peu… C’est donc à une expérience de lecture différente que je te convie avec L’affaire Isobel Vine, une trouée dans le monde des policiers du sud de l’Australie, perché sur l’épaule d’un flic cabossé et désabusé. C'est une lecture bien particulière que je viens de refermer avec le livre de Tony Cavanaugh. Un voyage différent, dans des contrées inattendues (et je ne parle pas de l'Australie). J’ai bien failli passer à côté. The Australian compare Darian Richards, le flic récurrent de Tony Cavanaugh à Harry Bosch, à mon avis avec justesse. On y retrouve le même genre d’anti-héros, couturé de partout, épidermique au point de rater sa vie et pourtant implacable et blasé. Le côté gros dur qui flingue quelqu’un avant de terminer son assiette de raviolis. C’est pas du tout ma came. Et pourtant. Derrière les apparences froides et distanciées de l’écriture de Tony Cavanaugh, il y a une vie qui bat, mais comme au ralenti, comme engourdie, et l’écriture fait ici merveilleusement écho au héros. L’écriture, c’est une grande force de Cavanaugh. Précise et imagée (« il ne marchait pas, il martelait le sol de ses pas »), elle est aussi lapidaire et un peu désespérée (« J’essaie d’éviter la politique mais c’est impossible…… Elle est là, comme le mal. On peut fermer les yeux, certes, mais les machinations et les pactes en coulisse sont comme une rumeur permanente dans le monde de la police, comme les rouages...
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  • berbonet 13/11/2019
    Question: Pour quelles raisons, un commissaire de police réveille t-il, une affaire quasi-résolue, vieille de vingt-cinq ans ? Réponses: Pour nuire aux policiers véreux qui ont mené l'enquête ? Pour défier son meilleur élément ? ou pour des motivations bien plus personnelles ... Roman intéressant, un peu long tout de même ...
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